Un nouveau repaire?(suite) [Pv Meigetsu]

En se retournant il ne comprit pas vraiment ce qu'il se passa, tout ce dont il vit et entendu vraiment c'est son jolie juron, puis ensuite le jolie et jeune Meigetsu sur lui. Etait-ce un rêve?apprament non, il avait une sale douleur au niveau des côtes. DEpuis peu de temps il n'y a pas vraiment grand chose qui va dans sa vie, mais cette jeune femme...est apparue comme un rayon de soleil aprés la tempette. Kidô n'avait vraiment pas l'habitude de se genre de contact, alors forcément il ètait un peu brusque. Mais il ne s'ètait vraiment pas attendue a cela, Kidô pouvait sentir le souffle doux et chaud de Mei glisser au creux de son cou, non il n'avait vraiment pas l'habitude de ce genre de contact. Il passa ses mains furtivement sur le dos de Mei, il voulu la relever en la portant mais il ne fit rien. En effet elle venait de s'adresser à lui.
-Euh ouais ouais chui la zinquiettez pas miss.,aprés avoir dis sa il observa sa réaction, elle avait l'air de ne pas avoir compris ce qui venait de se passer, et a vrai dire, Kidô non plus n'avait rien compris. Il la regarda attentivement, se laissant pénétrer par son regard si beau. Il vit ses lèvres trembler, il avait envie de s'en emparer, mais cela ne se faisait pas, il se retint et pourtant quand il sentit et vit la jolie jeune femme se rapprocher de ui, il espéra qu'il aurait l'occasion de regoutter a ses lèvres magnifiquement attirantes. Maleureusement pour lui, quoique, peut être heureusement, la princesse Meigetsu ne déposa qu'un simple baiser sur sa joue, qui à l'instant où les lèvres la touchèrent devint brulante.
Il entendit la phrase et sourit, il ne put s'en empécher.
-Mais non voyons cela est bien inutile, une petite tornade qui fout tout le bordel dehors et voila aprés c'est le boulot de mes amis les éboueurs.
Il fut d'un coup pris d'une drole surprise, des ailles, un peu plus petites que les siennes venaient de sortir du dos de l'hybride. Kidô pensait que ce n'ètait qu'une humaine, mais apparement il c'ètait bien trompé.
**Une ange?...Non elle aurait essayer de se débattre tout à l'heure, de plus ses ailles portent des taches noirs, Hybride donc, je me demande quel est son croisement.**
Il se laissa relever observa les jambes de Mei et y découvrit les blessures liés à leur chute. HUmpf, embettant tout sa.
Puis d'un coup, il fut prit d'un éclair de folie, il passa ses bras autour des jambes et du corp de Mei et se mit a la porter.
-C'est de ma faute que nous soyons tombé, alors jme fait pardonner en vous portant, si sa vous dérange dites le moi.
Mais il ne lui laissa pas le temps de répondre et la porta en haut de l'escalier arrivant a une porte qu'il ouvrit en mettant un coup de pied dedans. Son frère n'ètait pas là, tant mieux. Il parcouru le couloir et déposa Mei sur un pouf installé devant la table basse du salon. Les volets ètaient ouvert, ainsi que les rideaux, son frère avait du ne pas rentrer de la nuit. Il la laissa sur le pouf, faisant trainer ses doigts dasn sa chevelure.
-Bon ben voila c'est mon appart, et...euh...vous voulez quelque chose? , en disant cela il alla chercher deux verres, se servit un peu de whisky, attendant ce qu'elle voulait, mais il ferme la porte du mini-bar il ètait sur qu'elle ne buvait pas d'alcool. Il fit venir avec le vent des amuses gueules sortis d'un placards.

