mélancolie d'un coeur [libre]

La vie est pleine de mystère, le monde souhaite qu’ont l’explore. Mais le monde est aussi triste du désarroi que les êtres humains éprouvent, triste de voir des êtres disparaître, d’autre pleurer. C’est avec cette pensé en tête que je me suis réveillais avec comme chaque matin mes cheveux un peu ébouriffé de partout, comme s’ils étaient sorti d’une bataille. J’avais un petit sourire au coin des lèvres lorsque mon regard avait trouvé refuge sur un portrait fixé au mur de ma chambre, ma sœur me manque lorsque je la vois ainsi avec ce sourire plus que radieux. J’ai envie d’entendre sa musique, d’entre la voix de son âme qui jusqu’à maintenant ma toujours fait avancer d’un pas chaque jour. Cela doit faire maintenant plus de trois ans que je n’ai pas revus ma sœur, ni mon père ainsi que ma mère d’ailleurs. Malgré mes pensé et mes souvenirs il ne faut pas que j’oublie certaine chose, qui je suis vraiment ainsi de l’endroit où je me situe et ce que je dois faire. Vous allez me dire que mes vêtements son souvent les même c’est donc pour cela qu’aujourd’hui je ne mets pas de chemise mais un simple t-shirt bleu tirant vers le beige. Une couleur crème nous allons dire qui se mari très bien avec mon pantalon. Le petit déjeune fut pris rapidement mais convenablement, tout était propre et je vérifié bien afin d’être sûr de pouvoir partir l’esprit tranquille. Je ne sais pas trop pourquoi mais aujourd’hui j’ai envie de faire une petite promenade dans la ville, montant alors dans ma chambre pour y prendre mon porte feuille et ce que j’ai besoin en plus. Mon regard s’arrêta lorsque mon visage dévia sur l’étui de mon violon, dois-je l’emmené avec moi pour en jouer un peu à l’extérieur ? Pourquoi pas, d’ailleurs si mes yeux ne veulent pas le quitter c’est surement pour une simple et bonne raison je me trompe ! Je l’attrapais alors par sa poignée, puis par sa lanière que je fis passer autour de mon buste. J’avais adapté une lanière tel que les étuis de guitare, cela facilite le transport de l’instrument.

Me voilà donc en dehors de chez moi face à un ciel radieux pour le moment, j’espère qu’il restera ainsi toute la journée. Mon violon est paisiblement dans mon dos tandis que mes pas me guidaient en direction de la grande place de la ville, c’est là-bas où l’ont troue le plus de monde. En effet je confirme déjà qu’il y a pas mal de personne qui aime bien se promener ici, regardant et achetant les diverses articles que les stands de marchand leurs proposaient. Cela me donné le sourire et me faisait pensé à quelque chose, je devrais surement acheter un petit quelque chose pour mes deux charmantes amie qui ont accepté de vivre avec moi, je parle bien entendu de Firiel-chan et de Keiko-chan. Toutes deux sont ravissante et pleine de surprise ainsi que de joie, elles arrivent à eux deux à faire fondre petit à petit cette terrible neige glacial de jour en jour. Il me faut donc les remercier comme il ce doit, j’espère simplement que ce que je leurs prendrais leurs feront plaisir, c’est un peu ma plus grande peur d’un certain côté. Mais avant cela, je vais tout d’abord jouer un peu de mon instrument pour me détendre l’esprit et me sentir ainsi mieux dans mon cœur. Avoir l’esprit libéré est important, chasser toutes les idées noir et les difficultés que l’ont à put et que l’ont peut rencontrer. Alors c’est avec mon amie dans le dos que je me dirigeais vers mon endroit préféré de la grande place, un lieu où plusieurs personnes se réunissent par moment, cet endroit c’est le centre de la place. Marchant alors à une cadence lente mais joyeuse sur les dalles de pierre, je pouvais déjà voir une magnifique Fontaine se dressé devant mes yeux.

La je me retrouvais maintenant face à toute sa splendeur, face à son calme qui apaise certain cœur qui baigne dans le désespoir. Cela me fait sourire rien que d’y pensé, de plus je viens souvent ici pour m’entrainer. Et oui je ne suis pas parfait, tout violoniste à besoin de s’entrainer régulièrement pour garder son niveau et même s’améliorer. Retirant donc l’étui de mon dos, je le déposais sur le rebord de pierre de la fontaine, sortant alors mon amie de sa cachette pour venir l’appuyer sur mon épaule. Ma joue touche la matière et ma main vint se glisser le long de l’armature, touchant les cordes du bout des doigts. Ma main libre vint alors prendre l’archet pour l’apporté là où il doit être, c’est maintenant que je le fis glisser sur les cordes, pincement et autre révélant toute la sonorité de la voix de mon âme.

