Petite sortie [tsukasa samaaaa]

J’essayais un maximum de faire passer tout mon amour au travers de ces quelques baisers, pincement et petit coup de langue timide. Je pouvais ressentir en elle qu’elle en désirait plus, beaucoup plus même. Ce n’est pas seulement un ressentiment, elle me le montrait presque, sa main qui se trouver en dessous de mon voile de tissu protecteur glissa devant pour venir se réfugier sous mon nombril. L’un de ces cri fut plus puissant et plus exprimant que les autres, elle désire plus que tout d’en allez plus loin et il en est de même pour moi. Son regard plus qu’envoutant me dicté bien des choses, il me donne même le courage d’allez de l’avant avec elle, d’allez le plus loin possible dans notre relation, je l’aime…Je l’aime plus que tout au monde. Il a fallut que se soit seulement maintenant que j’en prenne conscience, les conditions actuel ne sont pas les plus approprié dans ce qu’ont nous sommes prêt d’entreprendre, même s’il est vrai que là en ce moment ça va être nos chaleurs corporelle que nous allons partager. Sa main avait encore prit un peu plus d’avance pendant que j’étais perdu dans son regard, elle avait réussit à atteindre la limite de mon « intimité », une partie sensible et même très privé, qui jusqu’à là, n’a jamais encore était franchit par qui que se soit.

Je sais ce qu’elle veut, et c’est parfaitement réciproque, je la veux, je veux ne faire plus qu’un avec elle et ne jamais oublié cette soirée. Divinité qui enchante mon cœur et fait vibrer mon corps de milles sensation, mes lèvres vinrent chercher encore une fois le contact avec la douceur de sa poitrine, les deux petits sommets rose s’étaient mit à durcirent et l’un deux fut pincé entre mes lèvres avec délicatesse. L’une de mes mains vint glisser le long de sa jambe droite, douceur et tendresse se faisait ressentir, deux petits doigts qui marchèrent le long de cette peau douce pour ensuite redescendre et venir en force. Caressant sa jambe, ma petite main chaude vint se réfugier sur sa cuisse, hésitant quelque instant mais encourager par un regard plus que désireux, elle se mit à doucement glisser en direction des portes des enfers. Non non, pour le moment mes petits doigts ne sont pas encore posté devant l’entré, ils attendent sagement sur le coté, enfin sagement c’est vite dit puis que la petite main se mit à lui caresser la cuisse de l’intérieur. Il est vrai que sa main est toujours entrain d’attendre l’autorisation pour passer la barrière de tissu qui s’oppose à elle, je ne peu pas lui dire non puisque j’en ai moi aussi envie, j’ai envie qu’elle me découvre encore d’avantage, qu’elle explore mon cœur. Le bouton d’or de la fleur de gauche fut relâché de l’emprise de mes lèvres papillonneuse, deux petits yeux rouge perdu dans la mer de passion de la belle, mon désir d’elle pouvait se voir au travers de mon regard actuel.

Je ne vais pas vous le cachez, mais j’en ai un peu peur, j’ai un peu peur qu’elle franchit cette ligne, je sais parfaitement qu’il n’y aura pas de point de retour, passer cette ligne c’est d’allez de l’avant et ne plus reculer. Tout ce que je sais c’est que jamais je ne regretterais cette soirée avec elle, nos deux corps l’un contre l’autre, nos deux cœurs parfaitement à l’unisson et nos sentiments liés pour l’éternité. Je ne sais pourquoi mais mes lèvres ainsi que ma langue ont envie de continuer d’explorer le corps de la belle, mais si je fais cela, sa petite main douce ne pourra donc pas continuer son aventure au-delà de mes derniers rempart. Un petit regard sur la belle pour l’encourager à poursuivre, montrant mon désir à l’aide de quelque petit baisé, je glissai mes lèvres à son oreille et je passai un léger petit coup de langue.

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Une nouvelle vague, un nouveau rempart qui s'effondre, un nouveau désir. Qu'est donc cette pièce de théâtre ? Shakespeare lui même ne pourrait pas donner autant de passion à travers un contact aussi futile qu'un touché... un simple contact de peau qui transmet durant des siècles un sentiments plus pur que toutes les jouissances Démoniaques. Ho mon Dieu... Lucifer savait-il qu'un ange pouvait également régner sur le cœur d'une démone ? Non, sans doute non... Tsu ne régnait pas sur un cercle de l'enfer et ne représentait aucun Vice, il était bien plus. Il était l'être qui choisissait tout avenir, tout destin au travers du corps de Yui, il parcourrait l'univers et son humble servante qu'était la démone était son vaisseau. Il règnerait sur tout ce qu'il désirerait, il était tout tout en étant qu'un. Il était la personne qui pouvait tout contrôler jusqu'aux choses les plus incroyables, comme le désire d'une simple démone, le cœur d'un être sombre. Yui ne vivait plus avec lui, mais pour lui et en lui.