Invité

Mei avait oublié que ce charmant jeune homme avait ces pouvoirs. Ou plutôt, elle n'y avait pas pensé, sur l'instant. Elle rougit de honte, et de confusion, oubliant encore un autre détail, les éraflures sur ses jambes. Mais Kidô les avait bien vues, et lorsqu'il passa ses bras sous ses genoux et autour de son corps, elle se cramponna à lui, sous l'effet de la surprise. Elle s'apprêtait encore à vivement protester, mais son visage se transforma finalement en une boue qui oscillait entre le colèreux et le boudeur. Elle se laissa porter sans émettre le moindre son, mais son regard brûlant de fureur et d'exaspération s'était posé sur l'ange, le mitraillant de reproches muets. Ça ne lui déplaisait certes pas, mais cette réaction avait été comme un réflexe. Craignant une nouvelle chute dans l'escalier étriqué, elle posa ses mains sur les épaules de Kidô, serrant assez pour qu'il sente ses griffes qui, sans transpercer la peau, s'enfonçaient déjà pas mal. Elle rentra également ses ailes, pour ne pas le gêner. Ils réussirent néanmoins à passer les marches sans obstacle, et l'ange ouvrit la porte à sa façon, d'un coup de pied. Il déposa Mei dans un pouf, et caressa quelques instants sa chevelure couleur clair de lune. La chouette regardait ailleurs, rouge et gauche. Ses mains, posées sur ses genoux, resserrés l'un contre l'autre dans l'attitude dela fillette sage, trituraient machinalement le lacet de l'une de ses bottes.

Du soda...

Kidô s'éloigna pour prendre deux verres, et la jeune fille s'accorda enfin un moment de répit où elle prit le temps de respirer. Bien qu'elle ait apprécié la sorte d'étreinte, quelques minutes plus tôt, Mei trouvai que la proximité avec cet ange était légèrement embarrassante. Pas dans le sens où elle ne voulait pas de lui à ses côtés, mais plutôt parce qu'elle ne savait pas comment réagir sans lui faire croire qu'elle le haïssait (ce qui n'était pas le cas), ou qu'elle le méprisait (ce qui, encore une fois, n'était pas le cas). Elle observa avec curiosité le liquide ambré qui se trouvait dans l'un des verres que Kidô avait à la main et, des yeux, elle suivit le mouvement des amuse-gueule dans l'air. Elle prit un profonde inspiration, et fixa le beau jeune homme. Bien qu'il soit déjà dans un meilleur état qu'auparavant, les cernes sous ses yeux violine persistaient, tout comme ses blessures qui, bien que nettoyées, courvertes d'onguents et pansées, nécessiteraient une attention particulière pour qu'il n'y ait pas d'infection.

Vous devriez au moins vous reposer. Vos parents ne vous ont jamais apprit à ne pas forcer?

Sans le vouloir ni le savoir, Mei venait de poser le doigt sur un sujet sensible. Mais, de toute façon, comment aurait-elle pu savoir que ce jeune homme avait renié sa famille? Elle ne connaissait même pas son nom de famille. Ses propres parents, elle ne les avait pas connus. Seulement, deux paysans l'avaient élevée. Puis, la famille royale, son oncle, sa tante, son cousin. Avec leur protocole contraignant à souhait. Cela semblait si lointain, mais la chouette se souvenait encore parfaitement bien de leur visage, à chacun, et également des efforts qu'elle avait dû fournir pour être à la hauteur de son statut de princesse. Plus droite! Cambre le dos! Garde la tête haute! Relâche les épaules! Si ce n'avait été que physique et relatif à son apparence et à sa façon de se tenir, ç'aurait pu aller. Mais elle avait l'impression d'avoir subi un lavage de cerveau, à cette époque. Ils avaient été jusqu'à vouloir effacer un comportement de fille du peuple, ce qui s'était avéré plus difficile que ce qu'ils avaient prévu. L'hybride porta ses doigts à l'opale qu'elle portait autour du cou. Dès lors, tout avait changé. Elle n'avait plus l'impression d'être la même. Trop influencée par le contexte dans lequel elle vivait.

Je m'occuperais de la boutique, le temps que vous vous remettiez complètement, si vous êtes d'accord.

Les mots lui avaient échappés, et sans trop savoir pourquoi, cette idée avait germé dans sa tête jusqu'à être vraiment concrète. Elle venait d'en faire part, presque involontairement, à Kidô, et elle espérait que ça ne paraîtrait pas trop audacieux de sa part.

