Petite sortie [tsukasa samaaaa]

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Elle regarda sa montre, étrange, il est en retard pour une fois, ce n’est pas dans ses habitudes de rentrer tard à la maison… Yui était tapie dans l’ombre d’un arbre, plus invisible que pourrai l’être un simple humain. Elle se demanda si elle ne ferait pas mieux d’aller le chercher, après tout, il lui était peut-être arrivé quelque chose ? Bien qu’il ait insisté pour y aller tout seul et lui avait défendu de l’observer, la jeune démone n’appréciait guère ces moments… Elle lui préparait son sac, son repas etc… En espérant un peu de chance de pouvoir venir avec lui, mais au bout de cent ans de vie commune, elle commençait (juste commençait) à savoir que quand il disait « non » c’était « non »… Elle estimait que ce n’était pas juste et qu’il aurait pu l’emmener se balader avec elle non ? Surtout qu’il était censé aller dans des magasins de vêtements ! Tout le monde savait pourtant qu’une fille est un excellent œil critique pour tout ce qui est style vestimentaire !
Haa, enfin il arrivait, mais pas tout seul semblait-il, une jeune fille était avec lui et trottinait à ses cotés. Elle était bizarre. *Qu’est ce que c’est encore que ça ?* Se demanda Yui, étonnée de voir une créature avec des oreilles poilues et une queue… Une queue ? Comme ça ? visible ? Quel manque de pudeur ! Yui fit une grimace en silence et attendit patiemment. Tsukasa dit au revoir à la créature quelques mètres devant elle et même en tendant l’oreille elle ne parvint pas à les entendre… Bouhh… Pourquoi ces cachotteries ? Elle eut une subite envie de cogner sur la dame chat ! oui, pourquoi pas ? De quel droit s’approchait-elle de Tsu ? hein ? Elle se retint et garda son calme, se disant que pour le moment, il viendrait faire une balade avec elle.
Tsu prit (enfin) congé du gros chat, et Yui le suivit discrètement jusqu’à l’orée de la forêt… Elle restait tapie derrière lui et trottinait sagement, regardant son dos large d’ange protecteur. Doucement, ses soupçons s’envolèrent et elle sourit aux anges (enfin, à son ange). Cette promenade jusqu'à la maison lui faisait le plus grand plaisir, même si elle aurait aimé se balader plus amplement avec lui. Depuis ces quelques années il ne semblait pas à son aise... peut-être un peu plus triste que d'habitude ou était-ce elle qui le regardait avec d'autres yeux que ceux d'une enfant ? Ha non ! elle ne voulait pas devenir une vrai adulte, déjà qu'enfant elle était jalouse de tout ce qui s'approchait de lui... Pourtant elle savait que le jour où elle devrait dire adieux à l'enfance approchait, était même dépassé normalement, mais celle ci repoussait toujours la date fatidique, prétendant qu'elle n'avait toujours que 210 ans...

Soudain, Tsu s’arrêta, elle en fit de même, curieuse de savoir s’il l’avait sentie ou s’il venait juste de se souvenir qu’ils devaient aller se balader ensembles. Elle sourit en entendant sa voix.

J’étais maintenant sur le chemin qui amènera mes pas jusqu'à ma demeure, J’avais aussi prit le temps de dire au revoir à Kana. Ce n’est pas tout ça mais c’Ce n’est pas tout ça mais c’est qu’il commence à se faire tard malheureusement, il ne me reste donc plus le choix que de rentré à la maison et le plus vite possible si je ne veux pas me faire tuer par Yui… Le ciel qui était encore éclairé par les rayons du soleil avait maintenant laissé place à un voile étoilé. Un voile noir mais éclairé par les doux rayons de la lune, des rayons lunaire qui vinrent se refléter sur mes yeux rouge et leurs donner ainsi une lueur scintillante mais aussi leurs donnant un effet vampirique. Mais bon tout cela n’empêche pas ce ciel d’être merveilleux, de plus que toutes les étoiles qui l’anime me fait pensé à une voie lacté. Je ne sais pas trop pourquoi mais pendant presque tout le trajet j’avais la vague impression d’être suivit, ou plutôt d’être surveiller. Et pour couronner le tout j’ai aussi l’impression d’avoir oublié quelque chose d’important mais quoi ? Halala pauvre de moi si ça concerne Yui, j’espère tout simplement que quoi que ce soit, que cela ne fasse souffrir personne…

Mais une chose est sûr, c’est que plus j’avance et plus je ressens une présence non loin de moi, je ne sais pas trop comment expliqué cela, mais ce n’est pas une présence qui me veut du mal, bien au contraire… Je pense que c’est une présence qui ne me veut que du bien. Une telle présence, je l’ai déjà ressenti plusieurs fois. Au travers de tant d’année j’en suis sûr et certain, cette présence c’est mon ange gardien, c’est la personne qui à toujours veillez sur moi, une personne très importante pour moi….Cette personne ne peut être que Yui !!!

Je me suis donc arrêter à quelque pas du portail de la maison, les mains dans la poches de ma veste et la tête levé vers le ciel, je le contemplais encore un moment pour ensuite fermez les yeux et prendre une profonde inspiration.

Tu n’a pas besoin de te cacher tu sais…Yui !!!

J’avais dis cela avec mon sourire habituel, un sourire qu’elle connait surement par-cœur. Ah mais une minute, quand j’y pense, si elle est là c’est surement pour une bonne raison…Maintenant j’ai des frissons qui me parcourt tout le dos, j’en suis sûr, ce que j’ai oublié concerne Yui. Plus j’y pense et plus j’ai froid dans le dos, et plus j’ai froid dans le dos plus je me souviens de ce que j’ai oublié. Je lui avais promis une petite balade rien que tout les deux, ouille j’espère qu’elle ne m’en veux pas trop…Même si ça fait longtemps qu’elle attend cette journée avec impatience et qu’elle n’avait pas cessé de m’en parlé. Je n’ai donc pas le droit de la décevoir, c’est ma vie qui est en jeu mais aussi autre chose…

Je me retournais donc vers elle pour la regarder, un sourire au coin des lèvres, je passais ma main dans mes cheveux clairs au rayon de lune.

Il n’est pas si tard que ça, ont peu toujours faire notre petite promenade au clair de lune qu’en dis-tu ?

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Yui fut ravie que son bien aimé maitre la reconnaisse... Elle apparut lentement venant elle aussi dans la lumière de la lune, son Yukata ample lui donnant un air royal et doux. Elle souriait tendrement à Tsu mais ne le toucha pas, préférant ne pas trop le brusquer ni trop l'étouffer. Yui parla avec une voix légère et élégante.

- Hé bien, si j'en croie mes yeux tu es de bonne humeur...

Fit-elle tranquillement, elle attendit qu'il se retourne pour pencher la tête de coté, décidément, la lune était son amie mais étrangement, elle n'était pas jalouse de celle ci... heureusement, elle aurait du mal à la mettre hors compétition... Elle s'avança un peu plus et posa la question qui la tourmentait, tournant les yeux vers la clairière où il avait laissé la Néko.

- Pardonne moi mon audace mais puis-je savoir qui était la jeune fille avec qui tu étais... je ne crois pas la connaitre, et habituellement tu n'es aussi proche qu'avec tes humbles sujets...

Fit-elle le plus poliment possible en essayant de camoufler un maximum la jalousie qui la caractérisait. Elle évitait de trop la montrer afin que Tsu sama ne la prenne pas pour une égocentrique et une égoïste. Elle lui souriait juste gentiment en attendant si elle avait le droit ou pas de savoir. Contenant sa jalousie disgracieuse et excessive... Cette dame chat, aussi mimi qu'elle pouvait l'être ne lui volerait pas la personne avec qui elle avait partagé chaque minute de ses cents ans passés. Yui attendit qu'il lui présente son bras pour s'autoriser à le toucher. Elle déposa un léger baisé sur la joue de celui-ci avant d'accepter sa proposition de balade... Elle lui montra un sentier de promenade qu'elle ne connaissait pas.

- Avec grand plaisir Tsu sama... Je trouve d'ailleurs cela plus agréable...

Sans doute son coté Démoniaque, préférant la nuit au jour, et la chaleur au froid. Elle commença à marcher à son coté lentement et délicatement, cherchant à ne pas trop s'appuyer sur le bras du jeune ange.

Comment c'est passé ta journée finalement ? Je ne t'ai pas suivit conformément à ce que tu désirait mais je suis curieuse quand il s'agit de toi

Elle sourit doucement telle une enfant curieuse de savoir si elle aurai un cadeau ou pas.

Elle m’avait une question vraiment très amusante, elle voulait donc s’avoir qui pouvez bien être la petite néko qui se trouver avec moi. Je la regarder avec mes deux yeux rouge vif, une couleur très proche du sang qui scintille aux éclats de la lune ardente. L’entendre me posé cette question me donne e sourire, je ne sais pas trop pourquoi. Surement est-ce le fait de voir quelqu’un qui fait attention à moi. J’avais envie de lui répondre, mais pas tout de suite, je ferais cela lors de notre petite marche, du moins si elle accepte de la faire en ma compagnie.

Je lui avais tendis mon bras pour qu’elle puisse s’y pendre, ce qu’il fit d’ailleurs sans hésitation ont dirait. Cela ne me déplait pas, loin de tout ça, son sourire est vraiment très adorable et ces paroles très douces, sont baiser sur la joue par contre lui m'as mis mal à l'aise un petit instant. Je ne suis pas vraiment habituer à ce genre d'affection.... Bon bah puisqu’elle est d’accord et qu’elle aime ça, alors plus trop le choix d’en faire une ^^ , en plus de cela, elle me montra un chemin que nous empruntions d’ailleurs… Je ne sais pas trop vers où exactement il va guider nos pas, mais peut-être que Yui, elle, elle le sait.

Ces paroles sont plaine de bénédiction, pour les démons peu cela sembler à une injure mais pour Yui c’est tout autrement je pense. D’après ce qu’elle me dit, elle à sagement attendu mon retour, elle ne m’a pas suivit comme je le lui avais demandé. C’est vraiment très gentil de sa part et cela me touche, la voir aussi dévoué me donne réellement le sourire. Non pas un faux sourire mais un bien réelle qui montre ma joie, le bonheur que mon cœur éprouve.

-Aujourd’hui comme tu le sais, je suis allez me promener dans la forêt pour lire un livre, mais j’y ai fait la rencontre d’une néko qui c’était blessé lors d’une « course ».

Ta curiosité me va droit au cœur Yui, tu le sais très bien. Cela fait maintenant environ plus de cent ans que tu vie à mes côté, j’espère que ma présence ne te dérange pas trop ainsi que mes quelque réprimande et caprice…

Bah quoi ? Comme toute personne j’ai des caprices moi aussi ><, namého, ce n’est pas de ma faute si certain jours je suis chiant et d’autres froid. Mais bon, je fais avec et elle aussi ont dirait bien, mais en tous cas une chose est sûr, je ne regrette pas de l’avoir aidé dans le passé à retrouvé ces parents dans la foule. C’est l’un des seuls moments que je ne regretterais jamais de ma vie, peut-être en est-il de même pour elle…Mon bras contre elle et mon regard posé sur l’horizon, ont continuaient tout deux de marcher sur se sentier qui me reste tout de même inconnu. Je pouvais ressentir que le temps était entrain de se couvrir, il va surement faire froid dans peu de temps et peut-être même qu’il va pleuvoir. J’espère que cela n’arrive pas pendant notre promenade, je n’ai pas envie que cette promenade avec Yui soit gâcher par de la pluie…Un pas légers, un petit sourire aux coins des lèvres et un regard un peu étrange voir perdu et peut-être même l’air seule.

