Devotion [Maîtres/Soumis] Bienvenue à Meridell, Cité où règne la loi du plus fort… Serez-vous soumis à votre condition ? Profiterez-vous de votre position de Maître ? Très bon jeu sur notre forum !! |
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| S'envoler ou sombrer? [PV Tsukasa-sama, encore une fois ^^] [Interrompu.] | |
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Auteur | Message |
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Firiel Hanabashi Humaine
Nombre de messages : 163 Age : 31 Date d'inscription : 04/12/2008
Maîtres/Soumis Orientation sexuelle: Bisexuelle Maître de: Son talent Soumis par: Tsukasa-sama ♥
| Sujet: S'envoler ou sombrer? [PV Tsukasa-sama, encore une fois ^^] [Interrompu.] Ven 27 Mar - 2:06 | |
| Balançant distraitement ses pieds nus dans l'eau, assise sur la berge, Firiel fredonnait une mélodie, du bout des lèvres, tout bas. Le soleil déclinait à l'horizon, elle sentait ses rayons mordants faiblir, et le froid s'emparer de ses membres, lentement mais sûrement. Mais ça n'interrompait pas sa douce mélopée, qui était une voie d'accès à une véritable sphère de calme. Le mouvement répétitif de ses jambes dans la chaleur du lagon, et ce silence environnant lui laissaient une étrange sensation de sérénité et de bien-être, comme si tout ce qui s'était passé ces derniers jours n'avait été qu'un rêve, des phénomènes d'onirisme. Comme si la réalité était un autre monde, et que l'aveugle en était déconnectée. Prendre une pause lui ferait du bien, elle en était certaine, et c'est pour cela qu'elle avait décidé de venir ici, malgré sa quasi-phobie de l'eau. Cette dernière n'était qu'un détail, mais elle se révélait en fait beaucoup plus importante aux yeux de la jeune femme: c'était d'abord un défi personnel, qui consistait à vaincre cette peur indicible du liquide transparent et turquoise. S'aventurer seule dans ce lieu était dangeureux, surtout qu'elle se savait tout à fait capable de tomber à l'eau, et de s'y laisser couler, dans son état actuel. Ce qu'avait fait Tsukasa-sama l'avait troublée, et elle n'avait accusé le coup que plus tard dans la matinée où ils avaient échangé un langoureux baiser. Firiel s'aida de ses mains, pour se décoller de la berge et atterrir pieds joints dans l'eau, équilibre de mise et réception parfaite. Elle se demandait pourquoi il avait si volontiers joint ses lèvres aux siennes. Elle craignait que ça soit par moquerie, ou pour narguer encore plus ses sentiments. Il avait été si fourbe, en si peu de temps, et ce changement brutal d'attitude avait effrayé l'humaine, pour sûr. Elle ne pouvait, ne voulait surtout pas imaginer que son amour soit partagé, parce qu'elle ne voulait pas être déçue s'il s'avérait que ce n'était pas le cas. Elle avait toujours eu du mal à cerner le maître, mais là... Ça lui échappait complètement. Au lieu de vouloir règler la situation, l'aveugle la laissait au contraire empirer. En effet, la semaine suivant cet échange buccal, elle avait fui l'ange. Mais fuir était encore bien faible comparé aux angoisses qui avaient tenaillé ses entrailles lorsque, se retrouvant à l'angle d'un couloir où elle sentait la présence de Tsukasa-sama, elle avait pris ses jambes à son cou dans le sens inverse. Non, elle ne voulait plus se retrouver seule avec lui, parce que son courage avait dégonflé comme un gâteau sorti trop tôt du four, parce qu'elle savait que cette fois-ci, ses forces ne seraient pas assez nombreuses pour le jeter de nouveau à l'eau. Avant d'essayer de règler le problème, elle paniquait et évitait tout élément pertubateur. Bizarrement, la pile de livres en braille qui s'étaient entassés dans la bibliothèque avait peu à peu diminué. C'était là qu'elle avait aimé passé ses journées, parce qu'elle savait que personne n'irait l'y chercher. Au fond, recluse sur le rebord de la fenêtre, le rideau de velours servait à la fois de couverture lorsqu'elle avait froid, et que les larmes roulaient sur ses joues. Une fois ou deux, elle s'y était même endormie, blottie contre la vitre gelée. Elle avait fait de semblables choses en la demeure de Léonard. Souvent, la grange lui avait servi de cachette lorsque le démon la cherchait, pour une nouvelle séance d'entraînement à la danse ou pour passer ses nerfs sur la soumise dévouée à son maître comme une religieuse à son dieu. Firiel avança de quelques pas dans le lagon, puis ses jambes ne la soutinrent plus. Elle s'effondra dans l'eau, à demi-consciente, comme le jour où elle avait failli se noyer, ici-même, à ses seize ans. Léonard avait ricané. Tsukasa-sama aurait-il fait de même s'il l'avait vue, à cet instant précis, se désarticuler comme une poupée de cire trop exposée aux rayons ardents du soleil... ? Elle ferma ses yeux éteints. Ils ne lui servaient plus à rien, de toute façon. Puis, lentement, elle se sentit encore approcher la surface. Elle souffla, laissant quelques bulles s'échapper des ses lèvres charnues, pour décrire le chemin inverse, lentement. Arquée en arrière, elle sentit le fond sablonneux du lagon dans son dos. Ça y est, elle était arrivée le plus bas possible. Elle ne descendrait pas davantage. Mais elle voulait voir pendant combien de temps elle pourrait tenir. Ce monde était silencieux, oppressant, ses mains furent saisies de convulsions nerveuses sous le coup de la terreur. Elle pensait qu'en ayant atteint cette sorte de plénitude, plus tôt, la frayeur lui serait comme inconnue. Mais elle s'était trompée. Alors, elle s'agita, et son sang accélèra son rythme et sa puissance dans ses veines. Dans l'eau, l'ombre mouvante et grise finit par ressortir la tête, toussant furieusement. Elle avait encore pied. Mais pourquoi son corps refusait-il de la laisser encore au fond? Pourquoi?! Elle frappa avec violence la surface lisse de l'eau qui l'entourait, et regagna à grands pas la berge. Elle s'en voulait, d'être aussi lâche, de ne pouvoir faire face au maître.
*Crétine...*
Et là, elle venait de se rendre compte qu'ele avait oublié l'essentiel, des vêtements de rechange. Qu'avait-elle amené, à la place, déjà... ? Ah, oui! Un chauffeur. Les domestiques, à qui elle avait ordonné de ne rien dire quant à son escapade, avaient néanmoins tenu à ce qu'on l'accompagne. Firiel retira son drapé sans réelle gêne, puisque sous lui, elle portait un joli maillot de bain. C'était rare, c'est vrai, qu'elle en porte, mais qu'importe, là ne se portent pas nos réfléxions. L'humaine ébroua ses cheveux comme Ys à ses côtés, et demanda au chauffeur, d'un ton bougon, de lui apporter de quoi boire... Elle ne voulait pas de cette eau infecte du lagon. Elle se laissa retomber, sur les fesses, ayant au préalable étendu son drapé pour ne pas être salie. Un main glissa sur le pelage du labrador sable qui l'aidait souvent à se repèrer en ville. C'était son guide. Elle passa ses bras autour de son cou, et déposa quelques bisous affectueux sur sa tête en frottant énergiquement ses flancs. Il lui redonnait le sourire, il avait plus de six ans, il avait l'habitude de voir sa maîtresse en mauvais état, et la langue baveuse se fraya un chemin entre les cheveux grisâtres, pour glisser sur la joue de Firiel. Cette dernière colla l'animal contre elle, pour rechercher sa chaleur, et reprit peu à peu son souffle, toujours exténuée de l'effort qu'elle venait de fournir pour ne pas finir vraiment morte noyée.
Dernière édition par Firiel Hanabashi le Dim 2 Aoû - 17:45, édité 1 fois | |
| | | Tsukasa Hishima Oyaka Mafieux
Nombre de messages : 145 Age : 36 Date d'inscription : 01/09/2008
Maîtres/Soumis Orientation sexuelle: Hétéro Maître de: Firiel, Keiko Soumis par: un coeur appartenant à une humaine
| Sujet: Re: S'envoler ou sombrer? [PV Tsukasa-sama, encore une fois ^^] [Interrompu.] Sam 28 Mar - 7:21 | |
| Depuis cette matinée là plus rien n’était comme avant, cette petite baignade dans la fontaine m’avait remis en état ou plutôt dans une sorte d’état second même puisque maintenant je me remettais en question. Certes après en être sorti je suis directement allé dans ma chambre pour alors changer de vêtement, ce qui est normal puisque je n’allais pas rester ainsi dans ces habits mouillés. Le temps ne cessé de défilé, mais plus ont avance dans le couloir du temps et plus les détails se font remarqués soit oubliés, cela dépend de leurs valeurs. Voila déjà un bon moment que je n’avais plus eu un seul instant seul en compagnie de la charmante joueuse de harpe, surement le destin qui souhaite que le phénomène d’il y a peu marque la fin de notre entente. Je ne peux rien faire contre la toile tissé par les fils en or de la destiné mais je peux néanmoins leurs faire tracer d’autre courbe et ainsi donné forme à un autre aspect de la toile. Mais encore faut-il que j’ai la force pour pouvoir faire cela, est-ce dans mes capacités de pouvoir réaliser ce miracle ? Il n’existe pas trente-six moyens pour le savoir, il n’y a qu’un seul chemin qui s’ouvre à moi et il ne me reste donc plus qu’à l’emprunter. Je me suis mal comporté vis-à-vis d’elle et j’en suis parfaitement conscient, elle doit maintenant être complètement effrayée par moi ce qui explique aussi le fait que je ne ressens plus aussi fortement la chaleur de son âme au travers de son enveloppe charnel entre les murs de cette demeure. Elle m’évite et je le sais parfaitement, elle cherche surement à ne plus être confronté à moi, à ne plus se retrouvé seul en ma présence dans une pièce ou bien même au beau milieu de la ville ou du jardin, je dois être la représentation d’une bête ou bien même d’un démon. Une créature tout droit sorti de la braise ardente qui est apparut dans sa vie seulement pour la faire souffrir, la blessé plus qu’elle ne l’est déjà, lui laisser des traces encore plus douloureuse que celle de son pauvre passé. Suis-je vraiment cette représentation du mal pour elle ? Ai-je réellement prit cette apparence dans son esprit, je me le demande bien et tout ce que je souhait c’est que ce ne soit pas le cas. Je ne lui veux aucun mal bien au contraire, tout ce que je souhaite c’est qu’elle retrouve le sourire que son ancien maitre lui a enlevé ou du moins qu’il lui a déformé. Ce sourire qui me fait tant rêvé alors que je ne peux même pas l’imager, je veux le voir à n’importe quel prix et c’est peut-être pour cela que j’ai envie de tout faire pour pouvoir le lui faire retrouvé, même si pour cela je dois entièrement changer certain point en moi. Je dois m’efforcer pour elle comme pour les autres demoiselles qui ont accepté de vivre en ma compagnie dans les murs parfois froid et même glacial de ma demeure, un toit qui gardera toujours ses portes ouvertes rien que pour elles et qui leurs offrira tous ce qu’il faut pour les maintenir en état ou du moins préservera la lueur de leurs âmes. Ce donc toutes ces pensées qui se retrouvent compressé en plusieurs porte enfermer dans une boite que je nomme celle de pandore sans trop d’arrogance qui me firent prendre la décision d’aller voir Firiel et de m’excuser auprès d’elle. Mais voila que le premier élément perturbateur intervient, où est-ce que la belle peut bien être en ce moment même ! Une chose est sûr c’est qu’elle ne se trouve pas dans la maison, ni elle ni son animal de compagnie d’ailleurs ce qui alors en toute logique veut dire qu’elle est partie faire une promenade à l’extérieur. Cela ne me dis pas exactement où elle se trouve mais c’est toujours un bon début pour la recherche, de plus j’ai beau demandé à toute la maisonnée, personne ne sait où elle se trouve. C’est à croire qu’elle a tout fait pour que je ne puisse pas la retrouvé on dirait bien. C’est donc décidé, je vais aller à sa recherche dans la ville puisque je n’ai pas d’autre choix si ce n’est l’attendre, mais même en l’attendant je ne suis pas certain de la croiser. Un sol bien trop dur qui se montre de plus en plus fatiguant au fil du temps qui passe, cette escapade dure bien trop longtemps à mon gout au point que je me demande vraiment si elle est bien quelque part dans cette ville ou si tout simplement elle a décidé de fuguer pour de bon et de nous laissez de côté. Je suis vraiment un imbécile pour pouvoir penser cela, Firiel est loin d’être du genre de personne à tous quitter sur un coup de tête même s’il est vrai que ce jour là il y a eu un échange particulier entre nous deux, mais elle n’est pas comme ça, j’en suis sûre, enfin, c’est ce que je pense croire.
Ce n’est alors que plus tard lorsque j’étais perdu dans mon esprit un peu trop vague et embué que je fis sorti de cet univers par un coup son à la fois bruyant et perçant. Ce son ne m’est pas étranger parce que c’est celui que produit l’une des voitures de la maison, l’un de mes chauffeurs qui m’a donc vu en chemin et qui a prit la peine de venir s’arrêter non loin de moi pour me faire signe. C’est bien étrange de voir l’une de mes voitures à l’extérieur et c’est donc pour cela que j’ai vite eu la conclusion qu’une personne de la maisonnée à eu besoin d’un « escorte ». C’est alors de la bouche du chauffeur que j’ai pu découvrir la cachette de la douce humaine mais aussi que s’il est ici c’est parce qu’il était sur le chemin du retour pour apporter une boisson à la belle, exigeante ? Je ne serais quoi vous dires. Ni une ni deux je partais déjà en direction du lieu d’isolation de la douce harpiste, me rendant compte que bien plus tard de l’environnement dans lequel elle se trouve. Le Lagon bleu, surnommé ainsi pour son eau turquoise, c’est une source de pureté dans laquelle on aime s’y baigné de temps en temps pour retrouver la sérénité. Je ne suis pas venu à pied mais en voiture, le chauffeur en à profité pour m’amené jusqu’ici et bien entendu je n’ai pas refusé une seul seconde. Marchant alors sur le sol qui maintenant n’ai plus de goudron mais tout simplement naturel, je ressentais en moi une petite vague de frisson, de bien être plus précisément. Prenant même une profonde inspiration pour me détendre tout les muscles du corps, plus j’avance et mieux je vois la silhouette qui se dessine peu à peu au loin. Un voila gris avec une couleur crème à côté, une couleur d’épiderme que je connais bien et que j’ai même effleuré des doigts un court instant, mais de vice ou même de sadisme. C’est bien elle, c’est bien Firiel que je vois assise au loin prés de l’eau avec son fidèle ami. Ai-je le droit de m’approcher d’avantage pour mieux ressentir sa présence, ai-je le droit d’aller tout simplement la voir ? Seule la toile au fil d’or m’en dira plus. Hésitant c’est vrai, je m’avançais tout de même, peut-être même un peu trop proche maintenant parce qu’il m’a bien semblé voir l’oreille du Labrador bouger. Il n’est pas idiot et il a bien ressentit que je suis là, Firiel aussi j’en suis sûr mais ce n’est pas pour autant que je vais m’arrêter en si bon chemin.
De là où je suis-je peux voir qu’elle porte un maillot de bain ce qui veut donc dire qu’elle avait envie de se baigné un peu, c’est rare de la voir s’approcher de l’eau mais bon, c’est peut-être un autre moyen pour passer le temps et attendre que le soir arrive vite pour ne pas me voir. Mes pas me guidèrent jusqu’à elle, a à peine un mètre sur sa gauche ou bien sa droite, à l’opposé de la position de son chien.
Je vois que tu connais de très beau endroit ^^"… | |
| | | Firiel Hanabashi Humaine
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| Sujet: Re: S'envoler ou sombrer? [PV Tsukasa-sama, encore une fois ^^] [Interrompu.] Dim 29 Mar - 14:04 | |
| Tsukasa-sama était loin d'être le monstre qui hantait son esprit. Pour Firiel, il était devenu comme un piège tendu, dans lequel elle se savait capable de tomber par simple amour. Le maître avait le don de réduire sa volonté à néant, d'effacer sa détermination pour la rendre encore plus soumise qu'elle ne l'était déjà. Mais elle s'était promis, cette fois-ci, de ne pas faiblir et de résister aux tendres paroles, aux gestes conciliants. Aussi, lorsqu'elle sentit Ys s'agiter quelque peu à ses côtés, elle n'evisagea pas la possibilité qu'il puisse s'agir de l'ange. Son esprit repoussait cette idée avec tant de force qu'elle ne parvenait même plus à entrevoir cette hypothèse. Pourtant, elle se rendit vite à l'évidence. Entre mille, elle aurait su reconnaître la présence de Tsukasa-sama, le bruit de sa marche si caractéristique, le parfum qu'il laissait sur son sillage, tout ce qui se dégageait de son être et qui lui faisait perdre la tête chaque fois qu'il s'approchait. Mais maintenant, elle ne devait absolument pas se laisser amadouer. C'est pourquoi elle n'esquissa aucun mouvement, ni pour se replier sur elle-même et ainsi dissimuler son corps à la vue de l'ange, ni pour rassurer Ys qui commençait à émettre un grognement sourd, ayant perçu le malaise de sa maîtresse aveugle. Elle se contenta de garder ses bras autour de l'encolure de l'animal, le nez enfoui dans son pelage sablé. Si Tsukasa-sama n'avait pas parlé, elle n'aurait pas brisé d'elle-même le silence. À vrai dire, ce fut sa phrase qui la sortit du semblant de léthargie où elle avait plongé. Elle n'aurait pas su dire si l'endroit était beau ou non. Elle gardait un souvenir très fragmenté du lagon, plus particulièrement de son eau, qui dévalait les pentes de ses courbes et de ses cheveux à cet instant.
Beau? Je ne sais pas. Peut-être est-il très laid, aussi.
Ton acerbe et perçant, l'humaine sentait sa rancoeur comme revigorée par l'erreur qu'avait commise l'ange. Évoquer la vision d'un paysage, encore plus de ce lagon où elle venait chercher une bouffée d'air et où il venait l'en empêcher, devant l'aveugle était le moyen parfait pour l'enfoncer davantage si c'était son but. Malgré ce faux pas, elle éprouvait toujours l'envie de se nicher au creux de ses bras, de chercher ses lèvres pour les caresser, pour l'aimer encore une fois à sa manière, le lui dire et faire comprendre. Mais en tant que soumise, en avait-elle seulement le droit? Il ne la considérait pas comme telle, mais... Lorsqu'entre ses mains, il avait parcouru son dos de ses doigts, elle avait eu la vague impression d'être un objet. Elle ne savait pas très bien si ça l'avait d'abord révoltée, ou si ce rôle l'avait encore plus cantonnée dans sa nature d'esclave effrayée par tout et n'importe quoi. Elle flatta qulques instants encore les flancs d'Ys, caressa son museau pour lui intimer le silence et le calme, et le repoussa finalement pour qu'il aille jouer ailleurs. Le labrador s'éloigna au bout de quelques secondes, patrouillant non loin, autour de l'eau du lagon sans oser y plonger. Firiel prit une pronfonde inspiration, et releva son visage pâle vers Tsukasa-sama. Sous ses yeux maintenant éteints et ornementaux, oscillant entre le charbon et le grès, les cernes s'étaient estompées. Ses cheveux gris perle restaient humides, égouttant lentement, une à une, chaque parcelle de l'eau où elle s'était laissée sombrer un peu plus tôt. Pour échapper à Tsukasa-sama, elle aurait très bien pu y retourner, mais il aurait été capable de s'asseoir, et de l'observer jouer dans l'eau, comme l'esclave qu'elle était aurait distrait la vision de son maître. Mais elle se sentait perdue, et sa lucidité començait à s'effacer, elle en était consciente. Le silence ne la dérangeait pas tant que ça, c'était comme un message destiné au maître : "Dites-moi ce que vous me vouliez, ou allez-vous en, votre présence n'est pas requise ni désirée auprès de moi." Pourtant, c'était tout le contraire. Elle aurait voulu qu'il reste éternellement à ses côtés, dans son coeur. Était-il venu pour l'interroger à nouveau sur ce qu'elle avait vécu? Du bout des doigts, elle effleura le lien de son maillot dont les bretelles s'unissaient dans la nuque, et en profita pour replacer tous ses cheveux du côté droit de sa tête. Le chauffeur s'annonça, portant avec lui le breuvage qu'avait demandé l'humaine exigeante. Elle s'en saisit, et le remercia, puis ouvrit la bouteille avant de la porter à ses lèvres. Mais avant que le goulot ne touche les pétales charnus, elle se ravisa, hésitant quelques secondes.
Tsukasa-sama, vous en voulez?
Elle se releva, s'aidant de l'impulsion de ses bras frêles pour se mettre finalement debout. Étonnament mince, impression accentuée par sa petite taille, elle s'approcha à pas mesurés du maître. Elle avait l'impression que ses jambes la trahiraient de nouveau, comme elles l'avaient fait un peu plus tôt, dans l'eau du lagon, mais cette foi-ci, elle voudrait tomber en avant, sur le maître, afin de pouvoir le toucher à nouveau. Elle craignait que sa démarche semble hésitante, ce qui n'était en fait pas le cas, mais elle avait cette impression de ne pas marcher très droit sous l'effet de la nervosité et de l'anxiété. Elle s'arrêta à quelques centimètres de l'ange. Tiens, pour une fois, elle avait mal visé, pensant être un peu plus éloignée. Pourtant, avant de lui présenter la bouteille, elle s'autorisa de poser sa main droite sur le torse du bel homme. Comme pour s'assurer qu'il était bien là, et que ce n'était pas une invention de son esprit travaillé. | |
| | | Tsukasa Hishima Oyaka Mafieux
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| Sujet: Re: S'envoler ou sombrer? [PV Tsukasa-sama, encore une fois ^^] [Interrompu.] Dim 29 Mar - 19:21 | |
| Mes paroles me font défaut, à vouloir bien faire je l’ai certainement vexé. Comment peut-elle savoir si cet endroit est beau ou laid, elle qui ne peut rien voir malheureusement. Je suis vraiment un imbécile pour avoir dit cela, je m’en veux encore de l’avoir blessé involontairement, d’avoir même oublié son handicap. J’oublie souvent que sa vue lui a était retiré parce que la voir bouger normalement sans trop d’hésitation me donne l’impression qu’elle arrive toujours à voir ce qui l’entour, mais ce n’est pas le cas. A l’écoute de sa voix je ressentais bien que je suis maintenant une gêne pour elle, un message caché qui me dit de partir et de la laissé tranquille. Ma présence doit lui donné l’envie de vomir, après ce qu’il c’est passé je comprends parfaitement pourquoi ma présence ici n’est pas désiré ou du moins n’est pas apprécié. Au fond de moi perdu dans les limbes de mon esprit un tas de question se pose, pendant que je suis isolé du monde extérieur, le chauffeur qui m’avait conduit ici arriva avec en main la commande de la belle. Une bouteille dont j’ignore le contenue mais qui en tous cas a l’air de beaucoup plaire à Firiel parce qu’elle ne se fit pas prié pour l’attraper. Mais elle eu un moment d’hésitation, d’après ce que je peux voir son instinct de soumise a prit le dessus parce qu’elle me proposé un peu du contenue de la bouteille. Elle ne l’a certainement pas fait volontairement, c’est surement un réflexe de son passé qui lui dicte de toujours faire passé les besoins de son maitre avant les siens. Malgré le petit son de sa voix je ne faisais pas vraiment attention à elle à cause de mon esprit un peu perdu par les questions qui ne cesse de se posé, mais lorsqu’un contact se fit ressentir sur mon torse, mon regard changea complètement pour alors ne plus être celui d’une âme perdue mais bien un regard tendre presque à demi-clos. Surpris c’est bien vrai, gêné même c’est ce que je ressens actuellement. Je suis gêné de la voir aussi proche de moi, de me toucher comme si elle avait recherché ce contact pendant tout le temps qu’elle me fuyait. Le fait qu’elle ne puisse pas me voir me fait un peu de peine parce que j’ai tellement envie qu’elle sache à quoi ressemble la personne à qui sa vie appartienne. Ca doit d’ailleurs la travailler de ne pas savoir à quoi je ressemble exactement mais malheureusement le destin à voulu que mon visage reste toujours flou pour elle. Mais bon, revenons alors à ce qui se passe en ce moment-même, sa main si chaude et son visage si tendre. Sa voix qui habituellement est douce m’a proposé de boire un peu, je ne savais pas trop quoi répondre. Soit je refuse mais c’est au risque de la décevoir ou soit j’accepte mais le simple fait de boire à la bouteille me dérange un peu, et puis peut-être que l’idée de boire après moi doit la « dégouté », si je bois et qu’elle le fait par la suite, le goulot de la bouteille aura servie de lien pour un baisé indirect. Sans trop m’en rendre réellement compte ma main vient se posé sur la sienne tandis que mon regard lui se pose sur son visage si agréable à regarder.
C’est très gentil de ta part de m’en proposé mais je m’en vois navré de refuser.
C’est dit sans méchanceté et surtout mon but n’est pas de lui faire de mal ou de la blessé encore plus qu’elle ne l’est déjà par ma faute. C’est étrange n’est-ce pas mais le simple fait qu’elle soit aussi proche de moi me fais beaucoup de bien, je me sens apaisé après toute l’inquiétude que j’ai eu lorsque j’étais à sa recherche. Une vague de sensation plus qu’agréable qu’autre chose m’enveloppé pour alors me refermé dans une bulle de « bonheur ». Mes yeux qui étaient sur son visage baissèrent pour alors regarder sont corps, la voir vêtu d’une autre tenue que son drapé habituel restera à jamais gravé dans ma mémoire. Elle porte un magnifique maillot de bain qui lui va parfaitement, mettant même son corps plus en valeur mais laisse les marques de son dos dévoiler. Heureusement qu’il y à sa longue chevelure pour les cachées telle un rideau de scène qui cache les artiste avant l’ouverture et la fermeture du spectacle. Cette douce vision d’elle me fait d’ailleurs monter le sang à la tête puisque je me mis à rougir, très légèrement mais tout de même assez pour que mes joues soient un peu chaude. A en juger d’après ce que je peux voir, la belle à donc en tête de se baigné un peu. C’est une bonne idée et cela permet de s’évadé un peu de la réalité du monde auquel ont doit tous faire face malheureusement.
...
Je détournais la tête sur la côté pour ne pas lui faire face, je gardais tout de même le contact entre elle et moi comme si au fond je ne voulais pas qu’elle parte. Il ne faut pas que j’oublie la raison de ma présence ici, si je suis là c’est dans le but de m’excuser et je dois absolument le faire. Je n’ai pas le droit de me défilé parce que je suis le maitre et que je dois montrer l’exemple mais que surtout parce que si je fuis c’est qu’alors je ne mérite pas son attention et que je suis un lâche. Une pression se fit ressentir sur la petite main qui se trouve contre mon torse, je serrais sa main dans la mienne pour me donner le courage d’ouvrir les yeux et de lui dire ouvertement ce que j’ai à dire. Mais….C’est vraiment difficile à faire, la pente est bien trop haute pour que je parvienne à la gravir. Et pourtant je n’ai pas d’autre le choix que de canaliser toutes mes forces pour escalader et faire du mieux que je peux pour atteindre mon but.