Invité

Rip’pit’chik se promenait. Il avait passé une matinée de rapine. Il aimait continuer à chaparder et à voler. Pas méchamment, juste pour garder la main. Après tout, sa démone lui fournissait tout ce dont il avait besoin. Il regrettait encore la petite Sayuri. Elle avait été une admirable compagne de rapine. Il avait trouvé le parc par hasard et repensait à tout le temps qu’il avait passé dans les différentes tribus ratling. La tribu de la dent ébréchée lui manquait. Une tribu de marins, mais que ce fut agréable de vivre parmi eux, sur les flots. C’est la tête perdu dans ses pensées qu’il percuta une personne, plus grande que lui. Rip’pit’chik eut le même réflexe qu’avec la petite Sayuri. Il enroula sa queue autour de la taille de la personne et la souleva avec lui par télékinésie. Il s’arrêta sur une branche large. Il regarda alors la personne. C’était un ange…

- Moi, désolé désolé. Moi pas vouloir vouloir importuner vous. Moi, redescendre redescendre vous. Vous pardonner pardonner Rip’pit’chik. Ca réflexe réflexe mien.

Rip’pit’chik se demandait quelle allait être la réaction de l’ange. Après tout, il avait agi avec rapidité, l’ange pouvait aussi croire à une attaque contre sa personne…

Alors que j’étais tranquillement entrain de jouer, de laisser mon âme parler par la voie des cordes de mon instrument, je fus bousculé par je ne sais trop quoi. A peine le temps de baisser la tête pour apercevoir ce qui m’a percuté que quelque chose se faisait ressentir autour de ma taille. Qu’est-ce que cela pouvait-il bien être ! Je me le demande bien surtout que par la suite je lévité dans les airs alors que mes ailes ne sont pas de sorti et que je n’ai pas fait appel au vent. Bien trop de chose sont arrivé alors que je n’ai rien demandé, je ne faisais rien d’autre que de jouer comme à mon habitude du violon sur la grande place devant la fontaine. Mais me voilà maintenant sur une branche avec ce qui semble être un hybride…Il à l’air sauvage mais s’il l’était vraiment alors il y aurait déjà des chasseurs non loin d’ici. Puisque ce n’est pas le cas alors il doit certainement appartenir à quelqu’un mais je me demande bien à qui, le détaillant alors bien distinctement sans vraiment bouger…Mon instruments toujours entre mes mains et mon regard rouge posé sur mon « agresseur ».

Ce n’est pas très prudent de faire ça…

J’ai bien remarqué qu’il disait deux fois certain mots, bien que je connais que très peu les hybrides, je crois avoir déjà vu quelques êtres comme celui-ci dans certain livre…Moi et mes habitudes de lire des livres dans le jardin, je vous jure. Ainsi donc tout cela n’est rien d’autre qu’un simple réflexe, je ne peu lui en vouloir alors, de plus il rajoute qu’il va me redescendre alors à quoi bon vouloir lui faire quoique se soit. Je le regardais alors avec mon sourire habituel malgré ce qui vient de se passé, me trouvant d’ailleurs toujours dans un arbre avec l’inconnu.

Tu n’a pas à t’excusé, si c’est un reflexe alors je ne peux t’en vouloir. Maintenant fait moi redescendre s’il te plait pour que je puisse retrouver la terre ferme et ranger mon instrument.

Je n’attendais que cela, retrouver le sol. Non pas que je n’apprécie pas être sur la branche d’un arbre, mais c’est que je n’aime pas trop y être sans que ce soit moi qui y soit allez seul. De plus l’être avec une personne que je ne connais pas du tout me dérange un peu, mais pour descendre je sais que je peux facilement le faire seul avec l’aide de la nature mais puisqu’il m’a dit qu’il allait le faire, alors je le laisse.

Invité

Une certaine confusion régnait dans l’esprit du Ratling. Il savait que l’ange avait raison sur la prudence du geste. Après tout, l’ange semblait un peu gêné, mais pas autant que le Ratling par ce réflexe, qui, en d’autres occasions, lui avait sauvé les moustaches. Il hocha la tête à la demande de l’ange pour redescendre sur la terre ferme. Il enroula une fois encore sa queue autour de la taille l’ange, se saisit de celui-ci et les fit redescendre sur la terre.

- Voilà, moi désolé désolé. Si toi vouloir, moi donner donner pomme à toi?

Rip’pit’chik pencha sa tête pour mieux voir l’ange depuis le dessous de son jingasa. Il sortit deux pommes de ses manches. Il les avait chapardées un peu plus tôt dans la galerie marchande. Il fit un sourire à l’ange.

- Ca, bon bon…

Rip’pit’chik nota alors l’instrument dans les mains de l’ange.

- Toi, faire faire musique? Moi, jouer jouer shinobue. Ca instrument pays mien, moi aimer aimer jouer dans nuit.

Rip’pit’chik se demanda ce qu’allait faire l’ange. Après tout, sa démone n’était pas là, elle se faisait même assez rare les temps derniers…

Je lui avais demandé de me déposer sur le sol et il l’a fait sans trop se faire prier, ce qui me surpris un peu au départ. Il à l’air d’être assez obéissant sous son grand « chapeau », j’en ai déjà vu dans plusieurs ouvrage mais jamais en réalité il me fait bien l’avouer, dans tout les cas je me retrouver maintenant sur la terre ferme, ce qui déjà me redonné bien le sourire après cette rencontre un peu extravagante. Je le regardais de mon air un peu froid c’est vrai, une lueur rouge dans mes yeux, quoi de plus normal puisque c’est la couleur de mes iris, ont pourrait d’ailleurs croire qu’ainsi je le défié ou le menacé alors que ce n’est pas du tout cela. Il me proposa une pomme sous mon regard maintenant étonné, il est vraiment très gentil en faite, ce qui me surprend un peu…Moi qui pourtant n’aime pas trop la race des hybrides, je dois le dire, il m’intrigue et me donne envie de le connaître. Je ne lui répondis pas de la parole mais avec un simple hochement de la tête, prenant alors le fruit si gentiment tendu et offert. J’approchais mes lèvres du fruit pour sentir sa douce odeur avant de venir planté mes dents dans la chair blanche pour en aspiré le jus et retiré un morceau.