Ces cents années commençaient à défilé sous ses yeux, comme un temps passé, un temps révolu, le temps du changement était là, elle mourait dans sa vie de simple enfant pour se découvrir reine. Elle serait reine de son cœur. Les pétales qui glissaient sur sa peau ne cessèrent de révéler chaque centimètre de son être, ils se trouvaient à l'entrée de portes, celles du paradis sans doute, ou peut-être de l'enfer pour tout ce désir qui ne cessaient d'en déborder. Chaque sensation était unique, vil et torride, aucun cœur humainement constitué ne pourrai résister à cela, ou le cœur humain était-il si habitué à tant de violence dans les sentiment qui tourbillonnaient ici ne lui ferait aucun effet ? Peu importait, celui de Yui était à présent ouvert à Tsukasa sama, la lumière qu'elle voyait dans ses yeux la guidait et l'enveloppait de douceur.

La main se retira un peu, défit le bouton d'or de la fine protection exécrable qui insultait la peau de son bien aimé et enfin elle pu progresser et enfin toucher la zone délicate du jeune ange. Elle caressa du bout des doigts, douce rivière de tendresse sur un pétale délicat. Elle se délectait de ce moment, moment ou plus rien n'avait d'inconnu, douce folie humaine et sans doute démoniaque qu'était le plaisir charnel. Elle souriait tendrement à son angelot, ses yeux couleurs sang lui disait tout l'amour qu'il lui portait, tout l'amour qu'il lui renvoyait. Il était sage, il était prude...

Elle ne su pourquoi elle le faisait, sans doute pour lui épargner des gênes inutiles. Elle l'embrassa fougueusement et, faisant longer ses doigts, elle glissa sous le corps de son bellâtre et fit toucher à la douce brise, les pétales de la fleur de lys. Un frisson incroyablement délicieux parcourut l'échine de la douce démone pour se loger au creux de son cœur, un soupir d'abandon total vint ponctuer la douce sonate de gémissement de délectation qu'elle tentait d'étouffer.

Elle l'embrassait passionnément, lui tirant quelques baisés torrides et quelques gestes plus violents, elle voulait qu'il ne face plus attention... Qu'il ne considère plus le lieu ou la situation gênante non... elle voulait qu'il lui montre qu'il la désirait. Ardemment ? Passionnément ? Délicatement ? ou alors fougueusement ? Elle était prête à voir son bien aimé tel qu'il désirait-être, tel que sa nature le révèlerait, par delà la timidité qui le caractérisait. Elle lui attrapa la lèvre inférieure, cherchant à le rendre fou de désir, elle voulait que lui aussi se délecte de cet instant. Était-ce déjà le cas ? Sans doute, mais cela devenait de plus en plus insistant chez Yui, elle voulait le sentir au creux de son être, elle voulait se laisser bercer par son désir qui insufflerait l'amour en elle. Pourquoi ? pourquoi son cœur qui avait toujours réclamé l'amour de son maitre contrôlait également son corps ? Ce plaisir charnel était-il vicieux ? Hum... sans doute, mais cela ne le rendait que plus excitant.

Mon petit soutien du regard avait l’air de fonctionné, la belle artiste faisait usage de la finesse de son art au-delà de son corps, des doigts fin et malicieux, experte dans leurs maniement, pinceau, plume ou stylo, tout lui va. Délicatesse et élégance son là pour retiré petit à petit le dernier rempart, le faire céder aussi facilement n’est pas donné à tout le monde…Encore heureux. Est-ce que plus rouge que rouge existe ? Est-ce que plus rouge que je lui suis actuellement fait parti de se monde ? Houlà en voila une question, mais la réponse sera complètement inutile. Moi en tout cas je dis que oui, il existe un rouge plus fort que le rouge de mes joues, ceci ce nomme le rouge de l’amour, de la passion et du désir, le rouge du péché peut-être… Un léger soupir de surprise, de plaisir, se fit entendre, le contact de ces doigts sur cette zone plus que sensible était comment dire…Excitant et même très agréable il me faut l’avouer, encore une étape de franchit, cela fait un point de plus pour elle et je ne peu d’admiré le courage d’ont elle fait preuve à mon égard.

Les ailes du phénix son bien douce je vous le confirme, mais elles peuvent être aussi brûlante, celle-ci brûle de désir et d’amour. Douces fleurs qui caressent l’eau du vase, gêne ou pas, le plaisir est plus puissant et me fait donc oublier mon arrière sensation. Si mes lèvres étaient un arbre alors celles de Yui serait des pétales de fleur de cerisier, des fleurs qui viendraient s’unir à moi. Joli tableau que nous avons là, les douces perles de la belle entrain de m’arracher un fougueux baiser que je ne peu décliner et qui d’ailleurs, que je n’aurais jamais décliner. Douceur sensation au glissement de son corps contre le mien, doux frissons en sentant mes doigts parcourir sa cuisse droite par l’intérieur, mais surtout agréable surprise lorsque les portes furent atteinte. Qui se trouve derrière ces portes pour m’accueillir, Dieu ou Satan ? Haha à quoi bon le savoir, cette porte ouvre l’accès à l’univers de Yui, un univers d’ont moi seul est le maitre et personne d’autre ><. D’instinct charnel et désireux, les pétales de rose caressèrent de leurs enchanteresses finesses et beauté l’autel de pureté, une offrande y sera verser plus tard pour un souhait plus qu’important pour la destiné.