Firiel, je-je suis vraiment désolé ! Je suis désolé d’avoir était ignoble avec toi alors que tu n’avais rien fais de mal bien au contraire. Je t’en suis reconnaissant d’être aussi franche avec moi, au lieu d’avoir était ignoble j’aurais dû être plus à ton écoute…Désolé… | |
| | | Firiel Hanabashi Humaine
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Maîtres/Soumis Orientation sexuelle: Bisexuelle Maître de: Son talent Soumis par: Tsukasa-sama ♥
| Sujet: Re: S'envoler ou sombrer? [PV Tsukasa-sama, encore une fois ^^] [Interrompu.] Lun 30 Mar - 0:27 | |
| Les réflexes d'esclave ne s'effaceraient jamais, même en usant de patience et de temps. Rien de ce que lui avait inculqué son ancien maître ne disparaîtrait. Elle avait proposé un peu de son breuvage à Tsukasa-sama comme un automate ne faillant jamais à sa tâche, sans songer que son tour viendrait ensuite, et que leurs lèvres entreraient de nouveau en contact, indirectement. Elle était bien trop aileurs pour penser à cela et aux conséquences. Ce toucher, sous ses doigts, lui rappelait quelques souvenirs et réveillait lentement ses sens, un à un. Son odorat pour respirer la senteur si délicate et puissante du maître, son ouïe pour écouter sa voix mélodieuse. Elle aurait aimé le voir, bien qu'elle le devine très beau, parfaitement à son goût, elle en était certaine. Elle se souvint du contrôle d'Ishina, enfin cet étrange pouvoir qui avait permis à Firiel de voir cette splendide démone qui lui avait prêté ses yeux. Un pareil don exercé auprès de l'ange donnerait l'occasion à l'aveugle de voir ce par quoi elle était tant attirée. Elle songea que lorsqu'elle retournera chez Ishina, elle devrait emmener Tsukasa-sama avec elle, pour qu'il sache qui avait fait preuve d'autant de bonté à l'égard de sa soumise. Cette dernière ne lui avait rien dit quant à sa petite escapade au coeur de Meridell, il ne la forçait pas à partager avec lui ce qu'elle avait vécu. Bien qu'il ait essayé, c'est vrai, mais il connaissait maintenant les effets que produisaient de telles demandes. Sa main, venue se poser sur la sienne, ravagea au même instant la détermination de l'humaine, qui sentit les barrages de son amour se briser comme un château de cartes. Les flots inondèrent sa rancoeur, l'étouffant et la réduisant au silence. Malgré le refus, elle ne se sentit pas vexée. Ce lien entre leur peau suffisait à effacer n'importe quelle erreur et gommait n'importe quel défaut qui aurait pu entraver le portrait parfait qu'elle avait face à elle, sans le voir. Sans voir ni ressentir le regard qu'il posa sur son corps, non plus. Elle était à ses pieds, et même lorsqu'elle essayait de s'éloigner, de prendre ses distances, cela ne fonctionnait pas. Elle était condamnée à rester contre lui, toujours, si elle ne voulait pas souffrir comme ça avait été le cas ces derniers jours. La situation la fit penser à une retrouvaille de couple, après une chamaille pour une broutille. Entretenir une telle relation avec l'ange ne la dérangerait pas, mais elle ne se faisait pas de faux espoirs, on avait prit cette place bien avant elle. Si elle devait se contenter des restes et de la place de "maîtresse", elle le ferait, malgré ce que cela impliquerait. Un début de phrase la tira de sa douce torpeur, dans laquelle elle s'était volontiers immergée pour savourer la proximité entre leur corps. Elle écouta, attentive comme une élève studieuse et impassible. Quelques secondes après qu'il ait refermé et joint ses lèvres, elle sourit. Un grand sourire, oui. Maternel, qui parvint jusqu'à la rangée de cils inférieurs. Tsukasa-sama s'excusait, et c'était rare qu'il le fasse en de telles circonstances, qui donnaient un étrange sérieux à la scène. Sa main, elle, se retrouvait dans l'étreinte anxieuse de sa compagne angélique. Demander pardon semblait lui avoir coûté, et Firiel ne voulait pas faire perdre ni le poids ni la valeur de ces mots, par respect pour Tsukasa-sama et pour ne pas froisser ses sentiments. Le rabrouer aurait été mal venu. Elle relâcha la bouteille, qui retomba à la verticale sur l'herbe de la berge, accueillie sur un coussin moelleux en bonne position sans déverser son contenu ni se briser. Un doigt, puis deux, cheminèrent sur le torse de l'ange, partant du nombril pour avancer chaque fois un peu plus haut, comme deux fiers soldats en contrée inconnue. Ils vagabondèrent sur les côtes droites, remontèrent aux pectoraux qu'ils scindèrent en deux parties distinctes lors de leur passage, s'égarèrent malencontreusement sur le coeur, puis seul l'index continua la route, abandonné par son compagnon replié avec ses camarades. Le doigt esseulé effleura la gorge de l'ange, passa sous son menton sans le lui relever, évita soigneusement les lèvres, puis finalement, la joue du maître trouva sa place, ou plutôt, sa place vint à elle sous la forme du creux de la paume humaine. Firiel n'hésitait plus, mais puisque le maître oubliait à chaque fois son handicap visuel, elle veillerait à faire des gestes plus explicites et moins naturels que ceux dont elle avait l'habitude. Elle aurait pu guider sa main au visage de Tsukasa-sama sans passer sur son torse, par exemple. Mais cette randonnée l'avait amusée, et elle était ravie de le sentir auprès d'elle.
Vous êtes pardonné à la seule condition de ne plus me demander ces choses-là.
Hum? Oui, tout à fait, elle posait ses conditions. Mais ça lui semblait totalement naturel, étant donné la nature des faits. Elle savait que l'ange ne s'opposerait pas à ça, et lui donnerait raison, même si ça ne serait pas sans lui déplaire. Enfin, son humaine ne voulait pas profiter non plus, et ce fut la seule parole qu'elle s'autorisa. À la place des mots, elle favorisa les gestes. Un mouvement répétitif, lent, démarra sur la joue de l'ange, comme une caresse d'éveil, comme celles qu'une mère prodiguerait à son enfant. Oui, Tsukasa-sama avait des allures de gosse, parfois, et ça faisait sourire sa soumise, à la fois d'amusement et de tendresse. Ils s'aimaient, mais d'un amour différent que celui qu'on rencontre habituellement. Il apportait stabilité et protection, elle agissait comme un calmant sur lui et était en quelque sorte la voix de l'apaisement. Un véritable anti-stress ambulant. ^^ Mais elle se sentait girouette, incapable de maintenir son cap sous les vents violents qu'amenait avec lui le maître. À force d'être trop clémente, elle en paierait les conséquences, mais... Qu'importe. Cette sensation de bien-être était trop addictive. Lentement, elle attira l'ange contre elle, reculant un peu pour ensuite se laisser retomber sur le drapé étendu et inviter son tendre à faire de même. Ce soir, ou plutôt cette nuit, puisque maintenant elle ne sentait plus le soleil mais le froid perçant du crépscule, elle serait toute à lui. Pour se faire pardonner d'avoir été si distante. Versatile... | |
| | | Tsukasa Hishima Oyaka Mafieux
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| Sujet: Re: S'envoler ou sombrer? [PV Tsukasa-sama, encore une fois ^^] [Interrompu.] Lun 6 Avr - 22:55 | |
| Il est vrai que dans la vie chaque chose ne sont pas à leurs place, nous parmi tout le reste bien entendu. Au fond de nous nous recherchons tous à nous faufilé dans le monde, nous trouvé une place à laquelle nous pourrions nous sentir bien et même être tranquille. Mais est-ce qu’une telle place existe pour nous ? Même si certaine ne se trouve pas là où l’on devrait allez nous y allons tout de même parce que c’est là que se trouve notre place. Il y en à qui sont dans les ténèbres et pourtant nous y allons en repoussant nos peur, la mienne, je me demande bien ou elle se trouve actuellement. Ai-je d’ailleurs droit à une place dans ce monde qui semble si parfait ? Je me le demande bien, tout ce que je sais c’est que je dois faire tout mon possible pour la trouvé, et si je n’y parviens pas il ne me restera alors qu’à la crée. Dans les ténèbres il y a forcément de la lumière et c’est donc pour cela que le mot « place » prend un réel sens. C’est cette lumière si pure que nous recherchions tous dans cet univers, c’est notre lumière à nous. Moi tout ce que je sais c’est que pour le moment je me retrouve en un lieu vraiment magnifique et paisible auprès d’une personne vraiment merveilleuse et qui compte beaucoup pour moi, mais malheureusement je lui ai fait du mal il y à quelque jours. Elle est là proche de moi et même en contact, sa douce main nichée entre l’une des miennes et mon torse. Je sais très bien que mon comportement ce jour là avait été vraiment malsain et que je n’étais pas loin à être comparé à un démon, mais malheureusement je ne peux rien contre ma façon d’agir. Si je suis ainsi ce n’est pas réellement à cause de l’éducation de mon oncle et ni celle que le monde m’a apporté, je n’ai pas le droit de rejeter la faute sur les autres, donc si je suis ainsi c’est bel et bien de ma seul et unique faute. Son autre main maintenant libre vient alors à la rencontre de mon corps, c’est d’ailleurs en ressentant la douce chaleur qui émane de son épiderme qu’une multitude d’images me vinrent à l’esprit. Non pas perverse et autre, c’est simplement la petite exploration que ses doigts sont entrain de faire qui me fait pensé à deux valeureux compagnon inséparable. A chacun de leurs pas la terre dévastée qui sombré peu à peu dans les ténèbres aperçut une lueur d’espoir. Lumière de la vie qui redonne couleur et beauté à cette terre abandonné, leur aventure ne s’arrête pas là mais bien ailleurs, c’est au somment qu’ils devront aller. Malheureusement un mur non pas de glace mais terriblement dur et froid leur fit face, mais ce n’est pas cela qui les empêchera de parvenir là où ils doivent aller et c’est donc ainsi qu’avec leur courage et tous l’espoir qu’ils possèdent qu’ils parvinrent à franchir ce mur. La chaleur de leur espoir avait parvenu à faire fondre la glace pour alors se frayé un chemin et arriver à la source de la vie, une sphère d’un rouge écarlate, à la flamme ardente mais oh combien triste. C’est une interprétation de mon esprit en rapport de la montée de ses doigts jusqu’à mon cœur, les images cessèrent d’ailleurs lorsque ceux-ci vinrent se glissés sur ma joue. La son de sa voix est toujours aussi agréable à entendre malgré tout ce qui c’est passé entre nous deux, elle me pardonne à une seule condition, que je cesse de lui posé le genre de question de la dernière fois. Si j’arrive à prendre le dessus et à me contrôlé alors oui je pourrais éviter de le faire, mais cela sera bien difficile car j’aurais bien aimé en s’avoir d’avantage. Il me faudra alors trouver un autre moyen pour en savoir un peu plus sur elle en le lui demandant de façon indirect bien entendu et sans lui faire du mal ni la blessé. Profitant alors de la présence de sa main contre ma joue, j’hochais alors la tête de haut en bas ou d’avant en arrière pour lui donné une réponse positive. Un simple « Oui » qui veut dire un bon nombre de chose.
Là contre la belle Firiel je me demandais bien ce que je pouvais faire. Le temps se rafraîchit et les rayons du soleil disparaissent peu à peu derrière la cimes des arbres. Plus tard nous pourrons bientôt voir apparaître la première étoile, suivi de la deuxième et ainsi de suite jusqu’à ce que le ciel en soit totalement recouvert. La lune va alors bientôt nous montré son visage froid et mystérieux, une lumière d’une pureté mais aussi d’une grande tristesse va alors venir nous bercé. Alors que tous mes sens se mettaient en alerte pour accueillir l’arrivée de la lune, je me sentis alors tiré en avant pour alors me retrouvé contre le doux corps de la belle et charmante humaine qui se tient face à moi. Un agréable sensation parcourt alors tout mon corps tandis que la belle se laissa emporté par le vent pour retrouver la fermeté du sol, je ne tardais pas pour alors venir là retrouvé, me plaçant alors à ses côtés. Mon épaule gauche effleurait un peu la sienne, c’est un moyen pour moi de lui faire ressentir que je suis là contre elle et nul part ailleurs. Mais maintenant un problème délicat s’oppose à moi, qu’est-ce que je peux bien faire pour ne pas plomber cette soirée en sa compagnie ? Je n’ai nul envie qu’elle s’ennuie à cause de moi, mon apparition à d’ailleurs sûrement perturber la tranquillité qu’elle voulait peut-être avoir. Mon regard qui quand à lui était figé dans le reflet de la lune sur l’eau, se dispersa de cette vision pour s’égarer malencontreusement sur la charmante aveugle. Ses cheveux sont encore humide d’après ce que je peux constater et son vêtement aussi, c’est un peu normal et ce n’est pas la fraîcheur que nous apporte la nuit qui ferait tout séché. Je continuais de la regardé un moment avant de m’éloigner d’elle peu à peu pour me retrouvé sur mes deux jambes, tendant mes mains vers elle tout en lui offrant mon plus beau sourire.
Que dirais-tu d’un petit bain au clair de lune ? ^^
C’est une proposition comme parmi tant d’autre, c’est pour le moment la seule chose qui me soit venu à l’esprit pour pas qu’elle s’ennuie à mes côtés et que l’ont puisse occupé une partie de la soirée. Bien entendu elle a le droit de refuser même s’il est vrai que son sentiment d’humaine soumise acceptera simplement pour me voir continuer sourire et me faire plaisir. Léonard a vraiment dû la faire souffrir par le passé pour qu’elle soit ainsi soumise, mais comme on dit souvent, « Les plus belles roses sont toujours les plus dangereuses. » et c’est sûrement le cas avec la belle. Je n’ai pas mon instrument avec moi malheureusement, sinon j’aurais pu lui joué un petit air histoire de détendre un peu l’atmosphère qui est déjà assez reposante comme ça. Mon regard est bien différent de la dernière fois, il est d’ailleurs comme celui que j’avais lors du premier contact entre nos lèvres, à cette pensée ma main droite apporta le bout de ses doigts à mes lèvres pour les effleurés, c’est un doux souvenir qui restera à jamais gravé dans ma mémoire.
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| | | Firiel Hanabashi Humaine
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| Sujet: Re: S'envoler ou sombrer? [PV Tsukasa-sama, encore une fois ^^] [Interrompu.] Ven 10 Avr - 18:13 | |
| Il hocha la tête, pour finalement donner raison à sa soumise. La satisfaction de cette dernière fut trahie par un murmure qui s'échappa de ses lèvres, un "bien" qui exprimait à la fois le soulagement et le plaisir qu'éprouvait l'humaine à avoir fait admettre au maître qu'il avait eu tort. Et c'était selon ce qu'elle, et elle seule, lui disait qu'il devrait écouter pour en savoir davantage sur ce sujet qui le troublait tant. La moindre curiosité trop poussée amènerait un nouveau conflit entre eux, mais elle savait que l'ange n'était pas stupide et qu'il n'avait pas envie de cela, tout comme elle ferait également des efforts pour se contenir. Elle injecterait à intervalles réguliers de petites doses, des bribes de son passé. Quand on a de la curiosité, il n'y a rien de tel pour la passer que de la contenter un peu, voyez-vous, tant qu'elle n'est pas mal placée. Mais vraiment un chouilla, elle ne lui donnerait pas davantage que le strict nécessaire... Au compte-goutte. Elle s'assit, attirant son aimé avec elle, pour qu'ils soient tout deux au sol, sur le drapé. Elle aimait beaucoup la distance qu'il veillait à maintenir entre eux, comme s'il avait peur de faire preuve d'irrespect en s'approchant trop d'elle. Et elle pouvait le comprendre, car la dernière fois, c'était avec sa voix et ses mains qu'il avait fait ployer sa soumise dévouée. Peut-être avait-il peur de recommencer? Leurs épaules s'effleuraient, il ne la fuyait pas comme elle avait pu le fuir durant la semaine. Elle était ravie. Mais elle sentait que peu à peu, quelque chose changeait. Il bougeait. Était-il donc incapable de rester en place? Firiel ne lui en voulait pas, mais elle pense d'abord que sa présence auprès de l'ange incommodait ce dernier, ou qu'elle le dérangeait. Un peu peinée, car la situation précédente lui plaisait, elle l'écouta avec attention. Ses paroles étaient rassurantes, et elle le savait sincère, ce n'était donc pas le fait que sa soumise soit à ses côtés qui l'ennuyait, mais plutôt l'ennui lui-même. Quelque chose était tendu face à elle, et très vite, elle comprit de quoi il s'agissait. Elle posa ses fines mains dans les siennes, et n'hésita pas à s'en saisir plus fermement, mais avcec tendresse, pour se soulever souplement du sol. Il souriait, sa voix le lui indiquait, et elle sourit également, laissant apparaître des pomettes saillantes. Elle se souvint de la bouteille qu'elle avait demandée, et qu'ils avaient laissé à quelques pas. Un autre détail la frappa, mais elle n'en fit pas immadiatement part au maître qui avait lâché l'une de ses mains, la droite. Pourquoi? Elle n'en avait aucune idée, mais elle tenait toujours la gauche dans la sienne, entrelaçant ses doigts aux siens. Elle émit un long sifflement aigu, et la conséquence de ce son ne tarda pas à faire son apparition. Ys rappliqua, trotinnant jusqu'à eux avec son habituel flegme de chien. Il n'était pas quetion pour l'aveugle de laisser son compagon derrière elle, sans savoir où il se trouvait. Le labrador décrivit plusieurs huit entre les jambes de la soumise ret du maître, ne faisant aucune distinction entre une paire féminine et une autre masculine. Et d'un geste de la main, elle l'invita à s'étendre sur le drapé au sol, quand il eût terminé. Bon, après, elle aurait son odeur, m'enfin... Maintenant rassurée, elle tourna la tête vers le maître.
Parce que Tsukasa-sama a prit de quoi se baigner?
Il serait bien gêné de devoir y aller entièrement habillé, ou nu, n'est-ce pas? Cette pensée fit affluer le sang aux joues de Firiel. Ce n'était pas sain de songer à cela, et surtout, si elle continuait à faire tourner son imagination débordante, elle ne tarderait pas à ne plus être de ce monde... C'est pourquoi elle la repoussa de toute ses forces, la démone devant rester enfermée en elle. Pas l'heure de la sortie quotidienne... Et si les domestiques l'avaient trahie?! À cette pensée, ce fut la fureur qui l'envahit. Elle devait en avoir le coeur net.
Comment saviez-vous que j'étais ici?
Elle mit en marche la machine, et s'avança vers l'eau du lagon, ne lâchant plus la main de maître, complètement droguée à cette sensation de leur peau l'une contre l'autre. Peut-être aussi qu'il était arrivé ici par hasard, mais elle préférait tout e même penser que c'était pour elle, après tout... | |
| | | Tsukasa Hishima Oyaka Mafieux
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| Sujet: Re: S'envoler ou sombrer? [PV Tsukasa-sama, encore une fois ^^] [Interrompu.] Jeu 16 Avr - 16:28 | |
| Ce qui était tendu trouva leurs compagnes tant attendu, les douces mains de la belle vinrent en contact avec les miennes. Ce contact est si agréable et chaud que je n’avais plus envie de m’en défaire malgré le temps qui pourrait nous faire face. La vie est toujours pleine d’obstacle c’est bien connu malheureusement, néanmoins le simple fait qu’elle ai accepté d’attrapé mes mains me suffisais pour entendre les battements de mon cœur. Le pelage de son compagnon était venu me caresser les jambes pendant un court instant ainsi que les siennes avant d’aller se reposé sur le drapé. Sa question est amusante, outre le fait que je n’ai ni apporté de maillot de bain avec moi et que je n’en porte pas, cela ne m’empêchera pas de me baigner je pense. Les vêtements sont fait pour être trempé d’un certain côté, ce n’est pas trop grave si mon pantalon se retrouve dans le même état que sa tenu. Mais on dirait bien que cela la dérange de savoir que je suis capable de mouillé mes vêtements pour elle, j’avais d’ailleurs pu remarquer un semblant de rougeur au niveau de ses pommettes, surement le soleil qui nous joue des tours. J’allais lui dire quelque chose mais la sensation de ses doigts entrain de s’entremêler avec les miens me firent un peu frissonner, c’est doux et protecteur, une lumière au beau milieu des ténèbres. J’avais envie de répondre à sa première question mais pour le moment je me tus en écoutant attentivement la dernière, marchant dans ses pas par la même occasion jusqu’à arriver au bord de l’eau. Une question délicat qui demande beaucoup de réflexion, mais je n’ai rien à lui caché, je vais lui dire strictement la simple vérité. Firiel et pur, lui mentir serait comme priver une fleur des rayons du soleil, jamais celle-ci ne s’épanouira et au pire des cas, elle risquerait même de faner. Je suis là c’est pour une seul et bonne raison même si je suis arrivais ici avec de l’aide, mais cela ne change rien sur le but de ma présence ici je pense, et je pense que le moyen par lequel je suis arrivais ici l’intéresse très peu. Je gardais ses doigts contre les miens, les lui caressant même avec mon pouce pour par la suite laisser mon regard se perdre dans la masse nuageuse que forment ses cheveux.
Je ne t’ai pas ressentis dans la demeure alors je suis parti à ta recherche toute la journée, c’est lors de cette recherche que j’ai croisé le chauffeur qui m’a donc amené jusqu’à toi. Je t’ai enfin trouvé Firiel …
La pression de mes doigts se fit un peu plus forte mais pas écrasante, je dirais plus souple et plus attentionné en faite. J’espère que ma réponse lui suffit amplement parce que ce n’est rien d’autre que la vérité, je l’ai cherché partout dans la ville sans pouvoir la trouver, heureusement que j’ai croisé le chauffeur en route, parce que sans lui je me demande bien où est-ce que je pourrais être en ce moment. Je n’avais toujours pas répondu à sa première question mais elle doit se douter de la réponse puisque je ne savais pas qu’elle se trouvait en un lieu où l’ont trouve de l’eau pour s’y baigner. N’allant eu aucune connaissance de sa position avant de venir la retrouver ici, je n’ai donc pas pu avoir le temps de préparer quoi que ce soit. Je continuais alors de m’approcher de l’eau, gardant toujours sa main dans la mienne afin de ressentir ce contact entre nous encore longtemps. Une fois proche de la surface je me penchais un peu, m’accroupissant presque sans en avoir les courbes arrière en contact avec le sol mais avec les talons. Ma main libre se glissa dans l’eau, caressant un peu les petites vagues, deux lueurs un peu perdu dans les ondulations brumeuse, un rêve qui ressurgit ainsi qu’un autre qui s’éloigne au rythme de l’intensité des vibrations. Sortant de cette fantaisie, le bout de met doigts laissèrent les gouttes d’eau perler tel les gouttes de pluie. Mais…Je ne sais pas trop pourquoi mais ma main se détacha de la sienne pour alors venir se posé sur l’un de mes genoux, mon regard toujours un peu perdu dans l’eau turquoise. Soudainement je me mis à relever la tête dans la direction de la douce et charmante humaine, un sourire semblable au précédent se dessina une nouvelle fois.
Si tu veux je peux toujours partir à la maison chercher un maillot de bain ^^, ainsi il n’y aura plus aucune crainte à avoir quand au fait que mes vêtements peuvent être mouillé.
Pourquoi avoir dit cela alors que le contact entre sa main et la mienne est une sensation que j’aime beaucoup, si je vais à la maison alors je me séparerais une nouvelle fois d’elle pendant un moment, et je n’ai pas envie que cela se reproduise entre nous. Je n’ai nul envie de me séparer d’elle une nouvelle fois. Pour changer un peu l’ambiance donné par mes paroles, je me mis à nouveau à glisser ma main dans l’eau pour cette fois-ci lui en envoyer un peu dessus, histoire de l’amuser aussi par la même occasion. | |
| | | Firiel Hanabashi Humaine
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| Sujet: Re: S'envoler ou sombrer? [PV Tsukasa-sama, encore une fois ^^] [Interrompu.] Dim 26 Avr - 4:51 | |
| Le soleil, à cette heure-ci, n'était déjà plus dans le ciel. Mais si Tsukasa-sama avait su que sa soumise avait une santé fragile, ce qu'il aurait pu deviner à sa constitution plutôt chétive et à sa sensibilité aux changements de température, il aurait pu penser à une insolation. Ah, non! C'était loin d'être une insolation, mais l'aveugle ne pouvait s'empêcher de se représenter la silhouette masculine sans ses vêtements, après tout, il devait bien aller à l'eau, il ne comptait peut-être pas y aller habillé... Elle secoua frénétiquement la tête. Stop les pensées malsaines, stop, stop, stop! Elle sourit maladroitement pour rassurer le maître, éprouvant un semblant de culpabilité de songer à ces choses. Ses doigts caressaient les siens, et elle commença à en faire de même, tandis qu'elle sentait son regard posé sur elle et que sa voix mélodieuse faisait naître au creux de ses entrailles des battements irréguliers et puissants. Ce qu'il lui disait la touchait beaucoup, beaucoup trop, et elle eut peur, un instant, de chavirer. Elle aurait voulu l'enlacer, lui chuchoter de tendres paroles et lui confier qu'elle voulait aussi le revoir. Mais plutôt que d'entraîner l'ange contre elle pour ensuite passer ses bras autour de son torse, elle amena sa paume à ses lèvres, puis y déposa un baiser d'une infinie douceur. Elle se sentait bien à ses côtés, et elle voulait y rester, parce qu'il était le seul et l'unique homme qu'elle aimait, qu'elle le chérissait comme la plus précieuse de gemmes, comme sa vie. Il était tout cela pour elle, la représentation sacrée d'un être divin. Quoiqu'il fasse, elle lui accorderait son pardon. Même s'il la blessait, elle reviendrait vers lui, toujours, car elle se savait incapable de lui résister sur le long terme. Elle était incapable de le haïr, et elle ne savait faire qu'une chose à la perfection, c'était l'aimer. Elle aimait tout, chez lui, son parfum qui l'emplissait d'euphorie à chaque fois qu'elle avait l'occasion de le respirer, sa peau satinée dont elle rêvait d'embrasser chaque centimètre, sa voix qui la faisait obéir au doigt et à l'oeil. Elle aimait cette attitude désinvolte, ce calme olympien et les attentions qu'il lui portait sans le lui avouer. Si elle était folle, c'était bien d'amour. Ils cheminèrent encore jusqu'au bord de l'eau, et Tsukasa-sama s'accroupit. Sa soumise dévouée et fidèle s'agenouilla auprès de lui. Le bruit de l'eau qu'il caressait faisait croître, en elle, l'envie d'être l'unique receveuse de ces caressses. Elle allait jusqu'à envier cette eau traître qui dérobait l'effleurement des doigts longs et fins du maître, tandis qu'ils auraient pu être posés sur elle, et sur son corps. Elle restait droite, un sourire aimable aux lèvres, tandis qu'elle l'écoutait. L'humaine appréciait ces moments de calme et de sérénité passés en sa compagnie, mais lorsqu'il parla d'aller à la demeure, et donc de se séparer d'elle, elle tiqua. Ah, ça, non, elle ne le laisserait plus s'échapper, car maintenant qu'elle le tenait, elle comptait bien le garder! Elle s'apprêtait à répondre lorsqu'une gerbe d'eau s'abattit sur elle, envoyée par un ange apparemment décidé à jouer les farceurs. Firiel se figea pendant quelques secondes, interdite. Puis, très calmement et sans un mot, le dos de sa main vint récolter le liquide du lagon qui coulait sur son visage impassible. Elle fronça les sourcils, relevant la tête vers son aimé, et ses doigts fondirent à grande vitesse sur la masse dans laquelle l'aveugle craignit de tomber quand elle sentit son équilibre virer au précaire. Mais la chance était avec elle, et elle se retint de justesse au rebord pour ne pas finir à l'eau, comme Tsukasa-sama lors de leur derniers échanges. À cette pensée, un graaand sourire presque moqueur orna son visage, et elle renvoya le colis à son expéditeur, joignant une plus grande quantité d'eau à son cadeau que ce qu'avait fait l'ange. Le bruit sourd de l'eau ruinant la chemise -très certainement en soie, et zut, hein?- du maître lui indiqua qu'elle n'avait pas raté sa cible. Puis, elle se coula très rapidement devant lui, riant tout bas. Ses mains se posèrent pour l'une sur son épaule droite, pour l'autre sur son genou gauche. La première remonta jusqu'à la nuque, et la deuxième s'aida de la position de sa compagne pour trouver la joue du maître et ainsi maintenir son visage face à elle. Elle se rapprocha encore, encore, jusqu'à sentir son front contre le sien, et son souffle chaud contre son menton et, plus bas, la naissance de sa féminité à peine protégée des regards par son maillot de bain.