C’est vraiment très bon et frais…Ca fait du bien d’en manger surtout que cela fait très longtemps que je n’avais pas pris le temps d’en manger une en une si belle journée.

Il se mit à fixer mon instrument d’un air soit intriguer ou compréhensif, il avait bien vu que je suis un musicien, mais il se trouve que lui aussi en est un. Cela peut se montré intéressant, entendre le son de son instrument me ferais vraiment plaisir, mais encore faut-il qu’il accepte d’en joue pour moi ou rien que me laisser l’écouté en jouer. Il à donc en commun deux chose avec moi, tout d’abord la musique mais aussi le fait d’en jouer la nuit, seul moment où je me sens libéré de tous mes tourment.

J’aime moi aussi jouer la nuit, ont est sûr que quelqu’un nous regarde et nous écoute, la lune ou la solitude nous permet de nous soulagé par la voie musical. Du moins c’est mon point de vue.

J’avais oublier une chose essentiel, je ne me suis toujours pas présenter à lui alors que lui m’avait dis son nom quelque peu bizarre c’est vrai. Je continuais alors de manger ma pomme tout en le regardant, avalant ce que j’ai dans ma bouche pour lui faire un petit sourire.

Je m’appel Tsukasa Hishima au faite ^^ ravi de faire ta connaissance.
Mon instrument à moi c’est un violon que j’ai en ma possession depuis ma plus tendre enfance, mais…J’aimerais bien t’entendre jouer.

Invité

Rip’pit’chik sourit en voyant l’ange mordre dans le fruit. Il était vrai que les pommes étaient bonnes. Il faudrait qu’il pense à revisiter l’étal du marchand où il avait chapardé les pommes. Il avait obéi plus par peur d’une réaction étrange de cet ange aux yeux rouges que par habitude. Il ne voulait pas se faire un ennemi alors qu’il était en liberté. Il regarda les yeux de l’ange et comprit qu’il était toujours comme cela et il trouva cela joli.

- Moi, aimer aimer pommes aussi. Ca bon bon santé. Si toi vouloir vouloir encore pomme, toi demander. Moi avoir avoir beaucoup beaucoup pommes.

Rip’pit‘chik ne comprit pas pourquoi Tsukasa jouait la nuit, mais après tout, chacun ses raisons. Lui, il jouait la nuit car les transcendants sont présents durant la nuit, ce qui n’était pas le cas le jour. C’est d’ailleurs pour cela qu’il n’apparaissait que dans les rêves. Mais pour être sur d’être écouter, Rip’pit’chik était d’accord avec lui.

- Moi, pas savoir savoir si dame lune écouter, mais transcendants, eux, toujours toujours écouter. Moi, savoir savoir ca. Sinon, moi jouer jouer pour femelles Nezumis. Elles, aimer aimer musique mienne… mais ca, passer passer pas femelle Nezumi dans ville Meridell.

[i]Rip’pit’chik nota le nom de l’ange. Il ne lui disait rien, mais il n’avait pas prêté attention aux ragots et autre commérages, ce n’était pas son style. A la demande de l’entendre jouer, Rip’pit’chik ne se sentit plus de joie. Il était rare qu’on lui demande un petit morceau de musique.

- Moi heureux heureux savoir nom tien. Moi, bien bien vouloir jouer musique. Nous aller aller sur banc. Ca mieux mieux que debout.

Rip’pit’chik s’installa et invita du geste l’ange à en faire autant. Rip’pit’chik commença à jouer un air qu’il avait appris dans la tribu de l’oreille déchirée. Il aimait bien le son de cette composition et sa signification, c’était une chanson sur l’amitié et ce qu’elle doit être pour chaque personne…

Je le suivais alors en direction du banc pour m’y asseoir à ses côté, il me parlait des moments dans lesquelles il jouait de la musique, mais il avait l’air aussi très heureux que je lui demande d’en jouer pour moi. Cela me donner le sourire et je me mis à fermer les yeux pour l’écouter jouait, un air entraînant que je ne connais pas du tout, mais je pense que cela venait de sa tribu donc c’est un peu normal que je ne l’ai pas en connaissance. Je caresser la matière de mon instrument pour ressentir cette douce mélodie rythmé, ce qui me donne d’ailleurs l’envie d’en jouer mais je ne connais pas cet air alors se serait le gâcher. J’attendais alors qu’il arrête ce qu’il avait commencé pour ensuite le regarder et lui faire un beau sourire. Je n’avais pas ouvert la bouche une seule fois pendant son interprétation.

C’était vraiment très beau Rip'pit'chik, j’ai beaucoup aimé l’ambiance que tu à dégager lors de ton interprétation.

