La révolution néko: l'Ayu contre-attaque? [Acte 2-intervention possible, libre]

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Il y a bien longtemps, dans une ville lointaine, très lointaine...
Une jeune neko répondant au nom de Tamaris Leonny, dernier espoir pour elle même, venait de ficeler à son lit une démone angélique, désespoir de sa sombre mère: Ayu Karina.
Dans quel but avait-elle commis ce forfait?
-Introduire ici une musique d'ambiance appropriée-

"Qu'est-ce qui se passe? Tu veux faire du bondage dés le matin?"
..........................cui..............cui.....................................................cui.
°o°
-Ayumya...Si tu es coopérative tu seras ficelée comme la plus belle et délicieuse des saucisses! Promis! Mais avant cela j'ai....Mya zut c'est sous le lit. Attend!
°o°
L'apprentie kidnappeuse avait oublié de prendre son calepin à récrimination et les documents officiels -obtenus nous ne dirons comment, la force était avec elle ...- sous le lit. Tamaris s'allonga sur Ayu, pivota de façon à former une croix avec le corps sous elle et s'aida du bord du lit pour glisser vers l'avant et n'avoir qu'à tendre le bras pour attraper ce dont elle avait besoin. Ceci fait, elle se remit correctement en selle et étala les feuillets pour en lire le contenu.
°o°
-Primo, je veux l'entière jouissance de la demeure Karina!Mya.
°o°
La neko agita sous le nez d'Ayu un acte officiel où il lui suffirait de signer pour lui faire don de l'ensemble.
°o°
-Secondo, je veux un compte en banque conséquent! Tertio....T'as gouté les pâtisseries au chocolat et banane? Non suis-je bête, tu t'es écroulée avant. C'est ennuyeux, elles sont bonnes!
°o°
Trait de caractère resté discret jusque là, la neko pouvait sauter du coq à l'âne et en oublier ce qu'elle était en train de faire, pas longtemps cependant... Tamaris prit un muffin choco-banane sur le plateau,, fit ouvrir la bouche d'Ayu en lui pinçant le nez et enfourna le gâteau.
°o°
-C'est bon, n'est-ce pas? Je disais..Tertio! Tertio, je veux les pleins pouvoirs, je me contenterai du chauffeur, toi, et Luna. Envoyer ta mère quelques temps en vacances, une cure par exemple, me semble bien. Mya.
°o°
Tout en disant cela, la neko pétrissait les seins d'Ayu, titillant le bout rougi par moment.
°o°
-Et quarto, tu m'aideras à monter une expédition pour retrouver mon royaume! Je te présenterai à ma famille. Tu n'es pas de sang royal, mya, mais cela ne devrait pas offenser père. Tu es d'accord, ma Ayumya?
°o°
Piètre geôlière qui déjà montrait des signes de faiblesses.

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[MDR Trop fort le post =D]

Ayu compris que Tamaris parlait d'un trip bondage futur, mais cela signifiait que ce n'était pas le cas en ce moment, comme elle l'avait senti. Cependant, dans sa grande docilité, elle laissa Tamaris s'exprimer... A vrai dire, elle restait sans voix à entendre les volontés de sa neko! Tamaris avançait dans ses propos et Ayu n'eut d'autres choix que d'enfourner le gâteau, très bon d'ailleurs, comme le disait la neko. Vu la situation, la digression obligea Ayu a bien suivre les propos neko... Si elle s'était attendue à ça...

Plus l'exposé avançait, plus Ayu se demandait si c'était pas une mauvaise blague, pourtant, la neko semblait plus que sérieuse. Pour Ayu, ce que disait Tamaris n'avait aucun sens, même si elle rougissait au pétrissage de ses deux jolies pâtes à pain. Alors que l'exposé avait des accents autoritaires, Tamaris demanda à la fin si sa maîtresse était d'accord... la réponse était évidente et il eut fallu s'y attendre.

"Mais je comprends, pourquoi je te donnerais tout ça? Je veux pas... Je veux que tu me détaches! C'est pas marrant!"

Elle n'était pas matérialiste, mais la neko demandait tout de même la vie d'Ayu au final. Ayu se demandait pourquoi, elle avait toujours traité Tamaris avec amour et bonté, pourquoi tant de méchanceté d'un seul coup? En plus, quelque chose lui faisait peur: elle essayait d'utiliser ses pouvoirs mais n'y arrivaient pas du tout. Le pire, c'es que les aphrodisiaques dans son sang faisaient effet...