Désolée, finalement, je crois que ça ne servira à rien de retourner à la maison.
Elle sourit, ces paroles n'avient été qu'un vague murmure. Elle avait rêvé, durant la semaine, de quelque chose de fabuleux, et si elle l'avait voulu, elle aurait pu exaucer son souhait. Maintenant que l'occasion lui en était offerte, elle n'allait pas se gêner! Lentement, ses pétales trouvèrent ceux de Tsukasa-sama, dans une union parfaite, pour les sceller entre eux par un baiser chaste et tendre. C'était tout ce qu'elle avait espéré, pouvoir l'embrasser sans lui demander son avis, juste le sentir contre elle tandis qu'elle passait ses bras autour de son cou, à genoux face au maître vénéré tandis qu'il restait accroupi. | |
| | | Tsukasa Hishima Oyaka Mafieux
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| Sujet: Re: S'envoler ou sombrer? [PV Tsukasa-sama, encore une fois ^^] [Interrompu.] Dim 26 Avr - 5:30 | |
| Encore cette pensée qui lui trotte dans la tête, il n’est pas capable de se séparer d’elle pour ce soir. Le soleil n’est plus dans le ciel et les vagues flamboyantes avaient elles aussi quitté la scène pour laisser place à une nouvelle actrice, la lune accompagné de ses danseuses, les étoiles. La charmante personne vers qui balancent les battements de son cœur ainsi que ses pensées en ce moment avait l’air plus que surprise de recevoir le liquide pur qu’est l’eau du lagon. Surprise ou dégouté, il ne saurait quoi vous dire exactement mais c’était à la fois amusant mais aussi embêtant parce qu’il ne savait pas s’il l’avait blessé ou pas. L’eau n’avait pas l’air de la troublé pourtant, mais son geste lui par contre c’est comme s’il avait été de trop dans l’atmosphère qui venait de se créer entre eux deux. Ont dirait bien que son côté un peu joueur n’est pas vraiment désiré pour ce soir ou du moins la situation est mal choisi pour y faire appel, mais en tous cas ça avait pour effet de faire bouger la belle et c’est d’ailleurs ce qui ce produit. La conséquence était loin d’être celle dont il se doutait mais il faut bien des imprévus un peu partout sinon la vie risque bien d’être ennuyante si elle est prévisible. Il avait parler de rentrer à la maison pour prendre des vêtements de rechange ou un maillot de ban pour pouvoir se baigner, et bien maintenant à cause de sa propre bêtise il n’a plus aucune raison d’y aller puisque le mal est déjà fait. Ce qui a était prêté doit être rendu, c’est ce qui lui arriva mais en plus grande quantité. C’est comme offrir du chocolat la jour spécial pour avoir en retour un cadeau dix fois plus important que le chocolat offert, là c’est à peu prés la même chose mais avec de l’eau. Quelques gouttes en échange d’une sensation froide au niveau du torse et du visage, c’est en effet ce que l’ange à ressentit lorsque la charmante Firiel s’était approché de l’eau pour lui rendre ce qu’il lui avait envoyé mais en une quantité plus importante. De simple goutte et voila que la chemise prend alors une teinte légèrement différente voir presque transparente, la matière maintenant mouillé se mit à coller à la peau du propriétaire, épousant ainsi les formes et courbes de son torse et autre partie du corps censé être caché par la chemise. Il n’avait pas le droit de dire quoique ce soit puisque c’est lui qui à chercher la guerre, d’ailleurs elle ne lui laissa pas vraiment le temps de dire ou de faire quoique se soit puisqu’il fut maintenu tout d’abord par l’épaule tout en sentant l’appuie de la belle sur son genou. Petit à petit au rythme de son avancée il se mettait à prendre des couleurs, le visage de Firiel était de plus en plus proche et les battements de son cœur qui ne cessèrent d’accélérer, le pauvre ne savait plus trop quoi faire face à elle. Son souffle est si proche, son front si chaud et agréable, son sourire quand à lui est merveilleux et plein de douceur. Tout chez elle le rendait heureux même s’il ne le montre pas souvent, il est comme ça, il ne montre jamais ce qu’il pense ou veut réellement. Il pouvait d’ailleurs ressentir son propre souffle revenir un peu, surement à cause des remparts sur lesquelles il souffle qui sont un peu trop rapprochés de lui, des remparts certes intéressant mais qui n’attire pas le regard de l’ange pour autant. Ses yeux sont braqué sur le visage de la douce qui lui fait face tel un tigre qui se préparé à charger sur sa proie. A en entendre le son de sa voix, on dirait qu’elle avait fait exprès de mouiller sa chemise afin qu’il ne rentre pas à la maison, serait-elle sournoise comme lui au point de faire un coup comme celui-ci, si ce n’est pire…
Alors qu’il allait cette fois-ci ouvrir la bouche pour dire quelque chose, une agréable sensation pleine d’amour vient à son contact. Les lèvres de Firiel sont si douces et chaudes, d’une pureté qui en fait rougir l’ange mais qui le rend aussi incapable de la repousser. Alors que lui est accroupi, elle est à genoux face à lui avec ses bras autour de son cou et ses lèvres contre les siennes, un échange doux et langoureux que l’ange n’a pas envie de brisé. Malheureusement il y a une fin à chaque bonne chose et c’est donc pour cela que le contact entre leurs fleurs prit fin pour les laisser respirer un peu. Les joues de l’ange sont un peu rose ce qui est assez rare à voir, il ne savait pas trop quoi répondre face à cet élan d’amour vis-à-vis de lui. Il ne s’avait pas en faite qu’ont était capable de l’aimer et de le lui prouver ainsi sans avoir aucune peur de ce que cela pourrait engendrer, sans avoir peur de sa réaction à lui l’ange au regard et au passé si étrange et mystérieux. Il n’avait pas bougé pendant cet échange à part peut-être ses lèvres pour prolonger encore plus l’instant merveilleux qui c’était offert à lui, ses mains se reposaient sur le sol le long de son corps. D’ailleurs la plus humide des deux, celle qui avait envoyé quelque fine gouttelette sur la peau svelte de la belle vient se glisser dans son dos derrière le rideau de neige que forme sa chevelure, son regard toujours sur elle et un grand sourire au coin des lèvres, il réclamait encore se contact une nouvelle fois sans trop s’en rendre réellement compte. Doucement mais avec légèreté il se laissa tiré en arrière comme si la gravité se montrait trop imposante pour lui, les courbes arrières rentrant alors en contact avec le sol tandis que son dos lui vint s’allonger sans brutalité. Il avait entrainé son amante avec lui dans sa « chute » pour qu’elle puisse se retrouvait contre lui mais aussi sur lui, faisant même don de son corps pour servir de matelas ou de serviette de plage pour elle. Ce qu’il y a de plus beau entre eux c’est qu’ils ne parlent pas beaucoup mais malgré cela ils se comprennent étrangement, les gestes en disent bien plus que de simple mot mais pourtant, c’est avec les mots qu’ont en apprend aussi un peu plus chaque jours sur les autres. Il ne la connait que très peu et pourtant il ressent un fort sentiment pour elle qui le réchauffe à chaque fois qu’elle est proche de lui, sa présence à ses côtés est vraiment très importante et la voir disparaitre pourrait lui faire très mal. Il ne la veut que pour lui et à personne d’autre, mais, elle est humaine, il n’a pas le droit de lui imposer les chaines invisible qui la relierait à lui pour toujours. Chassant rapidement cette pensé de son esprit, il revint à la réalité et se mit donc à lui caresser le dos avec la plus grande délicatesse qu’il possède.
Je t’ai proposé un bain de minuit mais je pense que je vais aussi passer la nuit à la belle étoile, je n’ai pas très envie de rentrer à la maison ce soir. Par contre si tu as sommeil, je ne t’interdis pas de rentrer pour te reposer dans un bon lit chaud. ^^
Est-ce si étrange de le voir aussi calme alors que pourtant il aurait du réagir différemment, du genre la repousser ou lui dire des mots tel que « je t’aime » et bien d’autre encore. Il a toujours était étrange et pourtant c’est ce qui le rend si particulier, bien qu’il lui ai proposé de rentrer à la maison pour dormir, il n’a pas envie qu’elle le fasse, il veut qu’elle reste ici auprès de lui et si possible partager ce ciel. Une main qui se promène dans le dos de la belle, elle doit certainement avoir des frissons à cause de l’humidité encore présente sur la peau angélique. Il avait cessé de jouer mais il vint coller son front au sien pour alors taquiner le bout de son nez avec son semblable, toujours joueur malgré la situation. Peut-être est-ce parce qu’elle le rend euphorique et qu’il essaye de le cacher en déversant un peu de sa joie en la taquinant un peu, c’est ça façon à lui de lui montrer combien elle est importante pour lui mais de manière pas trop direct. | |
| | | Firiel Hanabashi Humaine
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| Sujet: Re: S'envoler ou sombrer? [PV Tsukasa-sama, encore une fois ^^] [Interrompu.] Lun 27 Avr - 23:17 | |
| Firiel, sournoise? Jamais! Même pas un chouilla! Elle ne l'aurait jamais admis. Mais puisque Tsukasa-sama voulait jouer, et bien, ils allaient jouer. Mais ils se livreraient à quelque chose de beaucoup moins puéril que de simples gouttes d'eau envoyées sur l'un ou sur l'autre. C'était d'abord la surprise qui avait envahie la jeune femme en sentant le liquide venir se heurter à la peau de son visage, puis elle avait feint un agacement muet. C'était parfois si amusant de leurrer le maître, même si bien souvent, il parvenait à la sonder. Mais là, c'était ainsi qu'elle avait voulu s'amuser. L'ange, en captant son calme orageux, lui avait laissé le temps de se venger en bonne et dûe forme. Mais pour détendre l'atmosphère, et également parce qu'elle en avait envie, l'humaine l'avait embrassé. Et il ne l'avait pas repoussée. S'il l'avait fait, son orgueil de femme aurait très certainement été blessé, et elle se serait ensuite remise en cause... N'était-elle pas au goût de Tsukasa-sama? Qu'avait-elle donc fait pour qu'il refuse d'échanger avec elle un nouveau baiser? Mais tout cela n'avait pas eu lieu. Leurs lèvres s'étaient jointes, et ce contraste si saisissant de température entre les deux paires de pétales lui avaient arraché un frisson qui chuta de la naissance des cheveux, épousa la courbe de l'échine pour venir périr au creux de ses reins avec une lenteur exquise et presque étudiée. C'était terriblement doux, et cette caresse échangée entre eux la rendait à chaque fois un peu plus dépendante. Si elle s'écoutait, elle n'aurait jamais rompu ce contact, et l'aurait répété à l'infini. Elle voulait l'aimer de toutes les façons qu'il soit. Elle voulait lui montrer toute l'étendue de son affection sans qu'il ne se débatte ou qu'il ne bronche sous ses mains agiles et ses lèvres prêtes à prodiguer des chapelets de baisers. Elle aurait aimé sentir qu'il prendrait les initiatives, mais ça ne lui ressemblait pas. Tsukasa-sama n'était pas le genre à faire ça, il craignait sans doute de la blesser, ou peut-être n'avait-il simplement pas envie de rendre ces marques de tendresse qu'elle s'appliquait et s'appliquerait éternellement à déposer sur sa peau et à graver dans son coeur et son esprit. Cette pensée peina un peu Firiel; elle avait aussi besoin de sentir qu'il éprouvait quelque chose. Elle voulait se débarrasser de cette impression de faire des efforts dans le vide, comme si de l'autre côté, personne ne recevait ce qu'elle envoyait et qu'elle n'obtenait pas de retour. Elle voulait être prête à donner sans compter, mais toujours, elle sentait une petite voix insidieuse lui dire qu'il lui fallait quelque chose, à elle aussi, ou elle ne tiendrait pas longtemps à faire la cour sans obtenir de résultat. La preuve étant qu'il s'était simplement laissé faire, entrouvrant et mouvant à peine ses lèvres pour en réclamer davantage sans le dire ouvertement. Elle se demanda de quoi il avait peur, s'il craignait une réaction négative. Pourtant, sa raison lui disait qu'elle faisait tout pour le satisfaire. Ou peut-être qu'elle se trompait. La réflexion profonde de l'aveugle fut reléguée au second plan lorsqu'elle se sentit happée vers l'avant, contre l'ange. Diantre, avait-il pedu l'équilibre? Aussitôt, la main gauche de Firiel remonta de la nuque jusqu'à l'arrière de la tête brune, à travers les cheveux. Elle ne savait pas si en plaçant ainsi ses doigts, le choc avec le sol serait moins douloureux. Mais de toute manière, la "chute" n'avait pas été violente. Elle avait pensé qu'elle ne serait pas attirée lorsqu'elle l'avait senti fuyant. Elle n'avait pas prit garde à la main encore humide qui était venue s'installer dans son dos, au milieu des marques, avec fourberie et discrétion. Aussitôt, comme si son cerveau déclenchait les mécanismes des frissons en même temps qu'il s'aperçevait de la présence des doigts longilignes et caressants près de sa colonne vertébale, elle fut secouée d'intenses... Frissons? Non, c'était plus puissant que cela. Son sang accéléra sa course, et ses paupières se joignirent, finalement closes pour mieux savourer la délicatesse versée dans chaque effleurement. S'il continuait à ce rythme, elle allait devenir folle; ce n'était peut-être pas grand-chose, mais Firiel n'était pas accoutumée à ce type de contact, et les nerfs de son dos avaient réagi en sens inverse à chaque séance de torture. Plutôt que de devenir de moins en moins sensible à la douleur, elle avait l'impression qu'au contraire, chaque sensation de toucher s'accentuait. Sa cécité y avait sans doute une part d'importance. Son autre main, celle qui ne soutenait pas la tête de Tsukasa-sama, était posée entre son torse et son bras, dans l'espace étroit que le poignet avait réussi à se faire. À l'idée qu'en fléchissant son coude, elle serait contre lui... Elle s'empourpra à une vitesse hallucinante, et avec une rare vivacité. Mais il la retenait toujours, sans doute involontairement, avec ces ondoiements le long de sa peau nue, elle espérait qu'il ne sentirait pas les aspérités creusées par les cicatrices au fil des ans passés auprès de Léonard. Il parlait de dormir à la belle étoile, elle laissa un sourire tendre venir border ses lèvres charnues. Elle ploya finalement, rougit davantage encore en sentant les sphères de chair se heurter à son torse tandis que ses genoux, auparavant placés chacun d'un côté du maître, tentèrent tant bien que mal de régulariser leur ligne, pour qu'elle s'achève droite. Elle était soulevée par son souffle à un rythme régulier et calme, c'était assez amusant, et ses cheveux qui formaient un rideau nuageux autour d'eux avant qu'elle ne s'allonge de toute sa petite longueur sur lui se déployaient maintenant en larges et nombreuses spirales rondes sur l'herbe tendre, pour quelques-unes sur les bras et les épaules du maître. Elle ne lui répondit pas, ce lit-là était celui qu'elle désirait adremment depuis quelques temps, celui dans lequel elle dormirait le mieux. C'était dans les bras de Tsukasa-sama qu'elle était le plus heureuse. Le bout de son nez vint se frotter au sien, et un autre sourire dévoila deux rangées de dents blanches et régulières, à l'exception de deux canines surdéveloppées par rapport à leurs camarades. Elle maintint le petit jeu pendant quelques secondes, et finalement lassée, elle enfouit sa tête au creux du cou brûlant, se délectant de sa chaleur tandis qu'elle posait l'oreille contre l'angle osseux de sa mâchoire. Sans vraiment contrôler son geste, elle fit sortir sa langue, ou plutôt le bout de sa langue, et vint le promener d'abord près du lobe, puis derrière l'oreille de Tsukasa-sama, experte. Elle redescendit en une flèche droite vers la vasque formée par son épaule et sa nuque. Son sang était ardent, elle le sentait pulser sous sa peau fine et délicate. Elle était délicieuse, la plus raffinée des confiseries, et avait encore un autre avantage, celle-ci ne faisait pas grossir. | |
| | | Tsukasa Hishima Oyaka Mafieux
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| Sujet: Re: S'envoler ou sombrer? [PV Tsukasa-sama, encore une fois ^^] [Interrompu.] Lun 4 Mai - 3:22 | |
| La vie est bien cruelle parfois mais hélas on y peut rien, on ne peut changer le monde avec quelque graines. Que faire alors lorsque l’ont se retrouve seul ? Lorsque l’ont à tous perdu, il n’y à plus d’espoir à ce moment là. Les larmes vous viennent mais vous faites tous pour les retenir, elles ne doivent pas se déverser au-delà du mur que vous fondez devant elles. Il existe des univers bien différent de celui que l’on voit tous les jours, mais y a-t-il dans ces univers les mêmes joies qu’ici, nous sommes bien mieux chez nous malgré ce que l’on peut dire. Certes il y aura toujours un petit détail qui fâche mais même sous les emportements de la colère, la rancœur et bien autre encore, on reviendra toujours dans notre foyer parce que c’est là que notre cœur à commencer à s’épanouir. Mais quel est vraiment la matérialisation du mot « foyer » dans cet univers ? Il existe plusieurs variante de matérialisation pour ce simple mot, un foyer c’est un lieu mais ça peut tous aussi être la place auprès d’une personne qui compte pour nous. Existe-t-il un foyer pour l’ange aux yeux rouges ? Allez donc savoir s’il en à réellement un. Sa demeure n’est rien d’autre qu’un endroit où il passe tranquillement ses nuits, mais ce n’est pas son foyer, sa place n’est pas réellement dans ce lieu. L’inconnu est un sentiment qu’il déteste, mais il trouvera plus tard le sens de ce mot, pas maintenant mais ce qui est sûr, c’est qu’il ne sera peut-être pas déçu. Pour le moment, ce qui ce matérialise c’est la présence de deux être dans une forêt au pied d’une montagne avec une eau pur à la couleur turquoise. Cette merveilleuse eau a pour habitude de scintiller au soleil, mais là ce n’est pas le soleil qui daigne l’éclairer de ses rayons mais tout bonnement la lune. Douce est la chaleur que l’ange que je peux ressentir contre mon cœur, dans le silence de la nuit un battement raisonne au creux de mes oreilles, qu’est-ce donc ? Mon Cœur peut-être, ou bien est-ce celui de la charmante jeune femme. D’ailleurs celle-ci avait des réactions particulières lorsque mes doigts angélique vinrent en contact avec l’épiderme de son dos, surement est-ce à cause des marques de son passé dont j’avais eu connaissance il y a quelque jours. Je me sentais bien ainsi allongé dans l’herbe fraiche et humide, une délicieuse sensation pour le dos qui se retrouve alors bercé par les fines gouttelettes naturel. Heureusement pour moi, la fraicheur dans mon dos est compensée par une agréable chaleur provenant du corps fragile qui se trouve maintenant contre moi après un fléchissement des membres. Ce corps si chaud, cette odeur si douce, mais surtout ce cœur tant désirable, je me demande si je suis déjà au paradis ou pas. La sentir collé contre moi me fais frissonné dans toute ma splendeur, me mettant même dans tout ses états angélique, perdu et noyé dans toutes les sensations que m’offre la belle humaine. Dans cet univers de pure folie, je fus vraiment surpris en sentant une surface un peu humide venir en contact avec le lobe de mon oreille, la langue de la belle était venue me faire des petites caresses lentes et pleines de délicatesse. Je ne savais pas trop comment réagir face à cela, c’est un tel délice, un mélange de sensation qui plus tard donnera certainement forme à une pâtisserie forte appétissante je pense. Le chemin qu’elle emprunte est vraiment agréable, cette petite escapade me faisais frissonné et même un peu gesticuler de droite à gauche mais très légèrement, certes, elle pouvait le ressentir parce qu’elle est contre moi. Maintenant que sa course est terminé, je me sens déjà un peu plus dans l’état de contrôler mes mouvements en étant parfaitement conscient, c’est incroyable n’est-ce pas le simple effet qu’elle avait pu produire sur moi. Peut-être que cette réaction est ainsi parce que sans le voir, nous somme lié par un fils en or qui ne se voit qu’avec le cœur. Ma main qui se trouvait dans son dos glissa lentement le long de sa colonne vertébrale pour venir se refugier sous la masse grise pour ne pas être vu lors de son escapade sur le derrière de sa tête. Sans trop savoir réellement pourquoi, j’inclinai la tête sur le côté pour alors lui tendre convenablement mon cou, c’est comme si je l’invitai à poursuivre en faite. Le petit jeu ou les caresses que sa langue pouvait prodiguer au cheminement de mon épaule jusqu’à mon cou me faisais vraiment du bien, s’est une sensation vraiment agréable et les battements de mon cœur commençaient peu à peu à s’harmoniser avec les siens. Maintenant c’est au tour de mes lèvres de devenir folles, désirant le contact de celles de la belle et de s’unir avec. C’est donc pour cette raison que je ne lui laissai pas d’autre choix que de s’arrêter là afin de pouvoir unir les fleurs à leur vase, la princesse à son trône et autre comparaison. Ce gout est vraiment remarquable je dois bien l’avouer, un gout qui en ferait rêver plus d’un mais qui malheureusement pour eux, je compte le garder uniquement pour moi…De l’égoïsme ? Mais pas du tout, simplement de la possessivité. Mais bon, mis à part cela, je ne peux monopoliser ses lèvres encore plus longtemps, elle doit bien avoir envie de rompre le contact un instant. Oh oh, grande surprise, l’assaut sur ses lèvres ne pas réellement suffit, je veux encore bien plus que cela, c’est donc pour cela que de ma petite langue rose je vins taquiner le bout de son nez avec un petit sourire joueur et un regard quémandeur. De son petit nez j’en vins encore à ses lèvres, ne m’attardant même pas dessus, je les effleurai à peine pour venir mordiller son menton. Mordillement et léchouille, voila un menton qui a subit un amusement angélique dont j’ai le petit secret, mais son jeu ne s’arrête pas là parce que cette fois il s’attaque un peu en dessous du menton, son joli petit cou adorable et tendre. C’est un jeu de sensualité ou peut-être de séduction, même si c’est peut-être pas du tout utile de jouer à ce genre de jeux sur elle…En tous cas je m’amuse et je prend beaucoup de plaisir, ma langue était maintenant dans son cou tandis que mes mains ne cessèrent de lui caresser le dos avec douceur, faisant même mon possible pour éviter les marques de son passée qui resteront à jamais gravé sur son corps. | |
| | | Firiel Hanabashi Humaine
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| Sujet: Re: S'envoler ou sombrer? [PV Tsukasa-sama, encore une fois ^^] [Interrompu.] Mer 6 Mai - 23:29 | |
| Firiel savait déjà où se trouvait son foyer. C'était l'étreinte de Tsukasa-sama. Ses bras avaient l'étrange pouvoir de l'apaiser, et la sérénité l'emplissait à chaque fois qu'il daignait l'enlacer. Le creux de cet arceau passé autour de ses épaules était réconfortant, elle avait l'impression d'être un petit chaton, blottie de cette façon contre son maître bien-aimé. Les attentions de ce dernier envers sa soumise la rendaient toujours plus dépendante. Elle aimait Tsukasa-sama, jusqu'à la folie. La paix était ce qu'elle était venue chercher auprès de lui, et elle était satisfaite de ce qu'elle avait trouvé. Ce n'était peut-être pas ce qu'elle avait désiré au départ, mais c'était tout aussi plaisant. Elle avait encore le goût exquis de sa peau sur ses lèvres, la balance entre l'amertume, l'acidité et le sucré fournissait un équilibre parfait entre ces saveurs si différentes qui se propageaient sur sa langue au fur et à mesure de son avancée sur ce terrain presque connu. Elle était déjà passée par là de cette façon, lèchant sensuellement l'épiderme soyeux qui frissonait sous la salive de l'humaine. Elle s'était arrêtée un instant. Comment Tsukasa-sama l'avait-il emmenée si loin? Le monde extérieur n'existait plus aux yeux éteints de Firiel lorsque l'ange se trouvait à proximité. Elle ne songeait qu'à lui, qu'à sa voix, son parfum, ses bras, sa peau, ses lèvres. Elle oubliait le reste. Ce qui comptait, c'était la présence du maître, et tous ces petits détails qui la façonnaient. Elle aurait pu reproduire avec exactitude le bruit de sa démarche lente et souple, l'intervalle entre chaque chaque inspiration et expiration. Elle ne les avait pas appris, ils s'étaient imposés d'eux-mêmes dans son esprit qui les avait enregistrés avec un soin exceptionnel. Son ton changeant et doux, mais empreint d'une gravité à laquelle Firiel se soumettait volontiers, n'avait plus de secret pour elle. Elle parvenait à capter la moindre saute d'humeur, car elle s'y était entraîné maintes fois. C'était un véritable culte qu'elle lui vouait, mais il ne semblait pas s'en rendre compte. Tant pis, c'était ce que l'aveugle était tentée de se dire. Mais faire autant d'efforts pour ne rien obtenir en retour déclenchait un déluge de rage et d'impuissance en elle-même. Elle essayait bien de contenir ses élans trop passionés, par peur d'y noyer le maître. Mais les digues et les barrages mentaux qu'elle crééait cédaient toujours face aux courants trop violents. Elle ployait misérablement, abattue par la pensée de ne pas lui plaire ou de ne pas être assez persuasive pour qu'il décide de lui montrer toute l'étendue de son affection. Elle oubliait la timidité harassante qui collait toujours au maître comme la pire des tiques. Avec lui, elle se sentait à l'aise. En conséquence, pensant que tout le monde faisait comme elle, elle pensait qu'il relâcherait aussi la pression. Mais c'était dans sa nature, peut-être, de se montrer aussi réservé. Elle ne pouvait pas lui en vouloir, surtout dans sa position actuelle. Allongée de tout son long sur lui, elle sentait chacune des excroissances qui formaient ce corps désirable. Sous ses courbes marquées, elle sentait celles, beaucoup moins sphériques, du maître. Son torse n'était pas plus large que ceux contre lesquels Firiel avait été obligée de se blottir, plus jeune, ni plus large que celui de son père. Elle aimait pourtant ce buste dessiné avec délicatesse, qui ne possédait ni force, ni carrure spécifique, mais qui lui suffisait amplement, car sa taille mince s'y trouvait bien. Leurs silhouettes se mariaient entre elles avec harmonie. Que demander de plus que cela, ajouté au caresses qu'il faisait courir dans son dos? Elle était secouée de frissons, la zone était très sensible, mais pas dans le sens habituel. Il éveillait ce qui n'avait jamais été éveillé chez elle. La démone toquait à la porte. L'humaine se trouva incapable de refuser, et lui laissa la place. Il avait déjà offert son cou, glissé ses doigts dans ses cheveux lorsqu'elle laissa libre cours à sa tendresse et à sa folie amoureuse. L'amour qu'elle lui portait, comme la colère qu'elle éprouvait lorsqu'elle croyait ne pas mériter ce qu'il lui offrait, était une passion violente. Et toutes les passions violentes se muaient chez elle en des folies passagères. Elle l'avait senti gigoter sous elle, ce qui était loin d'arranger la situation, au final. Puisqu'elle devinait sa chair et les contours de ses hanches lorsqu'il le faisait. Ses fines chevilles se trouvaient entre les siennes, ses jambes galbées étaient affalées sur leurs compagnes, ses cuisses ne décollaient pas de celles du maître. Firiel n'était pourtant pas gênée. Elle aimait au contraire sentir son enveloppe charnelle contre la sienne. C'était si rare, à son goût... Elle n'eut pas tout le loisir de se délecter de cette chaleur puissante qui se propageait à une vitese hallucinante dans son sang et ses entrailles. Il l'embrassa, et l'union de leurs lèvres fut savourée à sa juste valeur, avec un soin exemplaire et une affection inégalée. L'aveugle avait simplement les joues rosies, rien de plus, lorsque le contact se rompit. Elle s'apprêtait à replonger son visage dans ce creux chaud, elle était aussi brûlante, mais un petit coup de langue sur le bout légèrement retroussé de son nez la surprit. Elle resta quelques secondes sans bouger, ouvrant à demi ses yeux grisaillants. Elle parvenait à contrôler suffisamment ses pupilles pour qu'elles se fixent droit devant, sur le visage du maître. Elle ne voyait pas, mais qu'importe, lui verrait à quel point elle le désirait, aussi bien de façon visuelle que de façon tactile. Ses dents, presque plus aiguisées que ce qu'elle pensait, assaillirent son menton, et elle ne put s'empêcher de rire tout bas devant ce petit jeu auquel il aimait gagner. Mais elle avait aussi envie de s'amuser! Il descendit le long de sa gorge, et embrassa son cou. Elle referma les yeux, et crut que le moment était propice à une déclaration. Elle prit une profonde inspiration, et tenta de rassembler ses esprits et son sérieux, malgré les chatouilles qui s'attaquaient à sa peau et à ses muscles palpitants. Un vilain noeud se forma au niveau de ses cordes vocales. Gros blocage. Elle resta interdite, stupéfaite de sa propre incapacité à confier ce qu'elle pensait. Elle réessaya, jura mentalement, pesta, mais rien n'y fit. Elle était certaine que Tsukasa-sama n'avait rien remarqué, il était trop occupé, plus bas, à choyer le cou offert de son esclave. Cette dernière se détendit en se focalisant de nouveau sur les sensations procurées par la langue experte. Un long et puissant soupir franchit la porte de ses lèvres qu'elle avait amenées près de l'oreille du maître, presque par réflexe. Il couvrit le lobe et l'espace compris derrière l'oreille. Elle était ravie de l'emplacement, heureuse que son inconscient lui ait dicté de soupirer à ce moment et à cet endroit. À la fois de bien-être, elle ne pouvait qu'apprécier ce qu'il lui faisait, mais aussi par lassitude, elle n'arrivait toujours pas à retranscrire ses sentiments par la parole. Elle mit cela de côté pour l'instant, si elle n'y parvenait pas aujourd'hui, elle le ferait un autre jour... Firiel prit conscience à ce moment, de l'herbe tendre qui poussait sous ses doigts. Les pointes vives et taquines chatouillaient sa main, et elle jugea qu'il s'agissait d'un bon lit pour cette nuit. Tsukasa-sama dormirait bien, là. Il ,ne s'arrêtait pas, elle ne demandait pas mieux que de continuer ce jeu. Son coeur battait la chamade, si fort qu'elle eut peur, un instant, de le sentir franchir les limites de sa cage thoracique pour bondir hors de sa poitrine. Le calme environnant contrastait avec la semi-folie dans laquelle elle était immergée. L'ange y participait grandement. Le clapotis de l'eau était une symphonie qui n'était jouée que pour eux, ce soir, un petit concertino qui leur était destiné. Le temps était doux, agréable, ils n'auraient pas froid. Firiel fut prise d'une soudaine montée d'adrénaline, ses nerfs se tendirent, et elle se releva comme auparavant au-dessus du maître, retirant son cou aux lèvres qui étaient venues s'y échouer. La main qui se trouvait sous la tête du maître s'en écarta, et du bout des doigts, elle effleura sa joue rouge. Il ne changera jamais. Un sourire étira ses lèvres, et elle s'avança encore un peu plus au-dessus de lui, , sa tête au niveau de la sienne mais plutôt sur le côté, pour se laisser retomber d'un coup sec. Elle coupa le souffle angélique, pendant un instant, et ses mains se posèrent sur ses épaules qu'elle caressa lentement, par-dessus la chemise, pour le rassurer sur ses intentions. Elle n'avait pas voulu lui faire de mal, juste s'amuser un peu. Mais aussitôt, elle attrapa entre ses doigts les pointes des mèches brunes, pour exercer une légère pression dessus. Elle le força à lui offrir de nouveau son cou, sans violence, mais avec une multitude de baisers humides qu'elle déposait à la chaîne sur sa gorge et la rencontre des deux clavicules. Tsukasa-sama oubliait toujours de boutonner le haut de sa chemise, c'était parfait... Elle insinua caresses du bout des doigts et effleurements du bout des pétales charnus jusqu'à l'épaule, sous le tissu, même, tant qu'elle pouvait l'écarter afin d'ouvrir le chemin. Prise dans un tourbillon de sensualité, elle se fit charmeuse et vaporeuse, contrairement à son habitude. Du même temps, son corps s'affaissait davantage sur le sien. Entre deux baisers, elle cala un "Tsukasa-sama" à peine murmuré. Pouvoir s'occuper de l'autre était un privilège, et elle était bien consciente de l'avoir volé à son amour. Elle était prête à le lui voler de nouveau s'il s'avisait de le reprendre. Maintenir ce jeu les amusait tout deux, mais Firiel ne comptait pas perdre. Question sensualité, douceur, et charme, elle savait y faire, tant que c'était cet homme qu'elle chérissait comme sa vie qui était celui qui recevait ses attentions. | |
