Devotion [Maîtres/Soumis]
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Bienvenue à Meridell, Cité où règne la loi du plus fort… Serez-vous soumis à votre condition ? Profiterez-vous de votre position de Maître ? Très bon jeu sur notre forum !!
 
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 Le regard d'un journaliste[libre]

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MessageSujet: Le regard d'un journaliste[libre]   Le regard d'un journaliste[libre] EmptyVen 5 Juin - 22:44

Pour son premier jour dans la ville, Yuki s’ennuyait fortement car ne connaissant aucun recoin de celle-ci il était bien difficile de s’amuser bien sur lui pouvait aller au cinéma ou encore faire simplement un tour mais il lui fallait quelques choses de plus divertissant, lui qui déjà n’était pas un homme qu’on pouvait vraiment le faire rire ou bien simplement faire accepter un point de vu, n’avait aucunement envie d’avoir énormément de compagnie, il était un peu comme un étalon noir chevauchant dans la pleine sans groupe et maître de lui-même décidant de son destin. Dans cette ville où la cohabitation n’était pas facile et où les passants s’ignoraient tel des abeilles dans une ruche se bousculant pour arriver le plus vite à leur alvéole, les démons et les anges marchaient rapidement pour le propre besoin sans se soucier de leurs congénères. Des robots articulés par des politiciens véreux qui ne pensait qu’à s’en mettre plein les poches et à augmenter leur profit dans un monde déjà en déclin. Mais il ne les maudissait pas car il était aussi un homme de bonne famille qui n’avait comme seul dicton dans la vie, les forts dirigent, les faibles subissent. Il avait toujours eu une attitude froide et très présomptueusement et il aimait encore moins qu’on le regarde de travers comme s’il n’était qu’un objet dans une vente aux enchères, son éducation était tel que sa fierté l’obligeait à répondre froidement et sans modération à son interlocuteur mais malgré le nombre de ses vis il avait au moins le courage de répondre de ses erreurs et d’être bon joueur.
Pour s’éloigner de la foule, il entra dans une battisse sans faire attention à l’écriteau devant, il passa l’entrée comme s’il le faisait chaque jour et ne remarqua enfin qu’il n’était pas n’importe où mais dans une galerie d’art, l’endroit était désert rien de plus normale car les jeunes n’avaient plus que comme occupation que de sortir faire la fête et bien qu’il n’appréciait guère d’habitude un endroit comme celui-ci, il continua à marcher traînant volontairement les pieds sur le sol et s’arrêtant au moins plusieurs fois sur une même ranger alors que les peintures se ressemblaient toutes, l’image même n’était pas intéressante et les couleurs n’ont plus mes au moins il perdait du temps à ne rien faire de toute façon rester chez lui ou bien être ici revenait plus ou moins à la même chose. Il n’avait guère enfin de rester devant une fenêtre à regarder la ville et rester sur un fauteuil le rendait généralement hostile à n’importe qui tellement ses jambes le démangeaient un peu comme une femme avec sa langue.

Il trouvait toujours un défaut sur les coloris, trop laqué, trop subtile, trop modélisé bref il n’était jamais satisfait de ce qu’il voyait et il était tout le temps comme ça avec tout le monde, il voyait le monde comme un gigantesque plat avec en son centre une multitude de pâtes males formées ou de couleur ingrate deux choses lui donnaient l’impression d’être parfaite : Ses photos et lui même, il n’était pas du genre à le dire tout haut bien qu’il le faisait souvent autour de lui mais comme dire à une personne avec un tempérament de feu et de glace tel que le sien qu’elle ne respect pas ce qu’elle dit elle même aux autres, la froideur dans son expression était troublante pourtant lorsqu’on le regardait de coté on pouvait parfois voir un sourire ou bien alors son visage s’illuminé non pas par un sourire mais simplement par la couleur de ses yeux, Ils projetaient une sorte d’ondes magnétiques qui faisaient trembler les personnes à son regard transpercent la peau sans difficulté, passant à travers mur, tissu et l’âme des personnes l’environnement.
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MessageSujet: Re: Le regard d'un journaliste[libre]   Le regard d'un journaliste[libre] EmptySam 1 Aoû - 23:35