Malgré tout je ressentais bien que cette musique avait une signification mais j’ignore totalement laquelle. Le seul moyen c’est de le lui demander sans que cela ne le dérange, mais au fond de moi je sens que nous allons bien nous entendre tous les deux. Il est sympas le Nezumi, j’aurais bien voulu connaître l’identité de ses maîtres s’il en a bien entendu. Je continuais alors de manger ma pomme en me passant la main dans les cheveux pour laisser toujours mon sourire face à lui.

Dis moi, que symbolise cette musique ? J’aimerais bien l’apprendre ou du moins connaître sa signification. Elle m’intrigue un peu je dois l’avouer….

Je caresser encore mon violon pour ensuite l’attraper et le mettre en position sur mon épaule, fermant les yeux après sa réponse je me mis alors à jouer quelques notes pour lui montré toute ma gratitude, mais c’est aussi pour le remercier de m’avoir offert une pomme. Je tournais le visage vers lui pour déposer mon regard rouge sur son « pelage », laissant les note me bercer encore un petit moment avant de moi aussi annoncer la fin et donc m’arrêter, j’étais maintenant complètement apaisé et soulager, mon cœur c’est vidé et j’ai donc trouver le repos de mon âme.

Es-tu Libre ou as-tu un Maître ?

Invité

Rip’pit’chik avait fini le morceau depuis quelques secondes lorsque l’avis de Tsukasa vint le tirer d’une rêverie, il se revoyait dans la tribu de l’oreille déchirée, durant sa formation. Il avait appris plus que le combat dans cette tribu, il avait appris l’amour de la musique et des arts avec Zin’ch, un ancien représentant du peuple Nezumi chez humain. C’était lui qui avait ramené les premiers instruments de musique dans la tribu. Le vieux Zin’ch avait rejoint les transcendants depuis quelques années maintenant. Rip’pit’chik avait appris sa mort lorsqu’il se trouvait dans la tribu de la patte avide. Il avait joué pendant de longues heures en pensant au vieux Nezumi et pour qu’il ne perde pas la force de son nom en rejoignant les ancêtres.

- Merci merci, moi content content elle plaire toi. Moi, jouer jouer ca tard le soir… Moi, jouer jouer elle pour vieux Zin’ch lui grand grand musicien Nezumi, mais lui parti parti, avec transcendant maintenant…

Rip’pit’chik ne retint pas une larme qui lui coula en mémoire de son vieil ami. Il savait que les autres nezumis ne pleuraient pas les morts, mais lui, l’avait toujours fait comme le nezumi dont son nom abritait la force. Il entendit que Tsukasa avait compris qu’il y avait une signification cachée derrière l’air qu’il venait de jouer. Il se dit qu’il pouvait en parler librement à un autre musicien.

- Ca être être chanson sur maitié. Elle être être jolie comme amitié toujours devoir devoir être. Moi jouer jouer elle en souvenir ami mien Zin’ch… Si toi vouloir vouloir apprendre elle, moi, bien vouloir apprendre apprendre toi. Zin’ch toujours toujours dire musique rapprocher peuples différents…

Rip’pit’chik écouta joué l’ange. Il avait un grand talent de virtuose. Zin’ch aurait apprécié le talent de cet ange, il en était certain, mais Zin’ch n’était plus de ce monde. Rip’pit’chik espérait voir un transcendant durant son sommeil, cela lui permettrait de dire à Zin’ch d’inspirer cet ange. Puis, le violon se tut.

- Ca beau beau. Moi pas connaître instrument tien. Moi jouer jouer morceau que toi entendre entendre. Toi être être bon musicien, toi reconnaître reconnaître notes. Moi, jouer jouer lentement.

Mais alors qu’il allait jouer, Rip’pit’chik entendit la question et il repensa à sa démone, mais aussi à Gabriel, son ange…

- Moi, vivre vivre dans tanière ange mien. Lui aimer aimer livres, ca, passion sienne et travail.

Rip’pit’chik commença ensuite le morceau que voulait apprendre Tsukasa, laissant le temps à celui-ci de se concentrer sur la mélodie…

Je l’écoutais me parler de l’origine de sa musique interpréter il y a peu, ainsi donc elle est jouer en symbole de l’amitié, il l’a joue en l’honneur de sa tribu mais surtout de son ami. C’est vraiment très honorable de sa part, je pouvais voir qu’il avait un profond respect pour ses amis. Après ma petite interprétation au violon pour moi aussi lui montré toute ma gratitude, il me complimenta sur ma façons de jouer tout en m’annonçant qu’il ne connaît pas mon instrument, c’est vrai qu’ont ne trouve pas tout les instruments dans chaque lieux et que ça race n’a sûrement aucune connaissance en ce qui concerne le violon. Je le regardais alors de mes deux rubis enflammé pour lui sourire en inclinant la tête sur le côté.

L’instrument que j’ai en ma possession se trouve être un violon, je l’ai chez moi depuis ma plus tendre enfance.