| | | Tsukasa Hishima Oyaka Mafieux
Nombre de messages : 145 Age : 36 Date d'inscription : 01/09/2008
Maîtres/Soumis Orientation sexuelle: Hétéro Maître de: Firiel, Keiko Soumis par: un coeur appartenant à une humaine
| Sujet: Re: S'envoler ou sombrer? [PV Tsukasa-sama, encore une fois ^^] [Interrompu.] Dim 10 Mai - 9:45 | |
| La liberté est une sensation que tout le monde souhaiteraient avoir, mais on ne sait pas trop pourquoi, cette sensation n’est pas permise à qui que se soit. Que l’ont soit riche, indépendant, que l’ont vivent dans un beau foyer avec les personnes que l’ont aiment, la liberté ne nous ai pas encore offerte malgré ce que l’ont peut croire. Parfois on croit l’être mais ce n’est pas le cas, il y aura toujours un accrochement de notre cœur qui nous dictes ce que l’on doit faire, nous ne somme libre de rien à part peut-être des mots que nous laissons sortir de nos lèvres même si ceux-ci sont parfois retenu. Les anges et les démons tout comme les humains et le reste ne sont pas plus libre qu’eux pour autant, malgré la position de certain, ont est tous contrôlé et pourtant ont ne peut rien faire contre cette volonté terrifiante. Lui comme un autre, il n’est libre de rien, il vit sous le regard d’un être qu’il ne connait pas et qui pourtant l’observe comme s’il n’était rien d’autre qu’un vulgaire pion. Mais pourtant, malgré cette pensée, il a l’impression qu’il fait exactement comme lui, il observe et il prive Firiel de sa liberté. Avant lui se fut ce maudit Léonard qui lui avait retiré sa liberté, elle qui aurait surement voulu vivre tranquillement avec sa famille dans un monde bien meilleur, il à fallut qu’elle tombe entre les mains de deux être plus méprisable que quiconque. Les foyers tout comme la liberté sont des pierres précieuse bien trop rare pour que l’ont puisse s’en approcher. Que permet ma simple existence dans ce monde où vit cette merveilleuse fleur d’or qui se trouve en ce moment à mes côtés ? Des questions encore sans réel fondation propre, ce genre de question se pose sur des coups de tête alors que pourtant elles ne devraient même pas nous arrivez à l’esprit, même pas une seule seconde surtout lorsque l’ont se retrouve dans une situation vraiment magnifique. L’humidité de l’atmosphère est en harmonie avec ce qui est entrain de se passer, il est difficile de dire ce que l’ont souhaite, on préfère même le montrer que de le dire afin que le message n’en soit que plus beau. Vous n’imaginez pas le plaisir qui né au plus profond de votre cœur et qui se met à exploser au grand jour lorsque votre partenaire comprend votre message et vous répond de la même manière, c’est un sentiment d’une affection vraiment incroyable, un geste en dit beaucoup plus qu’un mot et notre cœur le ressent par des vibrations. Un murmure coule le long de son oreille, un souffle chaud et tendre qui lui chatouille la peau. Un soupir qui se monte quémandeur mais aussi suppliant, est-ce une demande pour qu’il cesse le jeu qu’il vient de commencer avec elle, je ne pense pas mais l’esprit de la charmante humaine est encore un univers inconnu pour lui. A quoi bon gesticuler lorsque notre corps se retrouve dans une impasse, piégé entre le froid et la chaleur, l’herbe humide et le corps chaud de la douce et belle aveugle. Plus il se met à bouger et plus il ressent les formes du corps de l’être qui se trouve allongé sur lui, un cœur palpitant, une coulée de lave qui se laisse emporter le long des cavités bien chaude, cette rivière rouge qui habituellement est calme se trouve étrangement agitée. Du paisible lac de flamme endormi on se trouve maintenant face à un volcan prêt à exploser, un torrent de flamme qui ne cesse de se heurter contre les parois qui l’empêche de déclarer toute la chaleur d’ont il fait par, il lui faut pourtant les franchirent pour évacuer toute cette chaleur et la partager avec les êtres qui sont proche de son maitre. Le souffle encore chaud qui s’était propagé par un soupir faisait frissonner l’ange, à la fois paisible et excité, se souffle a eu pour effet d’accentuer les multiples baisés qu’il déposait sur son passage, marquant d’une encre invisible l’épiderme de la douce femme. Est-ce un supplice qu’il lui fait subir, ou bien une torture que seul l’ange connait. Il n’espère qu’une seule et unique chose, c’est que cette torture ne soit pas plus douloureuse que celles que lui faisait subir Léonard. D’un geste bref et rapide la chaire entre les pétales de l’ange se retira sans qu’il ne puisse la retenir un peu plus longtemps, hélas pour lui parce qu’en plus de cela il n’a pas eu le temps de faire quoique se soit qu’elle se tenait déjà devant lui. La belle s’était redressé pour se tenir fièrement devant ses yeux rouge d’ange, voir son sourire fait toujours plaisir, ce petit rayon de joie réchauffe les cœurs et décime une partie des ténèbres. La glace qui recouvre les parois du château commençait peu à peu à fondre, apercevant maintenant de fine gouttelette tomber sur le sol. Lorsqu’elle se laissa tombé, le pauvre eu le souffle coupé et il eut peur qu’elle ai fait ça parce qu’il avait mal agit. Mais un simple petit geste de sa part lui fit comprendre tout le contraire, une paisible lueur chaude qui se met à lui caresser lentement et tendrement les épaules. Ses mains son douce et chaude, ses doigts son si fin et adroit, que pouvait bien lui faire faire son ancien maitre pour qu’elle est des mains d’une telle délicatesse. Cette délicate attention fait vibrer le cœur de l’ange, de ses doigts se fut ensuite une nouvelle fois le contact de ses lèvres sur son épiderme maintenant flamboyante. Les douces caressent cessèrent pour alors se transformer en une pression sur quelque pointe de ses cheveux, des mèches prisent entre les doigts fin de l’aveugle qui furent quelque peu tiré pour lui transmettre un message qi se trouve être surtout un ordre. Elle lui demandait par les gestes de lui offrir encore une fois son cou affin qu’elle puisse lui faire subir le même supplice. Ses baisés se font multiple et ardent, laissant des marques chaude presque de brûlure, des brûlures d’amour et de plaisir, un éternel désire que de vouloir prendre soin de l’autre à sa façon. Il faut bien avouer que la façon dont laquelle elle prend soin de lui est vraiment belle, c’est une façon plus qu’admirable surtout lorsque l’ont prend peu à peu conscience de ce qu’elle peut ressentir pour lui. De son cou elle retrouvait le creux de son épaule, des clavicules embrassés et un pan de tissu qui se fait délicatement écarté du bout du nez pour pouvoir continuer son expédition. Jusqu’à là l’ange n’avait encore rien fait si ce n’est que réagir favorable au diverse caresse que ses lèvres faisaient sur sa peau. Il inclina légèrement la tête sur le côté pendant quelque instant, se délectant de la saveur qu’elle est entrain de lui offrir. Le dos de l’ange n’est plus à plat contre l’humidité mais bel et bien redressé, totalement décollé du sol pour permettre à des mains curieuse de venir explorer son échine. D’ailleurs en parlant de main, il fit glissa l’une des siennes sous le rideau de neige pour venir taquiner une nuque parfaite, elle s’amuse avec son épaule et lui il lui caresse la nuque, l’encourageant en quelque sorte pour qu’elle puisse continuer. Il ne dit rien mais il le montre, lui qui pourtant reste très réservé, secret et distant comme s’il avait un grand poids sur ses épaules, là il est beaucoup plus apaisé, il en oublie même ses responsabilité angélique en tant qu’Hishima. Là, à cet instant présent il n’est rien d’autre qu’un simple être vivant, banni du paradis il en est devenu déchu et n’a donc plus rien d’un ange. Il a bien remarqué qu’elle cherche à retiré un maximum d’obstacle qui se dresse sur son chemin, la chemise mouillé entre autre fait parti des obstacles qu’elle tante de franchir. Doit-il l’aidé à retirer se rempart blanc ou bien doit-il la laisser faire afin qu’elle prenne plus de plaisir lorsqu’elle aura réussi ? Difficile de répondre à ce genre de question, il suffit alors de laisser le temps agir en vue des sensations engendrées par le corps. Des poussées d’adrénaline sont parfois présente, c’est ce genre d’effet qui peut tout changer comme se fut le cas il y a peu. Il basculait par moment la tête en arrière pour lui permettre une meilleurs accessibilité à son cou et son épaule, mais il revint très rapidement à sa place pour appliquer la marque de ses lèvres sur la tempe de la fragile humaine. Sa main encore taquine joue du bout de ses doigts avec quelques mèches de cheveux, en replaçant certaine derrière son oreille tout en lui souriant. Ses yeux, il a bien vue qu’elle avait ouvert les yeux pour le regarder même si elle ne le voit pas réellement. Mais le simple fait que de savoir qu’il y a le regard de son « amante » posé sur lui le fait frissonner encore plus de plaisir. Sans trop savoir pourquoi son autre main se dirigea vers un bouton de sa chemise, le défaisant pour alors lui faciliter la tâche en ce qui concerne la conquête complète de son épaule et d’un peu plus même. Il n’en alla pas plus rien que deux bouton de chemise retiré, ce qui déjà l’avancera pas mal et si elle veut que d’avantage de bouton se retire, elle devra alors le faire elle-même. La man maintenant libre après le petit « coup de pouce » descendit le long d’un bras du bout des doigts, atteignant par la suite une cuisse qu’il se mit à caresser avec la plus grande délicatesse qu’il soit. Une cuisse alors caressé, une nuque quelque peu taquiné, la silhouette d’un dragon rose sorti de sa tanière pour alors venir se refugier dans le creux d’une épaule humaine, chatouillant et mordant même un peu. Il ne laissa aucune marque de dents mais subitement il plaqua ses lèvres pour alors se mettre à aspirer l’odeur et le gout de cette sublime peau. | |
| | | Firiel Hanabashi Humaine
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| Sujet: Re: S'envoler ou sombrer? [PV Tsukasa-sama, encore une fois ^^] [Interrompu.] Dim 10 Mai - 16:58 | |
| C'étaient des brûlures d'amour. Comme si le feu ravageant Firiel, à ce moment, se répandait jusqu'à ses lèvres et qu'il se transformait en une nuée ardente qui détruisait tout sur son passage. Elle détruisait les chaînes qui retenaient le maître prisonnier, elle faisait voler en poussière d'étoile ce poids qu'il portait sur ses épaules, elle voulait qu'il oublie son statut de maître et sa nature d'ange pour ce soir. Ils n'étaient plus que deux êtres vivants, isolés du reste du monde, protégés par le calme environnant qui leur servait de petite bulle d'intimité. Personne ne devait venir les déranger, ni Ys qui s'était éclipsé en voyant sa maîtresse si occupée, ni le chauffeur qui devait être parti faire un tour, lassé d'attendre. Ce soir, elle le possèdera entièrement, et l'idée qu'il puisse tenter de se soustraire à ses baisers l'aurait froissée si elle y avait pensé dans l'instant. Mais elle ne pensait à rien, au final. La seule chose qui lui importait, c'était le bon plaisir de son bien-aimé, et tous ces signes qui lui permettaient de constater ce bien-être. Comme le fait qu'il ne bouge plus, sous elle, qu'il se laisse faire. Elle ne voulait plus le lâcher, c'était son jouet, le seul qu'elle désirait autant et avec lequel elle prenait autant de plaisir à s'amuser. Elle avait été objet entre les mains de Léonard depuis sa prédolescence, et toutes ces années devaient être rattrapées. Avec Tsukasa-sama, elle trouvait un moyen de se sentir elle aussi maîtresse de quelque chose, ou plutôt de quelqu'un. Elle avait besoin de posséder entièrement l'être aimé, et de sentir la satisfaction émaner de cet être lorsqu'elle baisait cette gorge et cette épaule. Dans un sens, son attitude était aussi malsaine que celle de son ancien maître qu'elle ne parvenait pas à haïr. Peut-être parce qu'elle le comprenait et qu'elle lui ressemblait. Une nausée retourna son estomac. Elle ne pouvait pas être comme ce démon tyrannique, impossible. Et pourtant, pourquoi était-elle incapable de ressentir une once de rancoeur? Elle ne l'avait pas aimé, mais elle ne l'avait pas haï. Elle balançait dangereusement entre les deux, comme une équilibriste qui ne pencherait jamais d'un côté ou de l'autre de la corde. Il avait certes été cruel et mauvais, mais elle ne connaissait pas la haine féroce qu'on pouvait nourrir à l'égard des personnes qui nous ont fait du mal. Elle écarta le démon à cornes de ses pensées, car il pouvait gâcher le moment. Son spectre planait parfois au-dessus de l'aveugle, et il lui inspirait encore des frayeurs lorsqu'elle croyait entendre sa voix résonner entre les murs de la demeure ou un effleurement sournois sur l'une de ses hanches. Mais elle n'admettait pas qu'il puisse la hanter encore longtemps, et surtout, dans ces instants de pur bonheur. Son maître actuel était Tsukasa-sama, et elle voulait rester auprès de lui pendant des années, jusqu'à la vie de sa vie, elle voulait savourer d'autres instants en sa compagnie, comme ceux qu'elle avait passé ces derniers mois, depuis qu'il l'avait achetée. Elle était folle d'amour, de désir, d'une passion trop violente pour ce petit corps de poupée usée mais qui parvenait encore à parler lorsqu'on savait sur quel bouton appuyer. Pour une fois, les rôles étaient inversés, c'était au jouet de s'amuser en possédant l'enfant comme une marionette. Il avait incliné la tête sur le côté avec une docilité qui lui était toute particulière. Les lèvres avides étaient aussitôt venues récupèrer leur dû, elles étaient venues caresser cette peau d'argent satinée. Ils étaient devenus deux flammes en fusion, alimentées par l'amour et l'adrénaline qui filait dans leur sang à toute vitesse. Ce moment, elle l'aurait voulu éternel. Elle aurait pu draper cet épiderme nu avec ses baisers humides et de petits coups de langue près de sa clavicule. Avec cet encouragement sur sa nuque, cette demande muette pour obtenir encore d'autres tendresses, elle ne se serait jamais, ô grand jamais, arrêtée. Lorsqu'il basculait la tête en arrière, elle revenait à la charge, traçant nettement du bout du dragon rose un chemin bien défini qui passait sur la pomme d'Adam et s'arrêtait ensuite au bas du menton. Alors, les lèvres de l'ange s'appliquaient contre sa tempe, et elle fermait les yeux pendant quelques secondes, pétillante de plaisir. Les attentions que recevaient ses cheveux la faisaient frissoner, tant elles étaient délicates et bien choisies. Tous les gestes du maître lui semblaient doux, caressants, et elle y était de plus en plus réceptive, au fur et à mesure qu'ils devenaient audacieux. Elle n'avait jamais eu l'impression d'être aussi vivante, c'était grisant. Comment si peu de choses pouvaient lui faire autant de bien? Certainement parce qu'elle les avait espérées, et que sa patience allait enfin être récompensée. Elle sentit la main libre du maître s'immiscer entre eux, et craignant qu'il ne touche par inadvertance l'un des attributs de sa féminité, elle dû se relever. Ses genoux passèrent à nouveau de chaque côté de la taille masculine, et les doigts qui n'étaient pas posés sur l'une des épaules l'aidèrent à maintenir son équilibre. Néanmoins, son visage restait proche, et tandis qu'il déboutonnait sa chemise, elle l'embrassa. D'abord, seules les lèvres s'occupèrent de leurs compagnes, puis, elle glissa le bout de sa langue sur les pétales savoureux pour ensuite les écarter et se frayer un passage entre eux. Le baiser était beaucoup plus sensuel et langoureux que les précédents, mais Firiel ne s'en rendait pas compte. La seule chose dont elle prit conscience, ce fut du tissu qui se relâchait à l'épaule, là où elle avait posé sa main. Il n'était plus aussi tendu. Elle comprit aussitôt ce que le maître avait fait, et s'apprêtait à partir à la conquête de ce territoire inconnu lorsqu'un contact sur sa cuisse la fit tressaillir et l'empêcha d'aller attaquer la peau qui se trouvait plus bas. Elle se retrouvait cantonnée près de son oreille, encore une fois. Elle le sentit revenir à la charge dans le creux de son cou, mais les dents qui taquinaient cet endroit la firent déglutir. Elle ne pouvait plus bougée, paralysée par cette sensation. Il commençait à aspirer sa peau, caressant toujours sa cuisse. Est-ce qu'il comptait laisser une marque? Elle ne savait pas très bien. Elle avait déjà vu faire, mais elle n'en avait jamais reçu. C'était étrange, de le sentir qui tentait presque de... De voler son énergie... Oui, c'était l'impression qu'elle avait. Et dont elle ne pouvait se débarrasser. Mais elle ne se débattit pas, au contraire, elle se laissa de nouveau aller contre lui. À la différence que ses jambes étaient repliées pour qu'il continue à promener ses doigts où il le désirait. L'humaine était incapable de se connecter à sa raison, et d'arrêter tout cela. Elle n'allait pas arrêter. Elle allait même continuer. Elle glissa ses bras sous la chemise, dans le dos du maître, et frissonnait de sentir pour la première fois le velouté de cette partie toujours dissimulée. Elle voulait goûter à ce fruit défendu, et elle n'allait pas se gêner. Mais elle voulait aussi lui faire plaisir. Étroitement enlacés, l'un contre l'autre, comme cela, elle se sentait bien. Elle sentait ce corps de rêve, et le serrait même encore plus contre elle, sans en être embarrassée. Seule la culpabilité l'envahit, un instant, en songeant à Yui, mais elle chassa vite cette pensée de son esprit. Non, aujourd'hui, ce serait elle et Tsukasa-sama, et rien d'autre. Elle sentit une sorte d'humidité venir se coller à sa poitrine, et s'écarta lentement. Elle avait complètement oublié que par sa faute, la chemise était mouillée. Alors, ses mains remontèrent, toujours piégées entre le tissu et le torse du maître, dont elle caressa les zones touchées par l'eau. Pectoraux, et début du ventre, elle n'hésitait pas vraiment, plutôt poussée par son désir de le sentir tout à elle que par son désir de le réchauffer. Ou peut-être un peu des deux? Elle ne connaissait pas bien les nouvelles fonctions qui s'ouvraient à elle en découvrant cette nouvelle partie de son jouet, et elle avait besoin de savoir quelles choses déclencheraient quelle réaction. Alors, elle frôla les côtes pour s'insinuer près de son échine, remontait jusqu'à l'os de la nuque en cheminant sur la colonne vertébrale, puis redescendait jusqu'à sentir que la ligne droite devenait courbe, ne voulant pas encore toucher le tissu qui couvrait ses hanches. Elle parcourut vaguement les omoplates, parvint à ses épaules par l'arrière, le serrait, pendant quelques secondes, de toutes ses forces, et finalement, elle s'arrêta près des attractions qu'elle n'avait pas encore été essayer, les deux perles de chair qui couronnaient ce buste tant aimé. En quelques miutes, elle l'avait découvert, en avait dressé un plan mental et connaissait déjà beaucoup de lui. Elle avait de besoin de savoir où elle allait. Son index droit commença à titiller, très légèrement, l'une des perles. C'était étrange de sentir cette petite chose, sous son doigt, qu'elle n'avait jamais connu. Elle n'avait jamais touché le corps d'un homme de cette façon, après tout. Elle était curieuse de savoir ce que cette découverte allait lui réserver. Bien sûr, des corps nus, elle en avait vu; impossible, chez Léonard, de les rater. Mais le démon n'avait jamais permis à sa soumise de les toucher, bien qu'elle soit obligée de se laisser palper lorsque les invités étaient tentés. Alors, cette profusion d'amour, de douceur, de charme et de volupté lui faisait perdre la tête. Plus le temps passait, plus elle appartenait à Tsukasa-sama, et ce soir, tout ce qu'il lui offrait renforçait cette appartenance. Sous le regard clair et bienveillant de la lune, l'aveugle n'avait pas l'impression de commettre un péché, mais au contraire, de rendre hommage à son dieu qui avait enfin daigné s'approcher d'elle, jusqu'à être sous elle, même. Elle aimait ce corps viril qu'elle ne tarderait pas à mettre à demi-nu si le maître continuait à attiser son désir et son amour. | |
| | | Tsukasa Hishima Oyaka Mafieux
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| Sujet: Re: S'envoler ou sombrer? [PV Tsukasa-sama, encore une fois ^^] [Interrompu.] Lun 11 Mai - 1:37 | |
| Chaque passage de sa main sur les parties de son corps le faisait frissonner, remuant un peu mais très légèrement, étant collé à lui elle pouvait le ressentir. Ce qui d’ailleurs excité d’avantage l’ange quand au fait qu’elle puisse ressentir chacune de ses réactions au travers de son corps et de ses doigts explorateur. Ce qu’il est entrain de lui faire subir lui évoque la statut dominante qui se trouve dans le jardin, l’ange déchu devenu comme un vampire entrain de mordre la chaire de sa tendre aimé, lui empruntant ou retirant son énergie pour pouvoir continuer à vivre. Il est exactement entrain de reproduire la même représentation que la dite statut, ses lèvres sont elle aussi en pleine application sur la peau encore chaude de l’aveugle, son aspiration se fait lentement mais brûlante, s’il avait des crocs comme ceux des vampires, il ne se serait pas gêné pour les planter dans la chair afin d’en extraire un fluide dont la saveur est plus qu’appétissante. Il aurait pu rester ainsi encore longtemps mais il se dit que cela devait peut-être la déranger un peu, du moins c’est ce qu’il pensait avant de comprendre le contraire. Elle avait l’air d’apprécié ce qu’il est entrain de lui prodigué, peu à peu l’aspiration se faisait moins dense et les courbes de chaire lisse et rose que compose ses lèvres commencèrent à s’éloigner pour alors laisser la peau maintenu prisonnière respirer. Il pouvait voir une belle marque rose presque rouge sur la peau de la belle, au creux de son épaule, elle par contre elle peut la ressentir, la brûlant certainement encore un peu. C’est un amusement comme un autre mais aussi une marque d’attention qu’il vient de faire pour la première fois à quelqu’un, il ne l’a même pas fait à une démone qu’il connait très bien. Mais cette marque est à double tranchant si l’ont voit cela sous un autre angle, c’est comme une marque d’appartenance et l’humaine n’a surement pas envie d’une marque tel que celle-là sur ça peau, elle ne veut peut-être pas que l’ont voit une quelconque marque de « soumission » même s’il est vrai que son ancien maitre a dû l’habituer à ça. Connaissant le comportement de son ancien maitre, il sait bien comment il était avec ses soumises, s’amusant à les torturer et à les exposer dans des cages lors de soirée mouvementé. Rien que cette pensée l’énerve étrangement, il se peut qu’il ait fait ce même genre de traitement envers Firiel, cela l’irrite beaucoup alors que pourtant il devrait chasser cette pensé noir pour retourner dans la belle d’amour qu’il est entrain de partager avec la douce et charmante humaine. Mais c’est surement ce quel est qui lui fait se rappeler de cette être qui n’a plus revu la lumière du jour après une certaine visite angélique. Secouant alors la tête un peu dans tout les sens, il revint vite à la réalité en sentant un contact dans son dos, les mains chaudes de la belle avaient réussir à passer au delà le tissu humide. Il pouvait ressentir chaque marque de chaleur éphémère sur le passage de ses doigts fin et adorable, des doigts qui ont d’ailleurs l’air de se montré expert dans la matière, surement une aptitude que l’ont devait avoir quand ont vit chez un certain démon. Non pas que cela le dérange, bien au contraire, mais encore faut-il qu’il repense toujours à son ancien propriétaire. Pourquoi repenser à lui alors qu’il n’est plus de ce monde, pourquoi repenser à la personne à qui ont à récupéré un être important...Bon certes, pour lui elle ne représentait peut-être pas grand-chose à part un amusement ou autre chose, surement même un jouet avec lequel il s’est amusé pendant plusieurs années. Parfois on souhaiterait avoir une maladie qui nous fasse oublier, on se sentirait certainement mieux de temps en temps. Du bas de son dos les sensations le parcouraient le long de son échine pour en venir à ses épaules, jusque là tout s’est bien passé sans encombrement, à part peut-être quelque redressement de la colonne vertébrale sous les douces caresses. Il était aux anges c’est le cas de le dire, il basculait même la tête en arrière sous l’effet de plaisir que lui provoque ses simples caresses au travers de son corps. Non plus maintenant au niveau des épaules, les douces caresses lui firent courber légèrement le dos quelque instant, mais le plus difficile pour lui se fut de se retenir lorsque ses mains se posèrent complètement contre son torse. Un doigt un peu trop joueur était parti trop loin, rien que le simple fait de sentir ce doigt jouer avec l’un des deux petits rubis le mettait dans tous ses états, gesticulant encore plus que tout à l’heure sous le corps de la belle, ce qui n’est pas pour arranger la situation. Il avait maintenant encore plus de mal pour ce contrôler, ses mains restaient figé et ses lèvres sont bien à l’écart de se corps si désirable. Les mouvements de son index sur cette sphère précieuse accentués les réactions de son corps, remuant d’avantage tout en se collant à elle. Allons, il n’est pas une bête et il en est bien conscient, mais pourtant il ne peut rien faire face à sa chasseuse, elle était parvenu à trouver un point faible de l’ange. Dans ça façon de faire l’ange à du mal à la cerner, hésitant entre diverse point de vue. Elle à l’air d’une enfant qui vient de découvrir un nouveau jouet, mais aussi il se dit que dans son passé elle a dû s’exercer à examiner un corps de cette façons. Peut-être que le démon cornu l’avait forcé à prendre contact avec le corps des personnes qu’il invitait, il ne saurait quoi dire sur tout cela puisqu’il n’en est pas certain et qu’il n’est pas à sa place. Il doit réagir, sinon elle va penser qu’elle à trouvé l’arme pour le battre et le rendre sans aucune défense. Ce qui en quelque sorte est vrai d’un certain côté mais, il devait faire quelque chose et c’est donc pour cela qu’il se mit à joindre les quelque fragment de sa conscience pour reprendre le contrôle. Ce petit jeu de soumission prenait peu à peu fin, il parvenait à contrôler ses réactions, son corps avait cessé de gesticuler dans tous les sens même si cela ne lui déplaisait pas du tout bien au contraire. S’en était même un délice de ressentir son corps se frotter à celui de son amante, ce corps qui pourtant est si désirable mais qui jusqu’à maintenant n’avait pas était la plus grande attraction de l’ange. L’une de ses mains était resté dans le dos de l’humaine même s’il ne l’avait plus agité sous l’effet du titillement de rubis interdit. Il se remit donc à lui caresser les omoplates sous le rideau de neige, une neige qui à pour effet de rendre l’ange nostalgique en voyant certain souvenir lui revenir à cette vision « pur ». Les petites omoplates continuèrent à se faire taquinées pendant une bonne vingtaine de secondes avant de revenir sur sa nuque pour attraper quelques mèches de cheveux entre ses doigts fins mais pas autant que ceux de la belle. L’autre quand à elle reprit son activité sur la petite cuisse fragile, caressant avec la plus grande attention qu’il soit comme si s’était la petite fleur qui ne pousse que l’hiver, une fleur qui d’ailleurs à une place dans la sphère qui entoure le cœur angélique. Des remparts, des ténèbres et un mur de glace avec de la neige qui recouvre le sol, voila un tableau du cœur et de l’âme de l’ange. Il ne resta pas tous le temps sur sa cuisse parce que du revers des doigts il se mit lentement à les faires glisser sur douce et délicate épiderme blanche. Passant alors par-dessus le par-dessus la première matière qui se dresse devant lui tel que la partie inférieur de son maillot de bain, heureusement pour lui, il n’eut aucune mal à passer par de l’autre côté pour continuer son exploration, passant alors par la chute de rein pour monter délicatement et redescendre du bout des doigts sur son ventre. Il alla alors directement vers son nombril qu’il se mit à caresser tandis que son buste se rapprocha d’elle pour venir coller sa joue contre la sienne, sortant alors le dragon rose pour venir titiller de sa flamme une oreille qui trainé par là. Quelque fois il laissait des soupirs de contentement mais aussi de pur plaisir s’échapper dans le creux de son oreille alors que plus bas c’est le creux de son nombril qu’il aime taquiner. Il pourrait en allez bien plus loin encore mais heureusement qu’il a une conscience, même si celle-ci est parfois gênante. Elle est vraiment particulière comme demoiselle, elle arrive à le rendre dans tout ses états, que se soit en bien que en mal tout comme la pensé de son ancien maitre qui énerve systématiquement l’ange. Mais là il n’est plus question de son ancien maitre, il doit s’efforcer de l’oublié pour le moment afin de ne pas gâcher cette instant si important qu’il partage avec son aimée. Ne voulant d’ailleurs pas briser la l’atmosphère qui s’est créé entre eux deux, il cessa son souffle et son jeu de langue pour l’exercer à un autre endroit, entre deux pétales de fleurs qui furent forcé de s’ouvrir. Cet échange dura un bon moment, mais il à malheureusement fallut qu’il rompe le contact pour reprendre ses esprit, cette sensation à pour conséquence de le rendre dans un état de folie euphorique, un amour qui ne cesse de vouloir se dévoilé à elle mais qui pourtant reste contenu dans un petit coffré en or. Il y a belle et bien une serrure, et là où il y a une serrure il y a obligatoirement une clé qui va avec. Cette clé, c’est Firiel qui l’a possède mais elle ne sais pas encore où elle se trouve exactement, mais c’est aussi peut-être parce que d’un certain côté, l’ange n’est pas encore prêt pour laisser paraitre ses sentiments au grand jour. Malgré cela, il laissait quelques murmures se perdre à son oreille, répétant son prénom avec une douceur extrême.
