dressage d'un fauve[libre aux habitants de la villa]

Il avait ramené le parapluie de la vendeuse, et avait trouvé aussi un soumis. Il gara sa voiture et regarda le fauve dans les yeux, un sourire carnassier aux lèvres.

-On descend...

Il sortit de la voiture et ouvrit la porte de la villa. Il rangea son manteau, et regarda à droite et à gauche et il soupira.

-Jelly? Je suis rentré, tu n'as pas fait de bétises pendant mon absence? Je dois te présenter quelqu'un...

Il regarda le fauve dans les yeux et lui sourit de nouveau.

-Bien, voici les règles. Jamais de désordre dans ma maison, tu ne fais pas de mal à Jelly, tu m'obéis, et le plus important... tu gardes ta forme humaine...

Il passa sa main dans ses cheveux et regarda le fauve dans les yeux en souriant. S'il n'obéissait pas, il se ferait une joie de lui apprendre l'obéissance.

Aldébaran se sentait nauséeux mais quel était donc cet engin de torture....une voiture que le démon avait dit....pouah cela lui avait retourné l'estomac, et il avait bien faillit s'oublier pendant le trajet. Il descendit donc de la voiture le pas mal assurer et la tête embrumée.

Il se mit assis, et écouta les ordres du démon, il ne conaissait pas Jelly donc pourquoi l'attaquer, c'était son territoire et non celui d'Aldébaran, obéir se mot lui arracha quelques frissons de dégout il ne pensait pas être capable de faire cela...et puis pour finir pourquoi devait-il impérativement reprendre sa forme humaine, elle était chétive, fragile et surtout il aimait être en tigre, enfin soit, il le ferait mais dès qu'il le pourra il reprendra cette forme qui lui semblait plus naturelle.

A ces mots il reprit donc sa forme humaine, la caresse dans les cheveux était de trop, il eut un mouvement de recul, comment ce démon osait-il le toucher, ses pupilles se dilatèrent aussitôt.
-Ne me touchez pas je vous prie.....je ne vous connais pas!
C'était un mécanisme de défense, rien de plus mais il resta dans cette posture de défense, les cheveux ébourrifés, les yeux ronds comme des billes, prêt à bondir à toute agression.

Le fauve décida dés le début de refuser ses caresses, ça commençait mal, très mal même. Il monta à la chambre de Jelly, tout en fouillant dans sa poche la clé de "la salle secrète". Il tocqua à la porte, en soupirant.

-Jelly, nous avons un nouveau locataire, j'aimerais que tu viennes lui dire bonjour, mais ne t'approches pas trop, il n'est pas encore dresser, je vais l'emmener dans la "salle secrète", Tu peux aller commander à manger en attendant? Et évite le beurre de cacahuète cette fois, on n'en fait pas un repas.

Il regarda vers le bas, et fit signe au fauve de le suivre, et s'il ne le faisait pas, c'était avec télékinésie qu'il allait l'aider à monter dans la "salle secrète". Autant apprendre dés à présent les bonnes manières à ce petit soumis, lui montrer qu'on doit obéissance à un maitre, surtout à lui car il était le sien.

¤Rêve¤Jelly avait enfin ressue son synthétiseur... Enfin un instrument d'art qu'il pouvait exploité a sa volonté... Douce mélodie de son cœur... Gabriel arriva dans la chambre prit le synthé et le jeta par la fenêtre...¤Rêve¤

Jelly se réveilla en sursaut, tout en sueur, son haut blanc devenu transparent, ses draps mouillé, il se précipita sur son synthé… Un mauvais rêve. C'est bon, il était encore là... il regarda a gauche, sur la table de nuit. Son pots de beurre de cacahuète était présent. Des voix s'élevèrent d'en bas. Son maître... Et quelqu'un d'autre ? Jelly ne bougea pas, Gabriel montait l'escalier... Un nouveau soumis ? la salle secrète ? beurre de cacahuète ? Martine a la plage ? la maison Polly Poquette ? Une figue molle mangeant une pastèque bleu ? faire le repas ? Dansé le tango ? Beurre de cacahuète? mince, il a déjà pensait a cela. L'esprit de Jelly était encore dans le brouillard. il pensait a tout et n'importe quoi, surtout n'importe quoi... Il déverrouilla les douze verrous de sa porte et l'ouvrit en grand. Son petit corps tout mouiller, ses yeux a peine ouvert, les cheveux en bataille... il poussa Gabriel avec le peu de force qu'il avait et regarda le nouvel arrivant... Plutôt beau, sauvage, le regard d'une bête. Jelly n’en crut pas ses yeux. Son maître, celui qui lui avait dit qu’il l’aimait ! Celui qui l’avait hébergé ! Nourrit, ! Lui faisait un coup bas come celui-ci ! Jelly se retourna gifla son maître et s'enferma dans sa chambre. et voila qu'il avait était remplacé par quelqu'un d'autre, plus brutal, qu‘il pourrait dominé avec le plus grand loisir. Jelly ne pris même pas la peine de branché son casque au synthé qu'il avait déjà commencer a enchainer des morceau d'une extrême violence, ses doigt courait sur le clavier, mais ses pensait n'y était pas. Il était en train de réfléchir a qu'elle moyen il allais torturé le nouvel arrivant.