Un jour de repos…
C’était si inhabituel que Rider en était troublée. Aujourd’hui, elle ne travaillait pas, elle était chez elle. Il y avait des périodes, comme celle-ci, où les ventes étaient rares. Trop rares… Une sorte de période creuse. Un employé seul pouvait gérer l’animalerie, sans avoir besoin du concours de son camarade. L’ange avait laissé la boutique à Kyô, pour une fois. Et cela ne le dérangeait pas. Elle ne dormait plus très bien. L’été arrivait, avec sa chaleur, son beau ciel et ses rayons tapants qui donnaient une migraine encore plus forte à la jeune femme. Ses nuits se résumaient à trois heures de sommeil, le reste étant surtout constitué de soûleries, d’errance entre le canapé et la salle de bains, ou de longues minutes de rêverie profonde. Son job, auquel elle se consacrait corps et âme, histoire de voir passer le temps un peu plus vite qu’à l’habitude, l’avait épuisée. Elle ne pouvait maintenir ce train de vie pendant très longtemps, c’était logique. Même avec la meilleure volonté du monde… Elle se leva, d’humeur massacrante. N’ayant aucune idée de l’heure, elle jeta un regard au pendule qui trônait fièrement dans le salon, et qui indiquait le début d’après-midi. Depuis quatre heures du matin, elle avait paressé là, allongée dans le divan, laissant vagabonder ses pensées à leur guise en espérant retrouver de bons souvenirs. Mais il n’y avait rien à faire, seules les mauvaises choses faisaient surface, parmi l’amas de sa mémoire ankylosée par le désœuvrement. L’ennui était père de tous les vices… Elle se mit debout, et tituba quelques instants, vestiges de la veille passée au Meridell Drink’s. Ralentir sur la consommation de spiritueux ne lui ferait aucun mal, ses jambes s’en porteraient certainement mieux. Elle soupira, et traînant des pieds, elle passa près d’un placard auquel elle déroba un dernier paquet de biscuits, avec un verre de lait. Puis, le ventre rempli d’un simulacre de nourriture, elle prit une douche froide, voire gelée, qui lui remettait les idées en place et la débarrassait des souillures qui parasitaient sa peau. Un instant, elle s’observa dans le seul miroir de la maisonnée, un miroir en pied abandonné dans un coin de la salle de bains, le seul qu’elle usât parce qu’elle en avait besoin ; autrement, ces choses lui donnaient des frissons. Elle remit en place une mèche violine et volage qui retombait sur son sein nu. Le reflet exécré lui donna la nausée, et elle s’écarta rapidement, les lèvres hermétiquement closes, la main apposée devant elles pour prévenir un éventuel retour, qui ne vint pas. Elle s’habilla, non pas de sa tenue habituelle, mais de quelque chose de plus sobre et moins tape-à-l’œil. Un simple jean noir, accompagné d’une tunique blanche, fit l’affaire et de petits escarpins vinrent compléter la chose. Elle ne savait pas ce qu’elle allait faire de sa journée, mais rester entre quatre murs allait la rendre encore plus folle qu’elle ne l’était déjà. Elle attacha ses cheveux désormais secs en une queue de cheval basse, deux bandelettes plates retombant chacune sur ses tempes pour encadrer son visage qu’elle poudra afin d’atténuer les marques de fatigue qui s’y étaient tatouées. Elle prit un petit sac à fine bretelle, y glissa tout ce dont elle avait besoin, et sortit sans ses lunettes. Le soleil vif aveugla d’abord ses yeux pâles, elle rasa les murs pour tenter de profiter du peu d’ombre qui subsistait, puis, s’y acclimatant peu à peu, elle se fondit dans la masse compacte de la foule à la recherche d’une quelconque occupation. Elle se souvint, un peu nostalgique, des mois qu’elle passait au collège, au lycée. Elle n’appréciait pas beaucoup de matières, mais la littérature et l’art l’avaient immédiatement aimantée. Les visites régulières aux musées, aux galeries, ses escapades dans les bibliothèques… Une bâtisse imposante attira son regard, et un léger sourire vint parer ses lèvres avant qu’elle ne s’engouffrât dans l’interminable couloir qui exposait des œuvres. Elle voulait apprécier le trait du peintre, mais sans y parvenir, elle tentait d’imaginer le travail que tout cela lui avait demandé. Elle sortit une paire de lunettes ovales qu’elle mit sur son nez, afin de corriger sa vue défaillante, et lut les quelques indications qui se situaient sous le tableau. Des heures et des heures de concentration pour obtenir ce résultat, et personne pour, peut-être pas admirer, mais au moins prendre le temps de se pencher sur ces jours de travail. Quel gâchis, songea Rider, en se relevant pour aviser la galerie d’un large coup d’œil, et constater qu’elle était vide. Le silence était total. Anges et démons devaient avoir trouvé une meilleure occupation que de traîner ici, et les races soumises n’avaient d’autre choix que de suivre les lubies de leurs maîtres… La jeune femme s’étira, après avoir sondé l’une des deux rangées de tableaux qui ne lui inspiraient décidément rien. Elle s’apprêtait à faire le chemin inverse, sur l’autre rangée, pour arriver à nouveau près de la porte et ainsi sortir de ce lieu empli d’un silence qui faisait bourdonner ses oreilles, mais une présence l’en empêcha. Oh… Une autre âme était venue se perdre ici… Elle se ravisa, puis se décida à laisser le jeune homme à ses occupations qui, semblait-il, ne le satisfaisaient pas plus qu’elle. Elle prit le temps d’examiner ce qui s’offrait à elle, et arrivée à la hauteur de ce qui semblait être un ange, elle lança un coup d’œil curieux mais discret sur son camarade d’infortune, en ces lieux maudits par la population avide de passe-temps plus animés. Cheveux d’ébène, yeux dans lesquels coulaient l’or… Elle ne s’attarda pas devant l’œuvre qu’ils contemplaient, ou plutôt, qu’il contemplait seul et qu’elle dédaignait au profit d’une analyse physique qui venait égayer sa journée, et elle s’écarta en retirant ses lunettes, prête à sortir. Les verres glissèrent de ses doigts alors qu’elle s’apprêtait à les ranger dans son sac, et aussi vive qu’une huître en plein désert, elle leur jeta un regard morne qui traduisait parfaitement son état d’âme actuel. Le tintement clair de la monture se heurtant au parquet de la galerie avait brisé le silence, mais elle ne se soucia pas de savoir si cela avait dérangé l’autre visiteur ou non.
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MessageSujet: Re: Le regard d'un journaliste[libre]   Le regard d'un journaliste[libre] EmptyMer 5 Aoû - 21:09