Dernière édition par Tsukasa Hishima le Mar 12 Mai - 23:20, édité 1 fois | |
| | | Firiel Hanabashi Humaine
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| Sujet: Re: S'envoler ou sombrer? [PV Tsukasa-sama, encore une fois ^^] [Interrompu.] Mar 12 Mai - 22:25 | |
| Cette marque, tatouée au creux de l'épaule de Firiel, brûlait lorsque l'ange retira ses lèvres de la chair tendre. Elle pulsait aux rythmes irréguliers du pouls peturbé par tant d'amour et de tendresse. La peau s'était colorée, les sensations permetaient de deviner les contours nettement dessinés par l'aspiration puissante. Le corps frêle bouillonait de l'intérieur, et lorsque l'air libre s'appliqua sur ce symbole d'affection mêlée à une sorte de domination, il parut glacial à la jeune femme. Elle laissa échapper un soupir d'entre ses lèvres, le seul qu'elle autorisa à franchir cet espace maintenu clos par sa volonté. Il était là, contre elle, pour elle, c'était elle qu'il était venu voir, et ce fait l'enorgueillissait. Elle était déjà heureuse lorsqu'il l'avait embrassée. Mais sentir qu'elle était vraiment à lui, et qu'il désirait la possèder entièrement, c'était une sensation d'ivresse. Elle avait attendu tous ces signes ainsi que cet instant où il émettrait le souhait d'être égoïste et de ne la partager avec personne. Maintenant qu'il l'avait fait, elle devait apprendre à savourer tout cela, d'une seule fois, et sans rien perdre de ce goût de fierté qui l'envahissait. Oui, elle était fière de lui appartenir. Parfois, recroquevillée dans le coin de la chambre noire où Léonard l'enfermait, l'aveugle avait aspiré à la liberté. Ce n'était pas une métaphore, la chambre noire n'était pas sa cécité, mais quelque chose qui avait réellement existé. Coincée entre quatre murs de ciment, nus de fenêtres, elle voyait la porte se refermer devant elle avec fracas, puis, le bruit de la clé tournant dans la serrure. À cet instant, lorsque ce mécanisme retentissait à ses oreilles, elle savait qu'elle ne sortirait plus de là jusqu'au lendemain. Surlendemain, parfois, lorsque le démon était contrarié ou irrité. Mais il ne parvenait pas à se passer de son jouet favori très longtemps, et la sommait de venir se nicher à ses pieds, roulée en boule. Elle avait été incapable de résister, elle qui se laissait prendre par toutes les emprises possibles, même par les plus cruelles. Elle avait simplement obéi, parce qu'il avait été son maître, qu'elle avait été faible et qu'elle avait besoin de cette attache pour survivre. Mais maitenant, l'aveugle connaissait la liberté. C'était cette impression aérienne, comme si le poids pesant sur ses épaules s'était envolé, comme si plus rien ne la retenait sur la terre ferme. La liberté, elle ne l'envisgeait pas sans la présence de Tsukasa-sama, elle la vivait à ses côtés. Et rien n'aurait jamais pu remplacer ce qu'il lui offrait. Cette marque était aussi un cadeau, elle devait la chérir, même s'il lui semblait que de petites aiguilles venaient déchirer ses pores. De petites particules de froid y éclataient, leur effet ravageur était accentué par la salive qui s'était aussi déposée là. Mais ça devenait agréable, uniquement parce que c'était ce maitre qui s'était imprégné de sa saveur profonde, celle qui ne s'était jamais déposée au fond d'une quelconque gorge démoniaque ou angélique autre que celle-ci. L'ange était d'élégance et de délicatesse, sa soumise perdait ses moyens, comme en témoignait son index. Il agaçait sans cesse la perle de chair, sans se lasser de ce petit contact étrange et amusant. Plus le bel homme bougeait sous elle, plus sa compagne ressentait le désir qui brûlait leurs entrailles, issus du même feu. Elle sentait l'excitation dans ses mouvements saccadés, dans cette tentative de fuite qui était vouée à l'échec, peu importe la façon dont il s'y prendrait. Il pourrait essayer de l'arrêter, ça ne servirait à rien; maintenant qu'elle avait découvert cette faiblesse, jamais soupçonnée jusqu'ici, elle comptait bien en profiter un peu. Elle allait faire glisser son autre main sur la deuxième perle lorsqu'il remonta la main qui avait stationnée dans son échine. Elle frémit, mais ne protesta pas. Après tout, c'était agréable et il avait bien le droit de s'amuser aussi, et de se sentir libre, auprès d'elle, dans cette position qui aurait habituellement tiré le rouge aux joues de l'humaine. Il taquina ses omoplates, et par réflexe, ses épaules se voûtaient, puis roulaient en arrière, tandis qu'elle retenait un rire espiègle. Les chatouilles que ces doigts, longilignes et étrangement délicats pour un homme, prodiguait sur sa peau avaient beaucoup d'effet sur elle. Les caresses sur sa cuisse reprirent, mais elle ne s'en aperçut que lorsqu'elles disparurent de nouveau pour remonter le long d'une courbe harmonieuse et ferme. Le rire s'évanouit, et sous la surprise, Firiel hoqueta, se redressant par la même occasion à califourchon sur l'ange. Sa pudeur revint au galop, et rouge comme une tomate, elle le laissa explorer à sa guise ce terrain de jeu. Elle en avait oublié ce qu'elle était en train de faire, cependant, lorsqu'il se redressa pour joindre leurs joues, elle sentit sa poitrine épouser son torse qu'elle devinait nu, derrière le haut du mailot de bain. Le creux du nombril qu'il prenait plaisir à martyriser, plus bas, était très sensible. Elle inspira, pour tenter de faire reculer ce point sous ces mains audacieuses, mais inlassablement, elles le cernaient de nouveau. Les stimulations, aussi bien sonores que tactiles, jouaient parfaitement leurs rôles. Le désir grondait au fond d'elle, irrépressible et menaçant. Cet homme, elle le désirait tout entier, mais il avait vite repris le contrôle. Trop vite. Et cette chemise, sur ces épaules, elle ne l'aimait pas. Pas comme ces soupirs, au creux d'une oreille prise d'assaut par le bout d'une langue taquine, qu'elle appréciait tant. Il revint l'embrasser, puis murmura son prénom maintes fois, elle se sentait fondre dans ses bras, attendrie. Elle s'enroula autour de lui avec une grâce, un silence, et une ruse toute féminine. Ses yeux, à demi-clos, se perdaient devant ce portait angélique. Elle se fit enjôleuse, réunissant leur corps de façon extrême, jusqu'à être blottie contre lui, le serrer de toutes ses petites forces pour qu'il sente à quel point elle l'aimait, à quel point elle était folle d'amour, folle de lui. Sa tête, nichée contre la sienne, se frottait lentement contre les cheveux bruns auxquels se mêlaient des fils d'argent grisâtres. Ses bras, pasés autour de ce cou d'homme qu'elle fut tentée d'embrasser mais sur lequel elle se contenta de faire glisser un souffle vaporeux, refermaient leur étau de façon à ce qu'il soit dans la même position. La main, plus bas, était coincée entre leur abdomen, ce qui était le but de la manoeuvre. Elle voulait l'arrêter pour l'instant, c'était son rôle à elle de lui faire plaisir, pas le sien, nah! Alors, elle se retira aussi soudainement qu'elle était venue, et le plaqua contre le sol avec douceur, mais fermeté. Elle redressa son bassin et ses hanches, pour terminer genoux et mains à terre, au-dessus de lui. Sans lui laisser le temps de protester, elle l'embrassa de nouveau, transmettant dans sa salive tout cet amour et cette tendresse qui coulait dans ses veines. Cette adrénaline, aussi, qui faisait croître des choses inconnues au plus profond d'elle-même, ce qu'elle n'avait jamais connu et où personne n'avait jamais été. Ses doigts, pendant ce temps, survolaient le tissu soyeux sans détour, pour se rejoindre sur les derniers boutons encore attachés. Très vite, ils ne le furent plus, et elle écarta avec une lenteur étudiée les pans de la chemise pour dévoiler ce torse dans toute sa splendeur. Elle ne le voyait pas, mais ressentait déjà sa chaleur, et était tentée d'aller la voler. Ses mains glissèrent avec franchise du bas du ventre jusqu'aux clavicules en décrivant plusieurs arabesques sur les côtes. Elle évita soigneusement les perles, souriante, et descendit son visage pour donner un coup de langue sur l'angle arrondi de l'épaule chaude, sur cet endroit qu'elle n'avait que caressé. Ses léchouilles se muèrent en baisers humides, et sournoise, elle fila jusqu'à la première bille qui se présenta. Elle savait qu'il serait soit mécontent, soit très agaçé d'avoir perdu. Tant mieux, elle en était ravie! Son souffle humide se colla à l'excroissance de chair, qu'elle embrassa ensuite avec délicatesse, pour finalement l'attraper entre ses lèvres et commencer à la suçoter. Ses mains, elles, avaient dérapa jusqu'aux hanches. | |
| | | Tsukasa Hishima Oyaka Mafieux
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| Sujet: Re: S'envoler ou sombrer? [PV Tsukasa-sama, encore une fois ^^] [Interrompu.] Jeu 14 Mai - 11:28 | |
| Qu’est-ce que l’amour si ce n’est qu’un fort sentiment de joie et de tristesse ? L’amour, c’est un sentiment qui n’est pas permit à tout le monde de l’avoir, c’est un sentiment qui fait naitre pour certain une lueur d’espoir. Ont ne connait pas l’amour, ont la vie, à jamais comme pour toujours ont est ravi de pouvoir chérir un amour qui nous est interdit, pouvoir le voir nous suffit. Dans chaque cœur il y aura toujours une part de ténèbres, une part dans laquelle se cache nos plus grandes peurs mais aussi nos tristesses. Ce que l’ont ressent se trouve au départ dans les ténèbres mais c’est avec le temps et le courage qu’ils arrivent à en sortir pour sourire au grand jour. La lumière produite à cet instant là n’en est que plus purificatrice, toutes peur ce détériore lors du passage de cette étape. Mais comme dit, il faut du courage et malheureusement tout le monde n’en possède pas, en l’occurrence c’est un peu pareil pour un être perdu. Dans les limbes de son propre cœur il n’arrive pas à s’y retrouver, il en a même oublié la légende du fil d’or qui permet de retrouver la sorti. Mais encore lui faut-il d’abord remettre les murs morceaux en place pour que les murs se forment et qu’il puisse s’en sortir, cela est bien trop difficile pour lui qui n’est rien d’autre qu’une âme isolé. Il se cache, il a peur, il se montre fort et fier mais pourtant il est tout le contraire, il est faible. Qui au départ aurait pu dire qu’il en arriverait là ! Alors qu’il vagabonde dans les ruelles étroites que peuvent former des bâtiments avec des lettres et des chiffres gravés dessus qu’un chemin se dévoile peu à peu à nous. Au départ il ne faisait pas de recherche particulière mais pourtant il tombe bien sur quelque chose. Un lieu dans lequel il y met les pieds par simple curiosité, cette curiosité à eu pour conséquence un regard intrigué qui s’est directement déposé sur un être aussi perdu que lui. Un regard, rien qu’un seul regard à suffit pour que son âme rentre en contact avec celle qui lui faisait face, ce regard à changé tout son avenir, à lui qui était bon à airé sur une terre virtuel ou toute une ville est construite de pixel et de texte. C’est une vision étrange de la réalité mais chaque âme qui ont rejoint le créateur ressent cet effet lorsqu’ils se mettent à nous regarder au travers un écran. Pour eux c’est comme si un livre ou plusieurs romans se mettait à se dévoilé en grandeur nature devant eux, une découverte vraiment pleine de mystère qui leur donne à chaque seconde l’envie de connaitre la suite. En revenant à l’histoire de l’ange vagabond, son regard se transforma en des paroles écrite par son esprit, prenant alors l’être à ses côtés l’être qui était parvenu à se lié à lui sans le vouloir. Des paroles, des sourires, tout ce qui est habituel à une vie dite « normal », le temps est l’élément essentiel dans cet univers. En revenant souvent dans ce monde virtuel ou de rêverie ont y fait des rencontres, des nouveaux arrivé aussi que des anciens. Des liens se créé avec le temps alors que certain ne le souhaite pas, mais malheureusement pour eux, ils n’ont pas d’autre choix que d’accepté ce que notre destin nous impose, combien même on refuse, le lien qui s’est créé ne pourra être coupé. Autour de lui le changement ce produit, l’amitié, la fraternité et même l’amour arrive comme une bourrasque ou un tsunami. Les âmes de certain êtres qui ne se connaissaient pas du tout se sont lié d’une amitié remarquable, même si l’ont est de pays différent, le monde de la rêverie nous permet bien des choses merveilleuse tout comme la transformation de cette amitié. Au Enfermé dans un cocon au départ, la première lueur apparut pour alors sortir et devenir la réincarnation du parfait amour. Oui, deux êtres de conté différentes se sont lié d’un amour fusionnel malgré les tentions et les instant de faiblesse qu’ils auront à affronté dans l’avenir. L’union dont ils sont fait peur à fait plaisir à certain, la personne qui se cache dans l’ombre de l’ange fait partit de ces personnes. Malgré tout, il y a des péripéties, des éléments perturbateur, des fouteurs de trouble, l’univers n’est jamais parfois hélas. Ont peut dire des choses qui doit s’appliquer à tous alors que nous ont agit exactement à l’extrême opposé, c’est comme s’il y avait une loi qui ne s’appliqué que aux autres. Ce comportement à d’ailleurs apporté bien du souci à certain qui n’ont pas eu d’autre choix que d’appliquer le jugement de la raison. Lorsque l’ont prend conscience de nos erreur ont demande toujours une plus grandes punition, un jugement plus sévère…Ce fut alors l’interdiction de venir en public, enfermé dans une salle qui ne lui permettait pas de pouvoir voir et entendre ce qui se dit autour. C’est encore de l’être qui se cache au plus profond de l’ange dont ont parlent, il eut d’ailleurs droit à une nouvelle chance lorsqu’il fut libre, mais cette chance il ne put la saisir parce qu’il fut abandonné…Il n’avait plus de port d’attache, plus aucun repère et c’est d’ailleurs pour cela qu’il était tombé dans la folie. Heureusement, des amis était à pour le soutenir, l’aider à garder le sourire malgré ce qui se passe, prenant même le soin de détacher leurs esprit en deux pour lui faire plaisir, créant un nouvel être pour lui tenir compagnie. Son cœur avait récupéré une étincelle d’espoir, cette étincelle devint une flamme lorsque la troisième chance s’offrit à lui mais aussi à toutes les personnes présentent dans l’univers virtuel, la modernisation ou la transformation de la vie, le Reset des cieux. Un nouveau départ alors pour certain, dans ce nouvel univers de fantaisie il put retrouver une personne qu’il n’avait pas vue depuis bien longtemps à cause de la faiblesse du corps de celle-ci, pourquoi notre corps ne peut suivre notre volonté. De nouvel rencontre encore, des esprits qui prennent le temps de se séparé en plusieurs pour mener des vies différentes, un félin, un humain et même des croisements, tout comme des anges qui joue aussi le rôle d’humain, ou bien même un démon qui joue une femme humaine. Tant d’exemple alors qu’il n’y avait l’a que trois êtres différent mais aux esprits séparé. L’arrivé d’une famille bien particulière avait eu pour effet de remue les recoins de la ville, cruel et impitoyable mais qui servait au esprit de lâcher des sentiments caché, hélas ce ne fut pas le cas pour tout le monde. Encore le train train quotidien qui s’offre à tout le monde, on discute, on se rapproche, on se dispute et on se réconcilie. Des événements particuliers de temps en temps, des rires qui se transforme en larme de joie. Des souvenirs qui se crée et qui resteront à jamais gravé dans la mémoire de chacun. Le retour d’une personne qui se caché derrière des esprits multiple fit apparaitre un grand sourire à l’âme enfouis. Ces retrouvailles ont apporta la joie et la tristesse de l’ange tout comme pour son ombre, mais il ne regrette rien. Avec le temps sans s’en rendre compte, il est tombée sous le charme de cette personne alors qu’il arrivait à se chamailler avec, le retour de certain et la trahison des autres qui parlent dans votre dos apporte la tristesse et l’envie de s’enfuir pour se retrouver seul avec une personne dans les anciens recoins de la ville, bien avant le reset. Là, oui c’est là un beau soir lors d’une trahison qu’il put ouvertement dire le mot qui changea toute sa vie, un mot qui une fois dit prend une tournure différente pour les deux êtres impliqués. C’était dans les environ de la nouvelle année qu’il lui avait ouvert ses sentiments, même s’ils ne furent pas accepté avant un bon moment. En faite, dans l’esprit de l’ombre de l’ange, il avait comme paysage une forêt détruite, brûler et saccager par du poison, mais, lorsque ses sentiments offert furent réciproque, un rayon de soleil balaya ce paysage mort pour laisser pousser les fleurs et l’herbe, redonnant vie à la terre battu et à la paisible atmosphère d’autre fois. Depuis ce jour il resta toujours avec elle, des confusions dans leurs esprit, la difficulté de la compréhension, les secret encore trop existant ainsi que la distance qui les séparent, tout ça les effraient mais les rapprochent encore plus. Rendant même l’amour qu’ils éprouvent l’un pour l’autre encore plus fort. Un long chemin pour en revenir à de simple mot adressé à une personne, mais vous les sauraient plus tard.