Kidô c'ètait installé dans un pouf, face à la jeune Meigetsu. Parfois il arrivait a capter un petit regard, parfois doux et chaleureux et parfoid froid et méprisant. Cela ètait bien étrange, mais pour Kidô tout ce jeux de regard ne restait que dans la catégorie: Marant. Comme la plupart des choses sur cette planette d'ailleur... Il lui sourit, trinqua avec elle, et avala une petite gorgée de wisky. Il trouva sa revigorant, un peu alcoolo sur les bords? Non du tout. Un silence très gênant c'ètait installé. Kidô avait l'esprit vide et ne cessait d'admirer les yeux de la chouette, ils ètaient si absorbants, si profonds, si beau. Le silence fut brisé par Meigetsu. Elle lui posa une question un peu...sensible. Mais bon, Kidô ètait assez mur pour ne pas lui sauter à la gorge et de l'étriper sur place comme un serial-killeur. Seulement il eu le petit reflexe de poser son verre un peu trop fort sur la table, fissurant le fond du verre. Sur le coup il ne fit pas attention, mais sa, il en entendrait parler. Il regarda Mei droit dans les yeux et lui répondit simplement:
-On va dire, pour faire simple, que je n'ai pas et que je n'ai pas eu de parents, n'allons pas plus loin sur ce sujet je vous prie. Il y a des sujets qui fachent ou qui blessent, et bien celui-ci en fait partie dans cette maison. ,sur ce dit il lui sourit chaleureusement pour lui faire comprendre que ce n'ètait pas contre elle, qu'il ne voulait pas la casser ou autre, mais qu'il fallait juste éviter le sujet.
Certaines images lui revinrent en tête, il aurait aimé éviter ce qui lui arrivait en tête, mais la dernière image qu'il vit fut les cadavres, et il ne put s'empécher d'exprimer , pendant une petite seconde un sourire, un peu sadique sur les bords. Il n'avait jamais souffert a proprement parlé de la mort de ses parents. A vrai dire, il avait plutot été content d'apprendre que ses deux chers et tendres parents ètaient morts. De ses lèvres ètait sorti un "Oh mon dieu" que tout gamin aurait dit, mais dans sa tête ce fut surtout un 'Tant mieux" qui germa à l'intérieur. Donc oui, il vallait mieux éviter ce sujet et lui avait fait comprendre sans s'énerver, sans user d'un tond froid et dur. Il ètait entrain de s'étirer quand La jeune hybride ouvrit à nouveau la bouche. Il manqua de tomber en arrière en entendant ce qu'elle lui dit. Tenir la boutique, cela lui avait déjà effleuré l'esprit d'engager un ou une employé, mais a vrai dire, avec son frère il n'en n'avait pas vraiment besoin.
-Euh...et bien, vous me prenez un peu de court, la. Disons que...je pense que sa va allé je vous assure, mais si vous voulez bosser a la boutique il faudra voir les closes du contrat avec Steph, mon frère jumeau qui habite ici avec moi et qui tient le magasin parfois, quand il n'est pas dehors. A vrai dire, c'est lui qui s'occupe de toute la paperasse, vous savez moi chui pas très doué la dedans, disons que pour créer des choses qui explosent chui un génie mais que pour les papiers...ben chui disons une merde., Kidô ne disait pas cela pour se rebaisser ou pour qu'elle le méprise mais il disait vrai. Il ètait complétement nul pour tout ce qui concernait les papiers et compagnie. Sans son "petit frère" comme il l'appellait parfois, la boutique n'aurait jamais vu le jour. Les amuses gueules finit , les verres de boissons pareil, Kidô observa la jeune princesse. Il ètait totalement affalé sur deux pouf, alors que elle se tenait droite. Il hésita puis mis un Cd de Bob Marley dans sa chaine.
-Hey Miss! Détendez vous, pas la peine d'être si droite vous savez, ici, on se détend, c'est la base de tout la détente héhé., si Kidô disait cela c'est parceque lui même avait prit l'habitude de venir ici juste pour se relaxer. Et il est vrai que tout ètait fait pour, enssens, un ptit pochtron de weed par si par la, mais sa chut si jamais Steph l'apprenait bref, des pouffs, un canapé moeulleux, un autre en cuir tout moche selon Kidô. Les couleurs de l'appart variait dans des couleurs chaudes comme le rouge/orange... a vrai dire, Kidô ne comprenait pas comment faisait Meigetsu pour rester si droite.