Frémissant par cette agréable sensation qu’est le contact de mes doigts avec la zone la plus intime et inconnu de Yui, un petit soupir de plaisir sorti de mes lèvres pour se réfugier dans le creux de l’oreille de mon amour, de ma déesse, de mon unique lueur. Lèvres attrapé par celle de la douce démone, je voyais bien qu’elle voulait que je me lâche, que je me laisse prendre au jeu et surtout que je range ma timidité pour laisser mon cœur s’exprimer au travers de mon corps. Difficile certes mais pas impossible, ce n’est qu’avec l’aide de baiser torrides, provocateur et autre que mes gestes se firent plus….Dominant, plus joueur. Oublions alors les gênes de familles, oublions un instant que je ne suis pas un Hishima, pas un ange de race pur mais simplement un ange comme tout les autres et qui s’apprête à se donner à son unique amour. Rien que de pensé seulement ainsi me décharge d’un sacré poids.

Me montrant maintenant plus « coquin », je vins taquiner le bout de son nez avec mes lèvres, un coup de langue sous le menton pour ensuite glisser le long de sa gorge et atteindre encore une fois la chaine montagneuse remplie de fleur de diverse variété. La fleur de lys qui pour le moment est encore caresser par les pétales de la rose, se vit un petit plus stimuler, de haut en bas, de gauche a droite sans pour autant être utiliser de réceptacle. Glissant le long du corps de la divinité de mon cœur, ma main délaissa quelque instant le lys royal, mes lèvres quand à elles longèrent la douce peau pour venir taquiner le nombril au passage. Non, malheureusement elles ne passèrent pas par les portes mais seulement sur le coté gauche, une cuisse lécher dans toute sa longueur, venant au genou puis au mollet et pour finir au pied. Un regard joueur et écarlate de passage dans celui de la douce Yui, ma langue vint taquiner ces orteils.

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Un sourire plus que ravis vint se peindre sur les douces lèvres de la jeune démone, une peinture tissée d'amour et de plénitude. Tissée par les lèvres frivoles de son bien aimé maitre. Pourquoi frivole ? Elles caressaient Yui sur les lèvres, mais également au bout de ses globes dorés, sur son cou, son ventre parcouru de spasme de désirs et enfin...

Yui poussa un petit soupir en le sentant passer tout près de la zone exquise, avalant un petit "grrrr" rageur de ne pas avoir eut droit à l'éden tout dessuite, il fallait le mériter ? Haa ? Yui essaya de ne pas trop repenser à la frustration délicieuse qui venait de lui passer sous le nez mais de trouva face à un sourire charmant, illuminé des lueurs rouges de ses yeux. Que préparait-il ? Elle ne l'avait jamais vu jouer et...

Haaaaa... elle prit une grande inspiration et tout son corps se cambra, ses mains cherchant désespérément quelque chose qui la raccrocherait au monde réel pour ne pas sombrer dans le vice profond et provoquer directement les parties érogènes de l'ange pour qu'il ne la face pas plus souffrir de plaisir. Qu'il était cruel d' ainsi l'obliger la jeune Yui à se forcer à ne pas céder immédiatement... Elle s'agrippa à un pan de son Yukata, il était encore humide. Quelle Ironie, le premier rempart tombé faisant un clin d'œil au dernier se bousculant pour choir à son tour. Elle ne parvenait pas à se contrôler. L'expression que Tsu avait sur son visage était ravissante et coquine... Tant de demande de sa part lui aussi ? Il se délectait de sa petite souffrance exquise qui la parcourait sous la peau... Il voulait la voir céder, céder à ses pêchers. Yui fit une mine de jeune fille séduisante tel qu'elle en avait vu parfois dans cette ville, des yeux de chatte en chaleur, un souffle chaud... Elle enroula sa queue autour de la taille de son bien aimé et dégagea son pied... puis elle l'attira entre ses cuisses, lui barrant toute retraite possible elle se redressa, assise tout contre lui et vint poser sa poitrine contre le torse chaud de l'ange, les yeux rouge sang lui faisaient plus qu'envie. Elle passa une main derrière sa tête et L'embrassa à nouveau, l'obligeant à se montrer fougueux à la limite du violent.

Il avait si bon gout dans toute son adrénaline de déversait dans ses lèvres, qu'il frémissait à son tour comme une douce vengeance à son égard, elle voulait sentir son cœur battre tout contre ses seins. Elle voulait qu'il la possède, non pas comme une esclave ou une simple servante perverse, mais comme une femme folle amoureuse de lui avec qui elle voulait partager ses vices les plus profonds.

Yui avait à son tour prit l'air mesquin des femmes fatales, qui ne le resterai que durant les quelques temps à venir mais... tout de même, Tsu voulait la tuer de désir et elle ferait de même, cette lutte charnelle ne pouvait avoir lieu sans résistance et sans jeu. Elle avait tendance à vouloir gagner, sans doute un coté démoniaque persistant, mais elle ne le laisserait pas laisser trainer ce genre d'action. Elle ressera un peu l'emprise de ses jambes pour qu'il sente bien la présence de sa fleure sur son son membre sensible

Une langue joueuse, des petits orteils chatouiller, lécher et parfois même suçoter, la belle y prenais plaisir, cela se fait ressentir à ces frissons, gémissement et crispation de plaisir. Un petit regard taquin de temps en temps lancé, je m’apprêtais à poursuivre mon activité de langue, mais ont dirait que le plaisir chez la belle fut trop grand au point qu’une sensation que j’ai connu il y a peu vint s’enlaçait autour de ma taille. Me maintenant un peu, retirant sa jambe, je vis alors une gourmandise me passé sous le nez, ce n’est pas grave, j’irais en chercher une autre encore plus esquisse plus tard.