Et toi ? Qu’est-ce que tu à fait de ta journée pendant mon absence ?

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Yui secoua la tête avec un sourire enjôleur. Elle lui répondit qu'elle ne regrettait à aucun moment sa présence, qu'elle voulait à tous prix le garder près d'elle et que, quel que soit ses caprices elle ne vivait que pour eux... Yui semblait détendue à son bras, pourtant elle commençait à sentir la fraicheur toucher sa peau, pourtant elle s'était bien couverte aujourd'hui. Mais évidement, une démone, a tendance à préférer la chaleur au froid. Elle se demandait pourtant si Tsu sama appréciait l'eau chaude, quand il prenait sa douche, elle arrivait à voir de la fumée qui arrivait de sous la porte... Bah oui, elle gardait la porte de la salle de bain de Tsu sama au cas où une servantes attitrées ne soit une perverse et tente de violer la pudeur de son maitre. De plus, elle pouvait discuter un peu tranquillement avec lui, sans qu'il ne puisse voir ses rougeurs ou parfois son émotion souvent très expressive chez elle. Elle pleure pour un oui pour un non quand il s'agit de lui... Elle réfléchit à ce qu'elle avait fait de sa journée.

- J'ai un peu ranger la Chambre de Tsu sama... il n'y avait pas grand chose à faire mais on ne sait jamais, les moutons sous le lit peuvent vous troubler la respiration... J'ai donc tout nettoyé et puis... j'ai préparé votre Bento pour demain... habituellement je ne le prépare pas si tôt, mais comme je ne savais pas à quel heure on rentrait...

Yui sauta par dessus une pierre qui lui barrait la route, elle était assez bien réveillée pour s'amuser un peu et être tonique. Elle insista tout de même auprès de Tsu. Qui était cette Néko qui lui était tombée dessus aujourd'hui ? Une prétendante ? Une groupie ? Une soumise d'un ennemi ? Bien que Tsu sama ne semblait pas s'inquiétait, elle, elle ne faisait confiance à personne qui s'approchait de lui.

- Blessée pour une course ? Je vois... Tu l'as soignée Tsu sama ? c'est ce que tu fais toujours... Attention à ton grand cœur, je ne voudrait pas qu'il soit abimé.

Fit-elle en tapotant doucement le torse de Tsu du bout des doigts... Elle se reconcentra sur le chemin qui se faisait de plus en plus sombre. Elle y voyait à peu près, mais cela n'empêchait pas la prudence... Elle leva les yeux au ciel.

- Il va pleuvoir n'est ce pas ?

demanda-t-elle d'une voix Déçue...

Elle avait l’air d’être de très bonne humeur et j’en suis donc ravi, le petit programme de sa journée était vraiment particulier, tout ce qu’elle à fait avait un rapport avec ma personne. Cela me touche vraiment beaucoup, et j’en suis même très heureux. Vraiment, chacune de ses paroles son merveilleuse et arrive à chaque fois à me soutiré un sourire. Elle continuait de me questionner sur la jeune néko qui était avec moi il y a peu, oui c’est vrai que ça doit un peu l’inquiété de me voir en compagnie de personne inconnu et surtout de personne appartenant à la gent féminine. Je n’avais donc plus trop le choix de répondre à cette pluie de question, et puis il me faut l’avouer, j’ai du mal à garder quelque chose caché longtemps lorsque Yui est avec moi. Je la connais depuis trop longtemps pour lui cacher quelque chose surtout si cela peu lui faire de la peine. La suite de ces paroles m’allèrent droit au cœur, elle ne voudrait pas qu’il soit abîmé…je trouve cela vraiment très adorable.

…Effectivement, je l’ai soigné….tu me connait si bien que tu en avais déjà la réponse ^^. Mon cœurs est tel que tu le connais, je ne vais pas te dévoiler ce qu’il est exactement, mais je pense que tu le sait très bien, d’ailleurs tu es la seule à le connaitre ainsi Yui.

Le temps pouvait leurs paraitre suspendue, leurs regard c’était figer dans celui de l’autre, mais la fraicheur de la nuit et celle de l’eau se faisait hélas ressentir et Yui là bien remarquer. Il est vrai qu’il va bientôt pleuvoir, c’est vraiment dommage mais je n’ai pas envie de gâcher la promenade de Yui, je n’ai pas envie de laisser une telle chose gâcher les quelques instant que je passe avec elle en tête-à-tête…

C’est tout à fait probable Yui… !

J’ignorais donc le ciel et ce qui allait arriver, je continuais ma marche en compagnie de Yui même si celle-ci risque de s’inquiété pour moi, ne voulant certainement pas que je me fasse mouillé. Mais oui une malheureuse chose arriva, une chose qui interrompu notre balade, la pluie fit enfin son apparition. J’avais pu ressentir une goutte d’eau tombé sur mon visage. Il nous faut donc nous mettre à l’abri est au plus vite sinon ont va attraper une pneumonie…Ce qui serait dommage non ? Dans tout les cas, ma mains vint attraper une douce chaleur parmi cette air mouillé et glacial. Ma main vint attraper celle de Yui pour l’entrainer avec moi en direction d’un grand chaîne. Là au moins ont sera un peu protéger de la pluie, ont à du courir un peu et cela ma légèrement essoufflé, mais devant Yui je n’ai pas peur de lui montré mes faiblesses…

Ca va ? Pas trop essoufflé de cette petite course ? ^^

J’avais dis cela dans le simple but d’évité l’ambiance que peu donné la pluie, pour éviter qu’elle rende l’ambiance de notre promenade à la déprime. Je m’étais appuyer contre le tronc de ce magnifique arbre et j’avais levé la tête, laissant les gouttes qui étaient sur mes cheveux couler sur mon visage

Invité

Yui rougit un peu au clair de lune devant Tsu parlant de son cœur face à elle. Elle rougissait à chaque fois qu'il faisait cela. C'était comme si, à chaque fois, il lui dédiait une déclaration d'amour... en tant d'années elle ne s'en lassait pas le moins du monde. Elle admirait ses yeux, ses yeux si tendres qui se posaient sur elle, cette "chose" qu'il y avait entre eux, leur lien, cette envie qui la poussait sans arrêt vers lui, juste vers lui, chaque instant de sa vie, lui, son maitre, son sauveur, son amour, son ange... Son Tsukasa sama.

Ce moment d'une importance extrême pour elle prit fin avec l'arrivée d'une maudite goutte d'eau s'écrasant sur son nez. Et voila... Il pleuvait. Quelle plaie... Pourquoi fallait-il que ça arrive toujours lorsqu'ils étaient ensemble ? Ils allaient rentrer à la maison, et leur promenade aura été ratée. Soudain la pluie prit plus d'ampleur et Yui commençait à avoir la vue brouillée. Par chance, une douce chaleur lui enveloppa la main et l'entraina à un endroit où elle y voyait... pas mieux. Ses cheveux longs, noirs humides lui cachaient la vue et, sans parvenir à le contrôler, elle les écarta tels des rideaux fluides et délicat, un sourire amusé aux lèvres avant de voir son maitre adossé au tronc d'arbre, les cheveux humides, plaqués par la pluie, ruisselant sur son visage jusqu'à ses lèvres pour enfin finir leur course aux yeux de yui dans sa chemise. Ses yeux étaient toujours fixés sur elle. elle s'agenouilla près de lui et ôta un pan de son yukata, laissant donc visible la partie droite de son vêtement blanc, comparable à un sous-vêtement pour elle. Elle avait un peu rougit et essayait de se cacher un maximum quand même, avec son châle, son autre manche... Heureusement, la pénombre était avec elle et sa pudeur trouva bientôt ses marques.

De la manche sèche qu'elle venait de dégager elle la passa sur le visage de Tsu.

- Tu vas prendre froid si ça continue...

Elle finit d'éponger la nuque du jeune ange et vint lui sécher les cheveux doucement, perpétrant son geste comme un massage, elle descendit à nouveau sur la nuque, tournant sa manche devenue humide sur ce coté. Elle essaya d'enlever un maximum d'humidité du corps de Tsu sama, enfin, de ce qui lui était donné de toucher, Yui était pudique et refusait de toucher Tsu sama sans permission... Elle ne disait rien, rythmait juste ses gestes au son des goutes de pluie sur les feuilles tremblantes.

-Pardon Tsu sama... j'aurais dû vérifier le temps avant de vous demander une balade...

Finit-elle par murmurer doucement, la voix presque masquée par le son de la pluie battante.

La pluie…Une eau qui pour moi reste pur, la pluie est pour moi les larmes du ciel, mais quel est la signification de ces larmes ? Je n’en sais malheureusement rien. Yui avait l’air un peu essoufflé après notre petite course, mais son sourire lui est vraiment bien veillant. Mon visage toujours braqué vers le ciel, même si celui-ci est caché par le feuillage de cet arbre. Mon visage avait beau être en direction du ciel étoilé, mon regard lui était posé sur une bien belle étoile, une étoile vraiment différente des autres mais qui brille d’avantage à mes yeux. Yui est effet mon étoile la nuit et mon rayon de soleil le jour, je ne le lui ai vraiment jamais dis mais je pense qu’elle le sait déjà ou du moins elle s’en est surement rendu compte. La voyant venir vers moi pour ensuite s’agenouillé à mes côté, je lui adressai un petit sourire…tout petit malheureusement, la pluie me donne du mal et c’est difficile d’afficher un beau sourire.

J’avais détourné le regard un instant pour contemplé la lune, malheureusement caché par les nuages. Les formes brumeuse se dégagèrent un peu et laissèrent ainsi quelque rayon lunaire venir se reposer sur nous, j’avais à ce moment-là tourné mon regard sur Yui…A cause ou grâce au rayon et à la lumière fournis par la lune, j’ai pu entrevoir le lin blanc qui enveloppe le magnifique corps de perle de Yui, j’ai donc alors vu une parti des « sous-vêtements » de la belle. J’en étais vraiment très gêné et c’est donc pour cela que j’en ai détourné le regard pour le laisser voyager dans un horizon inconnu. Mon regard perdu maintenant dans la brume provoqué par cet air glacial et cette pluie interminable, dans ce froid une douce et agréable chaleur vint se réfugier sur mon visage.

La magnifique chaleur de la main de mon amie d’enfance venant de se posé contre mon visage, le tissu de sa manche m’empêche d’avoir un contact direct avec la peau de sa main, ce qui est vraiment dommage. J’avais fermé les yeux pour ressentir un maximum cette aura « d’amour », ce n’est que peu de temps après que j’entendis sa voix douce me dire quelques paroles.