"Arrête, je t'en supplie tu me fais peur..." Elle avait parlé d'un ton intimidé et elle bougeait inutilement.

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-Tu ne veux pas? Mauvaise réponse, mya!
°o°
C'était dur, cela lui déchirait le cœur, mais pour leur bien à toutes deux il fallait le faire. Tamaris fit un pouet à chaque sein, et l'air grave se leva avec toute la souplesse et la grâce féline dont elle était dotée. Elle s'éloigna du lit après avoir manifester sa désapprobation d'un regard pesant et se dirigea vers le coffre aux plaisirs d'Ayu. Une fois ouvert elle s'agenouilla devant et entreprit d'en sortir les différents " jouets" jusqu'à trouver ce qu'elle cherchait: une cravache. Ses yeux s'agrandirent au fur et à mesure qu'elle vidait le coffre aux trésors.
°o°
-Mais qu'est-ce que c'est que tout ça, demanda-t-elle en brandissant un sexe-toy vert ressemblant à un cactus.
°o°
Éparpillés sur la moquette, il y avait des boules de geishas - un énorme chapelet manquant de perles à prières aux yeux de la neko-, des reproductions dures et démesurées de sexes masculins - un grand moment d'interrogation pour la petite princesse quant au fait qu'ils pouvaient entrer dans un sexe de femme-, des colliers à pointes, des cordes, des menottes, des bouts de tissu, des tenues très très courtes, une queue et des oreilles de lapin, un portrait maculé de tâches blanches d'une playmate, des pinces , des pots de chocolat...Elle aurait pu ouvrir une quincaillerie avec tout ce qu'il y avait. Enfin elle trouva son bonheur et revint près de la démone. Un coup de cravache sur le ventre et un autre sur une cuisse.
°o°
-Ayumya, cesse tes jérémiades! Je veux faire de cet endroit mon royaume et je ne veux pas d'une compagne qui pleurniche! MYA! Est-ce bien compris? C'est en attendant que le royaume d'où je viens soit retrouvé...ce qui peut prendre beaucoup de temps.
°o°
Nouveau coup sur la poitrine. Tamaris tournait lentement autour du lit, la queue fouettant l'air. Elle ramassa l'acte de propriété de la demeure, le posa sur un livre trouvé dans le coffre :"Martine à l'hôtel borgne" et présenta le tout au dessus du visage d'Ayu après lui avoir mis un stylo en bouche.
°o°
-Signe là et je te libère, jolie Ayu. Tu auras même le droit à une petite visite, mya, ajouta-elle en agitant un godemiché vibrant à tête d'ornithorynque.
°o°
Pour aider la démone à se décider elle baissa la culotte de celle-ci et pianota sur la zone sensible, un rythme rapide pour montrer son impatience.
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-Je te montrerai comment gouverner. Tu manques de fermeté, d'ambition, Ayumya. Même ton chauffeur manque de discipline. Laisse moi faire et nous ferons de cet endroit LE palais de Meridell.
°o°
Tamaris avait tout bonnement pété un plomb. Ses montagnes lui manquaient, elle s'éprenait d'Ayu au fil des jours mais ne pouvait le concevoir, toutes les caresses et parties de touche-touche quotidiennes la mettaient dans tous ses états. Mêlez à cela des fictions vues à la télévision et une envie de jeunesse de gouverner un jour le royaume de son père et vous obteniez ce grand moment surréaliste.

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Ayu se demandait ce qui se passait, encore et toujours, quelle mouche avait bien piqué sa neko pour qu'elle soit si vilaine avec elle? La démone était maintenant sure que Tamaris n'avait pas fait tout ça sur un coup de tête mais que c'était préparé. Alors que la déboussolée gémissait dans le but inconscient de faire cesser tout cela, elle reçut deux coups de cravache. Elle poussa deux cris marquant une certaine frayeur lors de ceux-ci. Ayu était paniquée non pas parce que ça faisait vraiment mal, mais parce qu'elle ne reconnaissait plus la gentille Tamaris qui lui plaisait tant. Ayu entendait Tamaris parler de faire de cet endroit son royaume, tout ça ne lui plaisait pas, cela va sans dire...