Par la suite il se mit à rejouer la musique de l’amitié mais en y allant doucement pour que ma mémoire puisse graver chacune des notes, c’est ainsi en l’écoutant jouer que j’apprenais petit à petit la musique de son peuple et que plus tard ou d’ici peu je pourrais moi aussi là jouer et peut-être même en duo avec lui. D’un certain côté cela renforcera le lien qui vient de se créer entre nous deux, comme il l’a dit , elle permet de rapprocher les différents peuple. C’est ce qui est exactement entrain de ce passer, plus ça va et plus je commence à le comprendre et à le connaître, la musique me faire lire au travers de son âme et les notes imprégnèrent leurs encre sur la pointe de la plume qui se mit à toutes les écrire sans en oublier une seule. Mon corps bouger tout seul, mes doigts commencèrent à reproduire les notes sans toucher le violon pour le moment, juste le temps que la gestuel se grave elle aussi. J’avais fermer les yeux pour mieux me concentré et même pour me laisser allez dans un autre univers, un champ d’herbe avec un vent frai qui me caresse la peau.

Merci…

Ceci avait était dit après qu’il est fini de jouer, mes paupière c’étaient ouverte pour que je puisse lui faire face, le regardant d’ailleurs droit dans les yeux tout en lui souriant. Je n’ai pas oublier dans quel endroit il vie, d’après ce qu’il m’a dit c’est auprès d’un ange qui aime beaucoup lire, ça tombe bien parce que moi aussi, je lis même assez souvent lorsque j’en ai le temps.

Je te remercie de m’avoir apprit cette musique qui parvient à m’atteindre. Sais-tu que ton maître et moi avions un goût commun, j’aime beaucoup lire moi aussi. Il m’arrive souvent de lire prés de la fontaine du jardin avec un peu de jus de fruit à mes côté, je fais cela surtout lorsqu’il y a très peu de nuage dans le ciel, c’est une habitude que j’ai prise.
Aimerais-tu que l’ont joue la musique tout les deux ? Afin que notre nouvelle amitié se fasse entendre !

Invité

Rip’pit’chik observait l’ange. Celui-ci semblait vouloir apprendre à Rip’pit’chik ce qu’était son instrument et en effet, cela ne tarda point, c’était donc un violon. Rip’pit’chik en avait entendu parler, mais il n’en avait encore jamais vu. Il bougea son jingasa qui lui servait aussi d’objet mémoire et le posa sur le sol pour mieux observer l’instrument de bois et de corde. Il comprit vite que l’archet et la position des doigts, autant que pour une shinobue, mais le souffle remplaçait le rythme de l’archet.

- Ca être beau beau instrument. Lui produire jolie jolie musique…

Rip’pit’chik fut captivé par les mouvements fluides de Tsukasa, autant que par la musique qui semblait quasiment vivre à la sortie de l’instrument. Il jouait la musique avec un décalage et sans produire de son dans un premier temps, puis, il se mit à la jouer… Rip’pit’chik fut époustouflé par la justesse du jeu alors qu’il ne l’avait entendu que deux fois, cet ange devait avoir l’oreille absolue dont parlait Zin’ch…

- Moi honoré honoré car vous jouer jouer elle bien bien. Ca vraiment vraiment plaisir entendre pour oreilles miennes.

Rip’pit’chik vit son reflet dans les yeux de Tsukasa, des yeux de feux, des yeux de sang, d’une pureté rare. Il se sentit comme en communion avec le musicien angélique.

- Comme moi avoir avoir dit, ça grand grand plaisir. Si toi aimer aimer lire, toi passer passer voir boutique livre démon mien. Petite petite boutique, mais bien pleine pleine. Si toi vouloir, moi, jouer jouer autre morceau. Musique mienne mienne pour transcendant mien.

Rip’pit’chik sortit un rouleau de sa manche droite et l’ouvrit, montrant un autre ratling. C’était Kan’ok’tichek, le transcendant dont il portait la force du nom et la lame sur son flanc.

Il prit le temps de montrer la peinture à Tsukasa avant de ranger celle-ci précieusement et de la ranger dans le tube en bois prévu à cet effet qu’il avait toujours dans sa manche.

- Maintenant que toi avoir avoir vu transcendant mien, moi jouer jouer air pour transcendant mien…

Rip’pit’chik ne se retint pas, il joua de toute son âme pour le nezumi mort dont il détenait la force et la lame. Il espérait que cette chanson là plairait autant à son ami ange que la précédente, mais celle-là, il ne pourrait pas la lui apprendre, il doutait que l’instrument de son ami puisse jouer certains accords étranges que le nezumi avait mis dans sa composition…

Je me suis donc mis à jouer juste après qu’il met adresser quelques paroles, j’arrivais à reproduire la musique qu’il avait jouée il y a peu de temps. Je ne promets rien sur la qualité du son mais les notes y sont, peut-être pas toutes placés à la perfection mais je faisais de mon mieux pour ne pas faire perdre toute la beauté de sa symbolisation. Il fini par me rejoindre au bout d’un moment, jouant alors tout les deux cette musique qui peu à peu renforce notre lien par des liens de couleurs différente qui viennent s’entremêlé pour par la suite fusionner. La je me laisser emporté par cette musique plus qu’envoûtante, mon cœur se sent bien et mon âme encore plus, mais vint hélas la fin de cette interprétation, et mes mouvements de main cessèrent au bout de la dernière note. A peine ai-je fini que le jeune Nezumi me complimenta en quelque sorte, me fixant même pour me proposer de venir rendre une petite visite à la boutique de son maître.