Aldébaran suivit son maître puis regarda intrigué l'autre habitant que son nouveau maître avait appellé. Jelly se nommait-il, il paraissait frêle et doux à la fois jusuq'a ce qu'il lache une belle claque à Gabriel.
Aldébaran dû réprimer un sourire amusé, alors ainsi le démon avait un autre soumis quelques peu belliqueux.

Il entendit ensuite la musique que jouait Jelly dans sa chambre, la mélodie lui parlait, elle était violente et tellement mélodieuse à la fois, Aldébaran avait l'impression de se retrouver dans une traque sans merci entre lui et sa proie. Aldébaran fut parcurut de frisson, ses yeux se dilatèrent et sa queue battait l'air, un petit grondement sourd se dégageait de lui. Mais il continua sans broncher de suivre son maître.

Gabriel attendit, puis, entendit un verrou? Deux Verrous?? Trois verrous??? Quatre verrous???? Cinq verrous????? Six Verrous?????? Jelly avait fait installé six verrous sur sa porte? Jelly lui adressa un regard, puis un à Aldébaran, puis refixa son maitre pour lui donner une baffe, pour ensuite s'enfermer dans sa chambre. Mais quel... Les joues rouges, gonflés de colère, et une marque de main sur l'une d'elle, il défit les verrous que Jelly avait prit le temps de remettre, et ce par télékinésie, entra dans la chambre d'un pas rapide, pris le synthé, le casque et tout ce qu'il avait pu acheter pour les beaux yeux de son soumis pour lui faire plaisir, et les emmena dans son coffre fort, où il fallait posséder la télékinésie pour l'ouvrir, car la clé était à l'intérieur, et y déposa tout le matériel.

-Voilà, tu es puni, et vas commander à manger...

Il lança un regard à Aldébaran qui réprimais son rire, Jelly l'avait vraiment mit de mauvaise humeur, et il attira Aldébaran par télékinésie dans la salle secrète, et s'y enferma avec lui.

-Bien, nous allons commencer à te dresser...

[bon, je restreins au maximum mes Rp, donc Jelly reste dans sa chambre, boude et a commander le repas ^^']

[sortit]

=D

Aldébaran effaca son sourire dès qu'il se sentit attiré par le pouvoir de Gabriel. Ce démon le traitait déjà comme un vulgaire objet, une simple acquisition. Aldébaran détestait cette sensation. En plus le démon l'attira dans une pièce étrange qui lui semblait malsaine avec des objets qu'ils n'avaient encore jamais vu et ne conaissait pas l'utilisation mais la soupçonnait néamoins.

Aldébaran rabaissa de nouveau ses oreilles lorsque le démon lui annonca le début de son dressage, il n'était pas un bête de foire à laquelle on lui demande d'exécuter des tours, il pense, ressent des émotions comme tout être vivant, il maudissait intérieurement le démon pour ce rabaissement....il détestait vraiment de ce faire traiter comme un vulgaire animal de compagnie.

Aldébaran toisa le démon, oreilles baissées, pupilles dilatées, machoire sérées au point de faire grincer ses dents. Il n'arriverait pas à décrocher un mot, une expression un cri d'Aldébaran, il se le promit en lui même, jamais il ne satisfera ce maître imbu de lui même, temps que celui-ci ne le traitera autrement qu'un objet de décoration.

Il regarda l'hybride, et prit un couteau qu'il fit tourner entre se doigts, tout en tournant autour de l'hybride.

-Bien, commençons. Premièrement, les règles de la maison. Ici, la maison est toujours propre. Tu auras ta chambre, tu en feras ce que tu veux, je n'y entrerais pas. Deuxièmement, je suis adepte du "baton et de la carotte", alors... si tu m'obéis, ou que tu fais quelque chose de toi même et qui me serve, et bien, tu seras récompensé. Désobéis, et tu finiras dans cette pièce. Nous ne nous connaissons pas encore, mais je trouverais bien de quoi te punir si le besoin s'en fait sentir. Dernièrement, tu as vu Jelly, il est assez libre, si tu me respèctes, et si tu suis bien mes ordres et les règles, tu seras aussi libre que lui. Pas de collier, pas de laisse, et tu m'appèles Gabriel...