La démone était "faible" mais pas totalement molle, surtout quand il s'agissait de sa maison et de la propriété, où elle avait grandit toute sa vie. Le bic fut envoyé loin d'un coup de tête et elle lança à la tête de Tamaris, la larme à l'œil, alors que cette dernière finissait juste son dialogue.

"Je veux pas de visite! Tu me trahis! Je te déteste!"

"Lâche moi!! T'as rien à m'apprendre!"

Elle regardait Tamaris avec un regard où l'on retrouvait une grosse dose de déception et de tristesse. Jamais personne n'avait essayé de lui prendre ce qu'elle avait de cette façon, et surtout une personne considérée proche. Elle n'ajouta rien, lâchant des larmes en silence et tournant la tête à la neko...

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-Ayu......
°o°
Tamaris brandit une nouvelle fois le papier au-dessus du visage de la démone et lui demanda de signer. D'abord sur un ton froid et énervé relevant de l'injonction, puis d'une voix éraillée et chevrotante. Soudain elle froissa le papier et abattit son poing à un cheveux de la tête de sa captive. Une fois, deux fois, une vingtaine de fois jusqu'à ce que des larmes ruissèlent sur ses joues et tombent tels des petits plocs salés sur le visage d'Ayu.
°o°
-Moi aussi je te déteste, tu me fais mal. Je me sens comme la grosse peluche de l'entrée, mya! Un objet décoratif que l'on gratifie de temps à autre d'un regard satisfait ou d'une pensée nostalgique!
°o°
La neko était à quatre pattes au-dessus de la jeune Karina. Il n'était plus question pour elle de prise de pouvoir mais de mise à l'heure des pendules. Alors que la démone pensait la combler, la princesse se sentait abandonnée, constamment reléguée au second plan dès que sa maîtresse faisait une rencontre. Il ne s'agissait plus de jeu ou de simples câlins pour elle. Si ce fut le cas au début ça ne l'était plus depuis longtemps. Ayu était son seul point d'attache dans la grande ville de Meridell, sa référence, l'être proche. C'est donc tout naturellement que la petite neko en était tombée amoureuse. Elle avait voulu le nier au début, se convaincre que ce n'était pas possible, que ce n'était pas une neko comme elle et que de toute façon elle rentrerait un jour chez elle d'une façon ou d'une autre, que la démone était un cœur d'artichaut capricieuse et instable, une gamine qui voulait tous les doudous d'un magasin de jouet...mais elle avait du se rendre à l'évidence, ses sentiments pour Ayu étaient bel et bien là. Pour se préserver son esprit avait ourdi des plans, s'était occupé : possession, reconnaissance, expédition, malmener la démone pour se soulager. C'était ajouté au cocktail le vide créé par l'absence de sa famille, de ses montagnes et la perte de ses repaires. Elle n'était plus Tamaris la princesse du royaume perdu mais une neko parmi tant d'autre. Un jouet qu'on habillait, chérissait un jour, mettait dans une malle le lendemain. Du moins était-ce ainsi qu'elle percevait les choses. A partir de là, pour évacuer son mal-être elle avait eu cette idée folle sans vraiment en avoir conscience.
Les yeux humides, la lèvre tremblante surplombée de petits reniflements, Tam pressa ses paumes sur les joues d'Ayu et posa son front sur le sien.
°o°
-Tu peux garder ta maison, je n'en veux pas mya! Je ne voulais pas te blesser...PArdonne moi mya.
°o°
Déboussolée, troublée, et la gorge sèche, Tamaris prit le verre sur le plateau - la fameuse mixture- et but le restant. D'un revers de main elle essuya ses larmes et reposa le récipient pour prendre un couteau à dessert et couper avec difficulté l'attache de la main gauche d'Ayu. A peine avait-elle fini, que le couteau glissa de ses doigts gourds. La tête lui tournait, son estomac était en feu -pas que lui - et ses paupières devenaient lourdes, très lourdes. C'est à ce moment là qu'elle réalisa qu'elle avait étanché sa soif avec le mélange douteux.
Un dernier regard pour la prisonnière, trois mots qui s'échappent de sa bouche:
°o°
-Je t'aime...
°o°
La voilà endormie contre une Ayu partiellement libérée.