L’ange était parvenu à récupéré son esprit qui était parti s’isolé pour raconter son rêve, il se demande lui-même comment il à fait alors que l’un de ses points faible se fait assaillir. Le jeu dont la belle fait part sur son corps est à la fois une torture mais aussi de la séduction, elle cherche d’un certain côté à se faire encore plus désiré en l’empêchant d’agir comme il le souhaite. La langue taquine de l’ange et la son de sa voix qui se faisait brumeux au delà des lettres qui forme le prénom de Firiel avait l’air de lui faire étrangement plaisir. La sensation lorsque leurs cors se collèrent l’un contre était vraiment incroyable, sentir chaque parcelle de sa peau contre le tissu de son vêtement, non pas seulement que de son vêtement d’ailleurs puisque son torse était légèrement à découvert. Il ressentait bien les douces courbes faites de chair se collé à lui, il en rougissait même parce que c’est rare qu’il soit aussi proche physiquement d’une personne, surtout lorsque celle-ci ne fait pas parti de sa famille. Auparavant il était souvent dans les bras de sa sœur, mais celles-ci n’est plus là malheureusement, il ne sait même pas où elle se trouve en ce moment même et il attend toujours qu’elle lui envoie son prochain roman. Un contact indescriptible, la chaleur de son cœur l’enveloppe totalement, il s’enivrait de son odeur qu’il souhaiterait toujours garder sur lui-même s’il est vrai qu’une certaine démone ne pourra jamais l’accepter. Une fleur vint se blottir contre sa joue tandis qu’un tableau de couleur différente se dessiner sur une toile, de la neige dans les ténèbres… C’est la symbolisation qu’il a dans son esprit en sentant la neige grisâtre des cheveux de la belle fondre parmi la noirceur qu’offrent les siens. Brûlant comme la braise, se fut la sensation qu’il eut en ressentant un souffle venir s’étendre pour bercer la peau de son cou, elle l’entretient pour pouvoir le prendre plus tard, le capturé entre ses pétales de fleurs afin d’y déposé elle aussi une marque comme lui l’avait fait il y a peu sur elle. Etant ainsi l’un contre l’autre, la main vagabonde ne pouvait plus jouer avec le petit nombril adorable de la belle, elle est prise au piège entre de mur ardent, bon bah pas grave alors, ce n’est que partie remise dans ce cas. Il préfère d’ailleurs consacrer toute son attention sur les lèvres de la belle, mais il ne put le faire pour le moment puisque soudainement il se retrouvé bloqué sur le sol, le contact entre leurs deux corps s’était rompu mais il n’en restait pas moins encore présent au-delà de la chaleur qui reste, la chaleur de leurs cœur et de leurs amour. Elle n’était plus sur lui mais au dessus, elle se montre bien dominante et cela rend l’ange encore plus heureux, le fait qu’elle n’ai pas peur de le soumettre un peu, qu’elle se montre audacieuse, tout cela lui fait chaud au cœur, l’intimidant presque tout en intensifiant la rougeur de ses joues. Sans qu’il ne puisse dire quoique ce soit, ses lèvres furent capturé, l’empêchant ainsi de se concentrer ailleurs que sur cet échange qu’il prolongea un maximum, caressant de la pointe rose la langue de la belle, une danse qui dura un long moment même si parfois il était rompu, enfin juste une séparation pour reprendre leurs esprit pendant deux secondes avant de reprendre de plus belle. Il n’avait même pas senti que la dernière tour qui maintenant le mur blanc autour de lui avait céder sous l’assaut des coups de canons que les doigts délicat de la belle avaient lancé. Lorsqu’elle parti à la conquête de l’épaule effleurant un peu plus tôt en délaissant ses lèvres, l’ange était un peu déçu parce qu’il aurait bien voulu continuer l’échange qu’il y avait entre eux deux. Mais il bascula la tête en arrière sous l’attaque de la langue experte et des ses compagnes, des marques chaude et brûlante, euphorisante et même aphrodisiaque, il n’y a pas mieux pour rendre l’homme au regard de braise complètement fou, surtout lorsque cette application se fait sur l’une des zones sensible autre fois taquiné par un doigt. Une attaque en traitre qui fait frissonner l’ange de plaisir, elle gagne une bataille mais pas la guerre, même si elle est bien parti pour. Le ne savait pas quoi faire, il n’arrivait pas à réfléchir, d’ailleurs, ça ne sers à rien de réfléchir dans ce genre de situation. Il suffit de se laisser guider par son instinct même si c’est ce qu’il évite un peu en faisant en sorte que les limites sont bien encore présente. Son corps remuait sous le sien, ce qui avait l’air de lui donné encore plus l’envie de continuer que d’arrêter, il avait l’impression qu’elle était entrain de lui aspiré de son énergie pour pouvoir la lui retransmettre plus tard en bien plus fort. C’est étrange comme effet, sentir ses hanches caressé ainsi, lui qui n’avait jamais ressentit cela auparavant. Il ne doit pas se laisser faire, elle lui fait plaisir alors il doit en faire de même, non pas par obligation ou pour gagner mais tout simplement par respect et surtout par amour. Oui il l’aime mais il ne peut encore le lui dire, mais ce ne serait tarder. L’une de ses mains glissa dans le dos bien accueillant de la douce tandis que l’autre vint se posé sur l’une des siennes, l’attrapant même pour s’entremêler avec. Redressant fièrement la tête pour pouvoir venir prendre contact avec la chevelure de l’humaine, il déposa de nombreux baisé sur sa tête. Sa main lui caressa le dos, montant le long de sa colonne vertébrale en faisant plusieurs petit cercle accompagné de cœur…Oui, des cœurs, il dessine des cœurs sur son épiderme jusqu’à atteindre sa nuque qu’il caressa du bout des doigts. Escaladant encore pour venir se placé derrière sa tête pour l’insinuer à continuer son jeu même si cela le rend dans tout ses états. On pourrait dire qu’au fond de lui il est comme un enfant dans le coin d’une cellule sombre, des chaines torturant sa chair à plusieurs endroits. Mais grâce à elle les chaines perdent peu à peu de leur résistance et l lumière apparait légèrement dans les ténèbres qu’il a toujours connut. Il serait sa main contre la siennes tant la sensation était forte, les réactions de son corps n’étaient rien d’autre que des gigotements, ce qui est déjà bien difficile pour l’ange à maintenir. Sa main se détache de la sienne pour venir se placer sur sa hanche, glissant au fur et à mesure sur une partie du corps assez privé de la belle, la paume de sa main vint épouser une courbe arrière de son corps fragile. L’instinct est parfois difficile à maintenir surtout lorsque l’ont peut voir que l’une des chaines qui le maintient prisonnier est brisé. D’ailleurs, plus il sentait son énergie aspiré, plus son corps se blottissait contre elle et plus sa main exerçait une pression sur cette tendre courbe de chair, une partie douce qui fut un peu serrait entre les doigts angélique qui en serrant plus fortement pourrait laisser des traces d’ongles et peut-être même de sang. Je vous parlais d’un message qui résumé le rêve de son esprit, et bien se message il ne va pas se gêner pour le dire à la personne avec qui il passe le plus merveilleux moment. Se penchant alors encore plus vers elle pour que ses lèvres ne soit pas trop loin de son oreille, dans un murmure il laissa sortir le son de sa voix en un souffle chaud et d’une tendresse pleine d’amour.
Je t’aime.
[Ceci sera mon dernier message avant un bon moment. En espérant qu’il te plaise.] | |
| | | Firiel Hanabashi Humaine
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| Sujet: Re: S'envoler ou sombrer? [PV Tsukasa-sama, encore une fois ^^] [Interrompu.] Mer 20 Mai - 21:10 | |
| D’abord, la stupeur. Interdite, pendant quelques instants : que répondre ? Elle, qui n’avait pensé qu’être là, sans plus, sans chercher plus loin, se sentait stupide. Stupide, mais à un point ! Elle avait aussi eu peur. Elle ne savait toujours pas ce qui l’avait effrayée, mais elle se souvenait d’une sensation désagréable qui avait tordu ses entrailles, puis retourné son estomac jusqu’à nouer sa gorge. Une nausée l’avait saisie. Mais pour parvenir à s’en débarrasser, elle s’était forcée. D’où venait cette émotion qui avait fait courir ce sang glacial jusqu’à ses joues et ces perles salées jusqu’à ses paupières fatiguées et surmenées ? Comment, comment, comment, elle ne comprenait pas. Ça n’aurait pas dû se passer comme ça. C’était tout simplement impossible. Elle savait trop tout ce que cela impliquait. Il ne l’avait pas à ses côtés, il ne savait pas ce qui la torturait, tout ce qui lui pesait sur le cœur, toutes ces pensées dont elle savait qu’elles lui faisaient du mal parce qu’elle les gardait pour elle. Elle était déchirée, de l’intérieur, et ce qui la blessait, c’était ce dont elle était convaincue. Comment raisonner un esprit qu’on disait malsain, sadique, et qui ne pensait qu’au mal ? À trop écouter les autres, elle avait fini par les croire et par se penser aussi mauvaise que tout cela. À cet âge, l’âme était encore malléable et la parole d’autrui nous pénétrait plus facilement que plus tard, lorsque pensées et corps étaient forgés par ce qu’ils avaient vécu. Elle avait fait trop d’erreurs, de choses qu’elle regrettait et qu’elle n’avait jamais dit à personne. Les limites s’étaient tracées en elle au fil des ans, et personne n’avait jamais été là pour assouplir certaines lignes trop droites. À quoi bon ? Elle était certaine d’avoir raison. C’était peut-être la pire des choses. Les vérités étaient subjectives, mais la réalité était toute autre. Elle n’aurait rien soupçonné de ce côté-là : il était là, c’était quelqu’un avec qui elle pouvait s’amuser et qu’elle appréciait parce qu’il ne se permettait pas de la juger. Il était une petite bulle d’oxygène vivante qui lui permettait de mieux supporter le quotidien parce qu’elle savait qu’à la fin de la journée, il serait là et qu’ils pourraient passer de bons moments. Mais pour elle, de bons moments se résumaient à quelques sourires, un rire, parfois. De temps en temps, une petite chute sans gravité, mais il l’aidait aussitôt à se relever. Même si depuis qu’elle était en âge de le faire, elle avait réfléchi seule à des tas de choses, à des tas de questions. Elle avait très vite conclu qu’il n’y avait pas de partage, et que si elle restait par terre, on la piétinerait. Alors, elle poussait sur ses bras, et dépoussiérait ses genoux pour continuer son petit bout de chemin. Elle devait prendre soin de quelques personnes, mais affichait un air insouciant ; les autres avaient suffisamment de problèmes sans qu’elle ne vienne ajouter son grain de sel. Entre ces bâtiments abstraits, entre ces murs qu’elle ne touchait pas et ne voyait pas, elle serait protégée de tout. Les menaces, les pressions, tout ce qui constituait son petit quotidien, tout cela disparaissait. Elle errait dans ces vestiges, seule avec cette âme qu’elle savait inoffensive. Il ne lui ferait pas de mal, elle ne lui en ferait pas parce qu’elle n’était pas capable d’en faire. Elle était trop faible pour ça, on la prenait à la rigolade. Elle l’avait vite compris, et s’était résignée devant cette réalité. Il criait haut et fort ce qu’il était, ce qu’il disait être. Elle n’était pas dupe, et même si elle hochait la tête, elle n’était pas convaincue. Elle s’y adaptait, certes, mais ne réagissait pas comme il le désirait, par défi. Était-ce ce qui avait attiré son attention ? Elle n’avait pas connaissance de ce qui se tramait, mais ils s’acceptaient mutuellement parce qu’elle se sentait à l’aise avec lui. Elle avait hésité à revenir ; elle voulait que personne ne le sache, on la prendrait pour une indécise, une idiote qui ne savait finalement pas si elle souhaitait être là ou ne plus être là. Bien sûr, elle l’avait regretté, à certains moments. Mais c’était normal, il y avait du bon et du mauvais dans chaque chose. Elle n’a pas vraiment cherché à se cacher. Quoique. Qui s’en serait souvenu, de toute façon ? Mais la gourde qu’elle avait faite en admettant son identité devant lui, elle l’avait regrettée pendant plusieurs jours, ça, oui ! Pas vraiment parce qu’il était collant, non, mais plutôt parce que ça l’avait amusée de constater les évolutions de l’ensemble en étant dissimulée derrière ces masques et ces costumes multiples. Finalement, tout avait repris et était redevenu comme avant. Puis, lorsque les portes s’étaient ouvertes devant elle, elle n’avait pas su quoi faire. Avancer, reculer, refermer les portes ? Elle n’était tentée par aucune de ces solutions. Si elle avait l’impression que ces données irréelles ne la touchaient pas vraiment, et que ce n’était pas vraiment elle, là, elle savait que ce n’était pas le cas pour tout le monde. De l’autre côté, il y avait autre chose, une chose dont elle devait prendre soin et qu’elle ne pouvait pas rabrouer comme elle l’aurait fait avec d’autres. Elle trouvait ça trop rapide, trop fort pour elle. Elle devait se faire délicatesse pour ne pas le blesser. Alors, elle avait juste demandé un peu de temps. Elle avait tout accepté, mais n’avait pas pu se prononcer immédiatement. Ça ne pouvait pas avoir d’avenir, ce genre de choses. Elle craignait de voir tout ça disparaître au bout de deux semaines, elle voulait la certitude. Mais lorsqu’elle s’était rendue compte que finalement, ça s’agitait aussi en elle, elle avait paniqué, l’avait malmené puis s’était rendue. Elle était à lui. Parfois, elle avait mal, mais ça ne restait jamais bien longtemps, juste le temps que sa rancœur se calme. Quand il était là, ça croissait, puis, ça éclatait, comme un abcès douloureux. Il n’était pas le seul envers qui elle avait un devoir, et si elle ne savait pas à quoi vouer son existence sans rêve ni envie, elle avait besoin de s’occuper des autres. La plupart du temps, elle se sentait inférieure à lui, mais n’en disait rien, c’était comme ça. Mais elle était incapable de s’en séparer, de ce cœur, c’était une sensation trop addictive. Elle était incapable d’y résister, malgré sa volonté, malgré tout ce dont elle pouvait se convaincre, elle revenait toujours auprès de lui, dépendante jusqu’au bout des ongles.
Firiel ne savait pas pourquoi cette vision lui était venue à l’esprit. Elle ne savait pas non plus qu’elle s’accordait parfaitement à celle du maître. À vrai dire, elle ne réfléchissait plus à grand-chose lorsqu’elle était penchée sur ce corps désirable et exhalant un effluve de chair ardente mêlé à une fragrance à peine perceptible. Elle se concentrait sur ce qu’elle tenait entre ses lèvres, et sur les effets produits par sa langue et l’aspiration régulière de la perle de chair. Sous elle, elle sentait remuer l’ange qu’elle s’efforçait de maintenir en place, sans grand succès. Le goût qui envahissait sa bouche était étrange, mais c’était celui de la chair de Tsukasa-sama, celui de sa peau, celui de tout son être charnel qu’elle aimait sans jamais l’avoir vu. Ses bras étaient rassurants, sa voix avait le don d’apaiser son âme nerveuse et ses doigts, lorsqu’ils caressaient son dos, effaçaient toutes les cicatrices qui s’y trouvaient. Léonard disparaissait avec elles. Courbée au-dessus de l’ange brun, l’aveugle ressemblait à un félin, les épaules arrondies formant entre elles le creux caractéristique d’un chasseur à la démarche souple. Sa tête, inclinée devant lui, se soulevait parfois pour lui laisser le temps de reprendre sa respiration, puis elle ployait de nouveau, le rideau brumeux de sa chevelure s’étendant sur son torse presque totalement nu comme de longs pans d’étoffe soyeuse. Elle était incapable de réfléchir, sur l’instant, incapable de raisonner encore. Il promenait sa main du bas de son échine jusqu’à sa nuque, s’insinuant entre les entailles profondes que l’humaine avait déjà presque oubliées. Elle sentait qu’il traçait des motifs réguliers, et en se concentrant un peu plus, elle parvint à reconnaître les contours des plusieurs petits cœurs. Elle rougit violemment.Un voile de douceur voluptueuse les enveloppait, elle et le maître. Elle ne pouvait se détacher de cette faiblesse qui lui assurait le contrôle de la situation, cette chair d’homme était faible, face à elle et à ces ruses de serpent. Quand il se relevait pour baiser sa chevelure, elle cessait pendant quelques instants son activité, pour mieux profiter de ces preuves muettes d’affection qui réchauffaient leurs cœurs. Ils brûlaient intensément, consumés par des flammes dévorantes du désir, celui de sentir que l’autre n’était qu’à soi, et à personne d’autre, que ses pensées ne vagabondaient pas ailleurs. Elle était incitée à continuer, et même sans cette demande, elle ne se serait pas arrêtée. Mais le fait qu’il l’autorise, ou plutôt la pousse, à aller plus loin attisait encore plus cette envie de lui qui rongeait ses entrailles. Ses mains fines garantissaient son équilibre, elles étaient posées de chaque côté de la tête du maître. Mais était-ce encore le maître qu’elle avait sous elle ? S’agissait-il bien de cette divinité sacrée que Firiel aimait comme sa propre vie ? Il s’offrait aux baisers de cette femme aimante, il aurait été docile s’il avait cessé de remuer sous ce qu’elle lui prodiguait. Elle commençait à se sentir… Puissante ? Pas vraiment, son corps et son esprit étaient faibles, mais la sensation de tout contrôler la grisait. Si elle le voulait, elle pouvait descendre ses lèvres jusqu’à son nombril, comme il avait taquiné le sien du bout des doigts, elle pouvait mordre ce cou qu’il lui présentait sans s’en rendre compte, elle pouvait aussi l’enlacer ou elle pouvait également se retirer, sans plus, et tout arrêter là. Ils grimpaient lentement, mais sûrement, jusqu’au point de non-retour. Les unions répétées de leurs lèvres n’engageaient à rien, contrairement à ce qu’avait pensé l’aveugle, quelques jours plus tôt. Ces scellés n’avaient été que les prémices de ce qui se déroulait à cet instant, et s’ils l’avaient voulu, ils auraient pu l’oublier. N’était-ce pas lui qui le lui avait proposé ? Si elle le voulait, elle pouvait le repousser, s’écarter de lui, ne plus jamais toucher ses cheveux, ses lèvres, ses épaules, tout ce qui faisait de lui un être irrésistible. Mais quand elle évoquait le simple fait de ne plus s’approcher de lui, un frisson désagréable et perfide, presque coléreux, la prenait. Elle se sentait aimantée par ce cœur, elle le voulait, et ne démordrait pas de son idée tant qu’elle ne l’aurait pas, ou tant qu’elle n’aurait pas une preuve qu’il lui avait appartenu à un instant, si infime soit-il. Un baiser, ce n’était pas suffisant. Quant à cette marque, dans son cou, qui battait au rythme effréné de son cœur, elle ne savait pas vraiment quoi en penser. Elle était simplement heureuse de l’avoir. Il avait manifesté le désir d’avoir cette enveloppe charnelle, et cette âme, rien que pour lui. Quiconque la verrait saurait qu’elle était liée à lui. Elle n’allait pas la cacher, ce n’était pas quelque chose dont il fallait avoir honte. Ni quelque chose dont il fallait être fière, elle n’allait pas l’exposer non plus. Non, elle n’allait rien changer, tout resterait comme avant, qui voudrait voir verrait, ça ne changeait rien, si ce n’est l’intensité de ses relations avec Tsukasa-sama. Leurs mains se désenlacèrent. Une longue caresse traînante vogua sur sa hanche, et peu habituée à ce qu’il descende ses mains aussi bas, enfin, peu habituée à ce qu’il les promène de cette façon, tout simplement, elle rosit comme lorsqu’il avait atteint son nombril, plus tôt. Ses lèvres se détachèrent de la perle, le temps de se familiariser avec ce contact près du tissu fin qui couvrait sa peau. Elle pensait qu’il allait s’arrêter là. Mais non. Il dévia ses doigts vers l’arrière, vers le creux de ses reins, et elle restait immobile, surprise par son…Audace ? Non, pas vraiment. Il profitait de ce qui lui était offert, n’aurait-elle pas fait la même chose si les positions avaient été inversées ? Elle voulait bien croire que non, mais savait pertinemment que si, elle n’aurait pas hésité très longtemps à se délecter de cette courbe qui était là, offerte mais pas sollicitée. Il fallait bien s’occuper les mains, non ? Pour ne pas laisser transparaître son étonnement, elle reprit quelques coups de langue, mais plus brefs et hésitants. Ce frôlement, plus bas, monopolisait son esprit. D’autant plus qu’il se mua en une prise plus ferme sur ce qu’il effleurait. Cette fois-ci, Firiel se raidit. Elle n’allait pas lui interdire de toucher cet endroit, non ; si ça lui faisait plaisir, elle le laisserait faire, parce qu’elle n’y était pas fermement opposée, de son côté. Elle trouvait même ça plutôt agréable, mais seuls quelques rares doigts s’étaient promenés par là. Et depuis qu’il l’avait prise auprès de lui, son corps avait retrouvé un certaine ‘‘tranquillité’’ : personne pour l’enlacer, personne pour l’observer contre son gré, pour profiter de ce corps taillé par la danse et les exercices physiques réguliers. Elle trouvait d’ailleurs étrange que Léonard n’ait tenté le viol qu’une seule fois, et qu’il ait interdit à ses invités de pousser plus loin les caresses et les cajoleries. | |
| | | Firiel Hanabashi Humaine
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| Sujet: Re: S'envoler ou sombrer? [PV Tsukasa-sama, encore une fois ^^] [Interrompu.] Mer 20 Mai - 21:11 | |
| Mais elle devait être heureuse de ce qu’elle avait encore, et cesser de se poser autant de questions. Un souffle, contre son oreille, la fit frémir, elle se tut. Le clapotis de l’eau était régulier, le vent soufflait aussi sans discontinuer, toujours au même rythme. C’était une petite brise qui rafraîchissait les êtres allongés là. Rien ni personne n’aurait pu venir troubler ce calme, la jeune femme ne l’aurait jamais admis. Elle cessa encore une fois ses jeux de langue, pour coller sa tempe à celle du maître. Un murmure s’abattit sur elle comme une tempête d’une rare violence. Je t’aime, je t’aime, je t’aime… Et résonna encore longuement entre les parois étroites de sa petite tête. Elle demeura immobile, et tenta de se convaincre qu’il s’agissait d’un rêve. Oui, elle avait rêvé, rien de plus ! Mais alors, pourquoi ce souffle était-il toujours présent, près de son tympan ? Pourquoi sentait-elle encore sa main qui serrait entre ses doigts l’une des courbes arrières, presque avec force mais sans brutalité ? Pourquoi la respiration de l’ange était-elle plus rapide ? Pourquoi le rouge s’était-il emparé de leurs joues, à l’un et à l’autre, avec cette puissance ? Pourquoi le sentait-elle aussi brûlant qu’elle ? Complètement noyée sous les questions, Firiel leur trouva une réponse commune et parfaitement adaptée : parce qu’elle ne rêvait pas. Non, elle avait bien entendu. Pas possible ! Un déluge d’euphorie violente s’opéra en elle, mêlée à une joie indescriptible. Elle perdit tout son sang-froid, sans s’en rendre compte. Ses mains se placèrent de nouveau sur les épaules du maître, pour l’appliquer encore au sol. Avec la grâce et la délicatesse d’un félin curieux mais méfiant, confronté à l’inconnu vers lequel il était attiré mais dont il ne savait pas tout à fait s’il était dangereux ou inoffensif, elle revint au-dessus de lui, mais dans sa totalité. Son front s’apposa contre le sien, ses yeux grands ouverts fixaient, droit devant, leurs compères sans voir leur pupille ni apercevoir la couleur flamboyante des iris. Mais il pouvait, lui, voir toutes les nuances de gris qui composaient ceux de sa soumise. Parfois cendres, foncés à l’extrême comme de la suie, parfois d’une clarté saisissante, comme l’eau pure coulant d’une roche, parfois, ils étaient les deux, mais ils changeaient éternellement, si bien que leur véritable teinte n’était pas vraiment définissable. Elle aurait tellement voulu voir ces mèches brunes, aux éclats presque caramélisés, assombris par de longues traînes chocolatées, et dont les reflets prenaient parfois, à la lumière que Firiel ne voyait plus, des particules poudrées analogues à celles du café. Il était un délice vivant, sa peau était tendre mais assez tendue pour offrir une bonne résistance aux mordillements, et chaude, pour le confort. Passé cet intermède appétissant, elle ne sut que faire. Son cœur semblé déterminé à bondir hors de sa poitrine, ses tempes bourdonnaient et le sang qui affluait à sa tête lui donnait le tournis. Elle ne parviendrait pas à aligner trois mots dans cet état, si elle ne se concentrait pas vite. Mais comment se concentrer après qu’il ait soufflés de tels mots, comment se concentrer alors qu’il était sous elle, et que son ‘‘moi’’ intérieur prenait feu comme une vulgaire brindille, à l’inverse de son corps qui vacillait comme la flamme d’une bougie presque entièrement consumée ? Trop d’interrogations planaient. Du revers de la main, Firiel les écarta, tout comme elle écarta les mèches du front de l’ange, après s’être légèrement redressée. Ces mots, elle les avait tant espérés ! Mais maintenant qu’ils étaient dits, ça lui faisait l’effet d’un éclair, de la foudre qui s’abattait sur elle. Une sensation électrisante, oui, piqua sa moelle épinière comme de petites aiguilles meurtrières, qui procuraient le bonheur dans l’ivresse, dans la débauche de la douleur. Qu’il était bon de l’entendre lui dire ça ! Mais il fallait lui répondre, n’est-ce pas, il ne fallait pas le laisser ainsi, laisser cette phrase adorable et chérie en suspens. L’aveugle hésita, ce serait la première fois qu’elle dirait cette… Chose, la première fois et il ne fallait pas altérer les sentiments qu’elle verserait dans ses paroles. Ça semblait si simple, et maintenant que l’ange l’avait fait, elle avait l’impression qu’un déclic s’était produit en elle. Comme à leur première rencontre, le bout de son index chevaucha l’arête du nez fin et droit, s’arrêta sur le bout et remonta entre les sourcils jusqu’au front. Il décrivit une arabesque jusqu’à la tempe droite, longea la naissance de l’oreille pour passer brièvement près de l’angle de la mâchoire bien définie et certainement puissante, il caressa la joue embrasée et retraça la forme du menton volontaire. À chaque fois qu’elle le touchait, elle le redécouvrait.
Je t’aime, chuchota-t-elle tout bas, si bas que c’était à peine perceptible. Je t’aime, je t’aime, reprit-elle encore, plus fort, et elle l’embrassa d’un chaste baiser, du bout des lèvres, et seulement ainsi. Une seule fois, elle l’embrassa, et logea dans le creux de sa paume le visage de Tsukasa-sama.
C’était la première fois qu’elle le tutoyait. C’était étrange, mais elle n’avait pas l’impression d’être insolente ou de faillir à son rôle d’esclave. Elle l’acceptait habituellement très bien, et savait quelles étaient les tâches qui lui incombaient. Mais là, ils n’étaient pas maître et esclave, ange et humaine. Non, ils étaient homme et femme, amoureux de surcroît. Le respect de l’autre était là, le respect de leurs sentiments respectifs les poussait à être si délicats et tendres l’un vis-à-vis de l’autre. Le prénom du bel homme effleura les lèvres de sa compagne du moment, qui l’articula d’abord avec difficulté, puis, elle s’accoutuma aux sonorités si douces, mais prononcées, de ces lettres tant aimées lorsqu’elles étaient disposées dans cet ordre-là, si particulier. Comme un enfant qui apprenait peu à peu à faire comme les grandes personnes, qui s’étonnait de la facilité d’un acte qui lui avait paru comme un obstacle insurmontable, elle répéta encore des dizaines de fois ce prénom, puis ajouta, à la fin :
Tsukasa, je t’aime, je t’aime !, d’une voix frêle, mais pleine d’émotion, de ces voix de femmes dépendantes, qui voient en leur amant l’avenir.