Il sourit et d'un coup de couteau précis, il coupa net les haillons du tigre bleu et sourit.

-Et pour finir, tu ne mettras plus ce genre de vêtements. Je vais te pretter des vêtements pour aujourd'hui et demain, car demain, toi et Jelly allez acheter des vêtements. Des questions?

Il reposa le couteau sur la table et regarda l'hybride dans les yeux.

Aldébaran écouta avec attention les règles que lui énuméra le démon, non sans desserrer les machoires. Ces règles semblait plutôt logique pour quelqu'un qui voulait obéir mais pas pour Aldébaran, lui ne désirait aucunement contenter ce démon.

Dejà celui-ci le maintenait en son pouvoir par télékinésie, le menacait avec un couteau et enfin la goutte d'eau qui faisait déborder le vase, il venait de découper le seul présent qu'on lui avait fait, de la seule personne à laquelle il tenait en dehors de sa défunte famille.

Un grondement sourd se fit entendre et se transforma en un rugissement terrible, Aldébaran gigota dans tout les sens pour se libérer et vociféra tout ce qu'il pu en vain.

- Relachez moi!!vous n'êtes q'un &#@*!! CES VETEMENTS SONT A MOI!!!!!#&@$*!!!!!!!

Après s'être bien énervé et épuisé, Aldébaran se calma enfin, cessa de se débattre et réfléchis quelques minutes, restant silencieux, les yeux à demi-clos, on aurait pu croire qu'il avait perdut connaissance ou bien simplement qu'il était fou....

puis il regarda le démon une lueur étrange dans le regard, il allait lui laisser sa chance, juste une...peut être.

-très bien.....G-A-B-R-I-E-L.....

Aldébaran soupira et repris:

-je.......Apprenons à nous connaître.......et je serais donc sous *déglutit*.....vos ordres......

Gabriel le regarda un instant, il n'avait pas l'air content d'avoir perdu ces vêtements si... hideux. Des haillons, c'était bien le mot. A ces noms d'oiseaux plus que vulgaires (car censurés), le sang de Gabriel ne fit qu'un tour et il attacha l'hybride sur sa table en X. Il l'avait voulu, il l'aurait. Gabriel prit sur le mur des pinces à tétons qu'il apposa sur les tétons de son hybride.

-On n'insulte pas son maitre. D'accord? Apprennons à nous connaitre... Je ne donne pas souvent d'ordres Aldébaran... Fais ce que tu veux de tes journées, moi... Je ne suis pas souvent là, à cause de mon travail. Alors, si tu continues à te débattre, je continue... J'ai beaucoup d'imagination tu sais? Alors, tu reviendras ici si jamais tu ne fais pas le peu que je te demande...

Le libère et met un barrière télékinésique autour de lui, au cas où. Il range chaque chose à sa place comme il aime le faire. Ce n'était pas un hybride qui allait faire la loi chez lui.

-Tu es nourrit, blanchit, logé, tout ce que je te demande, c'est un peu de respect... Jelly s'occupe de aire à manger, et de sa chambre, toi, de quoi veux tu t'occuper?

Aldébaran gronda au contact désagréable des pinces à tétons, essayade se débattre mais encor eune fois ça ne servait à rien, il attendit donc que son maître se calme et finisse sa petite leçon. S'il voulait qu'Aldébaran ne l'insulte pas, il n'avait qu'a respecter ses affaires. Aldébaran voyait ce qui restait de ses vêtements au sol, cela l'enrageait, déjà car c'était son bien, mais aussi car il se retrouvait nu comme un vers.

Aldébaran serra les dents, puis le démon le relacha. Aldébaran se releva, se massa les poignets, ramassa un morceaux de tissus qui était une partie de son écharpe.Aldébaran la porta à son nez et renifla l'odeur qui en émanait, c'était un mélange de la sienne et de celle du vieil homme,il reposa ensuite au sol le fragment avec douceur, c'éait un spectale étrange mais Aldébaran faisait le deuil de son premier compagnon en quelque sorte.

Aldébaran fit un pas vers son maître et se heurta au mur invisible qu'il avait érigé autour de lui, il grogna et se massa le front, voilà encore autre chose, il détestait vraiment ce pouvoir.....Le démon lui demanda ses qualités mais il n'en avait aucune qui pourrait servir son maître, gêné il lui répondit:

-Je ne sais rien faire de tout cela.....je viens de la jungle....j'y étais un très bon chasseur mais ici ça n'a aucune valeur...