Ce serait avec plaisir que je viendrais visiter le lieu de travail de ton maître.

Je le vis ensuite sortir un rouleau de sa manche pour ensuite le dérouler et mon, montré ce qui semble être une peinture de son peuple. Là un Nezumi comme lui était représenté, un combattant d’après ce que j’ai pu comprendre de ce que je suis entrain de voir. Mais il le rangea rapidement et sans me laisser le temps de dire quoique se soit, il reprit son instrument pour alors jouer la musique qui conserve l’âme de son ami. Je l’écoutais jouer sans dire un seul mot, mes doigts reproduisaient chacune de ses notes, mais malheureusement pas toutes parce que nos deux instrument diffère. J’avais du mal à le suivre, il faut bien l’avouer mais suivre un instrument qui est différent de celui que l’ont joue est assez compliquer, de plus je ne suis pas un as dans ce domaine. J’avais envie de l’essayer au violon mais je ne pouvais me le permettre, se serait tout d’abord gâcher une aussi belle musique mais qui plus es, elle n’appartient qu’à lui. Cette musique est joué pour un être qui surement compte beaucoup pour lui, je n’ai pas le droit de la lui emprunter et je comprends pourquoi il a dit jouer et non apprendre. Je me laissais emporter par chacune des notes, ressentant les émotions qu’il veut me faire voir au travers de cette musique, j’attendais alors qu’il termine pour ensuite le regarder encore une fois.

Soit sûr que ce que tu viens de jouer va atteindre ton ami où qu’il soit. C’est tellement beau que je ne te demanderais pas de me l’apprendre, de toute manière j’en serais incapable par la différence de nos deux instruments. Mais en tous cas je peux te le dire, je suis très heureux d’avoir fais ta rencontré Rip’pit’chik

Invité

Rip’pit’chik entendit que son ami ange se ferait une joie de visiter la boutique de son ange. Une bonne chose. Il espérait que si les affaires de son démon allaient bien, il pourrait profiter de ce temps pour tenter de fonder la tribu qu’il espérait former. Il savait qu’il serait dur de trouver une compagne pour cela, mais il trouverait, il ne désespérait pas. Et au pire, il formerait une tribu avec des espèces disparates. Ca ne serait pas un mal…

- Moi, content content toi bien vouloir venir boutique démon mien.

Rip’pit’chik avait joué avec toute son âme et il sentit que son auditeur avait capté toute la beauté de la chanson et surtout, le message que contenait cette musique. Rip’pit’chik entendit les remarques de Tsukasa. Mais celui-ci ne semblait pas comprendre ce qu’était un transcendant.

- Lui, pas ami ami mien…

Rip’pit’chik ressortit le rouleau avec les portraits de Kan’ok’tichek. Il laissa la peinture à vue pendant qu’il parlait.

- Lui être être grand grand nezumi passé peuple mien. Premier chef chef tribu unique. Tribu unique disparue disparue. Nezumis vivent vivent séparé. Ca, prudent prudent. Nezumis pas vouloir vouloir être prisonnier tous par un coup. Moi, porter porter nom posséder force Kan’ok’tichek. Lui, être être transcendant mien. Lui veiller veiller sur personne mienne…

Rip’pit’chik espérait avoir été plus clair pour que l’ange comprenne ce qu’il disait. Mais Rip’pit’chik savait qu’il ne parlait pas comme un humain. Les mots et surtout les structures de phrases échappaient aux nezumis et cela, depuis la nuit des temps. Même les Kitsus avaient mieux réussis qu’eux pour cela… Rip’pit’chik entendit la joie de l’ange et ne put qu’exprimer la sienne, il enroula sa queue autour de la taille de l’ange.

- Moi, content content Tsukasa être ami mien. Moi, donner donner ceci toi…

Rip’pit’chik sortit un morceau de jade portant la marque du peuple nezumi.

Il venait de confier à Tsukasa un gage du peuple Nezumi lui permettant de circuler sans mal dans des terres lointaines… Mais pour Rip’pit’chik, c’était surtout une marque de confiance…

Erreur de ma part, j’avais mal interprété le sens du mot « transcendant ». Moi qui pensé que dans sa tribu c’était en faite des amis à lui, je me suis largement tromper on dirait bien. Ainsi donc ce sont alors des descendant, ce sont des sortes de héros pour leurs peuples , des légendes même si j’en ai bien compris au vue de la peinture qu’il a de Kan’ok’tichek. Il porte même son nom d’après ce que je viens d’entendre…Certes je ne comprend pas vraiment le sens de tous cela mais je sais que ça compte beaucoup pour lui et c’est donc ce qui est le plus important à mes yeux en ce moment. Néanmoins je l’écoutais attentivement sans dire un seul mot, le regardant simplement. Mais je fus très surpris lorsque sa queue s’enroula une nouvelle fois autour de ma taille, encore une fois c’est une sensation étrange parce que je ne suis pas habitué à ce que quoique se soit s’agrippe à moi ainsi. Je le regardais tout d’abord avec un air d’étonnement puis par la suite en à peine trois secondes mon regard redevint complètement détendu parce que j’avais compris que c’est sa façon à lui de me dire qu’il m’apprécie.