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Ayu fit la vexée jusqu'au moment où elle sentit les coups s'abattre sur l'oreiller. Interpelée par cet excès soudain, la démone ne put qu'oublier sa propre position et constater l'état extrême dans lequel se trouvait Tamaris. Elle ne saisissait pas les paroles de la neko, Ayu pensait bien faire et la traiter mieux que quiconque, mais elle n'avait jamais remarqué que Tamaris était amoureuse de sa personne. Si elle l'avait su, elle se serait conduite autrement et si elle s'était conduite tout de même comme cela, elle comprendrait ce moment surréaliste bien mieux. La maitresse ne se doutait pas de toute la souffrance cumulée que ressentais la neko qui se disait princesse. D'ailleurs, Ayu n'avait pas ignoré ce détail, elle pouvait croire Tamaris sans problèmes... Mais pour la démone, princesse ou non, le traitement n'était pas différent car elle ne tenait pas compte des titres, par soucis d'égalité.

La démone rose laissa Tamaris coller son front au sien, surprise et ne pleurant plus. Elle ne pensait plus du tout à sa situation et se demandait ce qu'elle avait mal fait, ne comprenant toujours pas. Tamaris lui dit qu'elle pouvait garder sa maison (ça c'était certain de toutes façons) et demanda pardon à la démone. Ayu émit un faible "Oui", certifiant qu'elle pardonnait totalement Tamaris et ce dans l'instant (mais elle ne comprenait toujours pas) pendant que la neko buvait la mixture. Tamaris coupa ensuite l'un des liens de la démone, qui remarqua l'état chancelant de la neko et comprit également que ce mélange était destiné à endormir. Tama-chan avait vraiment tout prévu décidément... Tamaris tomba sur le lit, contre Ayu avoua enfin son amour, ce qui fit directement tilt dans la tête d'Ayu: c'était donc pour cela que tout avait dégénéré de la sorte! La maitresse rougit aux trois mots, Tamaris avait gagné beaucoup de place dans le cœur de sa démone dans les cinq dernières minutes.

Ayu resta un instant en silence à regarder la neko avant de reprendre le couteau et se libérer totalement. Elle installa de la meilleure façon Tamaris dans le lit et rangea toutes les choses à leur place, ce qui devait être à la poubelle dans la poubelle, ... Ça l'aidait à remettre de l'ordre dans ses idées et c'était utile pour l'ordre de la pièce lui-même. Elle avait retrouvé la collier du collier anti-pouvoirs mais s'était arrêtée alors que la clé était dans le cadenas. Se sentant coupable, elle mit la clé dans un tiroir et et garda le collier. Le ménage terminé, elle se remit dans le lit et serra Tamaris tendrement dans ses bras, la caressant avec beaucoup d'amour. Ayu n'avait pas de partenaires sérieux, Tamaris avait le champ entièrement libre et la démone décida de laisser la neko s'installer à cette place, ayant des début de sentiments pour celle-ci. Ayu attendait que Tamaris se réveille et après l'éveil de la princesse, la démone la regarda avec un regard très tendre, lui disant une chose avant d'amener le visage de Tamaris et l'embrasser.

"Mon cœur s'est agrandi rien que pour toi..."

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-Mya?!
°o°
Un petit nez se fourre sous un sein et une main se referme sur un avant-bras pour le serrer tandis qu'une jambe en chevauche une autre. La neko est groggy mais se sent bien ainsi blottie contre Ayu. Alors que les paroles de sa captive plus si captive résonnent de ses oreilles à son cœur, la culpabilité l'étreint.
°o°
-Tu n'es pas fâchée, Ayumya? Demanda-t-elle d'un air peinée, redressée sur un coude. Je me sens fautive...Je ne t'aurais pas fait de mal tu sais.
°o°
La princesse serra encore plus fort la jeune femme et tout en s'asseyant l'aida à se positionner comme elle pour pouvoir la regarder. Elle réalisa que si les cordes avaient disparu, ainsi que tout les accessoires qu'elle avait éparpillés au sol, le collier, lui, ceignait encore le cou gracile de la jolie démone. Elle n'avait pas trouvé la clef! Tamaris porta une main sa bouche, d'embarras, et entreprit de fouiller sous le lit, sous les draps et sur le plateau avant de revenir embrasser Ayu, gênée.
°o°
-Ayumya? Je crois bien que j'ai égaré la clef du collier...
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Tam eut une idée, elle retira un de ses bas et le noua par-dessus le cercle métallique.
°o°
-Voilà! Ca ne se verra pas comme ça! Tu ne diras rien à personne n'est-ce pas? Peut-être qu'avec une scie...Myaaaaaaaaaaaaaa
°o°
La neko craignait que son mauvais tour ne s'ébruite. Elle se positionna dans le dos d'Ayu et l'ammena doucement contre elle pour couvrir la naissance des épaules de baisers. Ses douces mains s'égarèrent sur le corps nu. Elle se sentait étrange, fatiguée et envahie par un désir montant de plus en plus incontrôlable. Pourtant elle n'avait mis que des substances pour endormir dans la mixture...Peut-être la fiole à la bonne odeur et bon gout...
°o°
-Ayumya? C'est quoi "Aphroquelquechose"? Une des bouteilles dans ta salle-de bain. J'ai vidé le contenu dans le breuvage et je....
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Consciente de certainement aggraver son cas en exposant ses préparatifs, Tam se tut, rouge de honte. Elle avait de plus en plus chaud, ses mains continuèrent à caresser la démone, soutenant des formes avec insistance, explorant avec hardiesse des sillons.