-Merci…Yui…

Je ne lui ai pratiquement rien dit, c’est comme si intérieurement je ne voulais pas cassé cette ambiance, l’ambiance qu’il y à entre elle est moi lorsque l’ont se retrouve seul et éloigner. Le son de la nature avait pour moi était effacer, la seule chose que je pouvais entendre en ce moment même ce fut le souffle de Yui. Une bien belle mélodie qui sonne à mes oreilles et apaise peu à peu mon cœur sur froid…si noir….Les diverses notes provoqué par la nature revinrent à la surface lorsqu’elle se mit à s’excuser. Je n’aime pas lorsqu’elle agit ainsi, je n’aime pas la voir s’excuser alors qu’elle n’y est pour rien. Yui est importante pour moi et je ne veux pas la voir ainsi, un papillon vola jusqu’à la joue de la charmante créature, une main comparé à un papillon…une main qui vient caresser cette douce peau avec un peu de gêne.

-Je n’ai rien à te pardonner Yui, tu ne pouvais pas savoir et je dois te l’avouer, j’avais très envie de faire cette balade avec toi.

Voila c’est dit, pauvre ange que je suis, je me demande comment elle fait pour vouloir rester au côté d’une telle personne. Une chose est sûre c’est qu’il fait de plus en plus froid et que je m’inquiète un peu pour elle, je n’ai pas envie qu’elle tombe malade. Je retirais donc ma veste pour venir la posé délicatement sur ces épaules et la regarde assez timidement et un petit sourire enfantin.

Ainsi tu auras un peu moins froid, te voir un peu grelottante m’inquiète …

L’orage….Cette maudite pluie n’est pas venu seule, elle est venu accompagner d’un orage qui fera surement bientôt entendre son grondement et ces cris.

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Yui le séchait, comme d'habitude quand il sortait de la douche les cheveux encore trempés par l'humidité. Elle avait tellement peur, elle ne connaissait pas trop les anges, leur faiblesses les maladies qu'ils pouvaient avoir mais elle savait une chose, en cent ans Tsu avait déjà été malade, c'est bien qu'il pouvait tomber malade, un rhume ? Une pneumonie ? Une grippe ? Une méningite ? Hors de question, plus ça allait plus elle voyait des maladies plus détestables les une que les autres. Elle redoubla d'effort avant de sentir un vêtement chaud sur ses épaules, la veste de Tsukasa. Il la lui donnait avec son sourire habituel sans même se soucier de lui... Elle voulu refuser énergiquement mais quelque chose fut plus énergique qu'elle. Quelque chose dont elle avait toujours eut peur, depuis sa tendre enfance et contre quoi elle ne pouvait rien, non, pas qu'on lui vole Tsukasa bien que c'eût été une peur primordiale chez elle. L'orage, un éclair fendit le ciel et Yui eut l'impression qu'il était tombé à ses pieds, si près. Elle poussa un cri bestial, comme une créature qui aurait peur, c'était un cri terrifié à fendre le cœur sans pour autant faire peur, elle fit un bond et se blottit contre Tsu, le nez caché sous son bras comme s'il la protègerait. Chaque éclair la faisait tressaillir de peur. Elle avait l'impression de sentir les secousses et les décharges dans ses jambes. Plus le temps passait plus elle se retrouvait en boule essayant de se concentrer sur le bruit du cœur de Tsu. Mais peine perdue. Chaque bruit autour lui faisait ressentir ce mal-être de façon décuplée. Elle pleurait, peut-être même de façon plus dense que la pluie qui martelait l'arbre. Elle gigotait, partagée entre ses sanglots et ses spasmes de peur. Elle n'entendait pas Tsu, l'orage avait l'air trop près ! Elle se leva et souffla dans un sanglot.

- Je peux paass...

Puis, essayant de lever Tsu sama elle se mit à courir à travers la forêt, voulant à tous pris échapper à ce monstre qui la pourchassait et qui semblait à tout moment la suivre au pas près, elle courrait pourtant vite, bien plus qu'une humaine, et apeurée elle ne se rendait pas tellement compte, cela n'avait aucune importance. Elle ne savait pas où elle allait mais elle voulait partir, fuir... Elle vit une masse grise, une sorte de cabane de pierres délabrée. Elle ne chercha pas à savoir, c'était une bâtisse, cela la protègerait. Elle enfonça la porte qui vola au sens premier du terme sous le coup de l'émotion de la jeune démone. Elle se précipita dans un angle sombre de l'unique pièce, se recroquevillant dans un coin, contre la pierre froide et humide, les mains sur les oreilles, pleurant toutes les larmes de son corps, trempée jusqu'aux os.

Les éclairs violent de ce maudit ciel se faisait de plus en plus puissantes et de plus en plus proches, Yui avait prit un coup de peur de le premier grondement, moi qui pendant ce moment-là, avait la tête vers le ciel et le regard perdu dans les feuillages de l’arbre qui nous abrite. J’ai pu ressentir la douce chaleur de son corps tout proche du mien, sa tête contre mon torse, plus précisément contre mon cœur. Ma main c’était posé sur sa tête inconsciemment, les souvenir du corps sont plus rapides que les souvenirs de notre petite tête, mais ils sont moins puissants que ceux de notre cœur. Je lui murmurais quelque petit mots doux au creux de l’oreille mais hélas le son provoqué par le ciel sont bien trop fort et cache ceux de ma voix. J’apprécié grandement le contact qu’il y avait entre nous en ce moment, mais le destin à décidé d’une chose qui me déplait, trop d’éclair pour un seul soir, et qui plus est, pour la soirée de notre promenade rien qu’à nous… Les éclairs ont rompu notre contact, leurs violence ont réussit à complètement effrayé Yui jusqu’à même la faire fuir.

Yu-Yui !!

Hélas, elle est maintenant bien trop loin pour entendre mon appel, est-ce qu’elle pourra au moins entendre les appels de mon corps à la place de ceux de ma voix ? Cela c’est à moi de le découvrir. Dans tout les cas il ne me restait maintenant plus qu’une seule chose à faire, la retrouver et le plus vite possible. Je n’aime pas la savoir loin de moi et surtout sur un territoire qui m’est totalement inconnu. De plus il fait sombre, humide et très froid, qui sait quelle sorte de créature se cache dans les ténèbres de cette forêt. Tout cela commence à m’effrayer moi aussi, la savoir seule dans cette forêt ne me plais pas du tout et même fait bondir mon cœur. C’est donc perdu dans toutes cette inquiétudes que je suis partis à sa recherche, courant le plus vite que possible tout en essayant tout de même de garder mon calme, le vent est mon allié, il me servira de guide afin que j’évite de terminer au bord d’une falaise ou tout autre chose. Le ciel laissé couler ces larmes sur moi, de goute en goute, d’arbre en arbre j’étais toujours à sa recherche, la peur m’habite de plus en plus malheureusement. Pour couronner le tout la fatigue arriva, je n’ai nul eu d’autre choix que de m’appuyé contre le tronc d’un sapin pour reprendre mon souffle. Le regard fixer sur le sol, je pouvais apercevoir mon reflet dans une flaque d’eau, en ce moment-même je renie ce que je suis entrain de voir, je me renie de ne pas être capable de la retrouver. Une goutte tombe sur le reflet et provoque ainsi des ondulations modifiant ainsi les proportions de mon « visage ». Est-ce une goute de pluie qui c’était aventurer sur mes cheveux ou bien était-ce une de mes larmes ? Haha même pas le temps de vous dire la réponse, un éclair fit son apparition et éblouit mon regard. Dans cette obscurité se trouve ce qui semble être un abri, peut-être que Yui est dedans qui sait…Non en faite j’en suis sûr, elle est dedans. Comment je le sais ? Tout simplement parce que c’est mon cœur qui me le dis et que je peu lui faire confiance, mais aussi parce que après tout ce temps passé avec elle, j’arrive à ressentir sa présence. J’avançais donc à toute vitesse vers cette « habitation » pour ensuite me tenir devant la porte d’entré…enfin, de ce qu’il en reste. Il fait nuit noir ici mais elle est là je le sens, et puis même le vent me le dis. Encore un éclair qui passe et j’entendis le son de sa voix, je ressentais chacun de ces frissons, la lumière de l’éclair m’indiqua sa position et je ne tardai pas pour vite la rejoindre.

Me voila maintenant tout proche d’elle, j’en étais triste pour elle, je n’aime pas la voir pleuré…Je me penchai légèrement et je lui tendis la main en espérant qu’elle accepte de l’attraper. Cela me fait pensait à notre première rencontre, la fois ou je l’ai trouvé dans une ruelle et ramené à sa famille, je me souviens encore de son petit sourire d’enfant.

Yui….je suis là maintenant…

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Yui était terrifiée, le moindre éclair la rendait folle, elle avait l'impression de mourir. Mais ce toit, au dessus de sa tête semblait bloquer les éclairs, la protéger, au moins un minimum. Le bruit se faisait plus lointain, avait-il arrêté de la chercher ? Partait-il ? Elle ne savait pas, mais maintenant elle cherchait Tsu des yeux, c'était-il fait avoir par ce monstre fait de lumière et de bruits bestiaux ? Non, sa silhouette apparu dans l'encadrement de la porte, il tenait l'éclair dehors, l'empêchant d'entrer... Puis l'éclair s'éloigna à nouveau et Tsu vint vers elle. Elle ne voyait que sa silhouette, ses yeux voyant pourtant habituellement dans le noir. Mais les éclairs avaient dû la dérégler un peu. Elle prit la main de Tsu et le tira vers elle pour qu'il atterrisse dans ses bras. Sa voix... ça y est... elle entendait à nouveau sa voix, elle était revenue du monde sans fond. Ses bras enlaçaient Tsu avec force mais tendresse, elle sursautait de temps à autres quand l'orage hurlait à nouveau mais sans plus. Elle murmura au creux de l'oreille du jeune ange.

- Pardon... J'ai eut peur...

Elle se renfouit le nez dans les bras de Tsu avant de se rappeler qu'elle était trempée. Ha oui, ne pas mouiller Tsu sama plus qu'il ne l'était. Elle s'écarta et se mit à réfléchir comment le sécher alors qu'elle même était mouillée ? Elle sursauta à un nouvel éclair. Elle secoua la tête, ses yeux avaient du mal à chaque fois à refaire la mise au point. Elle finit par réussir à observer la pièce... Pas grand chose, ce devait-être une gariotte pour abriter les bergers ou autres... un endroit semblait être fait pour le feu, un autre pour dormir, un autre pour manger... Elle ne trouverait aucun linge propre pour le sécher. Elle sursauta à nouveau et se frotta les yeux Elle enleva la veste de Tsu et l'essora. Elle ôta son châle et fit de même... Puis s'arrêta net... Elle avait bien une idée mais c'était... Inconcevable. Elle jeta un œil à Tsu, il était trempé jusqu'aux os... il allait tomber malade et peut-être... Yui prit peur à cette pensée et ordonna.

- Retourne toi s'il te plais...