Me tirant contre elle, nos corps l’un contre l’autre, poitrine contre torse, une douce sensation a bâbord, au niveau de mon corps. Aucune retraite possible, sa queue me retiens, je ne peu donc recul et en plus de cela il y a aussi une de ces mains qui c’est refugier derrière ma tête. Echangeant alors tout deux un fougueux baisé…Fougueux ? Nous allons plutôt dire langoureux, torride, sauvage et un peu violant, un baiser vraiment succulent, la provocation de ma déesse avait donc réussi à me bruler. Une pression se fit ressentir un peu plus bas, en effet, Yui avait resserré un peu plus les jambes. Je pouvais ressentir une bien belle sensation au niveau de ma zone sensible, les portes de la cité interdite avait l’air d’être prêtes à êtres ouvertes et franchit. Bien que ma colère amoureuse soit là, au fon de moi je suis tout de même un peu septique, nos deux partie érogène sont l’une contre l’autre, cela est un peu troublant même s’il est vrai que j’ai envie de franchir ce cap, je désir atteindre l’impossible avec elle. Elle veut plus que tout jouer avec moi, faire des folies de son corps. Mais moi j’ai envie de faire durer le plaisir, c’est un combat de plaisir qui commence entre nous deux, un jeu dans lequel ont s’investie à fond.

Je me léchais les lèvres sous ces yeux, petit regard joueur, je vins attraper sa lèvre inférieure entre les miennes, la mordillant avec amour. De sa petite lèvre je descendis le long de son visage, un petit menton lécher, mordiller, je ne m’attardais pas trop dessus. Jouant un peu de ma langue vicieuse, je rejoins son cou pour le parsemait de mille baiser. Je me délectais de tant de plaisir, un profond désir en moi s’intensifie. Telle des fleurs en pleine fleurissons, de nombreuse petite marque chaude et invisible vinrent se déposé sur une bonne partie de son corps, Mordant un peu la douce peau de son épaule, un air joueur accompagnateur, une langue perverse qui s’amuse dans le creux de l’épaule de ma démone, elle glissa sur sa poitrine. Taquinant un bouton de rose avec le bout de ma langue, ma main gauche quand à elle lui caressa la cuisse. Petit massage de temps à autre ne lui fait pas de mal, ma main glissa le long de la cuisse pour venir tâter les parois chaudes de la grotte qui se cache derrière la petite cascade. Remontant mon visage vers le siens, un long et sauvage baiser plein de fougue fit son apparition. Je suis à la quête de gourmandise, la belle m’avait retiré ma friandise il y à peu, alors j’en veux une autre, j’avais pensé à ce qui se trouve en bas, cette petite part de gâteau avec la petite fraise au dessus mais hélas je ne peu allez tâter de ma langue dessus, sa queue me retiens prisonnier.

Je n’ai donc pas le choix de jouer à un autre jeu, je viendrais chercher cette friandise plus tard. Lors de notre long et sauvage baiser d’amour et de folie grandiose, je fis basculer mon tendre amour en arrière pour l’allonger sur le dos. Mon corps étalé sur le sien, sa poitrine encore plus serrer contre mon cœur, une de mes mains s’aventura dans le champ de fleur qui compose sa chevelure. Dois-je en allais plus loin ? Dois-je maintenant franchir les portes de notre univers et ainsi ne formez plus qu’un avec elle ? J’en ai bien envie mais pourquoi le faire maintenant alors que l’ont peu faire perdurer le désir et exciter d’avantage les flammes qui nous animent. J’étais toujours maintenu par sa queue de démone, la queue qui pour moi fait référence à un amour qui ne veut me quitter, un amour qui veut seulement rester accroché à moi. Ma main qui toujours placé entre ces cuisses, un doigt…Seulement un doigt passa entre les deux portes, un peu humide certes, mais lentement agréable pour nous deux.

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Yui souriait tendrement à son bel ange et se permettait quelques mouvement délicats contre la peau douce de cet être si précieux. Elle avait un peu honte, c'est vrai, ce coté entreprenant et désireux ne lui ressemblait pas trop et elle avait l'impression d'avoir mentit à Tsu durant ces cents années en étant sage comme une enfant et en passant maintenant des années d'un seul coup. C'était précipité non ? Ce passage de l'enfance à l'age adulte sans transition ? Non elle avait toujours été adulte auprès de lui, elle l'avait toujours aimé, toujours voulu un jour se délecter de cet instant... Mais cela faisait peur à une jeune fille, cette idée d'être viciée, et l'enfance était vraiment un bon compromis pour se cacher, pour se le cacher.
Pourtant, ce qui primait à ce moment là, c'était le désir, elle le voulait, maintenant, aucun femme n'était patiente dans les cas comme ça. c'était comme essayer de bloquer une cocotte minute... Elle exploserait de désir qui on la faisait patienter trop longtemps.