Dans ce couloir froid et silencieux, il était seul enfin pour un moment mais ça j’en reparlerai après. Son regard sur les peintures était dur voir glacial. L’or de ses yeux semblait perdu dans l’immensité de la salle. Il scruta comme un radar ne détectant aucune présence dans cet endroit désertique il continua la visite sans se presser. Tel l’eau coulant dans une rivière par le beau temps il avançait dans les couloire, dans les vastes pièces de l'édifice sans se soucier du temps qui passait. Quelle heure était-il ? Il ne sans souciait guère et cela ne semblait pas l’intéressé à outre mesure. Les peintures, les noms, les descriptions tout passait un par un dans sa mémoire et rien n’en ressortait comme une éponge absorbant l’eau, lui retenait ce qu’il voulait ou ce qu’il en voulait pas. L’ambiance terne et sans vie dans ce lieu lui rappelait que les démons et les anges ressemblaient aux humains qu’il avait soumis, enivré par le désire, l’argent, le sexe. Comment les êtres supérieurs pouvaient s’abaisser à un tel point ! La fureur lui monta alors au visage faisant de sa peau blanchâtre un ton rose violacé par l’humiliation que lui portait ses semblables et lui-même car bien que sachant cela, lui aussi se laissait aller dans le désire que les humains leurs avaient apporté : Puissance, soumission, création et destruction. Les humains les avaient tellement changés et les démons n’étaient plus que des êtres sans détermination. Dans cette vie, il avait pactisé avec les anges en oubliant leur fier, la fierté de l’enfer.

En continuant son parcours il se calma laissant derrière lui les émotions pour retrouver son visage impassible et neutre. La vie était faite, pourquoi vouloir la changer maintenant. Cela n’aurait servit à rien autant retourné aux occupations « passionnante » de la vie. Le désert dans lequel il s’étendait allait tout suite reprendre une forme de galerie, sans nom dans laquelle il était entré bien avant. Un bruit cristallin parvint à ses oreilles, un bruit de verre se fissurant, un bruit d’éclat et de choque. Il ne détourna pas le regard à quoi cela sert de savoir d’où venait le son mais pourtant il avait été si près de lui. Juste à ses pieds pour être exacte. Sans quitter le tableau devant lui il s’agenouilla et ramassa l’objet. Remontant pour reprendre sa position d’origine, il tendit sa trouvaille devant lui et l’observa. Une paire de lunette simple quoi qu’elle déformait les images, donc des lunettes de vues. Voila qui renseignait sur la personne à côté de lui, une paire simple et claire. L’homme ou la femme n’avait pas du les rattraper et n’avait même pas bouger d’un pouce lors de la chute. Droit comme un piquet il plia le bras en direction de l’inconnue et lui tendit la monture. Il en profita pour loucher sur la personne, une femme aux cheveux violacés et aux yeux presque aussi étranges mes cela ne l’affecta pas, il avait déjà vu des bizarreries et celle-la était la moindre de toutes. Une femme élancée et avec des formes, lui qui était un homme qu’on pouvait dire volage était comblé par cette visite plutôt inattendue. Mais son visage resta le même après tout chez lui seul les yeux exprimaient ce qu’il ressentait, son âme était enfuit au plus profond de ses orbites là où personne n’aurait idée de chercher, dans l’antre même de ses plus grands secrets un lieu impalpable et invisible.