Elle attendit qu'il s'exécute et ôta son yukata et l'essora sagement. Au moindre mouvement de l'ange elle répliqua avec un geste de recul, assez difficile vue qu'elle était contre le mur.

- Ne te retourne pas ! Sinon je disparait !

Elle avait rougit mais dans l'obscurité de la nuit c'était invisible. Elle se racla la gorge, plus gênée que jamais et ôta son vêtement en lin, sec lui. Brrrr, il est vrai qu'il faisait froid... Une fois qu'elle aurait séché Tsu sama elle s'empresserait de le remettre, non pas uniquement pour la nudité dont elle faisait preuve, bien que cela était particulièrement troublant, mais également pour la température. Elle recommença à frictionner la tête de Tsu, cachée dans son dos, prète à disparaitre à tout geste suspect. Le fait de se remuer un peu la réchauffa, du moins suffisamment pour qu'elle arrête de trembloter.

- Je sais que ce n'est pas correct, Tsu sama, mais je ne supporterai pas que vous tombiez malade par ma faute.

Fit-elle, s'excusant de se présenter à lui aussi dénudée.

L’orage ne cessé de se faire entendre et continué toujours d’effrayer Yui, je déteste cela, je déteste la voir apeuré. C’est dans ce genre de situation que je me renie moi-même de ne pas être assez fort pour elle, pour la protéger. J’avais envie de faire disparaitre cette orage, mais mes dons ne me donne pas cette possibilité, malheureusement mère nature est bien trop difficile à comprendre. Ma main était tendu vers Yui et elle ne tarda pas trop pour l’attraper, mais à la place de se levé, elle me tira contre elle pour m’enlaçais. J’en étais surpris il me faut l’avouer, mais je me laisser peu à peu envahir par cette sensation, par la chaleur de son corps et son odeur tellement agréable. Mes mains vinrent se loger dans son dos pour à mon tour lui montré que je suis là, je suis là rien que pour elle comme la fois où l’ont c’est rencontré pour la première fois. Mes yeux avaient cessé de se troublé, troublé de larmes, des larmes que personnes n’a jamais put voir jusqu'à maintenant. D’ailleurs, les a-t-elle vu ? Difficile à savoir dans cette obscurité inconnue. Ces mots me réchauffèrent le cœur, nos pas leurs sincérité mais c’est plutôt le fait d’entendre à nouveau sa voix qui me donne cette sensation de joie. J’en étais soulagé, moi qui étais aussi apeuré il y a peu, je me retrouve maintenant sur un nuage de chaleur protecteur, la protection que Yui me donne, même s’il est vrai qu’a certain moment elle me donne bien plus que de la chaleur. Ce n’est qu’après quelque apparition de dragon pourfendeur de ciel qu’elle se retira de moi pour regarder un peu partout. Mon regard lui n’étais porté que sur une seule et unique étoile, il était posé uniquement sur Yui et rien d’autre, même pas les éclairs réussirent à le faire détourné. Lorsqu’elle ouvrit à nouveau la bouche et qu’elle me fit encore entendre le son de sa voix, j’en étais encore plus heureux, heureux de voir qu’elle ne se laisse pas abattre, mais aussi un peu heureux de voir que sa position n’est pas seulement servante mais plutôt une amie, une amie vraiment très importante dans mon cœur. Elle m’avait donné un ordre et je ne vais pas lui désobéir, je la respecte trop pour faire cela.

C’est donc sans dire un seul mot que je lui tournai le dos, j’avais fermé les yeux pour que lorsque je les ouvrirais, la seule chose que je verrais se sera mon étoile. Le froid envahissait peu à peu la pièce, avec le contrôle de l’eau j’essayer un peu d’empêcher la pluie de se propager ici, mais mère nature est puissante et je suis complètement trempé. De plus à chacun de mes mouvements elle me menacé de disparaitre, ce que je n’ai pas du tout envie qu’elle fasse.

Ne t’en fais pas…Yui…

Des mots un peu faibles à cause du froid, je ne sais trop comment, mais j’arrivé un peu a ressentir ce qui se passait autour de moi, il m’avait même semblé entendre le bruit de ces vêtements entrain de se retiré de sa douce et magnifique peau, se retiré de son corps de perle. Une douce et agréable chaleur vint se coller à moi pour par la suite venir recueillir les goutes d’eau qui se trouve sur mes cheveux. J’avais ma petite idée sur la situation dans laquelle Yui est en ce moment-même, mais lui posé la question serrez vraiment déplacé. La chaleur de ces mots me retire tout frisson provoqué par la nature pour laisser place à des frissons de pureté et bien-être, sa voix me réchauffer elle aussi, non pas physiquement mais intérieurement, elle réussissait à me réchauffer le cœur, ce qui n’est pas donné à tout le monde. Mes yeux étaient toujours fermer, mais ma main gauche vint attraper la sienne pour ensuite la posé délicatement contre mon visage et ressentir cette douceur. Cela faisait longtemps que je n’avais pas eu un moment seul avec Yui, et là pour une fois je me sens vraiment bien. Elle me provoque tant de bien, je lui en suis reconnaissant à vie, mon cœur lui, je ne sais pourquoi commencer à prendre un peu plus d’ampleur dans sa vitesse. Je vint déposer un doux et délicat baisé plein de tendresse sur sa main, pourquoi cela ? Parce que j’en avais tout simplement envie et que je veux lui montre qu’elle peu elle aussi compter sur moi, que je suis là pour la protéger, que je suis la pour elle…

Merci…Yui…

J’avais envie de me retourner pour la prendre dans mes bras et peut-être y laisser couler quelque larmes que seule elle serait capable de voir et d’atteindre. En parlant d’atteindre, elle à réussir à se créer un chemin dans le mur de ténèbres qui enveloppe mon cœur, il à réussit à déposé un dos sur cette petite lumière qui peut-être un jour grandira et épanouira telle une fleur devant son soleil. EN ce moment-même je ne pouvais faire que cela, de crainte qu’elle disparaisse comme elle l’avait dit plus tôt. Néanmoins, malgré ça menace, je vais tout de même allez à l’encontre de ce qu’elle attend de moi, je la pris donc dans mes bras, l’enlaçant comme jamais et réfugia ma tête dans le creux de son épaule en y versant des larmes invisible pour les yeux mais visible par le cœur.

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Yui sourit dans la pénombre, cela la soulageait que Tsu sama ne lui en veuille pas pour sa bassesse. Cela la revigora un peu et elle redoubla de puissance, elle lui séchait la nuque délicatement. Soudain elle sentit la main de Tsu se poser sur une des siennes, elle le vit la porter à sa joue. Il était si doux, elle ferma les yeux et savoura l'instant où il faisait preuve de cette délicatesse, l'instant ou elle sentit ses lèvres contre sa peau lui tira un frisson. C'était le froid... oui oui, juste le froid. Elle sentait pourtant autre chose, au-delà de la pluie, au-delà de l'orage, au-delà de sa pudeur éprouvée, au-delà du froid et du fait que Tsu allait tomber malade... Quelque chose qui la rendait triste, la tiraillait. Elle se pencha légèrement en prenant soin de ne pas toucher Tsu avec sa poitrine.

- Tsu ? Tout va bien ?

Elle sentait le cœur de Tsu plus rapide que jamais, lui faisait-il une crise ? non. Qu'avait-il ? Son visage était encore humide, comme si la pluie continuait à le mouiller, comme si c'était perpétuel.

* Il... ?*

Elle n'eut pas le temps de finir sa pensée même si c'était déjà clair dans son esprit. Il s'était vivement retourné et l'avait prit dans ses bras. Sur le coup elle voulu disparaitre, mais les gouttes qui ruisselaient dans son dos n'étaient pas de la pluie. C'était ses larmes, il pleurait, en cent ans elle ne l'avait jamais réellement vu pleurer, Tsu sama ne pleure pas... Elle ne pouvait pas disparaitre, pas à ce moment précis, elle l'entoura de ses bras, le serrant contre elle, gênée, mais là.

- Ne... ne pleure pas mon Tsu... pourquoi ?

Elle ne savait pas trop quoi dire. Que dire dans une situation pareille ? Elle était nue contre lui et il pleurait... Elle devait choisir entre sa pudeur et Tsu... Sa pudeur et son cœur... Elle avait choisit... Son amour. Elle referma les yeux, berçant Tsu dans ses bras, le couvrant de son vêtement de lin pour qu'il ne prenne pas froid. Mais elle ne put réprimer un geste pour cacher sa queue .

Les larmes de mon corps mais aussi de mon cœur étaient entrain de se déverser sur Yui, la chaleur de ces mains c’étaient posé dans mon dos tandis que celle de son corps c’était rapproché du mien. Encore est toujours ces paroles me réchauffe le cœur, ce ne sont seulement que des petits mots, mais qui pour moi sont très important. Ce sont des mots que Yui prononce, des mots qui me sont adressé. Pour quoi pleure-t-il ? Voila une question très intéressante, se sont des larmes produite par son cœur, il avait eu vraiment très peur de la perdre au beau milieu de cette forêt, de cet orage. Toujours contre elle et me laissant bercer par sa douceur, je retirais peu à peu ma tête de son épaule pour pouvoir la regarder droit dans les yeux, mon regard rouge écarlate plongé dans la profondeur des siens. Il est vrai que en cent ans, je ne lui avais jamais montré un seul signe de faiblesse, jamais une seule larme même lorsque j’apprenais la mort de certain « proches », même pas une larme verser lorsque je souffrais. Yui était toujours là prêt de moi et son sourire me redonner toujours courage et me faisais retenir mes larmes. Alors pourquoi est-ce que ce n’est que maintenant que je lui montre cette partie faible de moi ? Peut-être parce qu’un instant j’ai étais seul et que je me suis retrouvais dans une situation difficile parmi laquelle je ne pouvais compter sur son sourire pour me redonner courage.

C’est que….j’a-j’avais peur de t-te perdre… dans cette orage…tu c-compte pour moi…

Je me suis mis à rougir, tant par mes paroles que par mon comportement, je suis profondément gêné de me montré dans cette état là devant Yui, elle qui compte tellement pour mon cœur. Mais une chose encore plus gênante vint à mon esprit, ce n’est seulement que maintenant que je pris conscience de la tenue de Yui….Elle est donc nue contre moi…et c’est la première fois que sont corps nu touche le mien…Me voila encore plus embêter qu’avant, je cherchais du regard ma veste, mais dans le noir c’est vraiment très difficile, je n’ai donc pas eu le choix de tourna la tête sur le coté et placer mon regard sur le sol…Loin de mon étoile malheureusement.

Désolé….je nee voulais pas t-te….

Arf c’est bien difficile de lui parlais normalement alors que j’ai bien faillit la voir complètement nue, en plus de cela elle doit vraiment avoir froid. Il faut que je réchauffe son corps, un petit feu aurait pu nous être utile mais malheureusement le temps est trop humide et le matériel nécessaire nous manque. Mais que faire !!Que faire !!! Il faut vite que je trouve, je ne veux pas qu’elle tombe malade ou même pire. Ma veste serait le meilleur moyen pour la réchauffer mais elle est introuvable dans cette obscurité, si je la prends dans mes bras une nouvelle fois je ne sais si mon cœur restera intact. Je peu toujours retiré ma chemise mais ce serait la laisser voir mon torse et si je fais cela, elle s’inquiètera davantage pour moi.