Pourtant, elle non plus ne voulait pas arrêter le jeu, chaque nouvelle surprise qu'il lui réservait était exquise. Et pourtant si difficile à accepter... Le sol froid revint se poser sur la peau de Yui qui se re-cambra doucement. Cette fraicheur était comme une délivrance à la chaleur passionnelle qui sévissait dans son corps, quelle cruauté que pour tant de plaisir il fallait se laisser fondre et choir dans une mer de délicates intentions. La patience de la jeune démone reprit un peu, après tout, ce frisson de fraicheur l'avait un petit peu calmé. Elle ferma les yeux au corps de Tsu et les ouvrit à son cœur, au travers de ses lèvres délicieuses et des ses baisés à vous couper le souffle. Elle pencha la tête de coté pour permettre au bellâtre de l'embrasser dans le cou, caresser son épaule, se délecter de son être. Elle ne prit pas le temps de calculer la main de son bel amant venant se glisser délicatement près de sa fleur de lys et se ne fut que lorsque le contact charnel s'instaura que le corps de Yui réagit. Elle poussa dans ses jambes, comme pour s'éloigner de la main de cet homme et pourtant ne faisait pas grand effort, comme si, ce doux contact était à lé fois délicieux et gênant... Finalement, le meilleur mélange pour un geste sensuel. La jeune démone avait ouvert la bouche mais aucun son ne parvenait à en sortir, seul son corps sous celui de Tsukasa remuait comme une vulgaire humaine sans défense, soumise par ses sentiments et son corps.

Elle attrapa la main de Tsu, dans l'idée de la retirer mais quelque chose semblait interférer entre sa décision et son geste... Une poussière d'appréciation ? Au contraire même comme si sa gêne ne suffisait pas, la main de Yui s'était juste posé sur la sienne et l'encourageait même, elle le guidait un peu, lui montrant les endroit où elle prenait plus plaisir que d'autres, ponctuant de soupirs élégants et chargés de lassitude. Lassitude ? de ne pouvoir en finir avec ce jeu sans briser les conventions ? oui sans doute, cet abstinence commençait à faire battre de l'aile sa raison. Les grandes ailes blanches de pureté commençait à l'étouffer, à l'écraser de leur poids infâme, elle ne voulait plus être ce diamant immaculé que l'on regarde avec convoitise sans jamais oser le toucher... Tsu était son possesseur. Elle le regarda d'un air implorant, une larme au bord de l'œil. Était-elle triste ? non... loin de là, mais tous ces sentiments commençaient à déborder, son cœur n'arrivait plus à tout contenir, et sa respiration, plus que rapide, ne parvenait pas à dire à Tsu oh combien elle l'aimait. Elle le fit se pencher pour que ses lèvres atteigne son oreille et qu'elle puisse lui murmurer.

- Je.. t'en prie...

Fit-elle dans un soupir, mais le prier de quoi... elle ne savait pas trop elle même... de ne pas faire durer ce jeu qui la tirait sans arrêt vers le rang de perdante ? Nooonn... elle aimait ce jeu. De l'excuser de ne pas arriver à être plus entreprenante ? Peut-être... Ou de ne pas ralentir la cadence de ses mouvements délectable qui la faisaient frissonner au moindre contact. Elle était à lui et il pouvait faire ce qu'il désirait d'elle.

Mon cœur me dicte des choses alors que mon corps lui m’en dicte d’autre, la main de ma douce s’était posé sur la mienne, m’incitant à continuer malgré le minuscule petit moment de recule qu’elle avait eu…Un recule inutile. De simple mots vint se logé dans le creux de mon oreille, de simple mot qui veux pourtant dire tant de chose, des mots qui ont plusieurs signification. A la vue de quelque formation de larme, je n’ai pu m’empêcher de venir passé un coup dans langue sur son visage pour ensuite remonté vers la goutte d’eau et la recueillir sur mes lèvres. Un douce rosé du matin, enfin là c’est un peu le soir mais bon, le temps nous importe peu en ce moment, d’ailleurs pour nous c’est comme s’il s’était figer pour écouter les voix de nos cœurs. Encourager par sa main, je continuais alors ma petite escapade, caressant timidement…timidement ? Passionnément plutôt. Un regard plus qu’aimant plongé dans le sien, je ne pouvais m’en éloigné, ni même m’en détourné. Ma main plus que joueuse, un doigt solitaire qui se montre gigotant vins tâter les murs de la cité interdite. Seul c’est bien dangereux, accompagné sera bien mieux pour sa quête, c’est donc pour cela qu’un autre vint le rejoindre. Mouvement de va et vient en alerte, sensualité et amour sont bel est bien présent quoique l’ont en disent.

La chaleurs profonde de nos corps sont là, elles se font ressentir, mon corps la désir, pas seulement mon corps, mon cœur aussi. Nos cœurs sont à l’unisson, je peu voir au travers de ces gémissements une petite lueur de lumière, que représente cette lumière ? Peut-être que c’est celle qui se trouve parmi les profondeurs de mon cœur, entourer de murailles. Il faut croire que la maitresse de mon cœur à surement réussi à percer l’un des murs, un trou par lequel une partie de ma lumière à pu passer pour intégrer l’enveloppe charnel de ma déesse et ensuite venir atteindre son cœur, son âme. Petit picotement, frisson et autre sensation d’amour ainsi que de désir, mes deux pétales de rose continuèrent de caresser et de stimuler intérieurement le lys de pureté. Une main parsemer dans le champ de fleur glissa pour venir se recueillir vers un temple à deux autels. Il me faut alors offrir un présent aux deux autels, pour le moment je ne peu hélas que leurs offrirs des cous de langues ainsi que des baiser brulant de désir.