Ce n’était pas tout à fait faux pour Firiel. Cet homme-là était son avenir, celui qui décidait de sa vie ou de sa mort. Elle mêla de nouveau leurs cheveux ensembles en le serrant contre elle, sa tête se heurtant doucement à celle de l’homme aimé. Puis, elle se releva lentement, et s’assit sur lui, ses jambes passant de chaque côté de la taille de l’ange. Un mince sourire d’exaltation flottait sur ses lèvres, et du bout des doigts, elle tira en arrière le col de la chemise, pour la retirer complètement. Plus rien ne condamnait l’accès à ce buste et à ce torse contre lequel elle s’appuya quelques secondes, inclinée vers l’avant, le temps de faire glisser sa langue derrière l’oreille droite. Il était déjà à demi nu, et elle se coula entre ses bras, pour papillonner sur la peau de son cœur. L’une de ses mains fila sournoisement jusqu’à la frontière entre la ceinture et la hanche du maître, chatouillant légèrement cet espace mince qui confinait d’autres zones encore inexplorées, pour s’insinuer vers l’arrière, jusqu’au creux des reins sur lesquels elle appuya soudainement pour le relever du sol, la force mue par l’adrénaline du désir, et ainsi faire se rencontrer de nouveau leurs ventre et abdomen, plus bas, la naissance de leurs bassin. Elle le serra contre elle, de cette façon, pendant quelques instants, puis le laissa retomber aussi vite et brutalement qu’elle l’avait attiré contre elle. Un peu de bravade ne lui ferait pas de mal. Elle voulait voir jusqu’où il serait capable de tenir, et quelles limites elle devrait s’imposer. Mais sa main restait à cet endroit, qu’elle palpait discrètement. Après tout, il baladait ses doigts, ne pouvait-elle pas faire de même ? Dans le bénéfice du doute, elle prit la fuite sur les côtés, frôlant les hanches tendrement dessinées, puis l’extérieur de la cuisse. Les lèvres de l’humaine continuaient à déposer des chapelets de caresses traînantes et langoureuses sur le haut du ventre du maître. Elle maintenait son équilibre en gardant les doigts de sa main inoccupée sur l’épaule de l’ange. Ainsi, s’il s’avisait de bouger ou de remuer, elle perdrait son équilibre, et ne pourrait plus l’embrasser. Il n’avait qu’à se tenir tranquille s’il souhait encore être choyé. Firiel prenait véritablement plaisir à le sentir si soumis et abandonné à sa volonté. Peut-être qu’il avait voulu cet instant, lui aussi ? Est-ce qu’un désir impérieux grondait au fond de son âme, comme au fond de celle de son esclave ? Elle, par contre, elle avait perdu tout son self-control. Elle n’avait jamais fait ça auparavant, les contacts avec les corps masculins et féminins n’avaient jamais été aussi poussés. Pourtant quelque chose la guidait. C’était à la fois la lueur de l’instinct dans les ténèbres, mais aussi le feu ardent qui la brûlait et qui lui indiquait la voie à suivre. Elle n’avait peut-être pas conscience de ce qu’elle faisait mais elle enregistrait les conséquences de ses gestes sur le maître, et guettait chacune de ses réactions sonores et physiques. La main qui s’était aventurée sur l’extérieur ne put descendre davantage, et plutôt que de refaire le chemin en sens inverse, ce qui aurait été ennuyeux puisqu’elle avait maintenant découvert cette zone, elle franchit la courbe, pour se retrouver sur l’autre cuisse qu’elle n’avait pas encore été taquiner. Mais bien sûr, impossible, dans ces circonstances, d’avoir de nouveau accès à la partie extérieure. Elle se contenta de ce qui s’offrait donc à elle, la partie intérieure. Elle attendit un mouvement incontrôlé du maître, et dès que l’occasion pour elle de s’infiltrer entre ses jambes s’offrit, elle s’en empara. Elle était, à cet instant, plus bas que la mi-cuisse. Sa saisie sur la chair ferme se fit plus forte, et plutôt que de caresser, elle touchait franchement. Alors, elle remonta sa main, lentement, lentement, à une lenteur qu’elle espérait torturante pour lui… | |
| | | Tsukasa Hishima Oyaka Mafieux
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| Sujet: Re: S'envoler ou sombrer? [PV Tsukasa-sama, encore une fois ^^] [Interrompu.] Ven 22 Mai - 18:58 | |
| Il est dit que parfois certain mot sont difficile et même dangereux à dire, parce qu’une fois dit, il n’a plus de marche arrière, ont ne peut revenir sur ce qui est dit. Un mot c’est traitre et cruel, soit ont en est heureux, soit ont en souffre, cela dépend de la manière dont il a était formule et du contexte dans lequel il a était employé. Certain son malsain et cache plusieurs signification derrière eux tandis que d’autre nous font mal parce qu’ils permettent aux autres de nous découvrirent sans qu’ont le veuille. Cela est bien vrai mais pourtant la plus part peuvent rendre les gens heureux lorsqu’ils sont dit avec sincérité, certes la parole peut blesser et fait même fuir les êtres qui nous entourent mais pourtant, c’est avec le recule et le temps qu’ils se rendent compte que c’est en étant sincère avec eux qu’ont leurs montrent qu’ont c’est finalement attaché à eux et que si cela est dit c’est dans le seul but de leurs venir en aide. Est-ce que le mot employé par l’ange va beaucoup aider son esclave, sûrement pas, cela va même strictement lui servir à rien à part peut-être lui donné le sourire…Su moins c’est ce qu’il croit. Ce simplement peut provoquer bien des choses dans la vie quotidienne d’une personne, ce mot a connut et vu différente manière d’agir lorsqu’il fut employé, il a était ignoré, repoussé et le plus souvent accepté, mais dans tous les cas, un seul sentiment commun revenait. Il avait été compris et c’est ça le plus important. Il a voyagé partout dans le monde au travers du temps et des dimensions, découvrant les résultats de son existence, il était parfois fier de voir que son emploie avait permis de donné naissance à plusieurs descendance, il en était même heureux d’être utilisé par les progénitures des êtres dont il était sorti en premier. Encore une fois, est-ce que ce mot à rendu l’aveugle heureuse ? Ce mot, il avait aussi était employé par les personnes qui lui ont permit de voir le jour. Il a travers toutes ses descendances au travers de leurs sang, et maintenant c’est lui qui l’utilise pour avouer ce qu’il cache au plus profond de son être. Il se montre bon et révélateur, permettant à la lumière qui habite certain cœur de ce libérer. Une nouvelle lumière qui se montre avec fierté au grand jour, la force d’échapper aux ténèbres pour un petit moment de détente lui avait été accordé et elle ne se gêne pas pour en profiter. C’est de cette lumière qu’est apparut le mot tant désiré qui ne cessait de brûler les parois rose de chair qui le retenaient enfermé. Il avait pu sortir dans une douce brise chaude, un souffle ou un murmure qui n’avait été adressé jusque là qu’à une seule oreille. Depuis le temps qu’il voulait sortir pour enfin montrer à quel point l’ange a lui aussi un cœur malgré la froideur dont il fait preuve par moment. Enfin, quand ont dit par moment c’est plutôt souvent, il faut en sorte de garder la même humeur face aux êtres qui le regarde, il joue un peu la comédie c’est vrai, mais là il ne s’en rend pas compte qu’il se laisse aller comme la dernière fois. Il ne se rend pas compte que certaines cellules de son corps entre en ébullition et qu’elles le font agir de façon peu habituel, c’est comme la fois où qu’il avait été seul avec elle dans le jardin. Ce jour là aussi ses instinct avaient prit le dessus sur sa raison, ce qui à eu pour résultat une chemise et un corps complètement rafraichit…En effet puisqu’il avait eu droit à une douche gratuite dans la fontaine à l’aide de la jeune personne qui se trouve ne face de lui. Mais le moment qu’il partage cette fois-ci n’est pas le même que l’autre fois, celui-ci dégage une ambiance agréable, une odeur exquise, le son de la nature en parfait harmonie, une symphonie spécialement faite pour les cœurs des âmes envahit par le fluide d’or de l’amour. Un tel mot peut tout changer dans cette situation, elle pourrait très bien prendre la fuite pour une raison que seule elle connait ou bien elle pourrait rester ici contre lui. Il ne lui demande pas d’accepter ses mots même s’il sait très bien que c’est surement déjà fait, elle ne prend jamais beaucoup de temps pour répondre à ses moindres paroles alors qu’il a très bien dit qu’il ne la considérait pas comme une soumise ou une esclave. Ces mots lui avaient permit de se libérer, il était parvenu à franchir les murs glacial qui l’entourait. Mais qu’en est-il de la réaction de la belle, il ne lui demande pas de répondre mais de le comprendre, c’est vrai qu’il n’est pas dans une situation simple et elle aussi. Tous deux jouent à un jeu bien étrange qui cache divers secret et qui dressera de nombreux obstacles à franchir. Au travers du contact qui s’était installé entre leurs tempes, il ressentait bien qu’elle était gênée de ce qu’il avait osé dire. Ce lien entre eux se sépara en deux, elle s’est éloigné certainement à cause de lui, pendant un moment il avait peur qu’elle ne parte en prenant ses jambes à son cou. Une pression se fit ressentir au niveau de ses épaules, il était encore une nouvelle fois bloqué contre l’herbe humide sans même avoir la moindre chance de s’échapper. De toute manière il n’aurait pas tenté de fuir par peur de la blesser mais aussi parce qu’il ne veut pas se séparer d’elle. Il ne bougeait pas mais il était prêt à lui sauté dessus s’il la sentait trop s’éloigner de lui, il ne veut pas qu’elle s’éloigne et elle n’a pas le droit de le faire, jamais il ne l’accepterait. De peur il ne voyait plus rien alors qu’il y a peu de temps il pouvait voir au delà les nuages un univers que l’ont nomme « paradis ». Dans cette vague image sombre dans laquelle il était totalement perdu, un frisson, un contact, un murmure, une odeur caramélisée, toutes ces sensations vinrent le chatouiller en même temps. Elle ne s’était pas éloignée mais bien au contraire, elle s’était approché d’avantage contre lui, il pouvait même ressentir toutes les formes de son corps au dessus de lui-même s’il n’y avait pas réellement de contact. Peu à peu la peur s’éloigné de son corps, le laissant tranquille pour le moment. Un amour un cœur qui bat, dans cette folie un frisson lui parcourut tout le corps, faisant alors vibrer ses veines et tous ses muscles lorsque le front de l’humaine vint s’apposer contre le sien. C’est étrange pour lui de ressentir une personne posé son front contre le sien alors qu’habituellement c’est ça façon d’agir. Rien que le fait qu’ont le lui fasse lui donne un peu le sourire, ses doigts avaient relâchés leurs forces, glissant maintenant le long des courbes, redécouvrant chaque parcelle de tissus et d’épiderme avant de venir faire une halte sur l’herbe fraiche. Non plus perdu dans les ténèbres mais cette fois dans un paysage brumeux, une neige qui ne fondra jamais lui faisait face, une nostalgie profonde commençait déjà à l’envahir s’en qu’il ne puisse faire quoique ce soit, c’est particulier à ressentir, notre corps ne veut plus réagir quand c’est comme ça, il ne veut plus nous obéir. Cette couleur, elle parait si froide et lointaine, un souvenir parmi tant d’autre, une boule de neige avec deux feuille dessus, un petit lapin des neiges que sa sœur lui avait fait. Non ! Il sentait des larmes lui venir à cause ou grâce à se sentiment, ce souvenir fait parti des bons moments de son passé, c’est l’un des seuls souvenir qui l’avais rendu heureux. Ce lapin des neiges lui avait rendu le sourire après une dispute et une fuite dans la tempête. Mais encore une fois, il n’en est pas là, il ne neige pas en ce moment même si couleur de ses yeux lui donne cette impression, peut-être qu’une tempête va s’abattre sur lui sans qu’il n’y prenne attention. Perdu dans le paysage gris, des mèches de cheveux furent écartées tandis que la belle s’était un peu retirée ou du moins redressé. Non pas frileux mais sensible, il fut parcourut de nombreux picotement causés par des étincelles lorsque les doigts fins et plein de délicatesse découvrirent son visage en laissant derrière eux des caresses et des marques invisibles. Ces marques resteront à jamais dans la mémoire de son âme et celle de son corps, jamais il ne pourra oublier tous les contacts qu’il y avait eu entre eux deux. Un vent chaud ou froid, une rencontre qui peut donner naissance à une tornade, un souffle qui lui parcourt la peau pour en arriver à ses oreilles. Il lui avait semblé entendre un même, impossible que ce soit le même que celui qu’il avait laissé sortir pour montrer ce qu’il ressent et cache au fond de lui. Mais pourtant un espoir grandissait en lui, il veut, non ! Il désire que se soit le même mot. Il souhaite plus que tout au monde qu’elle ressente la même chose, que le mot qu’il avait cru entendre soit le même, qu’il ai la même signification. D’extérieur il n’avait aucune réaction, ses mains étaient toujours le long de son corps posées sur le sol, mais à l’intérieur il avait une lutte intense contre la peur d’être rejeté, pourquoi devrait-il avoir peur de ça ? N’est-ce pas lui le maitre ? Pourtant oui, mais allez donc savoir… Un souffle encore plus fort vint violement pénétré l’entré de ses oreilles pour cette fois-ci atteindre non pas son esprit mais directement son cœur. Ce mot, oui c’est bien lui qu’il voulait entendre, c’est bel et bien lui qui sorti de ses lèvres. Il n’eut pas le temps de comprendre ce qu’il se passait réellement puisque l’attention de ses lèvres furent monopolisé par celles de son amante, c’est ainsi qu’il la voit en ce moment même. Il était encore en plein rêve, étendu sur un doux nuage, bercer au creux des bras de la douce tout en savourant le gout de ses lèvres à peine effleuré. L’entendre prononcer son prénom à nombreuse reprise le fait frémir, elle qui jusque là mettant toujours un petit signe de respect à la suite de celui-ci, rien que le fait de ne pas en utilisé un seul et de le mettre au même niveau qu’elle lui fait grandement plaisir. Il descendait de son nuage pour lui tendre la main, allant la chercher pour l’emmener avec lui, s’il doit partir se sera avec elle. Le sang affluait dans ses veines tel un torrent qui se déverse au somment d’une cascade avant de revenir par les tunnels, un cycle qui lui permet de rester ici avec les yeux grand ouvert, heureux d’entendre la voix de son amour, entendre son nom dit ainsi. Ce qui le surprend d’avantage c’est que son prénom fut accompagné par le mot de la libération de l’être intérieur, de plus , ajouter à cela, elle ne le vouvoyait plus mais bien au contraire, elle se mettait à le tutoyer. Ce simple petit signe montre pour lui qu’ils sont encore plus proches qu’il ne pouvait le croire, cela montre qu’elle ne le considère plus en tant que maitre mais bien en tant qu’être vivant, en tant qu’homme. Il aurait bien voulu lui faire un signe pour lui montrer combien il l’aime plus que tout mais un geste de cet être le stoppa dans sa foulé. Il sentait une protection qui enveloppait son cœur se retiré, ou plutôt, se faire retiré à l’aide d’une main un peu trop courageuse. Il se sentait comme qui dirait, nu, oui c’est parfaitement ça, il se sentait un peu nu même s’il lui reste encore quelque protection. Le fait de savoir qu’il ne pourra plus se cacher derrière le tissu de sa chemise l’effraie un peu, d’autant plus que les pointes de l’herbe fraiche était maintenant entrain de lui caresser et chatouiller le dos, taquinant ses hanches et sa colonne vertébrale.
Le souffle de la douce s’éloigna pour se retrouver inaccessible, il ne pouvait plus le ressentir au creux de son oreille, quoique…Cela est vite dit puisque la cœur de la fleur aux pétales sournoises vint à la rencontre de son oreille pour surement la saluer. Perdu, toujours et encore, il ne savait plus où se mettre sous l’assaut de cette flamme rose, ne remuant pas trop parce que d’un certain côté il réclame toutes les marques d’affection qu’elle est capable de lui adresser, il hésitait à bouger ses mains. Heureusement pour lui que son oreille fut délaissé, mais il n’eut pas de chance parce que l’attaque n’était pas terminé, ce fut d’autre zone de son corps qui en subirent les dégâts mais aussi les effets. Cette attaque affective était-elle là pour en dissimuler une autre ? Cela est bien possible parce qu’il n’avait pas prêté attention à ses mains qui furtivement avaient filé au niveau d’une barrière à ne pas franchir. Un territoire qui pour le moment doit encore rester protégé part ce rempart, il ne doit absolument pas céder. Ce sera difficile c’est vrai, surtout lorsque c’est la personne tant aimé qui désire franchir cette barrière. Mais là, soudainement il se sentit attiré vers l’avant entrainer par une sensation qui avait exercé une pression au niveau de ses reins, ainsi il se retrouva alors encore une fois contre elle, un contact qui dura un bon petit moment mais qui ne lui déplaisait pas du tout et pour elle aussi on dirait bien. D’ailleurs c’est elle qui avait provoqué intentionnellement la nouvelle rencontre entre eux, il ne s’en plaint pas ça c’est sûr et il fut d’ailleurs déçu lorsqu’il fut obligé de regagner la terre ferme et humide, des caresses qui se dissimule par-ci par-là avec le bouquet de marques chaudes et invisible qu’offre les pétales de rose. Assaillit, il ne pouvait rien faire à part subir. Les reins maintenant délaissé, se fut au tour d’une cuisse qui n’avait rien demandé jusque-là. Par réflexe il releva un peu la jambe, pas habitué à ce qu’il y ai un contact aussi agréable à ce niveau là. Jamais sa cuisse n’avait était caresser et il ne pensait pas que cela puisse arriver un jour, c’est étrange comme sensation mais c’est aussi très agréable, il ne disait rien mais il montrait bien qu’il appréciait en basculant légèrement la tête en arrière pour ne pas lui faire face. Cette main et joueuse, un peu trop même, l’extérieur de la cuisse il peut le supporter mais l’intérieur, ah non ! Là ça devient impossible pour lui surtout que c’est une zone assez sensible malgré le rempart fragile qui se dresse entre leurs deux épidermes. Il n’aurait pas du bouger sa jambe ainsi, de cette façon il lui avait permit de sauter par-dessus le premier obstacle pour se mettre directement en position afin de franchir l’autre. Que c’est vil et cruel de sa part de lui faire ça, tout d’abord l’emprise qu’elle a sur l’intérieur de sa cuisse mais surtout l’escalade lente et sournoise. Veut-elle se montrer prudente ou bien veut-elle tout simplement le torturer ? Il opterait plus particulièrement pour la solution numéro deux, elle veut le faire souffrir d’amour, peut-être désire t’elle aussi qu’il passe au dessus de la limité. C’est vrai qu’il fait tout pour ne pas se montrer au grand jour, qu’il tente de garder le contrôle sur lui-même même si cela devient de plus en difficile. Il subissait tel un soumis face à son maitre, les rôles avaient été inversé et bizarrement il aime ça, surement parce que pour lui c’est comme s’il abandonner toute le poids qu’il avait sur ses épaules. Des poils qui se redresse sous l’excitation tel des soldats qui brandissent fièrement leurs armes en poussant le cri de guerre avant la bataille, lui il se bat contre son être intérieur pour lui demander main forte afin de franchir la barrière de la retenu. Remuant encore tout le temps sous le corps de la belle, face à se rideau blanc qui cache un esprit sournois, ses jambes remuaient un peu face au attaque « tranchante » et efficace de la petite amazone. Une comparaison bien particulière mais qui lui correspond bien lorsque l’ont s’accorde à ce décor paisible. | |
| | | Tsukasa Hishima Oyaka Mafieux
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| Sujet: Re: S'envoler ou sombrer? [PV Tsukasa-sama, encore une fois ^^] [Interrompu.] Ven 22 Mai - 18:59 | |
| Auparavant lorsqu’elle était assise sur lui, on pouvait la comparait à une reine assise fièrement sur son trône, maintenant elle est une guerrière en chasse de sa proie, elle s’amuse avec, guettant ses moindre geste et réaction, il à de plus en plus de mal à resté ainsi, calme…L’avancée lente de cette main avait pour conséquence des réaction de gigotement mais aussi de long soupir qui démontre à la fois qu’il apprécie mais aussi qu’il subit. Non pas les seules réactions de son corps, il y avait aussi le sang qui se mettait à affluer un peu partout, faisant monter une certaine adrénaline en une zone encore protégé mais qui vois les piliers de la barrière peu à peu entrain de céder. Il doit l’empêcher d’en allez trop loin, oui il aime ben cette torture mais il n’en est pas « maso » à ce point, même si l’a ce mot n’est point significatif de la situation dans laquelle il se retrouvait. Toutefois, dans un redressement brutal du corps, la douce et belle maitresse ou amazone aux mains trop curieuses fut basculé sur le côté. Enfin, pas seulement sur le côté puisqu’il avait décidé d’inverser leurs position. Cette fois ce n’est pas lui qui est en dessous mais bel et bien elle, dommage ou chance, c’est à elle d’interpréter cela comme elle le sent. Elle lui a montré ce qu’elle était capable de faire pour lui-même s’il sait qu’elle voulait lui en montrer d’avantage, mais cette fois c’est à son tour et il ne va pas ce gêner pour le faire. Et oui, il faut croire que dans cet élan d’adrénaline il a put franchir la limite qui le retenait prisonnier. Une main se retrouvait entre l’humidité de l’herbe et la peau chaude de l’être aimé, le souffle de l’ange quand à lui était saccadé, excitation ou bien la peur, la lutte était dans tous les cas acharné. Si ça main est une amazone alors quand est il de la sienne, une bête peut-être, peut importe son appellation en cet instant, elle se retrouve tout de même à côté du doux visage angélique au regard brumeux et à la chevelure de soie blanche. Par-dessus une ou deux oreilles des mèches brunes viennent se perdre, des flocons de neige noir qui vient se perdre dans la grande étendu blanche qui le domine, des cheveux qui s’emmêle en démontrant ainsi le lié fort qu’il y avait maintenant entre eux. Il n’y avait pas que les cheveux sombre de l’ange qui ont tendance à ce perdre puisque son regard lui se mit directement à fixé la brume, une couleur démoniaque qui tente de déchiffrer et de voir à travers cette brume une silhouette qu’il veut à tout prit retrouver. Du bout de ses lèvres il laissa un souffle chaud et fin s’échapper pour venir se déposé sur les pétales qui sourient au rayon si mystérieux de la lune. D’ailleurs en parlant de celle-ci, n’est-elle pas elle qui est venu en aide à l’ange pour lui attraper la main et le faire sortir au-delà de la limite qui lui avait été imposé ? Cette vision est bel et bien possible, la lune fait parti des éléments qui arrive à comprendre l’ange, un élément qui le fait ce dévoilé aux autres sous un autre angle. C’est surement là qu’il se montre le plus sociable et moins distant. Laissant alors un peu de temps pour que son souffle finisse de se rependre sur cette étendue vraiment très gouteuse du corps de la belle, ce fut ses lèvres qui vinrent cette fois en contact avec les siennes et non l’inverse. Est-il possible d’avoir droit à une telle sensation de liberté, jamais il n’aurait pensée pouvoir avoir droit à cela, cela ne lui avait jamais était permit. Un simple effleurement entre leurs pétales avec une petite caresse sur sa joue tendre et délicate, il se retira pour la laisser respiré une autre odeur que la sienne. Dans une descente très lente, la paume de sa main se décolla de sa joue pour alors laisser un doigt encore en application dessus. Celui-ci se mit à dessiner les traits de sa joue avant de venir couleur sous son menton, longeant alors son cou pour en revenir à la vasque créé par son épaule droite. C’est avec amusement que ce fier petit lapin parcourt les pentes tendre et douce que la belle offre, une épaule qui se fait plus grande qu’il ne le pensée, il s’arrêta sur la forme arrondie avant de revenir jusqu’à la clavicule. L’autre s’amusa à venir devant, passant alors par un petit chemin qui se trouve être la chute de reins. Des caresses qui se font au passage, des formes qui se dessine sous ses les petites sphères de particule qui forme l’épiderme de son doigt. Là, il longea les bordures de la matière qui lui sert de protection pour en arriver au niveau des hanches. Un sourire joueur, une voix qui se fait tendre, il se glissa auprès de son oreille pour laisser un murmure l’atteindre.
Je t’aime, Firiel, Je t’aime.