Je comprends et je suis même désolé d’avoir mal comprit le sens du mot Transcendant. Maintenant je comprends mieux grâce à toi et je t’en remercie.

Ma main se dirigea vers le museau du Nézumi afin de le lui caresser du bout des doigts en faisant attention à ne pas trop le froisser. Mais j’ai encore une nouvelle fois était surpris par lui, reculant ma main lorsqu’il me tendit quelque chose certes petit mais ô combien d’une grande importante à mes yeux. Un médaillon de jade avec comme symbole un Nézumi dessus, sûrement la symbolisation de sa tribu. Heureusement que j’ai appris à me contrôler sinon je me serais mis à fondre devant lui sans pouvoir m’arrêter. Prenant alors le médaillon dans mes deux mains, je le regardais avec beaucoup d’attention, m’extasiant presque devant cette beauté mais aussi ce qu’il représente pour lui et moi.

Je suis profondément touché par ton cadeau Rip’pit’chik, je le garderais toujours à mes côtés autour de mon cou même si tu me le permet.

Je le serrais avec douceur dans la paume de ma main pour ensuite me penchais en direction de Rip pour le prendre dans mes bras. Il m’a offert un cadeau en gage de notre amitié et je dois en faire autant. Je n’ai ni pendentif à lui offrir, ni bracelet ou boucle d’oreille…C’est vrai oui, des fois je porte une boucle d’oreille mais très petite, et le pendentif que je porte habituellement représente un croissant de lune. Sinon j’en porte un autre sur moi mais celui-ci montre mon union avec Firiel et Keiko, ça je ne peux me permettre de le lui offrir parce que c’est très important pour mon simple cœur. Cherchant alors je lui tendis un ruban rouge que j’ai souvent avec moi enrouler autour de mon poignet.

Je l’avais lâché pour pouvoir le laisser respiré mais aussi pour qu’il puisse voir ce que je vais lui offrir.

Ceci est un cadeau de ma sœur, je te l’offre en symbole de notre amitié mais aussi pour te montré que j’ai confiance en toi. J’espère que tu acceptera ce présent.

Invité

Rip’pit’chik rangea une fois encore la peinture dans son tube de bambou. Il avait laissé le temps à Tsukasa de regarder pour qu’il comprenne. La peinture était vieille et cela était observable. C’était l’un des plus grands trésors de Rip’pit’chik, il en possédait trois, son jingasa qui était un objet mémoire pour lui, ce tube avec la peinture et le katana de son daisho, l’Asatte. Il fut satisfait d’avoir réussi à s’expliquer suffisamment bien pour faire comprendre ce qu’était un transcendant à Tsukasa. Rip’pit’chik vit le regard de Tsukasa lorsqu’il enroula sa queue autour de sa taille, mais cela ne dura pas. Il sur que le geste n’avait pas été pris pour une agression… Il écouta les paroles de l’ange. Il s’excusait de ne pas avoir compris ce qu’était un transcendant. Mais comment aurait-il pu savoir après tout, c’est vrai qu’il n’avait pas pensé que ce concept échappait au non-nezumis.

- Ca, de rien de rien. Moi aimer aimer expliquer et transcendants être partout, même toi pas voir voir eux durant rêves tiens.

Rip’pit’chik se laissa gratouiller le bout du museau. Il eut un autre geste que les nezumis font par amitié. Il s’avança, écarta le bras qui le gratouillait et approcha son museau du visage de Tsukasa. Il mit son museau en contact avec le nez de Tsukasa. C’était un geste de mélange des odeurs des deux personnes. Car que ce soit l’un où l’autre, celui qui respirerait maintenant ne sentirait pas sa seule odeur… Tsukasa semblait apprécier le médaillon de jade à sa juste valeur.

- Lui être être clef pour villages nezumis. Toi jamais jamais montrer lui chasseur. Moi, faire faire confiance toi…

Rip’pit’chik serra Tsukasa contre lui pendant que ce dernier faisait pareil avec lui. Il apprécia la chaleur de ce contact spontané. Lorsque l’étreinte se finit, Tsukasa tendit un ruban à Rip’pit’chik. Ce dernier écouta et comprit l’importance de ce ruban pour l’ange, c’était sa soeur qui lui en avait fait le cadeau. Il s’en saisit et enleva son jingasa. Il plaça le ruban dans un endroit du chapeau où ne pourrait pas le prendre sans le lui enlever. De toute façon, il commençait à ne plus avoir de place sur l’extérieur de son jingasa, une trentaine d’objet en occupait déjà les bords et cachait partiellement la vue sur le visage de l’hybride.