Quelque marque de dents sur l’autel de droite, un regard envieux et désireux, une main joueuse caressant celui délaissé tandis que l’autre continue de taquiner la fleur de lys. Intérieurement je remercie l’orage qui nous à tous deux amené ici, cette pluie qui nous à forcer à nous réchauffer mutuellement. Mes lèvres sur sa peau de pêche, un parfum exquis se dégage de son corps et vint imprégner mon cœur.

Les limites que je me suis fixé doivent être levé, l’équipe d’exploration se retire des portes interdite, remontant le long de son corps pour pas la suite venir se présenter devant mes lèvres. Petit regard écarlate, mesquin et joueur, je glissai mes doigts sur mes lèvres pour ensuite lécher et recueillir le gout de la partie basse de la belle. Un gout particulièrement savoureux je peu vous le dire, jouant un peu de ma langue entre mes doigts, je les retirais pas la suite pour venir les posé délicatement sur cette magnifique poitrine. Un vif baiser d’arracher, je me collai d’avantage à elle. L’une de mes main passa sous une jambe de ma déesse pour la lui relever un peu, dois-je la franchir ou pas ? Cruelle dilemme qui se tient devant moi, est-ce que je dois maintenant ne faire plus qu’un avec elle ? Oui j’en ai envie, mais c’est cette envie qui me fait un petit peu peur. Nous brulons les étapes, nous brulons tant d’années passé ensemble en un rien de temps. Dans un élans d’amour, d’un échange de baiser torride, sauvage et un peu mordant, je vins à la rencontre du lys, je m’en veux un peu de l’avoir fait patienter aussi longtemps, cela fait depuis quelque bonne minute qu’elle attend de ne faire plus qu’un avec moi, mais voila, maintenant c’est chose faite. Une autre sorte de fleur est venu fusionner avec le lys, parfum et beauté mis en évidence, je ne pus m’empêcher de décroché un long soupir de plaisir, mon souffle chaud posé sur ces lèvres et son cou par moment.

Est-ce que cela exauce ton souhait ?

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Yui se cambra à nouveau, une nouvelle sensation l'envahissait. Il y était, elle le sentait entrer petit à petit doucement, une chaleur insensée et perverse, glissée entre ses cuisses, entre les lèvres de son cercueil. Soudain la sensation se fit un peu plus douloureuse mais quasiment invisible. Qu'était-ce ? Pourquoi ressentait-elle ce picotement à ce niveau ? pourquoi à ce moment là ? Par ce qu'elle était vierge sans doute, mais il fallait dire que peu de personnes pouvaient témoigner de la morphologie des démons de sa lignée. Donc oui... les filles de sa lignée avait un hymen. Celui de Yui devait être suffisamment large pour ne pas la faire souffrir, elle eut à peine le temps de se poser la question que le picotement avait disparut. Il pouvait continuer à progresser en elle, doucement avec beaucoup de tendresse et une dose incroyable d'amour était nécessaire. La jeune démone plia les jambes pour bien se présenter à son ange. Yui poussa enfin un soupir quand elle sentit qu'il était au fond... Waou... ça c'était une progression délicieuse. Elle avait lentement sentit le membre de Tsukasa se glisser en elle, la caressant même de l'intérieur. Elle avait sentit comme de la douce folie l'envahir, une marée de frissons mettant tous ses sens en alerte. Le paroxysme de la poitrine était subitement devenu plus dur et pointait vers les lèvres de son amour. Yui eut un sourire ravis et ouvrit les yeux vers ceux de Tsu, son bien aimé maitre, elle avança ses lèvres pour lui prendre un petit baisé, son geste était moins violent que les précédents pourquoi ? Sans doute sentait-elle que plus de violence dans les mouvements serait peut-être douloureux... Elle ne savait pas, mais elle savait juste qu'il l'élargissait doucement.

Yui se décida enfin à bouger à nouveau, ce nouveau contact ne l'avait pas tout à fait apaisé, comme si elle n'était pas arrivée à destination et que la route qu'il restait à parcourir promettait d'être encore plus délicieuse que celle parcourue. Elle ondula lentement les reins, hummm... Finalement, peut-être un peu plus de vitesse ? Pas forcement de violence mais... Elle voyait que ça semblait plaire un peu à Tsu... enfin, c'est ce qu'elle sentait dans le noir, elle avait l'impression de voir les lueurs rouges de ses yeux flamber. Elle insista un peu sur le mouvement, afin que leur deux corps sensibles frottent un peu plus... Les sensations paraissaient bien plus fortes. Elle regardait Tsu sama, ce n'était pas le moment de détourner le regard, après tout c'était quelque choses qu'ils faisaient à deux, elle voulait absolument voir et sentir ce qu'il voulait, elle voulait qu'il sente autant voir plus de plaisir qu'elle, elle attendait avec impatience le moment où Tsukasa sama verra toutes les étoiles de son amour.

Elle se rendit soudain compte que couchée sur le dos comme elle était et faisant des balancés d'avant en arrière, sa poitrine faisait des mouvement également, caressant du bout du téton le torse de Tsu. C'est excitant, c'est vrai, cela ne faisait que l'encourager à accentuer ses frottements bassin contre bassin... Mais cela la gênait un peu, cela faisait très...