Une chose me vint en tête, peut-être qu’elle va trouver ça stupide, mon regard loin d’elle, je me mis à cherché l’une de ces main avec la mienne. Ce n’est qu’après un petit moment que j’en attrapai une, la tenant avec douceur et tendresse, je l’apporta à mes lèvres et je me mis à soufflé dessus afin de la réchauffer du mieux que je peu. Ma tête était tournée vers elle mais mes yeux eux sont fermé.

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yui avait rougit et fixait les yeux de l'ange, il la regardait droit devant, aucun regard déplacé. Elle poussa un léger soupir et se détendit un peu, cette mer de sang qu'était ses yeux était plus troublants qu'aucune nudité au monde, elle s'excusa à nouveau à mi voix. Sa nudité la gênait de moins en moins, il faut dire que Tsu sama savait se tenir. Soudain, il détourna la tête et s'excusa... elle étouffa un petit rire. Décidément, ils étaient tous les deux gênés par cela, elle le savait bien qu'il n'aurait pas apprécié son manque de tenue. Elle le vit tourner à nouveau sa tête vers elle mais les lueurs rouges n'apparaissait pas. Il avait fermé les yeux et lui tenait la main. Il essaya de la réchauffer en soufflant dessus. Yui trouva ça agréable et savoura l'intention. La gêne qu'il y avait entre eux était palpable, Yui commençait à se sentir oppressée. Elle sentit la chaleur du souffle de Tsu sur sa peau et estima cela plus agréable que ses frictions à elle. Elle étendit à nouveau son vêtement sur les épaules de Tsu et y colla les lèvres pour souffler. Elle avait déjà entendu qu'il fallait faire ainsi et continua, sentant la chaleur s'échapper de sa bouche. Elle se rapprocha de lui et colla à nouveau son corps contre lui.

- N'ai pas peur... dès qu'on sera revenus à la maison on oubliera ça d'accord ?

Demanda-t-elle. Elle ne savait pas si ça l'encouragerai à se laisser faire et à ne pas se sentir coupable mais il fallait essayer, il ne voulait pas qu'elle ait froid, elle ne voulait pas qu'il ait froid. Il fallait trouver une idée, faire des concessions. Elle avait décidé de le maintenir au chaud, et ferait le nécessaire, mais s'il pouvait oublier son manque de tenue juste après cela pourrait l'arranger grandement. Elle imaginait déjà les cents prochaines années avec Tsu qui détourne son regard à chaque fois qu'il la croisait, à chaque fois qu'elle venait le réveiller, à chaque fois qu'ils mangeaient ensembles... Une ambiance... mortelle. Elle posa sa tête sur son épaule et murmura à son oreille.

- J'ai peur... je ne veux pas te perdre... alors accepte au moins la chaleur de mon corps et de mon cœur.

Elle Rapprocha un peu ses jambes pour réchauffer également les mollets de l'ange. Même sa queue, qui était restée cachée vit s'enrouler à une de ses chevilles, autant elle réchauffait sans doute Tsu, autant il en faisait de même en fait. Elle sentait son cœur battre à tout rompre, le sien aussi et du coup, leurs deux sang circulaient plus vite et les réchauffaient par la même occasion.

J’étais toujours entrain de souffler sur sa main afin de la réchauffé, je manquais malheureusement de courage pour en faire d’avantage, bien que je vive avec elle depuis plus de cent ans, c’est bien la première fois que je me retrouve dans ce genre de situation avec elle. Ayant les yeux fermer, je ne peu donc voir son si merveilleux visage, et donc je ne peu voir sa réaction, tout ce que j’ai pu sentir se fut une autre chaleur se posé sur mes épaules. J’en conclu que c’est l’un des vêtements de Yui, mais j’ai aussi pu ressentir une nouvelle chaleur, les lèvres de Yui étaient proches, son souffle lui venait bercer la peau de mon corps dans un voile de douceur. Le contact avec son corps revint, elle c’était à nouveau rapproché de moi pour me réchauffer….Moi je continuais ma petite activité, je continuais de soufflais sur sa main pour par la suite glisser le long de son bras petit à petit. Sa voix se fit à nouveau entendre, elle me demandait de ne pas avoir peur, et que si possible, oublié ce qu’il c’est passé cette nuit –ci… Comment le pourrais-je ? Comment pourrais-je oublie cette instant ? Je n’ai pas envie d’oublié moi, certes je suis gêné, un peu….beaucoup…Mais je ne sais pourquoi, j’apprécie tout de même, j’apprécie ce lien qu’il y a entre elle est moi en ce moment-même.

-Je ne peu avoir peur tant que tu es prêt de moi…

Je n’ai pas répondu à sa question, je n’ai pas vraiment envie de lui répondre pour le moment. Si je lui dis oui elle en sera surement heureuse, mais si je le fais alors il me faudra oublier cet instant et je ne peu me le permettre. J’étais perdu dans mon raisonnement, qu’est-ce qui est le plus important ? Me souvenir ou Yui ? Normalement je n’ai pas à avoir d’hésitation, Yui est la plus importante au monde. J’allais lui donné une réponse mais tout d’un coup je sentis un contact sur mon épaule. Ces paroles sont vraiment adorable et me touche profondément, le sang venez de me monté à la tête, j’en étais de plus en plus rouge, pauvre de moi. Comment puis-je résisté à de telles paroles ? Elle vint de me proposer d’accepter la chaleur de son corps et de son cœur…Ceci est une magnifique preuve pour moi, une preuve qu’elle fait attention à moi et qu’elle me veut auprès d’elle encore longtemps. C’est exactement ce que je veux au fond de moi, mais le courage me manque et je ne peu lui dire ce genre de révélation, tout ce que je peu faire pour le moment c’est continuais de la réchauffer du mieux que je peu.

Douceur et tendresse vinrent au niveau de mes mollets, quelque chose enlaça l’une de mes chevilles, je ne sais pas ce que c’est exactement mais inconsciemment je suis sûre que c’est l’âme de Yui qui veut elle aussi me réchauffer. Je n’ai pas réellement envie que cette pluie s’arrête, je veux que cette instant dure une éternité….

-J’accepte toute cette chaleurs, mais j’aimerais alors que tu accepte la mienne également, que tu accepte mon âme…

Mon souffle continué de parcourir le long de son bras pour parvenir à lui caresser l’épaule, une épaule sur laquelle il s’attarda un bon moment. Après l’épaule se fut le tour de son cou, mon regard rouge sang toujours fermer, je ne vois strictement rien, mais les yeux de mon cœur eux sont bel et bien ouvert et peu entrevoir une lumière, la lumière qui se trouve dans le corps de Yui. Mes mains passèrent dans le dos de la belle démone pour la serre contre moi afin qu’elle puisse mieux ressentir la chaleur de mon corps, mon souffle de plus en plus chaud, mon cœur de plus en plus battant, j’ai du mal à le calmer. Peu à peu je prends conscience de l’importance de Yui dans ma vie, c’est une importance capitale. Plus je sens son souffle, plus j’ai l’impression de ressentir ces lèvres, mais plus j’ai envie de les touché…de sentir leurs contacts.

Non non et non, je ne peu pensé à ça, c’est Yui tout de même, c’est mon amie…ma meilleur amie…bien plus que cela….Je remuais la tête dans tout les sens pour reprendre la raison, mais cela n’empêche pas que nos deux corps sont l’un contre l’autre et que mon souffle lui est posé dans son cou. Mes mains lui caressent le dos avec la plus grande douceur, comme si j’étais entrain de caresse les ailes d’une divinité, les ailes de son cœur. Un éclair se fit encore entendre, le vent avait prit de l’ampleur et la seul et unique fenêtre se brisa…

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Yui sentait bien que Tsu avait décidé de se laisser faire, ses muscles s’étaient détendus et lui-même paraissait plus à l’aise. Il était moins saccadé dans ses gestes, bien qu’ils furent toujours aussi timides, mais il semblait lui aussi avoir prit une décision. Ses doigts parcourraient l’échine de Yui qui s’en délecter au plus profond de son cœur, Jamais elle ne luis avait fermé son cœur, elle avait essayé, parfois, quand la jalousie était trop forte, mais peine perdue, un sentiment aussi pur et sincère que celui qu’elle ressentait pour son sauveur était inébranlable et inaltérable, que ce soit par le temps, le vice ou même la volonté. A ce moment précis, la volonté de Yui était de tout donner pour son Tsu, pour qu’il ne tombe pas malade, pour qu’il se sente bien, couvert de chaleur vivante qui continuerait à faire fonctionner la machines de leurs cœurs engrené. Elle avait le sentiment qu’il ne faisait plus qu’un, la chaleur et la douceur passant de l’un à l’autre sans effort et sans césure, sans seuil ni même sans décalage, un cycle perpétuel qui se créait et se développer au creux de leur corps, leur cœur, leur âme, leur vie. Yui n’avait plus du tout envie de faire l’enfant à ce moment là, non. Son caractère enfantin l’avait toujours rassuré, comme un cocon familial qui resterait perpétuellement autour d’elle, mais là… Il était partit et elle ne se sentait pas plus mal, bien au contraire, rien, non rien en ce monde ne pouvait lui faire regretter ce qu’il se produisait là. Elle était avec Tsu, elle n’avait ni froid, ni peur, ni honte au final. C’était étrange, peut-être parce qu’elle ne sentait pas son regard glisser sur elle. Il savait pourtant ce qu’elle était, mais ne la rejetait pas, ne la brimait pas, ne la grondait pas. Il prenait part à son choix comme si c’était le sien également.

Yui pencha la tête en arrière quand les lèvres de Tsu vinrent réchauffer son cou. Elle ferma les yeux à son tour et ne put s’empêcher de caresser le visage de son bien aimé maitre… Mais à ce moment précis… qu’était-il ? Un maitre ? Un ami ? Un protégé ? Un grand frère ? Non… rien de tout cela… A ce moment là, Tsu était bien plus… Quelque chose que Yui ne connaissait qu’à travers lui. Doucement, elle lui releva le visage et vint déposer un léger baisé à ses lèvres, ses lèvres si tendres qui l’avaient effleurées tant de fois et qui pourtant, à cet instant était comme une terre inconnue et délectable. La demoiselle tremblait, non pas de froid mais d’excitation à l’idée que ses lèvres viennent effleurer le doux visage de Tsu sama… Son Tsu. Elle le qualifiait souvent ainsi, mais sans doute était-ce égoïste de sa part, Tsukasa avait son mot à dire c’est vrai mais cette idée la réconfortait. En cent ans elle l’avait appris, connu par cœur, pourtant, cette limite n’avait jamais été franchise en tant d’années. Quel gâchis.