-Je crains que sans cela vous ne voyiez correctement.

Yuki ne semblait ni faire attention ni même compatissant, disons simplement que les rencontres qu’il faisait étaient simples et sans pensée. Ses actions n’étaient généralement préméditées qu’à la seconde où il les mettait en œuvre. Un plan préparé bien à l’avance n’avait que pour résultat un échec et n’avait de ce fait aucun avenir. Il leva la main et caressa le tableau bien qu’il y ait interdiction.

-Le peintre n’y a mit aucune émotion, que cela est dommage…. Qu’en dite vous ?

Il se retourna alors vers la fille sans lui faire le moindre signe, il était là pour la même chose. Voire les peintures et en parler si possible enfin même s’il n’était pas là pour ça. Il fallait bien d’étendre l’atmosphère morne et silencieuse de ce lieu.
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MessageSujet: Re: Le regard d'un journaliste[libre]   Le regard d'un journaliste[libre] EmptySam 8 Aoû - 14:00

L'inconnu, dont lui contours restaient relativement flous, lui tendit ses lunettes après les avoir ramassées. Rider n'en attendait pas autant, une expression de surprise se peignit sur son visage, ses sourcils se haussèrent de concert. Elle tendit à son tour la main, et se saisit des verres pour replacer la monture sur ses oreilles et son petit nez. Dès lors, son camarade angélique lui apparut plus clairement. Comme elle l'avait constaté, ses yeux étaient bien dorés, et leurs contours délicats mettaient en valeur cette couleur si particulière, la rendait... Hypnotique. Ses traits fins semblaient être taillés dans un marbre ancien qui refusait de s'animer, figé, imperturbable. Depuis qu'ils cohabitaient avec les humains et qu'ils en avaient fait leurs esclaves, les anges tombaient en déchéance. La jeune femme n'échappait pas à cette règle, mais elle n'en éprouvait aucun remords, aucune honte. Elle n'avait connu que cela, et ce mode de vie lui convenait tout à fait. La vie de ces êtres sans pouvoir était si fragile, elle ne tenait qu'à un fil, ils vivaient à un rythme effréné, ils étaient faibles, mais la chaleur qu'ils dégageaient était délicieuse, éphémère et attrayante. Les représentants célestes ne pouvaient pas imiter ça, ils étaient trop froids, trop distants, trop hautains et égoïstes. Ils étaient vulgaires, obscènes, malsains, mais tous se complaisaient dans ce mélange répugnant. Rider, elle aussi, y avait goûté, et n'en ressortait pas. Son pâle regard, presque aussi étrange de celui du jeune homme qui lui faisait face, parcourut son corps svelte, vif et curieux. Il l'avait scrutée, elle en faisait de même. Une grâce inexplicable, dans ses mouvements et ses gestes, captivait l'ange femelle, quelque chose qui semblait inné, tout à fait naturel. Un maintien de roi, digne et fier, une posture droite, sans compter ces yeux dont l'éclat, aussi brillant que celui de la citrine, semblait néanmoins se ternir par l'absence de vie. Son interlocuteur semblait assez renfermé sur lui-même, barricadant l'accès à son âme par tous les moyens. La jeune femme préféra ne pas imaginer ce qui l'avait conduit à se replier ainsi, craignant de faire une erreur, et elle observa sa main, vierge de toute marque de travaux manuels, se poser sur le tableau pour en caresser la texture. Un petit panneau l'interdisait, pourtant, mais elle-même ne respectant pas bien souvent les règles, elle ne fit aucune remarque. La voix calme de l'ange brisa de nouveau le silence, tandis qu'à pas de velours, son auditrice se rapprochait, jusqu'à être au même niveau que lui. Pourtant, elle ne toucha le tableau que du bout des yeux, et prit quelques secondes pour réfléchir à ce qu'il lui disait.

Merci, articula-t-elle enfin, mot qu'elle aurait dû prononcer quelques instants plus tôt, déjà. En effet... Mais est-ce dû à un manque de talent, ou de sentiments ? N'y est-il pas parvenu, ou ne ressentait-il rien lorsqu'il a posé son pinceau sur la toile ? Je préfère penser que s'il s'en était donné les moyens, il aurait pu nous offrir quelque chose de plus vivant, de moins... Elle marqua une pause, le temps de chercher ses mots. Banal ? Lassant ?

Pour Rider, toutes les peintures présentes dans ce lieu se ressemblaient. Il leur manquait toujours cet ingrédient précis, celui qui secouait votre être lorsque vous posiez vos yeux sur l'alliance de couleur et de motifs. Il leur manquait la preuve de la passion. Elle avisa d'ailleurs, d'un large coup d'oeil, les oeuvres qu'elle pouvait voir, puis, adressa un demi-sourire poli au jeune homme.

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