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Après le baiser, Tamaris se réfugia dans les formes d'Ayu, en proie à la culpabilité. La démone la laissa faire, ayant oublié depuis un bon moment la crise de cette neko décidément pas comme les autres. Ayu ne cessait de carresser Tamaris qui avait peté un plomb, mais qui n'était pas la seule à devoir se remettre en question, car Ayu n'avait pas remarqué les sentiments de cette dernière. C'est finalement cela qui avait entrainé cette histoire saugrenue.

"C'est pas grave Tama, je ne t'en veux pas, c'est un peu de ma faute aussi alors ne parlons plus de tout cela." ;)

Tamaris et Ayu se mirent de façon à pouvoir se regarder l'une l'autre, mais soudain, la neko chercha partout. Elle ne semblait pas trouvé et parla de la clef du collier, l'air gêné. Ayu l'avait trouvée, mais n'avait pas enlevé le collier, attendant l'agrément de Tamaris (sa position de soumise ne déplaisait pas forcément à la démone qui était perverse, rappelons le). La jeune Karina laissa Tamaris nouer l'un de ses bas autour du collier qui la dérangeait, voulant camoufler la chose. La neko semblait bien désemparée par la présence de ce cercle de métal assez discret, Ayu allait la rassurer sur ce point mais sa "soumise" passa derrière elle pour couvrir la naissance de ses épaules de baisers. Elle caressait également sa "maitresse" avec une douceur vraiment agréable et engageante. Ayu se mit un rosir un peu mais laissa faire la neko en profitant du moment très voluptueux.

"Aphrodisiaque ma Tamaris. ^^ Tu te sens toute chaude je présume... Moi aussi je me sens très attirée par toi depuis ta déclaration, faisons l'amour ma neko à moi."

Sur un ton final précipité, elle étala en une seconde Tamaris sur le lit en l'embrassant avec douceur mais passion cependant. Ayu allait cette fois-ci faire passer un moment très agréable à Tamaris: elle n'aurait pas l'impression d'être une "chose" cette fois-ci. Ayu sentait l'odeur de Tamaris, fraîche et attirante, dans son cou, en le baisant et léchouillant avec volupté. Les mains démoniaques aux bonnes attentions déshabillaient la neko avec douceur. Les calins étaient continus et elle laissait des ouvertures à Tamaris afin que celle-ci puisse rendre les tendresses données.

"Tu sens bon petite princesse..."

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-Toute chaude et toute chose, Ayumya...
°o°
La petite neko sentait la chaleur envahir son être, elle entendait les battements de son cœur. Tout son être n'était plus qu'un tambour dont Ayu se faisait paire de baguettes. Chaque vibration augmentait la rougeur de ses joues et transmettait un message qui libérait son lot d'hormones. Pour aider sa "maîtresse" dans l'effeuillage de sa personne Tamaris se fit chaton. Une hanche frotta contre un petit jardin entretenu, une épaule effleura un ventre et cogna contre deux fruits suspendus. Petit mouvement et elle se mit de dos pour aider au passage de son haut par dessus sa tête.