Yui posa ses mains sur sa poitrine pour qu'elle arrête de bouger et regarda à nouveau son cher amant. Que désirait-il lui ? Aller plus vite ? Plus fort ? Ou au contraire prendre son temps et choisir les caresses ? Elle ne savait pas et continuait de timides mouvements de reins.

Les fleurs ont tous besoin de leurs rayons de soleil, de leurs chaleurs, suis-je comme elles ? Bel question, me comparé aux fleurs serrez trop beau. Actuellement je ne fais maintenant plus qu’un avec mon rayon de soleil à moi, de drôle vague de sensation parcourait tout mon corps, petit à petit j’allais en elle. Je la sentais se cambra par moment, son souffle avait quelque peu changé, mais nos cœurs eux, ils communiquaient par des battements interminablement rapide. Un long soupir se fit entendre, un soupir qui vint chatouiller mes oreilles d’un doux délice. Une poitrine devant moi avait l’air de se faire désiré, elle ne demandait qu’une seule chose, qu’ont s’occupe un peu d’elle, ce que je fit rapidement par quelque coup de langue et petit pincement entre mes lèvres histoire de stimulé un peu la partie haute de la belle afin qu’elle ne pense pas trop au picotement du bas. Une douce paire de lèvre vint réclamer les miennes dans un vif petit baiser, rapide en effet à cause de l’activité floral qui se passe dans la prairie un peu plus bas des deux collines.

Mouvement d’avancement et de recule se faisait ressentir au travers du corps de ma belle, sa poitrine contre mon torse me fais parcourir de frisson de plaisir. Je ressentais bien trop de plaisir en ce moment, je ne fais plus qu’un avec elle et l’entendre poussais de petit gémissement, soupir et cri « m’excite » d’avantage, comme si la passion et le désir s’intensifié en moi à chaque contact entre nos deux bassin. Mon corps était en fusion, mon cœur en éruption d’amour et de désir tandis que mes lèvres elles, elles étaient entrain de se préparé pour parcourir les deux collines. Avant toute chose, je vins laper les lèvres de mon amour, progressant dans mon activité de reins, j’accentuer un peu mes coups tout en lui caressant les cuisses de temps à autres. Une fleur de cerisier vint se posé sur l’eau si douce du lac, ma main effleura son ventre, vins lui caresse le visage avec tout mon amour possible. Une petite flamme dans le regard, envie, désir et passion, tout cela se fait ressentir au travers de quelque mouvement, contact et diverse vague de sensation.

Plus j’y allais et plus je ressentais son amour, c’est comme si je pouvais me perdre dedans tellement qu’il est grand…Mes deux mains glissèrent le long de son corps pour venir se placé sur chaque côté de la taille de ma douce aimé, remontant dans son dos tel le courant d’une rivière calme. Je décollai ma belle du sol, ou du moins j’éloigné son dos de cette couche de pierre froide, plantant tout de même un peu mes ongles dans son dos, j’approfondie mes mouvements de bassin. Elle n’était plus sur le dos, mais moi tout doucement j’y étais, mon dos entra en contact avec le sol, douce sensation froide qui me traverse de partout. La belle était maintenant placé au dessus de moi, un de mes mains sur sa taille tandis que l’autre était vagabonde, parcourant boule de glace à la vanille, mon pouce et mon index vinrent pincé un petit téton qui me regardait…Enfin , que je regardais mais bon, le plaisir est là donc on y peu rien non ?

Yui….

Son nom dis dans un soupir ou plutôt un gémissement d’amour, telle un chant pour lui dire combien je l’aime et que je ne veux qu’elle, mon cœur lui appartient, mon corps aussi ainsi que mon âme. J’arrivais un peu à me redresser, pas très longtemps mais juste assez pour lui volé un baiser passionné, un peu de sauvagerie ne fait pas de mal ainsi que dans les mouvements qui se passe un peu plus bas.

Invité

Yui fallit pousser un petit cri de surprise quand, dans un roulement gracieux et délicat Tsu lui laissa libre cours à la domination. C'était une situation assez délicate, Yui qui avait toujours était soumise devait se retrouver à dominer son maitres. Mais les balancement de reins lui rappelèrent que la position n'avait aucune importance et qu'elle était toujours un réceptacle dévoué. Dans cette posture, elle avait les muscles contractés ce qui accentuait le délicieux plaisir des frottements. Elle levait peu à peu la tête sans s'en apercevoir, dominée par ce plaisir subtil. Elle avait le corps cambré, à la vertical sur le bassin de Tsukasa qui devait avoir une belle vue s'il avait fait moins sombre. Yui se balançait d'avant en arrière, les mains posées sur le ventre nu de Tsu. Elle poussa un gémissement plus soutenu, oh mon dieu, cela devenait plus intense, de seconde en seconde, elle sentait une chaleur unique s'échapper de sa peau luisante. Au bout d'un instant le plaisir lui offrit des frissons qui faisaient faiblir son corps entier. Comme absorbant tout ce que son corps pouvait donner. Il aurait-peut-être fallut qu'elle s'arrête ? Non hors de question. Ses gémissements se transformaient peu à peu en légers cris. Était-ce de la transpiration salée ou des larmes qui coulaient le long de ses yeux ? Tant la jouissance était intolérable dans sa puissance et sa magnificence. Yui avait finit par être penchée sur Tsu, les paumes de part-et-d'autre de ses épaules, lui faisant profiter du balancement régulier et rebondit de sa poitrine suspendue à quelques centimètres de son corps. Yui n'avait certes pas une poitrine de compétition mais toute femme dans cette posture avait les seins les plus exquis au monde sans doute. Yui poussa enfin un cri plus prononcé, comme une enfant qui aurait été surprise mais qui dans cette situation n'ajoutait que plus d'érotisme.