Elle n’avait pas froid, elle n’avait plus du tout froid, comme si, ce qui les entourait avait disparut, partit… Même lorsque le vent fit voler la seule fenêtre en éclat, elle ne frissonna pas, ne tressaillit pas de peur… Pour elle, l’orage était passé… Elle se contenta de glisser doucement sur la droite pour se mettre à contre vent en protéger son bien-aimé. Ses cheveux encore humide créaient un lourd rideau protecteur et les enveloppaient tel un cocon de soie. Ses lèvres descendirent à leur tour sur la nuque du bellâtre, trainant sensuellement contre sa peau douce. Ses main encore posé dans son dos, se séparaient, une le serra contre elle au creux des reins, et la seconde passa doucement pour venir se coller contre son torse, là où sa chemise était encore entre ouverte. Elle voulait elle aussi sentir sa peau, la chaleur de son vrai corps, pas ce que ses vêtements daignaient lui laisser.

Mes lèvres était toujours dans son cou, ne la touchant pas physiquement, aucun contact avait lieu, seul mon souffle chaud s’en échapper pour venir la réchauffer. Je n’ai pas envie qu’elle parte, je veux qu’elle reste pour toujours prés de moi, mon cœur le souhaite le plus au monde. Je suis trop timide pour le lui dire et malheureusement je n’y peu rien contre ça, seul le temps peu me venir en aide, seul le courage que Yui peu m’apporter est nécessaires. La chaleur de son corps continuait d’entré en moi, continuait de se faire ressentir malgré le temps qu’il y a dehors.

Alors que j’étais encore entrain de faire tout mon possible pour la réchauffer, je sentis une nouvelle vague de chaleurs, une pur douceur tel un voile de plûmes vint caresser la peau de mon visage, ayant les yeux fermez je ne peu pas vraiment dire ce que c’est, même si en réalité je sais parfaitement que c’est une tendresse provoqué par les mains de ma belle. Mais…je ne savais pas que c’est à ce moment-là que la destiné qui s’était tracé pour moi allez changer d’un instant à l’autre, je ne savais pas que c’est cette nuit que la relation qu’il y a entre Yui est moi allez changer. Un contact inconnu vint se créer sur mes lèvres, une sensation encore inconnu pour mon corps et mes lèvres, mais aussi pour mon cœur qui au travers de tout ça, est vraiment profondément touché. C’est comme si à l’intérieur de moi, la muraille de ténèbres qui entoure ma lumière commence petit à petit à se briser. Ce n’est pas encore tout ça mais un jour il tombera complètement, et la personne qui pourra accueillir ma lumière sera Yui, j’en suis sûr est certain, ma lumière lui est destiné.

Mon cœur, il bat à une telle vitesse que je me demande encore comment cela est-il possible pour qu’il reste fixé dans ma poitrine, peut-être parce qu’il ne veut pas partir parce que Yui est là…J’avais envie d’ouvrir les yeux pour la regarder, regarder la seul et uniquement personne avec qui j’échange pour la première fois un baiser d’amour…Oui de l’amour et c’est ce que je ressent actuellement pour elle. Mais vous me connaissez, timide est l’angelot, je ne le lui dirais pas directement. Je ne pouvais rien dire, seulement me laisser envahir par cette sensation, ces lèvres contre les miennes puis dans mon cou, son corps encore plus proches qu’avant, ces mains parcourant mon corps en laissant des douces marques invisible, des marques de son âme , de son amour.
Lorsque sa main vint en contact direct avec la peau de mon torse, je me mis à frissonner, nos pas par le froid mais par une tout autre sensation, Yui est bien merveilleuse, un peu trop pour moi d’ailleurs et je me demande comment elle fait pour rester tout ce temps en ma compagnie. J’en suis vraiment déboussolé, je ne sais plus trop quoi faire maintenant, c’est la première fois que je prends autant conscience de l’importance qu’elle à pour moi, je l’aime…je l’aime plus que tout au monde, ce n’est seulement qu’après cent ans que je m’en rends enfin compte. Tel une douce brise, l’une de mes mains vint se posé sur celle qui se trouve sur mon torse, la serrant avec douceur, tendresse et amour, la caressant et ne voulant plus la lâcher. Mes lèvres quand à elles sont maintenant à la recherche du dernier contact qu’elles ont eu, à la recherche de lèvres de ma tendre moitié, à la recherche de celle qui à partager ma vie pendant de nombreuse année. Je vais peut-être faire une chose qu’elle n’appréciera peut-être pas pour la protection de sa pudeur, mais…deux lueurs écarlate refirent leurs apparition dans la pièce, la déesse de mon cœur est invité à un petit bal et elle ne peu refuser, une brise attrapant la douce fleur, un regard plus que passionné figer dans les profondeurs amoureuse de la belle.

Une fleur est toujours à la recherche des rayons du soleil qui réussiront à la faire s’épanouir, d’ailleurs si je puis dire, la fleur parvint à touché les rayons du soleil, la chaleurs de ces lèvres est vraiment divine, je ne regrette en rien de l’avoir rencontré et je ne regrette pas cet orage, au contraire d’un certain je le remercie parce que grâce à lui, je me suis encore plus rapproché de Yui…Enfin non pas exactement, j’ai toujours étais proche d’elle mais je n’en avais jamais prit conscience malheureusement. Ces lèvres sont telle la rosée du matin, humide et pur, maintenant je n’ai plus qu’une seule envie, profité de chaque jour à venir en sa compagnie. Je laisser mon voile de chaleur l’enlaçai, mon odeur l’embaumer et mon cœur la caresser.

Je la serrais contre moi, mes lèvres contre les siennes et…Et ce n’est qu’un peu plus tard que l’invitation commença, le bal pour être plus précis. Le bal de leurs deux langues entrain d’exécuter plusieurs variantes de danse, des danses basé sur l’amour et la passion. Accidentellement ma deuxième main vint entré en contact avec la queue de Yui, étrange sensation en effet, mais je ne pu m’empêcher de laisser glisser mes doigts dessus avec la plus grande délicatesse, douceur , tendresse tout en essayer de lui apporté ma chaleur.

Invité

Yui pouvait enfin sentir la peau de Tsu contre sa main, elle pouvait même sentir les battements rapides et puissants de son cœur ; était-ce à cause de la situation assez étrange où à cause de certains sentiments ? La question se perdit dans les méandre des pensées de Yui, la douceur qui l’enveloppait lui faisait perdre la tête et son désir d’être enfant, la satisfaction infantile qu’elle avait jusqu’à présent, se trouvait être si fade face à cette déferlante de tendresse adulte, donné sans retour par son bien aimé, échangeant des choses inconnues à Yui, qu’était-ce ? de l’énergie vitale ? des battements de cœur ? Qu’était cette chaleur qui s’élevait d’eux ? Il lui semblait que toute la pièce en était envahie.

Soudain elles revinrent, les deux opales lumineuse, les deux lanternes qui guidaient Yui jour après jour lui dictant à quoi ressemblait le paradis. Les yeux sang de Tsukasa c’étaient à nouveau posé sur elle mais cette fois ci, elle ne tressaillit pas, elle était bercée, bercée par la douceur du regard de cet homme, ce regard qui lui avait fait si peur quelques minutes auparavant lui était désormais flatteur, elle aurait regretté qu’il ne la regarde pas au final. Comme c’est étrange cette sensation, de se dire que ce qu’on fait est contre sa nature et qui pourtant nous paraît familier… Pourquoi n’était-elle pas gênée par ces flammes qui luisaient à quelques centimètres de son visage et qui cherchaient à nouveau ses lèvres. Quand il les eut trouvées, Yui n’avait aucune chance de s’échapper, emprisonnée par son propre cœur et son propre désir, quel ironie. Elle ne connaissait pas cette sensation, mais à ce moment là il n’y avait ni curiosité enfantine, ni peur de l’inconnu… juste de l’instinct… nu lui aussi de tout pressentiments, tout vice. Elle voulait garder ce contact avec lui, cette chaleur qui se répandant dans ses veines comme un poison exquis. Elle le voulait entier le manger, l’avoir à elle. Leur simple baisé se transforma en fusion, sa langue pénétra dans sa bouche et réciproquement et elles se caressèrent lentement, avec autant de douceur que de passion. Plus le temps passait, plus leur rencontre changeait, plus langoureuse à des moments, plus passionnée et fougueuse à d’autres. Ce fut peut-être ça, qui fit oublier totalement à Yui ses petits réflexes. Aussi, en sentant les doigts doux et tendres de son bien aimé sur la prolongation de sa colonne vertébrale, elle ne pu réprimer un petit frisson et un geste convulsif : elle fit un petit bond en avant manquant de peu de faire basculer Tsu en arrière et la main qu’elle avait posé sur le torse de Tsu glissa jusqu’à son ventre, ouvrant totalement sa chemise au passage. Oups, mais le temps n’était pas aux excuses, il y avait quelque chose. Quelque chose que ce contact avec une zone très privée de son corps avait éveillé. Mais qu’était-ce ? Yui ne connaissait en rien cette sensation… Ca avait quelque chose de trop animal à son goût, le coté instinctif était décuplé et elle commençait un peu à avoir peur… Peur d’elle. Elle était démone : Le plus haut niveau de bestialité au monde, de père et de mère mauvais et cruels… Etait-ce leurs gênes qui remontaient ? Non… cela semblait venir de Yui et rien que de Yui… ni d’une créature des profondeur ni même de sa nature démoniaque qu’elle avait perdue bien longtemps auparavant. C’était pourtant un désir primitif, non civilisé… Un bref instant, Tsu décolla sa main de derrière Yui… qui sait pourquoi… Mais un geste vint le freiner, la main de Yui la rattrapa et, doucement, vint la faires se reposer là où Tsu jouait quelques secondes plus tôt, l’encourageant à continuer à prodiguer ses caresses sans craindre sa réaction qui désormais était claire dans son esprit… Elle appréciait cela.

Une brise légère était entrain de caresser la fleur noir, une rose peut-être ? Qui sait…en tout cas une chose est sur, celle-ci est une rose démoniaque, une rose qui anime les flammes de mon regards. Mais ont dirait bien que la brise y a était un peu fort avec son souffle, effet de surprise à l’appuie, la belle et charmante démone sursauta un chouya. La chaleur pénétrante qu’il y avait sur mon torse descendit tout le long pour venir atteindre mon ventre…Non non, je n’ai pas des abdos de sportif, juste ce qu’il faut sans plus ^^ ». Mon voile protecteur qui se trouver être ma chemise fut complètement ouverte, ne me laissant plus aucun rempart fasse au regard amoureux de Yui. Une vague chaleurs était entrain d’affluer en moi, la chaleur de mon sang certes, mais aussi une tout autre chaleur que je ne peu hélas vous décrire…Je peu néanmoins vous affirmer que c’est une agréable sensation. Un peu gêné maintenant, son sursaut mauvais un peu repoussé d’elle, légèrement mais juste assez pour faire malheureusement dérivé mon regard un peu plus bas que ces yeux…Le papillon qui était il y a peu entrain de caresser la douce rose noir commença un peu à se retiré, mais il fut vite rattraper par une brise chaleureuse et désireuse.