La princesse est couchée sur les genoux d'Ayu, elle la fixe de ses deux lunes où il semblerait que ce soit fête nationale tant elles brillent - des larmes d'émotion?"-. Reste le bas, une contorsion et elle se retourne et se cambre. Basculement vers l'arrière, sa petite langue râpeuse trace un sillon humide le long d'une cuisse, visite le jardin et ses parterres de roses puis s'égare dans le dos, juste au dessus des deux lobes charnus. D'habits il n'y a plus, restent deux femmes nues mises à nu qui ce soir sont tombées des nues. Tam se redresse, s'agenouille devant Ayu avec lenteur, toute en pudeur. La princesse peine à relever les yeux qui semblent se complaire dans l'observation du drap froissé du lit. Soudain ses bras s'écartent et elle se jette au cou de la démone, une joue contre une autre.
°o°
-Merci Ayumya, merci! Je suis si soulagée et heureuse de t'entendre dire cela. Faisons!
°o°
Et hop deux corps qui tombent sur le matelas et une neko qui s'agrippe comme un Koupl Jack à son chapeau par grand vent. Elle serre fort pour être certaine qu'elle ne rêve pas et ne va pas voir s'évaporer Ayu mais c'est sans compter sur les aphrodisiaques qui lui ont laissé assez de répit. Le chaton se trémousse et ondule, de son corps il masse celui d'Ayu. Sa bouche délivre un baiser sauvage et passionné. Une main s'égare sur la peau douce et tâtonne à la recherche d'un membre invisible.
°o°
-Au fait Ayumya? Est-ce que toi aussi tu as un... *Silence religieux avant que la messe soit dite* pénis rétractable?
°o°
Grand moment de solitude entre deux pics hormonaux mais elle devait savoir. Depuis le temps qu'elle n'osait poser la question et que sa mixture les disposait à être aussi loquaces que sensuelles.

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[HRP: Je l'avais dit que je le ferais aujourd'hui :p]

La neko et la démone étaient en l'instant de cette journée totalement en phase l'une avec l'autre, se caressant de leurs corps et de leur langue, telles deux nekos. Tamaris, malgré son attirante pudeur, savait s'y prendre pour les douces caresses corporelle et Ayu regrettait de ne pas avoir remarqué plutôt cette attirance qu'avant la princesse neko. Cette façon de voir et sentir les choses, que n'avait pas forcément Ayu qui pensait au sexe, plut d'autant plus à cette dernière que cette démone se cherchait secrétement un ou une partenaire sérieuse. Le sexe c'était bien, mais même Ayu admettait aisément qu'avec des sentiments, c'était bien mieux à de nombreux niveaux.

Et au niveau sentiments, la chatone n'était pas en reste... Elle était même très bien fournie et Ayu le sentit vite et bien après la séance pur calin. Le baiser fut magistral, Ayu fermant les yeux, se laissant aller. La mimine baladeuse était merveilleusement agréable et ce que cette main cherchait, Ayu souhaitait qu'il n'existe pas pour que cela dure le plus longtemps possible. Sa peau douce et réceptive provoquait un calme et un laisser-aller chez Ayu, elle semblait faible face à la neko soudain si entreprenante et active. Mais si la soit-disant soumise voulait être en position de domination -en tout cas au lit-, cela ne gênait pas Ayu qui lui laisserait désormais cette place autant que la neko voudrait.

Alors que les douceurs des corps et esprits étaient agréablement entamés, une question sortit de la bouche de Tamaris. Cela étonna un peu Ayu de prime abord, mais comme elle avait rencontré la mère de sa maîtresse, ce n'était pas si incongru que cela. Ayu se fit encore plus douce, reprenant de suite les caresses et les petits coups de langue grâce auxquels elle goutait la peau de Tamaris, avec délice bien sûr.

"Non, je n'ai pas hérité de ça mignonne princesse."

Elle prit ensuite Tamaris dans ses bras pour l'embrasser encore, avec tendresse, lui caressant le dos. La démone décida ensuite de mordiller les n'oreilles de Tamaris, sachant que cela lui donnerait de vives sensitions. Ayu lui caressait les cheveux en prime, une main dans les cheveux, l'autre sur le dos et les dents goutant avec douceur les oreilles de chat.

"J'ai envie de te manger... T'es si mignonne Tama-chan..." Ton doux et bas.