Une voix des plus sincère qu’il soit, faible il est vrai parce qu’elle avait était dit dans un murmure délicat, c’est avec un petit sourire qu’il s’éloigna. Lors de se retrait il pouvait revoir le visage de sa belle entrain d’apparaitre devant lui. De la clavicule il glissa en vers le bat pour créer un demi-cercle afin d’atteindre l’autre, répétant cette action en sens inverse pour revenir à son point de départ. Ce petit doigt revient avec tout ses amis, sa paume vint directement en contact avec sa peau, il ne touchait ni ne frôlait les sphères supérieur, sa main était délicatement passé sur le côté, entre l’intérieur de son bras et son corps pour descendre sur sa hanche. Des lèvres aussi joueuse que ses mains, elles vinrent à l’assaut des clavicules caressé un peu plus tôt alors que la fleur qui se trouve bien plus bas avait elle aussi envie de s’amusait au lieu de rester sur place. Cette petite main donc, descendit à une vitesse lente qui se veut être désirable et menaçante, enfin c’est ce qu’il aimerait faire croire. Il parcourut la matière de son vêtement pour en revenir sur sa peau afin de descendre encore plus bas et donc lui caresser lui aussi la cuisse. Une petite alternance entre ses deux mains, ‘lune qui ne se retrouve plus sur sa hanche mais à son basin alors que l’autre remonte et descend dans le but de réchauffer sa peau et son sang même s’ils le sont déjà bien assez comme ça. Non il ne va pas faire comme elle-même si ce qu’il est entrain de faire y ressemble un peu. Il n’était pas réellement allongé sur elle, son équilibre était certes maintenu par ses mains et le corps de la belle, ses jambes se retrouvaient sur chaque côté de celles de qu’il est entrain de taquiné. Les genoux sur le sol, il se redressa pour laisser ses clavicules tranquille, mais ce n’en est pas fini avec ce petit jeu, ça c’est sure. Il se recula légèrement pour se courber et venir déposer ses lèvres sur le nombril autrefois taquiné par une main trop entreprenante. Il ne fait pas que jouer avec ses lèvres, non, il joue aussi de la pointe de sa langue sur cette zone ma fois très gouteuse et savoureuse. | |
| | | Firiel Hanabashi Humaine
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| Sujet: Re: S'envoler ou sombrer? [PV Tsukasa-sama, encore une fois ^^] [Interrompu.] Mer 27 Mai - 0:37 | |
| Tsukasa-sama était enfin libéré de son inhibition. À grands coups de baisers tendres, de caresses traînantes et de mots doux, Firiel était parvenue à apprivoiser cette part de lui qu'elle convoitait tant. Il était réservé, mais elle avait détruit tous les murs qui retenaient prisonnier le fond de cette âme insaisissable. Maintenant que ces rayons chauds l'enveloppaient et qu'elle apercevait enfin l'humanité profuse dans ce cœur, elle était vraiment heureuse. Elle le trouvait encore plus beau et resplendissant lorsqu’il se dévoilait ainsi. Il était doux, il était aimant, il était comme les ondulations du satin et de la moire. Il était le charme caressant qui domptait les élans d’affection de sa soumise, avec une délicatesse et une subtilité rares. Elle l’aimait, elle l’aimait comme elle n’aurait jamais imaginé qu’on puisse aimer quelqu’un, car lorsqu’il lui appartenait, elle se sentait auréolée de bonheur. Oui, il était à elle, pour ce soir, du moins, personne ne volerait ces moments d’intimité, cet échange permanent d’amour serait éternel, comme le fil de l’eau qui ne s’arrêtait jamais, car il était cyclique, il naissait, se développait, puis mourait pour aussitôt ressusciter, toujours plus puissant. Elle ne voyait pas les obstacles, y en avait-il seulement ? Elle avait l’impression que rien ne pourrait jamais entraver cette ronde si bien menée. Aucun grain de sable ne se glissait dans ces rouages bien huilés. Elle voulait crier son amour, exprimer ce mal qui la rongeait entièrement, mais auquel elle s’abandonnait. Elle déclarait forfait sans même essayer de lutter. Il était trop bon de laisser libre cours à ces sentiments, et il était également inutile de lutter contre eux. C’était perdu d’avance, elle ne parviendrait jamais à se taire car ce mal deviendrait pesant et contracterait son cœur. Se taire ne lui apporterait que du malheur, et c’était maintenant inutile. Oh, il l’aimait, il l’aimait ! Elle l’aimait aussi, mais plutôt que de hurler l’amour, elle préférait le lui donner. Cette enveloppe charnelle, elle la convoitait aussi, tout autant que l’esprit logeant dans les entrailles brûlantes de ce corps d’homme. Elle voulait tout de lui, tout, absolument tout, et elle n’allait pas se priver. Il lui offrait l’occasion de se saisir de lui, était-ce une offrande ? C’était un peu malsain de penser ainsi, mais son dieu s’offrait donc à sa fervente croyante ? Elle l’idolâtrait trop pour laisser cette chance lui échapper. Ce n’était pas une feinte, non, il ne la narguait même pas. Il se donnait, tout simplement, sans la retenue habituelle qui le caractérisait tant et que Firiel, après maints efforts, avait anéantie. En toute logique, elle devait être celle qui jouait le rôle de cadeau, mais elle avait toujours l’impression d’en avoir été un, le maître ne l’avait-il pas achetée comme on le ferait d’une simple marchandise, ne profitait-il pas, à cet instant, de ce que lui offrait ce présent qu’il s’était offert ? Et Tsukasa-sama n’avait jamais tenté de dénouer le ruban pour retirer l’enveloppe de papier chamarré et découvrir enfin ce qui s’offrait à lui de sa propre volonté. Lui, au contraire, se dérobait aux doigts qui voudraient entrevoir son ‘‘moi’’ profond. Pourtant, l’humaine avait réussi. Là où sûrement peu de monde avait réussi. Elle se sentait gonflée d’orgueil, et de fierté, elle apprenait peu à peu à se servir de ce nouveau jouet, quel plaisir ! Plus elle avançait sur ce terrain dangereux, plus elle le trouvait magnifique. Elle voulait être la pluie inespérée qui redonnerait vie à ce paysage dévasté, et les flèches lumineuses qui chasseraient l’ombre pour ne plus jamais lui permettre de revenir hanter de sa présence la vaste étendue. Elle songea que c’était peut-être un peu trop, et qu’elle ne pouvait même pas espérer influer autant sur l’ange. Cependant, elle aimait cette idée de pureté et d’éthéré. Elle aimait tellement Tsukasa-sama qu’elle ne permettrait à personne de le blesser. Elle voulait le protéger de toutes les attaques, sauf des siennes. Il serait le seul à s’attirer les foudres de son esclave, elle ne reprocherait rien à personne d’autre. Cette capacité à éprouver de la colère envers lui était aussi une preuve d’amour, une preuve qu’il ne la laissait pas indifférente. Et parfois, la frontière entre l’amour et la haine était très mince. Elle n’avait pas peur de la franchir ; Tsukasa-sama lui pardonnait tout. Tout au plus si elle pourrait éprouver des remords. Enfin, les choses avaient été clarifiées, il ne lui redemanderait plus ces choses auxquelles elle ne pensait plus, à l’instant, trop absorbée par ce qu’elle faisait. Et elle ne craignait pas d’être infiltrée par l’esprit du maître, il n’était pas quelqu’un qui osait s’en prendre aussi sournoisement aux personnes qu’il prétendait aimer. Il était bon, il était docile et honnête… Il avait relevé la jambe, très légèrement. Elle le prit comme une invitation à continuer, ou un signe qu’il avait apprécié cette caresse, tout du moins. Il continuait à remuer, certes moins, mais il continuait. Néanmoins, Firiel ne cessait pas ce petit jeu de progression sensuelle et presque viciée. Elle l’accentua même lorsqu’elle eut l’occasion de se glisser entre ses cuisses. Le tissu fin, qui couvrait la peau brûlante de l’être aimé, ne le protégeait de rien. Malencontreux détail, tiens. Enfin, pour qui ? Il avait appris à la connaître, il savait qu’elle était parfois sujette à des crises de perfidie. Mais elle n’allait pas changer ça, oh, non. Ça faisait plaisir au maître, et elle en tirait aussi une certaine satisfaction. Il pouvait bien tenter de la convaincre qu’elle se trompait, et qu’il n’aimait pas ça, mais les soupirs parvenaient à l’oreille d’une aveugle presque ivre. Ce n’était d’ailleurs pas la seule chose qui lui permettait de dire qu’il était ravi, lui aussi. Elle sentait la tension grimper, et en tirait une sorte de jubilation. Elle n’avait d’abord pas eu conscience de lui faire autant d’effet, mais maintenant qu’elle s’apercevait de cet élément, elle comptait bien en tirer profit et l’utiliser contre lui. Dans le même temps, elle se rendit compte que ses mains ne se faisaient plus aussi baladeuses, peut-être avec un peu de regret. Elle s’apprêtait à manœuvrer une subite accélération, mais le temps ne lui en fut pas donné. Elle se sentit peu à peu éloignée de ce corps, dont elle se détacha à contrecœur. Ses lèvres quittèrent le nid dans lequel elles s’étaient établies depuis quelques instants, le creux de l’abdomen, entre les côtes. Il l’écarta, lentement, très lentement, mais elle se retrouva plus vite qu’elle ne le prévoyait sur l’herbe. Fin du premier tour et abolition temporaire des privilèges qui lui étaient donnés sur ce corps désirable. Une moue plaintive et déçue se peignit sur son visage. C’était si drôle, pourtant, de mener la danse, pourquoi l’avait-il privée de cette distraction délectable ? Voulait-il jouir de cette impression d’emprise, lui aussi, alors qu’il l’avait à disposition en permanence ? Maintenant inoccupée, les mains reposant près de sa chevelure de brume, Firiel prit le temps de sonder la respiration de son amant. Saccadée, peut-être ? Elle était irrégulière. Un sourire de contentement illumina le visage diaphane, peut-être assombri par les viciations auquel il était confronté et par la nuit étoilée. Également par l’ombre qu’il provoqua lorsqu’il se pencha au-dessus d’elle, et que les pointes fines de ses cheveux vinrent chatouiller ses oreilles. Il était proche, très proche. Elle ne s’en plaignait pas. Elle aimait cette proximité avec lui, elle aimait être contre ce torse et elle aimait savoir que les fils de soie s’entremêlaient. Elle aimait tout ce qui prouvait qu’elle était à lui, et qu’il était à elle, d’un accord tacite et muet. Tout ce qui les confondait et les unissait encore plus, elle aimait tout cela, et l’envie lui prit de le serrer de nouveau contre elle. Elle sentait qu’elle le fixait, et brûlait encore davantage, de plaisir. Elle lui plaisait, et cette simple idée la rendait folle de bonheur. Elle souriait toujours, ils respiraient le même air. Cette altération du contexte ambiant l’invita à se pencher sur ce qui les entourait. Dans son dos, les pointes tendres de l’herbe jeune chatouillaient les cicatrices, jusqu’à ses chevilles légèrement écartées l’une de l’autre. Elle les sentait même dans sa nuque. C’était agréable, mais l’intrus qui s’était faufilé sous elle l’intriguait bien plus, sans pour autant la gêner. Elle était toute à lui, il avait le droit de promener ses doigts à sa guise, du haut vers le bas, et du bas vers le haut. Qu’importe. Tant qu’il lui montrait toujours qu’il l’aimait, même de cette façon, elle était heureuse. Si elle avait pu, entre ses cils fournis, elle aurait vu la voûte céleste qui se parait de milliards de petits diamants sur le velouté sombre de la nuit. Elle aurait vu la fière reine au front d’argent, qui posait son regard laiteux sur les êtres allongés là avec une bienveillance toute maternelle. Elle faisait des étoiles ses suivantes, et les forçait à s’incliner devant la brillante pâleur de son habit chaste que le lagon reflétait vaguement. Il renvoyait un ersatz de la beauté du croissant ornant le diadème de Diane, dont l’arc n’était plus représentatif de l’astre maintenant analogue à ses courbes prononcées et à sa silhouette plantureuses, bien que toujours gracieuse et élégante. La lune était une femme, à sa façon. L’air était embaumé par la végétation environnante, et le silence se faisait total, hormis le clapotis de l’eau azurée du lagon. Elle aurait également aperçu ce visage aimé, si près qu’en tendant les lèvres, elle l’aurait embrassé et couvert de baisers torrides. Ce qui était une simple idée se transforma en souhait, qui fut exaucé. Il prenait les initiatives, et elle se sentait mue par le pouvoir de l’envie. Envie de lui, oui, mais elle n’oserait pas l’avouer. Lorsqu’il effleura sa joue, elle ferma les yeux, et pencha très légèrement la tête du côté de sa main, quémandant d’autres caresses comme celles-ci, non pas pleines de sensualité, mais d’amour, d’un amour pur et apaisant, comme si son cœur ne trouvait la sérénité qu’auprès de celui du maître. Il était sa seule attache, et elle vivait pour lui, à travers lui, à travers ses lèvres qu’il consentait à partager avec les siennes, à travers ses doigts qui provoquaient d’intenses frissons le long de son échine, à travers sa présence, même ; sans lui, elle deviendrait un simple déchet, il était celui qui lui donnait autant de valeur. Il se coula sous son menton, puis se déversa dans le creux de son épaule avec une lenteur exquise, il joua entre ses clavicules tandis que plus bas, elle décalait son bassin au même moment où la main angélique caressait ses hanches, et qu’elle se faisait taquine. Elle crut sentir un flot de sang bien plus chaud qu’à l’accoutumée envahir son cœur avec violence lorsqu’il murmura de nouveau ces mots qui injectaient le bien-être dans son sang, à grande dose. Alors, elle glissa ses bras autour de ce torse confortable, se mains s’échouant dans le large dos qu’elle frôla dans le but d’y animer des frissons. La voix de Tsukasa-sama avait été faible, mais elle était pleine de fermeté. Elle espérait que rien ne le ferait jamais changer d’avis. L’humaine profita de ce qu’il soit encore tout près, pour lui susurrer une longue suite de mots doux, comme une litanie qu’elle aurait apprise par cœur en quelques minutes. Avec cet homme, les mécanismes de l’amour semblaient simples, presque enfantins, tout comme le fait d’articuler ces déclarations, répétitives mais qui leur octroyaient toujours un même plaisir partagé, parce que l’autre était avec eux. Oui, la simple existence du maître était la seule chose qui importait à l’esclave. Puis, elle eut plus de mal à distinguer son souffle et la chaleur de son corps enveloppa moins celui de Firiel qui comprit qu’il s’éloignait. Elle cessa alors de frôler, et posa ses mains sur les omoplates masculines, incitant silencieusement son aimé à rester ainsi, près d’elle, c’était ainsi qu’elle le voulait, il ne devait pas l’abandonner, car sans lui, elle deviendrait folle. Il embrassa les clavicules sur lesquelles il avait cheminé, plus tôt, et elle en éprouva une étrange sensation. Elle n’avait jamais pensé que ces zones pussent être aussi sensibles, et pourtant… Elle le trouvait vraiment délicat et attentionné, il savait prendre son temps, sans la brusquer, il apprenait à l’aimer avec une finesse qu’elle savait rare, il contournait certaines zones avec un soin exemplaire pour ne pas déstabiliser sa soumise. Elle réalisait qu’elle avait peut-être été trop vite pour lui, quelques minutes plus tôt, et s’en repentait pour conclure qu’elle devait aller au même rythme que lui, désormais. Dès qu’elle sentit l’effleurement, fourbe mais désirable, courir le long de son flanc, puis stagner quelques instants sur sa hanche, elle remonta ses doigts jusqu’à la chevelure sombre, et y glissa ses doigts. La masse soyeuse coulait entre ses doigts, souple et composée de fines pointes qui s’infiltraient entre ses phalanges. Puis, lorsque celles de l’ange descendirent sur sa cuisse, elle ne put réprimer un vif mouvement vers l’intérieur. Elle resserra ses genoux. Assez logiquement, elle perdait de son assurance dès qu’il s’agissait de se retrouver sous la domination de l’ange. Elle ne pouvait plus jouer à la maîtresse, et se glissait dans sa peau de soumise une nouvelle fois, avec tout ce que cela impliquait. Cette caresse sur sa cuisse, elle l’avait parfaitement supportée, plus tôt, mais maintenant, elle la prenait comme une demande à se glisser plus loin. Elle savait qu’il sentirait, sous sa paume, l’os de son bassin. Il sembla soudain à la jeune femme que l’atmosphère se réchauffait. Non ? Son corps était submergé par des vagues de chaleur successives qui déferlaient en elle au fur et à mesure que Tsukasa-sama apprenait par cœur les différentes lignes courbes qui formaient ce corps. Et s’il tombait sur un détail qui ne lui plaisait pas ? Si l’apparence de la jeune femme était finalement hideuse ? Le don d’Ishina lui avait permis de s’entrevoir pendant plusieurs minutes, mais qu’est-ce qu’allait en penser le maître ? Et s’il l’abandonnait soudainement, et arrêtait tout à cet instant ? Elle se sentit assaillie par les doutes, et ne prit pas garde à l’arrêt des baisers sur sa clavicule. Ce fut seulement en sentant le souffle humide qui se posait sur son nombril qu’elle réagit. Un petit hoquet de surprise franchit ses lèvres, très bas, mais elle en eut honte, et se dissimula le visage derrière les mains. Qu’est-ce qu’il faisait ?! Elle voulut l’implorer de remonter, mais aucun autre son ne sortit de sa bouche qu’elle essayait, en même temps, de tenir hermétiquement close, histoire qu’aucun autre son douteux ne lui échappe. Le bout de sa langue vint également taquiner cette zone, et elle se crispa, tellement embarrassée que ça en devenait mignon. Ses genoux se relevèrent un peu, jusqu’à ce qu’elle sente le torse du maître, et elle les abaissa de nouveau. Dans cette position, elle n’avait pas vraiment d’autre choix que de se laisser faire, elle comprenait maintenant mieux pourquoi son amant avait semblé si soumis face à elle, car il passait du statut de chassé à celui de chasseur, tandis qu’elle passait d’amazone à proie. | |
| | | Firiel Hanabashi Humaine
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| Sujet: Re: S'envoler ou sombrer? [PV Tsukasa-sama, encore une fois ^^] [Interrompu.] Mer 27 Mai - 0:37 | |
| Elle lutta, demeurant immobile sous lui mais secouée par les frémissements qui couraient sur son corps mince et contracté : ses jambes étaient resserrées au maximum l’une contre l’autre, ses bras étaient croisés sur sa poitrine, dont elle ne savait pas si elle avait été épiée ou non par un regard rougeoyant, pour maintenant tenter l’en préserver. Elle soupira une seule fois, puis tenta de se calmer et apposa ses doigts un peu au hasard sur la peau laiteuse de l’ange. Avec chance, ils atterrirent sur sa nuque. Elle écarta les mèches de cheveux, et commença à la caresser lentement, du bout de l’ongle. Plus le temps passait, dans cette bulle d’intimité, plus elle sentait croître un sentiment inconnu dans ses entrailles, un mélange d’adrénaline violente et de quelque chose qu’elle ne connaissait pas, mais dont elle devinait aisément le nom. Elle commençait à comprendre le sens du mot ‘‘excitation’’. Bien sûr, elle trouvait ça un peu dégoûtant, voire bestial. C’était quelque chose d’assez primitif, en réalité, et elle tentait de repousser ces pulsions qui l’agitaient. Il ne fallait pas se laisser aller comme elle l’avait fait, ça avait gêné le maître, elle devait se contenir. Elle remonta ses doigts dans la chevelure chocolat pour y glisser brièvement ses doigts, admirant toujours la douceur et la facilité avec laquelle ses phalanges filaient entre les fils de soie bruns, aux longueurs si caractéristiques. Elle les replaça derrière l’oreille angélique. Elle avait oublié qu’il était à demi-nu, ce fait s’était imposé de lui-même, tout comme elle était aussi très peu vêtue. Ce maillot de bain ne couvrait pas grand-chose, mais en même temps, elle n’avait pas le choix ; c’était l’un des seuls qu’elle avait à sa disposition, chez Tsukasa-sama. Elle soupira très brièvement, puis elle se saisit du poignet qui se trouvait non loin de son bassin, le seul qu’elle pût atteindre, en réalité. Elle l’attira fermement, pour relever l’ange et l’empêcher d’aller trop loin, lui aussi. Firiel le mit à son niveau, et promena de nouveau ses mains sur son visage avec la lenteur et la délicatesse qui imprégnaient habituellement tous ses gestes. Oh, ce qu’elle pouvait l’aimer, son Tsukasa-sama ! Elle savait qu’il était beau, et même s’il avait été ‘‘laid’’, elle s’en serait fichu. Ce n’était pas son physique qui l’avait attirée. Pour une aveugle, ce fait aurait pu paraître étrange, tout de même. Non, elle l’aimait parce qu’il était infiniment bon, il était infiniment humain. Il avait les défauts qu’il avait, certes, mais elle n’allait pas l’en blâmer ; elle-même n’était pas parfaite. Mais plutôt que de voir le mal, elle ne voyait que le bien, chez lui, de telle sorte que les qualités estompaient les défauts, ils allaient même jusqu’à les éclipser. Et n’était-ce pas elle qui le provoquait, bien souvent ? C’était de sa faute s’il avait perdu le contrôle, la semaine dernière, si elle avait été plus calme et discrète, rien de tout cela ne serait arrivé. Elle ne serait certainement pas allongée là, sous lui. Cette respiration qui se faisait plus profonde et rapide à chaque instant n’aurait pas été la sienne. D’une certaine façon, elle ne regrettait rien de tout cela. Elle savait maintenant à quoi s’en tenir. Et elle savait qu’il ne remettrait pas les sujets fâcheux sur le tapis, elle le lui avait demandé et il n’avait qu’une parole, elle avait appris à le cerner. En réalité, il était vraiment étonnant, et très amusant. Elle s’était fait un plaisir de le connaître, et ce qu’elle avait découvert était loin de la décevoir. Tsukasa-sama était un livre ouvert, pour elle, car même s’il était imprévisible, l’humaine parvenait à se caler sur lui, et à deviner chacun de ses sentiments. Ce n’était pas difficile, lorsqu’on savait de quelle façon il fonctionnait. Il pouvait bien prétendre le contraire, elle ne le croirait pas… Tandis que l’une de ses mains s’était immobilisée dans son dos, sur la colonne vertébrale, l’autre galopait joyeusement plus bas, jusqu’à frôler la courbe arrière à plusieurs reprises, folâtrant avec délice sur cette zone qu’elle n’avait pas encore eu l’occasion de parcourir aussi librement. Mais elle évitait de trop y toucher, et préféra stationner à l’arrière de la cuisse, qu’elle frottait doucement de bas en haut. Elle le força à s’incliner un peu plus, et ses lèvres embrassèrent encore maintes fois son cou, sur lequel elle soupira ensuite avec douceur pour constater, non sans plaisir, que cela lui arrachait des frissons irréguliers, au rythme de son souffle humide et caressant.
Tu es désirable, murmura-t-elle encore, tout bas, rosie par cette déclaration. Je t’aime, je t’aime…
Sa cuisse se releva lentement, jusqu’à venir contre l’une des siennes, et elle abandonna son dos pour laisser vagabonder index et majeur sur une perle de chair. Ses lèvres, elles, effleuraient l’oreille, la caressant doucement. | |
| | | Tsukasa Hishima Oyaka Mafieux
Nombre de messages : 145 Age : 36 Date d'inscription : 01/09/2008
Maîtres/Soumis Orientation sexuelle: Hétéro Maître de: Firiel, Keiko Soumis par: un coeur appartenant à une humaine
| Sujet: Re: S'envoler ou sombrer? [PV Tsukasa-sama, encore une fois ^^] [Interrompu.] Lun 1 Juin - 16:01 | |
| Belle est la colombe perché sur sa branche, tel est l’ange qui a atteint le sommet, Est-ce le bout de son périple ? Non je ne pense pas. Mais c’est avec de la persévérance qu’il y parviendra. Là où il se trouve il peut ressentir la creuse se remplir d’écume, le puits s’humidifier, tel et la représentation du noyau qui relie une mère à son enfant dés la naissance. Que dire d’autre si ce n’est un nombril, dont sa véritable appellation. Celui-ci était prit d’assaut par un homme qui se montre peut-être trop taquin ou cruel avec le jouet qu’il a entre les mains. Un jouet ou une gourmandise ? Un peux des deux à la fois parce qu’il ne peut se retiré de cette sensation enivrante, ce gout qui pourtant n’est pas sucré donne tout de même l’envie de continuer à le savourer. Un son le fit sourire même s’il ne fut pas amusant pour la personne qui l’avait produit, étonné c’est vrai, mais cela ne l’empêcher pas de poursuivre son expérience sur la saveur de cette zone bien agréable. La réaction de la belle face ce geste qui pourrait se montrer mal placé avait eu pour effet d’amuser un peu l’ange mais lui donné aussi l’envie d’en allez encore plus loin pour découvrir les diverses autres réaction qu’elle pourrait avoir…Est-ce cruel de sa part de penser ainsi ? Oui et non, mais peu importe en faite puisque tous deux y prenne un peu de plaisir, du moins c’est ce qu’il pense en tous cas. Il lui avait bien semblé avoir entendu la charmante humaine bouger ses mains pour se cacher derrière elles, surement avait-elle honte du son qu’elle avait produit. Pourtant elle ne devrait pas en avoir honte puisqu’il a trouvé cette réaction parfaitement charmante et même comment dire, mignonne. Un mot qui ne sort pas beaucoup des pensées de l’ange quand on y pense. Emporté donc par ce petit son adorable produit par la douce humaine, il continua de faire une expertise de son corps à l’aide de la pointe de son instrument qui lui permet de formuler des mots. Mais, cela lui permettait surtout de glisser le prénom de cette personne entre deux analyse de cette instrument qui se montre même un peu trop taquin il faut bien l’avouer. Il ne faisait pas qu’attaquer de sa langue, il parsemait par moment de tendre baisé sur cette même zone, parfois au dessus et au dessous pour lui céder un peu de son amour pour elle. Une sensation se fit ressentir contre sa peau dénudé, une partie du corps de son amante était venu en contact avec lui pour ensuite rapidement se retiré. Une autre réaction de son corps qui subit les effets entre les coups de langue et les baisés déposé. Ressentir ses genoux venir à sa rencontre lui donné l’impression qu’il allait peut-être un peu trop loin et qu’elle avait envie de l’écarter. Mais on ne sait pas trop pourquoi, il continuait tout de même son repas, il savoure vraiment le gout de son amour sur ses lèvres. De plus il avait comme l’impression qu’elle lui demandait d’une certaine façon de poursuivre lorsqu’il sentit en doux frisson sur sa nuque. Les doigts de la belle avaient écarté le rideau sombre qui s’était posé juste devant. Douce et cette sensation lorsqu’elle se glisse dans ses cheveux, une petite rougeur au niveau des joues lorsqu’elle replaça certain brins de cheveux derrière son oreille. Encore et toujours dans cette découverte de saveur, il fut subitement retiré de tout cela, attrapé et même tiré de force sans avoir aucune chance de revenir pour le moment. Cette fois elle avait adopté une autre manière pour l’empêcher d’en aller trop loin à son tour. Il avait la sensation qu’une pétale de rose était lentement entrain de glisser sur sa joue, la lui caressant d’une infime tendresse. Un joli petit sourire apparut sur le visage de l’ange, elle est adorable, jamais il n’aurait pensée que l’on puisse être aussi tendre avec lui. Elle avait l’air de ne pas trop vouloir rester en place puisque l’une de ses mains se glissa dans son dos tandis que l’autre s’approchait dangereusement d’une zone encore jamais effleuré. Subitement, il échappa un soupir ainsi qu’un petit « ah » de surprise, il ne s’attendait pas à ce qu’elle vienne toucher cette partie là. Etrange réaction de sa part c’est vrai, mais l’ange est ainsi, quoique l’on dise il reste tout de même sensible à certain endroit de son corps. Heureusement pour lui qu’elle ne resta pas bien longtemps à cet endroit, mais elle n’en était pas loin puisque là c’est le haut de sa cuisse qui se trouve taquiné. Pourtant il se laisse faire malgré sa petite gêne, il l’aime et c’est pour cela qu’il faisait tout pour chasser ça gêne, il faisait en sorte de l’éloigner le plus possible avec les rayons flamboyant de ce qui s’est créé entre elle et lui. Son souffle dans son cou le fait frissonner de partout, mais un mot le fit rougir. Le pauvre en était presque tout retourné d’entendre un tel mot sortir de la bouche de cette douce personne, ce mot ne le gêne pas, ni le trouble, mais il le touche profondément en quelque sorte. « Désirable », lui il est désirable ? Rien que d’y pensée le fait encore rougir au point qu’il se nicha dans le creux de son épaule pour se cacher. De plus d’être prit d’assaut par ce mot bien particulier pour lui, son corps bougea de lui-même lorsqu’une certaine partie autrefois taquiner fut une nouvelle fois attaqué. Elle avait encore osé s’attaquer à une zone assez sensible de son corps, une perle de chaire qui se retrouve maintenant caressé par deux doigts. Il ne sait plus trop comment réagir maintenant, alternant même entre soupir et gémissement tout en faisant en sorte que ceux-ci reste un peu discret.
Gesticulant alors un peu dans tout les sens, prit d’assaut d’un peu partout, il tenta de se reprendre sur lui-même et c’est donc pour cela qu’il se redressa légèrement pour alors éloigner son cou de ses lèvres. Il n’a pas fait cela dans le but de retiré un contact gênant mais tout simplement pour reprendre un peu ses esprits. Son regard se posa sur elle et sa main vint remettre une mèche de cheveux derrière son oreille avant de venir par la suite coller ses pétales contre les siennes. Il ne resta pas bien longtemps ainsi parce qu’il fallait bien se décoller un jour, mais il resta le temps de bien savourer cette sensation. Un petit grognement d’amusement se fit entendre avant qu’il ne se décale légèrement sur le côté. Il se retrouvait alors avec sa cuisse non taquiné contre la douce herbe, la main de la charmante aveugle toujours entrain de lui caresser le haut de la cuisse et l’autre encore un peu trop joueuse sur une zone supérieur. Il l’aime et il faut qu’il le lui montre, elle lui a dit qu’il est désirable mais ce qu’elle ne sait pas c’est qu’elle l’est elle aussi même si l’ange est peut-être un peu trop timide pour le lui dire ou un peu réservé. Une main proche de son visage, il glissa lentement l’autre sur l’abdomen de la douce. Caressant alors avec délicatesse cette petite partie avec la plus grande attention, passant alors par la même occasion sur la zone qu’il avait taquinée du bout de sa langue un peu plus tôt. Dessinant plusieurs cercles avec sa paume avant de se laisser emporter sur le diagonal tout en prenant un grand plaisir de découvrir son corps sous sa main. Il passa décolla sa main de son corps pour alors effleuré le tissu du bout des doigts avant de revenir sur la courbe de sa cuisse pour couler vers l’intérieur. Sa Cuisse était toujours relevée d’ailleurs et c’est pour cela qu’il passa sa main dessous pour la maintenir à cette hauteur avant de venir laisser une marque de ses lèvres légèrement au dessus de son genou pour ensuite la laisser tranquille. Il avait fait cela comme ça, il avant envie de connaitre les divers gouts que la peau de son corps possède. Laissant alors sa cuisse se baisser si elle le souhaitait, ses doigts repassèrent part l’intérieur pour escalader la courbe avant de regagner l’autre rive. De bas en haut il lui caressé la cuisse pendant quelque instant, le sang dans ses veines ne cessé d’accéléré au rythme des caresses qu’il était entrain de lui prodiguer. Sa cuisse fut alors abandonnée pour laisser place à sa hanche, remontant encore sur le côté pour atteindre la limite d’une sphère de chaire bien plus développé que celle de l’ange. Il n’en alla pas plus loin mais son pouce s’était décollé de son index pour alors venir s’arrêter juste en dessous d’une des excroissances de son corps, une partie déterminant de la féminité de cette douce personne. Il ne faisait que timidement effleuré cette parti parce qu’il avait peur d’en aller trop loin, l’écartement de son pouce et de son index avait épousé l’apparence d’un réceptacle apte à recueillir l’une des deux sphère. De peur ou de lâcheté, il s’éclipsa sur le côté pour alors laisser son pouce caresser délicatement l’extérieur d’une sphère au travers du tissu. Passant alors au delà de cette surface pour glisser au dessus de sa clavicule afin d’attendre son épaule, il ne resta pas là bien longtemps parce qu’il vint taquiner son cou du bout de ses doigts pour par la suite escalader sa joue, sa langue jouant sur ses lèvres pour avoir un contact avec les siennes. Un doux et chaste baisé qui se termina par un sourire, les doigts qui se mette par redescendre pour flatter son épaule, gravissant l’arrondissement de celle-ci pour couler le long de son bras pour lui prendre la main. La guidant jusqu'à lui pour alors laisser une autre marque de ses lèvres sur ça peau. Ses lèvres parcoururent son bras, le parsemant de doux et tendre baisés pour revenir sur son épaule, jouant même un peu de sa langue dessus quelque instant pour en venir à la base de son cou. Une main toujours sur son doux visage tandis que l’autre était revenu en hauteur pour descendre une nouvelle fois afin de revenir à sa position de départ. Pour cela elle vint se plaquer entre ses deux clavicules, décollant alors sa paume pour laisser son index se faire un chemin entre les deux montagnes. Il dessina un cœur autour de son nombril pour venir se placer en dessous de la même sphère qu’il avait effleuré il y a peu. Là, il hésitait énormément, il ne savait pas s’il avait le droit d’en aller plus loin. S’il le faisait, est-ce qu’elle serait vexé de son comportement « primitif » ? Comment prendra-t-il son geste s’il venait à dépasser la limite imposé par son vêtement ? Trop de question qui lui font peur maintenant, son petit jeu avait pour but de l’aider à surmonter cette peur mais cela n’a pas était suffisant malheureusement. Pour reprendre un peu sur lui, il glissa ses lèvres à son oreille pour entrouvrir sa bouche et laisser un murmure en sortir, un murmure timide qui lui fait monter le sang au joue pour alors leur donner un rosissement.
Tu me donne envie de te manger tu sais… | |
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