Surpris, étonné…cela revient au même, belle et merveilleuse, la demoiselle au corps de perle se montre friande de caresse, ce qui n’ai pas pour me déplaire, loin de là. C’est donc avec son « encouragement » que je continuai alors de lui caresser le bas de la colonne vertébrale, une rose noir sans épines, qui y a-t-il de plus beau ? Absolument rien, à part le cœur de cette fleur. Me laissant emportais par les douces petites caresses mes lèvres revinrent en contact de la divinité suprême, lèvres contre lèvres et langue entre langue, encore est toujours cette petite valse…Une valse ? Et oui, mais pas n’importe laquelle tout de même, nous faisons dans la finesse, la douceur, le charme, la sensualité…Une valse rien que à nous et à personne d’autre ><.

Mais il faut bien que la valse termine, certes elle danse sur le tempo donné par l’unisson de leurs deux cœurs, mais l’angelot amoureux retiré ses lèvres pour par la suite les laisser vagabonder dans le cou si pur et tendre de la belle. Quelque marques de chaleurs et d’amour invisible posé dans le cou et sur l’épaule parfaitement dénudé…comme tout le reste d’ailleurs, mouvement de main en caresse délicate et sensuel, petit sourire cacher, je me sens tellement bien avec elle. Oui oui, je suis vraiment très gêne, enfin non pas tant que ça, je suis juste un peu timide fasse à ce merveilleux corps, un corps si chaud, si désirable, si….. Je ne peu trouvé de mots assez bien pour la qualifié malheureusement. J’ai l’air d’être le seul à profité de toute cette chaleur, néanmoins elle profite de mon souffle, mais cela n’est surement pas suffisant. Me laissant envahir par une sensation chaude, passionné et quelque peu « sauvage », toujours entrain de lui caresser la rose noir au touché si exquis, mon autre main elle glissa dans le dos de la charmante démone. Petit massage en prime pour par la suite me laisser tomber en arrière tel une plume, entrainer mon amour avec moi. Le dos sur le sol, d’un coté j’ai chaud, de l’autre j’ai froid… Froid à cause du sol gelé qui se trouve c en contact avec mon dos, mais aussi chaud parce que je suis réchauffé par le magnifique corps de soie de ma tendre moitié…

Rouge aux joue, ce qui est parfaitement normal, je pouvais ressentir la poitrine de la belle contre mon torse, un contact que je ne suis pas prés d’oublié…aussi proche l’un de l’autre, je peu confirmer qu’elle à une merveilleuse odeur, une odeur qui est capable de me faire monté dans des horizons inconnu…Mais je n’y serais pas seul puisqu’elle m’y accompagnera. Ah non, ce n’est pas parce que je me suis allongé avec elle que j’en ai pour autant délaisser sa douce petite queue noire…Mais je ne sais pas si ce que je vais faire est déplacé…De ma main caresseuse, je fit remonté doucement et avec légèreté la queue de Yui jusqu'à mes lèvres et ….ce n’est pas une surprise mais je déposais donc un tendre baiser sur le bout de la rose noir…une pétale très gouteuse.

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Yui n'avait pas prévu cela, elle avait sans doute levé les yeux au ciel une fraction de seconde de trop, elle avait basculé en avant, délicatement, et était à présent allongée sur Tsukasa, les yeux au niveau de ses lèvres, la poitrine pressée contre la peau de l'ange, battant à tout rompre. Elle avait dormi tant de fois aux coté du bellâtre mais jamais au grand jamais elle n'avait connu pareille sensation. Elle était littéralement étalée sur lui. Décidément un peu gênée elle se mit à califourchon sur lui ce qui n'arrangea pas spécialement la situation assez ambigüe qui avait lieu. Mais le contact qu'il avait avec le dos de Yui la détendit aussitôt, la rappelant au rêve qu'elle faisait quelques secondes plus tôt, à cet abandon. Elle revint coller sa poitrine au corps chaud de Tsu sama, il avait une peau encore plus douce dans les endroit qui restaient habituellement cachés... Elle se redressa un peu, sentant sa queue se mouvoir sans le lui avoir ordonner. Elle remonta, suivant la main de Tsu jusqu'aux lèvres de celui-ci... Yui frissonna rien qu'en y pensant mais ce fut bien pire quand le geste eut réellement lieu, une chaleur monta du creux de ses reins jusqu'au visage et son corps ne pu résister à l'attraction de la peau nue de Tsu.

Était-ce mal ce qu'elle faisait ? Devait-elle cesser ce comportement païen déplacé sur le corps de son maitre ? Non... pourquoi non ? Parce cela semblait ne pas déranger Tsu sama et même lui plaire, elle même ne savait pas si aucun argument au monde aurait pu la faire arrêter. Mais qu'était-ce donc ? cette force qui la poussait sans arrêt à réclamer Tsu, ses lèvres, sa peau, son corps et son cœur ? Les lèvres de Yui vinrent à nouveau effleurer le doux paradis et descendirent le long de la gorge de l'ange, ponctuant son passage par de doux baisés d'une tendresse infinie. Elle arriva au torse de l'homme et effleura la peau de ses lèvres, caressant ses anches de ses mains. Elle le désirait tant que ça en devenait même pervers à ses yeux, Yui avait honte d'elle, de répondre à de tel attachements primitifs et bestiaux. Elle n'en avait pas le droit, elle voulait juste le réchauffer au début...

Elle fixa des yeux sensuels dans ceux de Tsu, ces opales de sang ne lui faisaient que plus envie, son regard remplit d'amour et d'étincelles attisait en elle tout le feu qui parcourrait son corps... Elle ne voulait pas... non ! Il était hors de question de faire quoi que ce soit qu'il puisse regretter... Elle ne voulait pas... Pourtant rien dans ses yeux n'exprimait la peur, ni la panique, ni même l'inquiétude... Juste lui aussi, une étincelle de bien être. Son sourire, ses lèvres, son corps, ses yeux, ses mains... Tout... tout lui indiquait qu'il fallait juste se détendre et profiter, juste... se laisser aller en simple êtres vivants amoureux.

Elle prit la tête de Tsu doucement mais sans lui laisser le loisir de lui échapper et vint à nouveau poser ses lèvres aux siennes, elle posa sa main sur le sol. Froid... Tsu avait le dos gelé sans doute ! Elle roula de coté pou l'obliger à échanger les places. Le contact de la pierre froide la fit se cambrer et frissonner, mais étrangement c'était du plaisir, comme un glaçon qui glissait le long de son échine, réveillant tous ses sens. Elle poussa un petit soupir de plaisir à ce contact, un froid torride d'un coté et l'homme qu'elle désirait par dessus tout au monde face à elle. En s'entendant soupirer elle posa précipitamment ses mains sur sa bouche, confuse, ce n'était pas un cri à faire voyons ! Elle était plus gênée maintenant... Ce gémissement était un bruit de trop... Elle détourna la tête de coté, honteuse, les yeux fermés comme si elle venait de se prendre une gifle virtuelle.

Un baiser que je ne pu refuser et ni évité, d’ailleurs cela m’aurait était impossible de le faire puisque je désire plus que tout au monde ces lèvres, je me laissant bercer par sa douce odeur, sa douce chaleur. Petit roulement sur le côté et nous voila maintenant à la place de l’autre, Yui étalé sur le sol froid et moi à cheval sur elle. Il m’avait bien semblé avoir entendu un léger soupir sortir de la bouche de ma déesse, mais je me demande pourquoi, elle à vite détourné la tête sur le côté en mettant ces mains sur sa bouche ><. Mais heu….j’avais envie de le voir moi se tendre visage, mais la voir faire cela me fit mettre maintenant en retrait. Je me demandais maintenant pourquoi elle agit ainsi, peut-être a-t-elle honte du soupir qu’elle venait de pousser il y a peu. Je ne vois pas trop pourquoi elle en est gênée, je trouve cela même adorable et intérieurement je prends cela pour un compliment. Mon regard c’était attendrit, mon petit sourire était calme, mon torse se rapprocha des courbes de ma belle pour ensuite laisser mes deux mains aventurière venir attraper les siennes et les retiré de sa bouche. Mes lèvres vinrent en contact avec la seule oreille qui m’était disponible pour le moment.

-Tu n’a pas à avoir honte, Yui…je t’en remercie même…

Tout cela avez était dit avec une telle douceur, une telle tendresse que même mes parents n’en reviendraient pas. Pourtant ce que je viens de lui murmuré est la strict de vérité, une vérité qui vient du fond de mon cœur et qui la remercie de se petit soupir. Ont ne sait pas trop pourquoi mais le soupir de Yui avait tout de même réussi à éveiller une petite partie en moi, lâchant l’une de ces mains pour venir maintenir son petit menton fin et le caresser de l’index, mes lèvres vinrent se posé sur les siennes et échangé ainsi avec elle un long et doux petit baiser sauvage. Un baiser plein d’envie, de passion et de désir, une sensation caché derrière tout cela qui le rend encore plus sensuel et même sentimental…

Me retirant avec regret par la suite, j’éloigné le petit contact de chaleur qu’il y avait entre mon torse et les courbes plus que parfaite de son corps de soie. Avec le petit recule que j’ai prit, ce n’est seulement maintenant que je prends réellement conscience d’une chose, de la position actuel que nous somme entrain d’entreprendre. Je suis à cheval sur le corps nu de Yui, sur un corps chaleureux, plus qu’attirant et sans rempart. Même si avec l’obscurité il fait assez sombre là où nous sommes, j’arrive tout de même à voir les formes de son corps, et bizarrement, cela ne me dérange pas tant que ça…Même si mais deux petites joue avait encore viré au rouge… Le corps de Yui n’a plus de protection alors que moi il m’en reste encore sauf au niveau de mon torse qu’elle à caresser il y peu…La chaleur de sa main contre mon torse était vraiment…comment dire, sensuel et envieuse.

Doux comme une brise et délicat comme une plume, l’une de mes mains vint flatter le ventre de ma douce, taquiner un peu son nombril avec mon index. Un petit jeu d’excitation et de romantisme nous allons dire. Rouge comme le sang, les flammes de mon regard avaient changé d’intensité, elles étaient maintenant devenues des flammes de la passion, des flammes qui vinrent se refugier dans la profondeur des yeux de mon « amante ». Des lèvres joueuse et désireuse qui ne purent s’empêcher de venir poser leurs marques sur l’épaule gauche de la belle. Descendant petit à petit à chacun de mes baiser, le contact de mes lèvres n’alla pas plus loin que la naissance des deux fleurs de lys.

Ne sachant pas trop comment elle allait le prendre, exciter de désir, d’envie, de plaisir, mais surtout d’amour, mon petit cœur ne pouvait plus ralentir son rythme. J’ai envie d’elle plus que tout au monde, j’ai envie de ne faire plus qu’un avec elle. Jouant de ma langue en dessous de sa gorge, je remontais un peu pour venir lui taquiner les lèvres, des lèvres qui ont envouté les miennes. Un petit nez mordillez avec douceur et amour, une lobe d’oreille pincé entre mes lèvres, un tas de petit geste amoureux rien que pour elle, des gestes qui lui seront seulement destiné. Dois-je en allez plus loin ? Voila ce que je me pose, je ne sais pas trop en réalité, j’en ai envie mais en est-il de même pour elle ? A-t-elle envie de franchir se cap avec moi ? Je pense que oui, du moins c’est ce que mon cœur à l’air de comprendre du sien.