Invité

Un héritage dont elle n'a pas besoin. La main s'écarte de la zone franche, elle y reviendra plus tard pour passer des marchandises avec doigté. L'heure est au ronronnement de la machinerie, les bielles s'activent, les engrenages s'imbriquent, la chaleur monte. Tam se raidit pour résister le plus longtemps possible à l'envie galopante de rire, très chatouilleuse, surtout des oreilles et de la nuque, chaque frisson cambre son corps et lui arrache un petit bruit et un pincement de lèvres.
"J'ai envie de te manger... T'es si mignonne Tama-chan..."
Queue droite, arrêt sur image, regard qui coule dans un autre et photographie le visage qui lui fait face. La princesse penche sa tête, sa chevelure effleure puis enveloppe un côté du corps d'Ayu dont elle s'approche timidement pour gouter une fois de plus aux lèvres sucrées.

°o°

- Le dîner est servi, mya.

°o°

Le côté neko commence à reprendre son droit, aidé par les aphrodisiaques. Hanches, bassin et poitrine frottent la peau nue tandis que des coups de langues tracent un chemin invisible sur toute la surface dégagée. Si elle avait eu des griffes il y aurait eu quelques sillons rougis. Tam ronronne de plus belle et parvient difficilement à contrôler ses envies. Elle tremble un peu par retenue, tourne autour d'Ayu sans oser...C'est sans compter sur les petites molécules chimiques qui se baladent dans son corps. Alors que sa main hésite sur une pointe rose, un pic la fait renverser la démone sur le ventre.

°o°

-Mya je reviens.

°o°

Deux bonds, quelques pas, placards retournés et bruits suspects plus tard la princesse est de retour. Que tient-elle dans sa main? Un grand pot au contenu brun qui sent le cacao. Si c'est bon sur des tartines, ça doit être pareil sur sa maîtresse à la peau de pêche. Le jeu l'aide à passer au dessus de sa réserve. Ploc, ploc, ploc, ploc, ploc....tachée comme un léopard! A cheval sur les fesses rebondies, Tam étale du bout des doigts la pâte semi liquide. Par malice le visage d'Ayu n'échappe pas au grimage.
Pot levé sur le coté, fière de son œuvre, Tamaris se sent créative.

°o°

-T'es à croquer aussi mya!

Invité

La douce étreinte fait bon effet, provoquant -à l'aide du produit bizarre avalé ou pas, allez savoir dans ce tourbillon où les sentiments se perdent et se mélangent- des ronrons. La démone, entendant ces ronrons de chaton (^^), est encore plus attendrie mais pas seulement: l'excitation, montant depuis un moment, fait un pic qui augmente le niveau des sensations. Ayu, en cet instant, a d'ailleurs des pulsions supplémentaires après sa réplique dernière. Mais l'action se suspend en contemplation lorsqu'un regard félin regarde au fond de celui de la démone. Instant fragile où chaque seconde est merveille de calme léger et agréable... Un baiser plus loin, des cheveux de neko sur la peau, le dîner est déclaré. Ce repas est préssenti comme digne de la gastronomie française, bien qu'il puisse être belge sur la quantité.

Et les apéritifs copieux consommés, l'entrée arrive, sensuelle et douce. Les mouvements de la neko préférée rendent Ayu plus passionnée que d'habitude et la démone ne se gêne pas pour adresser toutes les attentions qu'elle peut à la neko. Pourtant, quelque chose semble manquer à la mignonne et douce chattounette qui après un moment renverse son officieuse officielle maitresse sur le dos, lui disant qu'elle revient. Une peu surprise, Ayu se dit qu'elle va certainement revenir avec une chose qui vaille le coup de faire la pause. La démone reste sur le ventre, trouvant cette position agréable, sentant les draps soyeux de ses doigts délicats. Les bruits provenant de l'extérieur de la chambre inquiètent un peu Ayu qui se demande ce que sa neko peut bien avoir comme but en farfouillant partout. Bien qu'elle s'inquiète un peu, elle fait confiance à Tamaris: maintenant que le problème d'origine est résolu, pourquoi la neko ferait des bêtises n'est-ce pas? ^-^

Après un instant, Tamaris revient -ouf, elle commençait à vraiment manquer dans le lit^^ - avec ... un pot de chocolat à tartiner. Ayu imagine plusieurs manières de l'utiliser en cette occasion et elles semblent toutes très agréables! >w< Le dos de la démone est rapidement couvert de pâte sucrée, collant mais pas désagréable... Ce qui est plus agréable, c'est ce qu'Ayu va suggérer d'un ton polisson. ;) Une touche de chocolat tache le visage de la démone au visage tourné, ce qui la fait rire d'amusement. C'est plus agréable et excitant avec toutes ces idées qu'à Tamaris, l'angélique démone se sent de plus en plus accro à sa chtite neko. Le retour du compliment vient alors à l'oreille heureuse d'Ayu qui rosit légèrement, mais elle ne perd pas le nord et suggère donc, comme cité auparavant dans le texte, son idée sur un ton polisson et faussement ennuyé:

"Mais ça tache... il faudrait que quelqu'un enlève ce chocolat délicieux..."