Il regarda le démon droit dans les yeux, son regard cristalins transpercant de part en part le démon attendant sa réaction

Il sentit un petit effet contre son mur télékinésique, et se retourna. Il sourit, en entendant ce qu'il lui disait. Il lui attrapa le menton, libérant son visage de la télékinésie et ferma les yeux pour embrasser l'hybride sur les lèvres. Il le libéra de ses lèvres, et regarda les vêtements sur le sol.

-Ne t'inquiète pas, tu pourras en avoir d'autres, des mieux, mais si tu veux garder ceux là avec toi, même s'ils ne sont pas mettables, gardes les... Et pour ce qu'il y a a faire, je vais t'apprendre...

Il sortit de la salle et laissa Aldé sortir pour fermer la porte à clé, comme toujours, puis il descendit les marches de la maison, faisant signe à Aldé de le suivre.

-Voilà la cuisine, pour commencer, tu t'occuperas de mettre et de débarasser la table...

Il lui montra où se trouvaient les assiettes, les couverts, enfin, tout ce qu'il fallait pour manger.

-Tu peux te servir dans le frigo quand tu as un petit creux. Mais si par exemple, tu as fini un produit, tu le mets sur la liste de courses, d'accord?

Il fit venir à lui des vêtements à lui, qu'il ne mettait plus, et les donna à Aldé.

-Mets ça... en attendant que tu en ais de nouveaux...

Il sourit et le laissa faire ce qu'il voulait, visiter, chercher sa chambre, aller dehors, manger, pendant que lui, il allumait la télé et se laissait tomber dans le sofa.

Aldébaran fut surpris par le baiser, comment pouvait-il? il n'y avait pas un mur....invisible?....et puis comment osait-il????ils étaient tout deux des MÂLES!!!!!mais étrangement, ce baiser lui procura une sensation étrange, son ventre se tordit.

Le démon le pria de le suivre, Aldébaran "palpa", voir si ce fichu mur invisible était encore là apparement non. Il pris les guenilles qui joncjait le sol, puisqu'il en avait le droit, il les garderait en souvenir.

Aldébaran suivit le démon, couvrant ses parties avec les guenilles, pour ne pas choqué l'autre habitant de la maison, si celui-ci décidait de sortir de sa chambre.

Aldébaran écouta attentivement toute les informations que lui donnait Gabriel, et opina du chef pour monter qu'il avait compris.

Des vêtements parvinrent à Aldébaran par télékinésie, il les regarda perplexe, ce pouvoir est vriament étrange. Il les enfila volontiers.

Le démon lui laissa "quartier libre" ensuite, Aldébaran explora donc la maisonée, il y avait une belle vue sur la plage, une cuisine spacieuse, un salon magnifique, cette maison était vraiment confortable. Aldébaran décida de s'aventurer à l'étage, il tomba sur la porte que l'autre habitant avait clauqué au nez du démon. Cela le fit sourire en y repensant mais sans méchanceté aucune. Aldébaran continua sa visite et tomba sur une chambre innocupée. Il redescendit rejoindre le démon,s'assit à ses côtés, regarda la télévision et pencha la tête sur le côté en se demandant ce que c'était. Il se reconcentra sur ce qu'il l'avait fait redescendre et demanda à son maître:

-Je voudrais savoir si la chambre qui a vu sur la plage.....je pourrais ....elle pourra être la mienne?.....je me demande.....aussi....si je pourrais.....avoir quelques plantes.....je sais que j'en demande....beaucoup...mais.....je ne suis pas habitué.....à vivre dans une maison.....et j'avoue que la jungle me manque........


Aldébaran, attendit sagement aux côtés de son maître regardant la télévision, comme hypnotisé par celle-ci.

Gabriel était absorbé par ce qu'il se passait à la télé, se moquant des visites d'Aldébaran dans les chambres, après tout, il le lui avait dit de le faire. Puis, sans se retourné de la télévision, s'admirant dans ce film superbe qui passait à la télé, il sourt à lademande d'Aldé. Il ui répondit en souriant.

-Cette chambre est à toi si tu la désires, on ira demain ensemble acheter tout ce qu'il te faut pour la décorer. Et si tu veux, vas sur la plage, j'ai ma plage privée, profites en autant que tu le veux...

Il profita de la pub pour observer le tigre bleu et lui sourit, se lèchant les babines. Il aimerait bien s'amuser avec lui, mais pas tout de suite, il avait su atendre pour Jelly, attendant encore de plus, alors, il pourrait atedre aussi un peu pour le fauve.