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Yui vibrait de tout son corps. Elle n'avait jamais connu un tel état, proche de la folie, la perte de conscience du raisonnable ou non. Yui ne parvenait pas à être claire dans sa tête, rien ne lui paraissait censé à ce moment même. Elle persistait à vouloir tout l'être de Tsu et il ne semblait pas lui opposer de résistance, la désirait-il également ? Il semblerai, mais ne le regretterait-il pas par la suite ? Il la rassurait, il semblait vouloir que tout ce passe dans la plus grande délicatesse et le plus grand amour. Et ça, elle en avait à lui donner, toute sa vie lui avait été destinée dès l'instant où elle l'avait rencontré dans cette ruelle, son corps ne se détendait qu'en sa présence, elle n'aimait que lui...

Elle restreint quelques soupirs appréciateurs, tentant de les cacher et les absorber... Mais peu à peu, les vibrations eut raison d'elle et les petits bruissement de plaisir ponctuèrent les doux baisés et geste de son amour. Tsu était réellement doux, il la faisait à chaque fois désirer et s'arrêtait à la limite du raisonnable au grand désarroi de sa partenaire qui espérait à tout moment que cette limite pudique soit dépassée. Elle cambra les reins quand il vint déposer ses lèvres sur son corsage. Il lui paraissait avoir pris plusieurs années en ces quelques minutes. Elle passa ses doigts délicats dans le dos de Tsu, une main vint lui caresser les cheveux, passer ses longs doigts... L'autre en profita pour longer la colonne vertébrale, doucement, caressant les épaules, descendant au centre du dos, palpant les anches et, dans une raideur provoquée par un pur instant de plaisir octroyé par les caresses de l'ange, elle vint se poser un peu plus bas, palpant les rondeurs exquises de son corps. Elle rougit un peu mais sans plus. Elle ne souriait à moitié, mais à chaque nouvelle surprise son sourire se transformait en expression de stupeur agréable. Elle avait envie de tout lui dire, de lui dire à quel point elle l'aimait, elle le désirait... mais rien ne venait, juste ces caresses et ces baisés chargés de sentiments.

Mais ce qui lui faisait réellement peur était de ne pas être à la hauteur, de ne pas réussir à donner autant de plaisir qu'elle le désirerai à Tsukasa Sama. Elle hésita et fit glisser la chemise ouverte de Tsu hors de ses épaules, la faisant glisser sur ses bras et finissant par la retirer entièrement de la douce peau. Les lèvres de Yui vinrent palier à la soudaine nudité du torse de Tsu en le caressant délicatement, baisant par moment des endroits qui semblaient le faire frémir. Pendant ce temps son autre main toujours en bas du dos cherchait à passer discrètement sous la peau artificielle du bellâtre. Tant de folie pour un petit corps comme celui de Yui... Son coeur de démone, loin d'être créé pour tant d'amour allait finir par céder à sa course folle.

- Pardonne moi...

Finit-elle par souffler en parvenant à glisser sa main sur la peau réelle de son maitre. Hummm... c'était doux et chaud, elle ne pu s'empêcher un petit geste convulsif durant lequel ses ongles vinrent insister sur la peau rebondie de Tsu. Miam, pourquoi ne mangeait-elle pas de ce plat plus souvent ? Elle se délectait d'un simple contact tel que celui-ci. Elle ne voulait plus que ça, plus que des desserts aussi onctueux que les baisés de son bel ange, que le contact tendre de sa peau.

Mes lèvres qui était maintenant en retrait, mon regard lui plonger sur la magnificence de son visage, j’en avais totalement oublié la température… Il faut bien dire que l’ont a tout de même réussi à réchauffer la pièce avec nos propres moyen ^^. Les mains de la belle vinrent se placé dans mon dos, une des deux se montra un peu plus aventureuse que l’autre puisqu’elle glissa le long de ma colonne vertébrale. Un nouveau rempart que s’en va, les douces et délicatement de ma belle firent glisser ma chemise le long de mes bras, la laissant par la suite tomber sur le sol froid. A chacun de ces baisers, je ne pouvais m’empêcher de laisser échapper quelque soupir de plaisir, ces lèvres contre la peau de mon torse, ces lèvres proches de mon cœur. En effet, sa main est bien aventureuse, une nouvelle chaleur c’était posé contre ma peau, plus bas que le dos précisément. Un peu surpris en effet, mais j’apprécie grandement se petit geste, de plus, la voir rougir provoque encore plus de désir en moi, elle est trop adorable et vraiment mignonne avec les joue rouges.

Elle me demande de la pardonner, la pardonner de quoi ? De me donner son amour ? De me montré à quel point elle veut de moi ? Je n’ai pas à lui pardonner son geste, je ne peu pardonner une chose que j’ai appréciée. Ne pas lui répondre vocalement et la meilleurs chose à faire, je préfère lui montré que d’en parlé. J’ai pu ressentir ces ongles sur la partie rebondie de mon corps, ce qui me fit frémir un bon petit moment et même poussé un gémissement de satisfaction. En faisant ainsi elle a d’avantage excité la flamme de désir qu’il y a en moi, mon corps la désire plus que jamais, mes lèvres vinrent à nouveau chercher les siennes pour un nouvel échange vigoureux et sauvage.

Tendresse, douceur et amour, nos lèvres se séparèrent laissant place à nos regards explorateurs. Ces lèvres ont était laisser, tandis que les miennes poursuivent la course commencer un peu plus tôt. Petite marque invisible et brûlante de laisser sur l’une de ces clavicules, encore un peu hésitant à allez plus bas que la naissance de courbes plus qu’enchanteresse de son corps de perle. L’hésitation ne devrait pas être là pourtant, je la désire et il en est de même pour elle, mon cœur et mon corps ne veux qu’elle et personne d’autre, alors la limite que je m’impose moi-même va devoir être scellé. C’est donc pour cela que je pris mon courage à deux mains et petit à petit tout en rougissant à chaque progression de mes lèvres. Ainsi donc la chaleur de mes lèvres vinrent en contact avec l’un des courbes du corps de ma déesse, mais il y à bien une arrivé à tout, et c’est sur une petite partie plus rosé et sensible que mes lèvres s’arrêtèrent. Jouant du bout de ma langue, je vins titiller le petit sommet, mais pas seulement titiller...Je vins le pincer entre mes deux lèvres et tiré légèrement dessus, ce qui arracher un gémissement à la belle.

Mes lèvres et ma langue sont maintenant occupé, mes mains quand à elles sont entrain de faire une tout autre chose, celle de droite continuais de caresse le nombril de Yui pour ensuite venir lui caresser les hanches en appliquant même un petit massage à quelque passage. Mon autre main, elle, elle vint se glisser dans le dos de mon amour, flattant sa colonne vertébrale, descendant encore plus bas pour venir palper la douceur de sa petite peau. S’attardant un peu trop longtemps sur les belles petite partie rebondie de sa belle, il remonta sa main pour foire glisser ses doigts dans sa nuque. Des lèvres encore taquine, un petit mamelon tiré, pincer et même légèrement mordiller, l’angelot aux yeux rouges avait maintenant dépassé la première limite, mais il y en a encore d’autre malheureusement, Yui sera là pour l’aider à les franchirent.

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Yui pinça les lèvres pour étouffer un cri de plaisir intense. La sensation toute nouvelle qu'est ce baisé sur ses seins, donné gracieusement par son ange était tout simplement exquis. Elle sentait tout son corps être parcouru de frissons délectables en tous sens et de manière désordonné qui leur donnait un goût de surprise... Mais il semblait se passer quelque chose plus bas, comme une chaleur encore plus intense au niveau d'entre les cuisses de la jeune fille. Qu'était-ce ? qu'était-cette sensation étrange qui la faisait désirer son ange plus que tout au monde ? Elle caressa la tête de Tsu pour qu'il continue à la délecter de cette sensation d'excitation. Elle se sentait partir, sentait sa conscience féminine se concentrer en ses zones érogènes qui ne demandait qu'une chose : le corps du bellâtre qui se frottait à elle en ce moment même. Tout en lui l'excitait à un point de non retour, ses doigts de la même délicatesse qu'une brise matinale, caressant son abdomen, ils étaient ponctués par les petits mouvements de lèvres et de langues sur ses formes rebondies qui ne cessaient d'en réclamer toujours plus.

C'était clair à ses yeux... Elle était folle de lui, mais aussi au sens propre du terme folle, elle le désirait si ardemment qu'elle avait la sensation de ne pas être elle même, de ne plus se contrôler... ou peut-être au contraire n'avait-elle été jamais aussi nature ? Elle ne savait pas... et ne voulait pas savoir à ce moment là. Elle voulait juste lui...

Ce fut dans un instant de grand plaisir, un frisson plus intense que les autres, qu'elle perdit un peu le contrôle de sa voix. Elle poussa un cri désespérément désireuse d'aller plus loin dans leur relation... après tout... il oublierai si ça le gênait... Non ? La main qui était sur les douces fesses de son "amant" glissa de coté et sortit hors de la peau artificielle du jeune ange, passa vers l'avant du corps masculin qui passait sur elle. Elle ne cessait de le regarder, pour savoir s'il comptait s'arrêter, si ça devenait trop, il était si chaud, ses joues était si brulante qu'elle devinait qu'il était rouge comme à chaque fois que le sujet s'y prêtait. Elle ne voulait pas le forcer et pourtant c'était assez tentant de pousser les vices plus loin. Bien plus loin.

La main s'arrêta sous le nombril, sentant la peau de l'ange se tendre à son contact. Elle caressa doucement cet endroit, cette limite de la pudeur de son maitre, l'endroit le plus privé de sa personne qu'elle voulait découvrir à son tour, il avait déjà découvert tout son corps à elle, elle n'avait pas à se sentir coupable. Elle poussa un petit soupir cachant un petit cri qui tenta quand même de sortir au travers de ses lèvres, créant un petit couinement délectable. Elle décida d'essayer de passer la main un petit peu sous le tissu, ma fois pas très loin pour ne pas trop précipiter les choses quoi que cela fut tentant. Elle sentit un frisson venant de la peau de Tsu qui se rependit à travers son corps à elle. Ou était-ce son imagination ? Elle finit par s'arrêter là... le corps plus brulant que jamais, hésitante de progresser encore vers cet endroit aussi défendu que l'intérieur de ses propres cuisses. A cette pensée elle resserra les jambes, un nouveau frisson venait de la chatouiller toujours plus intensément. Elle jeta un regard implorant à Tsukasa, elle voulait aller plus loin, son cœur et son corps ne tenait plus en équilibre sur cette cornière entre le censé et le vice. Elle voulait basculer ou être arrêtée... Ses doigts demeuraient à la limite des parties sensibles de Tsu, vibrant de plus en plus d'impatience... hésitant à ouvrit directement la porte faite de tissu qui séparait leur deux corps.

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