- Moi, honoré honoré. Moi, prendre prendre grand soin ruban sœur tienne…

Rip’pit’chik fit un large sourire à son ami. Il remit son jingasa et se demanda ce que Tsukasa allait faire de la fin de son après-midi…

Il est bien gentil c’est vrai et sa façon de me démontrer son amitié est assez amusante mais aussi un peu gênant je dois bien l’avouer Nous avions fait tout deux l’échange d’un objet qui compte beaucoup pour nous. Maintenant que ceci avait était fait, il ne reste plus qu’une chose à faire, peut-être bien plusieurs même mais je me demande quoi. Qu’est-ce que nous pouvions faire maintenant ? Voilà une question essentiel pour le reste de la journée, peut-être une promenade ou bien jouer encore un peu de nos instruments. Je ne savais que faire en faite, j’avais terminer la pomme qu’il m’avait donné il y a peu. Le regardant alors avec un petit sourire habituel et son médaillon à la main, vraiment j’étais heureux de cette rencontre parce que ce n’est pas tous les jours que je me fais des amis, qui plus est chez les hybrides. C’est vrai que je ne suis pas très copain avec eux et je me demande bien pourquoi, sûrement est-ce à cause des soirée passé avec mon oncle dans des organisation pas très catholique. Néanmoins tout cela n’est que le passé, je dois pensé avant tout au moment présent ce qui entre autre veut dire, trouver une occupation.

Dis moi Rip’pit’chik, comment s’appelle ton maître ? Tu m’a dis que c’est un ange et qu’il travail dans une librairie, mais je ne connais pas son identité…

Machinalement ma main vint caresser le collier qui me lie à Firiel, c’est le même que je lui ai offert lors de notre rencontre dans le local d’un certain démon aux prix fort intéressant…Fin bref, tout cela pour dire que j’aime les personnes qui m’entoure et le gentil Nezumi fait maintenant lui aussi parti de mon entourage. Par la suite je me mis à ranger mon instruments dans son étui afin de le laisser se reposé un peu, j’ai fais usage de ses cordes et de sa voix à plusieurs reprise aujourd’hui et ceux dans un intervalle de temps assez restreint.

Au passage, j’aime beaucoup le son et la chaleur que dégage ton instrument, on remarque très vite que tu l’aime et que tu place ton âme à l’intérieur pour pouvoir nous dévoilé certain sentiment profond. Tout comme moi avec mon violon en faite. ^^

Toujours, je lui affichais un petit sourire même si celui n’est pas parfaitement vrai, mais bon, il ne peut le remarquer parce que je suis toujours ainsi. Mon regard parti alors se perdre sur la fontaine non loin de nous, puis sur des personnes entrain de rire et s’amuser. C’est assez adorable à voir mais je ne leur en suis pas envieux, j’ai tout ce qu’il me faut. Soupirant alors un bon coup pour démontré mon soulagement d’être dehors mais aussi de ce qui viens de se créer dans mon âme, je levé les yeux au ciel pour enfin revenir son mon nouvel ami.

Je viendrais faire un tour dans la librairie de ton maître un de ces jours, mais je ne sais pas trop quand, c’est à voir avec mon emploie du temps en faite. Je dois te dire que je ne sais pas trop ce que je vais faire, peut-être que je vais retourner chez moi pour profiter du reste de la journée avec mes amies ^^

Invité

Rip’pit’chik finissait de ranger son shinobue lorsque Tsukasa lui posa une question, le nom de son maître. Rip’pit’chik ne l’avait pas mentionné, mais il était vrai qu’il ne se voyait pas comme un soumis… Et puis, Gabriel était son ange autant qu’il était le nezumi de ce dernier. Il remarqua aussi que la pomme de Tsukasa était terminée. Il en sortit une autre et la donna à son ami. Rip’pit’chik ne remercierait jamais assez les membres de la tribu de la patte avide pour ce kimono aux multiples rangements.

- Ange mien être être Remiel Gabriel. Lui aimer aimer beaucoup livre. Ca, travaille sien. Lui rendre rendre beau vieux vieux livre. Moi, aider aider lui dans boutique sienne…

A cette phrase, Rip’pit’chik se souvint qu’il devait aider son ange. Il observa le geste de Tsukasa pour un pendentif et un collier qu’il portait. Il devait tenir au collier. Il pensa qu’il serait intéressant de rencontrer cette personne. Si Tsukasa s’entendait avec elle, il en serait peut-être pareil pour lui? Seule la rencontre pourrait lui dire s’il avait raison ou non. Il entendit la remarque de l’ange sur la musique et des paroles de Zin’ch, son mentor musical.

- Instrument tien être être bien aussi pour musique nezumi. Et si musique tienne être être comme toi, alors, toi être être magnifique. Zin’ch dire dire musique révéler âme musicien. Lui toujours parler musique comme femme, et aussi musique comme révélation âme musicien…

Rip’pit’chik laissa la phrase en suspend car la suite concernait les transcendant et le rôle de ceux-ci dans la musique… Rip’pit’chik pensait encore à Zin’ch et a son transcendant, Kan’ok’tichek lorsque la vois de Tsukasa perça une fois encore le voile de ses réflexions. Il mentionnait qu’il passerait à la boutique de Gabriel. Une chance pour Rip’pit’chik de revoir son ami. La pause de Rip’pit’chik touchait malheureusement à sa fin et il allait devoir quitter son ami.

- Ca permettre permettre nous revoir. Moi aider aider ange mien dans boutique sienne. Moi devoir devoir partir aider aider lui. Pause mienne finie… Moi content content avoir avoir rencontré toi.

Rip’pit’chik sourit encore à Tsukasa et lui lança une dernière pomme, la dernière en plus, de sa réserve. Il se retourna et sauta par dessus le mur du parc pour entrer directement dans les ruelles entourants la Grand-Place de Meridell. Il savait s’aider de son pouvoir pour ce genre de choses…

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