Elle sentait quelque chose au plus profond d'elle une sorte de chaleur démente qui la poussait à la folie et à oublier tout... ses bonnes manières, sa gêne, sa transpiration, ses larmes, ses cris indécents... sauf...

- Je... T'aime Tsu...

Elle avait gardé un tout petit peu de raison pour le regarder au travers de ses larmes et même esquisser un léger sourire. Le frisson la reprit et elle s'écrasa sur son torse, le souffle haletant quelque chose se passait en elle, un choc électrique, elle pâli. Tous ses muscles se braquèrent sur le moment puis... soudain, son corps se redétendit.

Qu'était-ce ? Elle sentait maintenant son cœur battre au niveau de son... hooo... comme c'était étrange, elle était sur un petit nuage pourtant quelque chose vint la faire redescendre de son nuage, une nouvelle vague, comme un recommencement mais déjà bien avancé. Ce moment de détente l'aurait-il relancé ? Yui était donc de ces filles qui partaient très vite mais qui pouvait revenir autant de fois que désiré ? multiple ? Heureusement que son amour pour Tsu ne répondait pas à cette loi : elle ne partirait pas et ne reviendrait pas ! Elle resterait à ses cotés jusqu'à ce que la mort les séparent...

[C'est court mais je me relance oki ?]

Vraiment trop de sensation s’enchainer, nos cœurs étaient lié à l’autre et nos souffle ne faisaient plus qu’un, de temps à autre avec des décalages, suivant le rythme donné par mon bassin et les mouvements de son corps. Je pouvais ressentir chacun de ces gémissements, de ces cris et chacune de ces crispations, son visage c’était relevé et laissé même couler de fine goutte, la pluie de tout à l’heure ? Hum je ne pense pas. Elle se pencha vers moi, ces lèvres non loin furent rapidement embrassé, caresser par ma langue alors que mes mains vinrent glisser dans son dos. Sa poitrine se colla à moi et j’ai pu entendre de doux et merveilleux mot qui me fit fondre le cœur, ces cris était puissant et je pouvais ressentir que c’était des cris annonçant quelque limite atteinte. Mais je ne sais trop comment l’expliquer, la belle en redemandait, elle continuait de me réclamer mon amour, de me réclamer tout simplement.

Ma main glissa dans son dos, lui laissant de multiple frissons je la fis glisser jusqu’à ces fesses que je me mis d’ailleurs à lui caresser. Elle en réclame alors elle en aura, je me redressais un peu avec le bout de respiration que j’ai, mes mouvements de bassin se faisaient un peu plus lents mais au moins ils étaient là. Je me décollais un peu d’elle pour pouvoir venir déposer mes lèvres au niveau de sa poitrine, alternant coup de langue et baiser. Un petit bouton rose pincé entre mes lèvres et même un peu tiré avec délicatesse, quoique pas tant que ça puisque j’y infiltrais un petit peu de sauvagerie, je le lui mordis même. Un vif petit regard sur elle et je retourné à ma petite activité, le lui suçotant pour ensuite passé à celui délaisser pendant un court instant. Un doigt glissa dans ma bouche pour ensuite venir parcourir le corps de mon amante, mes coups de rein se faisait un peu plus rapide mais pas assez, mon souffle lui était saccader pas tant d’amour.

Ce n’est qu’au bout d’un certain temps que je me retirais d’elle, le bouquet de fleur maintenant sorti du vase, je reprenais un peu mon souffle pour ensuite me pencher en avant et l’embrasser, lui mordillant un peu les lèvres au passage…Petit jeux pour la provoqué d’avantage ? Mais non, mais non !! Même si sans trop en prendre conscience, l’une de mes mains lui griffa un peu le dos ><.

Il en est de même pour moi…Yui…

Tel une pétale de fleur tombant d’un cerisier, je glissais dans la douce brise, venant me réfugier dans le dos de mon amour qui elle se trouvait un peu en position de félin. Le bas ventre de la belle fut sollicité par l’une de mes mains, une main un peu aventureuse, celle-ci vint caresser l’entré de la cité des enfers, écartant un peu les portes de temps en temps et en stimulant correctement le tout avec un petit sourire coquin. Mon souffle se fit ressentir dans son cou qui par la suite descendit tout le long de sa colonne vertébrale, en remontant jusqu’à son épaule ma langue lui parcourut tout le dos, créant alors des frissons dans tous mon corps, des frissons d’excitation. Une main lui caressant la poitrine tandis que l’autre s’occupe du bas, me frottant un peu à elle et laissant des baiser vagabonder. Jouant encore un moment, j’adorais l’entendre, la voir se cambré, tout ces petits signe montrant qu’elle apprécie. J’allais à nouveau entrer en elle, en effet cette fois-ci encore nous allons ne faire plus qu’un, mais là, je n’empreinte pas la même entré qu’avant.

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