"Ça te ferait pas envie ma chatoune?"

Petite moue et regard affichant une pointe de supplication, comme un petit animal câlin quémandant une caresse.

Invité

Si elle n'avait été d'humeur câline, très câline et sur son petit nuage, la princesse aurait joué un petit tour à Ayu en allant chercher sa mère pour l'aider à se débarrasser du chocolat. Deux petites langues valaient mieux qu'une parfois. Le tissu autour du cou de sa maîtresse l'en dissuada -comment expliquer le collier caché dessous?- ainsi que le regard de chaton affamé qui se posait sur elle comme un signal lumineux de détresse auquel elle se devait de répondre.

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-Pas assez tachée Ayumya! Pas de demi mesure, puis j'ai faim!

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Le chat bonux ferait des merveilles, du plus blanc que blanc, autant tester en conditions extrêmes. Tam réchauffa le pot dans ses mains pour que la pâte devienne un peu plus liquide puis en renversa dans la paume d'une main qu'elle frotta à l'autre avant de presser un sein.

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-Une douceur au choix par zone érogène chocolatée, mya! Un point pour moi et ce sera un soin profond dans un bain chaud!

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La neko à quatre pattes, poussa le pot entre ses jambes pour rendre plus difficile son accès. La mine rieuse elle chatouilla un flanc propre d'Ayu avec le bout de sa queue pour mieux l'attaquer sur l'autre avec la pointe de sa langue. Une main badigeonnée de chocolat s'appretait à laisser sa marque sur une fesse en passant par en dessous.

Invité

Tamaris se lâche résolument à l'aide des douces molécules qui la libèrent de sa réserve princière. Cela enchante Ayu qui guide la mignonne embarcation de Tamaris vers un rivage accueillant, afin que la neko matelote se délasse en bonne compagnie, sans se soucier du reste. Et la neko sait ce qu'elle veux en prime: elle se relève être une petite gourmande, contre quoi Ayu ne risque pas de lutter, tant ces contacts sont agréables.

"Mange moi Tam chérie, déguste autant que tu veux." Embarassed

(petite voix)

La suite semble se diriger vers une dégustation de substance chocolatée sur salade de corps chauds, ce qui constitue déjà un repas des plus attractifs. Cependant, la princesse neko à l'imagination débordante (Ayu aurait pu y penser, mais c'est avec Tamaris et les sentiments actuels que ce genre de fantaisie aurait pu lui traverser l'esprit) a imaginé bien plus ludique que cela! Les douceurs chocolatées se rendraient donc, comme souhaité par la partenaire à n'oreilles qui excite de mieux en mieux une Ayu des plus comblées d'avoir été prendre Tamaris et pas une autre. Tamaris se chocolate également, afin qu'Ayu puisse rendre les services gastronomiques dont elle bénéficie avec bonheur et intérêt aiguisé.

La neko à la mine rieuse et donc réjouie chatouille la démone de sa jolie queue au poil noir, la petite langue goutant le chocolat étalé sur l'autre flanc de démone. Ce contact, uni à la douceur des sentiments de Tamaris, fait frissonner l'angélique démone de plaisir. Ayu n'étant pas dans une position très adaptée, elle se relève et les deux partenaires se retrouvent donc sur les jambes, Ayu caressant la fesse chocolatée de Tamaris. Toute deux en tailleur, derrière suffisamment levé, les dégustations de desserts parfumé à l'odeur des corps prenait place de façon pleine et établie.

Tamaris ayant repris ses occupations, elle dévoilait ses fesses et son dos, ainsi qu'un flan, tant de parties dont la démone profitait de ses yeux, avant de reprendre elle aussi. Ayu commence alors à lécher du bout de la langue la fesse tartinée de l'aventureuse Tamaris, ne pouvant s'empêcher de caresser de ses mains les régions adjacentes. Celle-ci soupire doucement, disant des mots doux à sa féline compagne.

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» deux de plus...~~Libre~~