Invité

Aux gestes et aux paroles de Kidô, Mei comprit qu'elle avait fait une erreur de parcours. Il n'avait pas eu de parents... Le regard doré s'assombrit aussitôt, en se posant sur le verre fissuré. L'ange souriait, mais son invitée gardait un visage impassible. Elle avait sûrement remué de vieux souvenirs désagréables, et elle espérait ne pas avoir mis son hôte de mauvaise humeur, bien qu'elle doute que ça soit possible, ou encore de l'avoir blessé. Pendant une seconde, elle crut percevoir un sourire mauvais, presque malsain, mais il s'effaça vite. Par réfléxe, ses doigts s'étaient resserrés sur la lanière de cuir qui servait de lacet à sa botte. Avait-elle rêvé? D'un côté, elle aurait aimé qe ça soit le cas. Ce cruel étirement des lèvres ne pouvait pas avoir pour propriétaire un ange si chaleureux, physiquement abattu. Elle ne pouvait pas l'admettre. Encore moins que cela se retourne contre elle. Mais maintenant, il avait disparu. Kidô parla des "closes", de "contrat", et la chouette laissa un hululement intrigué franchir ses lèvres. Bien sûr, elle n'avait jamais travaillé, alors tous ces termes lui étaient inconnus. Mais elle comprit que c'était pour l'officialisation de son potentiel emploi. Elle ne faisait pas ça pour toucher un salaire ou quoi que ce soit d'autre. Un travail officieux, bénévole sur les bords, simplement pour aider Kidô qui était dans un mauvais état. Elle aurait aimé voir son jumeau, pour constater leur ressemblance. Elle mémorisa son nom, ou plutôt son surnom, Steph.

N-non! Ce n'est pas pour ça!

Elle toussota, embarrassée, et but un peu du soda pour s'assurer, et avoir le temps de "trouver" sa phrase.

Ce que je vous propose là, ce n'est qu'une aide... De toute façon, il m'aurait fallu avoir l'accord du maître, n'est-ce-pas?

Elle appuya sur le mot "maître", volontairement, pour exprimer tout son dégoût et sa haine. Comment pouvait-on maintenir qui que ce soit en cage, lui ordonner quelque chose? S'en servir comme un objet, un esclave? C'était inhumain. Un rictus railleur se figea sur ses lèvres tandis qu'elle reposait son verre vide sur la table basse, et qu'elle l'avançait vers celui de Kidô, pour les positionner l'un à côté de l'autre. Elle prit les derniers amuse-gueule pour les croquer, et observa l'ange mettre un CD dans une chaîne. Il invita la chouette à se détendre, et elle ne sut au début pas quoi répondre. Par réflexe, sur n'importe quelle chaise ou fauteuil, elle se tenait très droite, voire crispée, et si sur un pouf c'était plus difficile, cela n'en restait pas moins possible, comme elle le démontrait à l'instant. Elle lança un coup d'oeil circulaire à la pièce pour l'inspecter, ce qu'elle n'avait pas encore fait. C'est vrai, tout semblait être fait pour que quiconque se sente à l'aise ici, comme chez soi. Mais les mauvaise habitudes ont la dent dure.

Désolée. Je me suis toujours tenu comme ça...

Elle soupira, et tenta maladroitement de s'avachir sur le pouf, arrachant une sensation de bien-être aux muscles de son dos, trop sollicités lorsqu'elle se tenait droite. À moitié allongée, à la fois sur le flanc et sur le dos, elle ressemblait à un pantin, un jouet aux articulations brisées. Les yeux à demi-clos, elle lança un regard plutôt tendre vers Kidô, et finit par clore les paupières, dissimulant ses yeux d'or. L'air serein, elle savourait, un sourire satisfait aux lèvres, la musique qu'elle trouvait à son goût, et en arrière-plan, le bruit de la pluie s'abattant sur cette matinée froide et brumeuse. L'atmosphère était paisible, incitant au calme et au repos, bien au chaud, protégés de la pluie et du reste du monde.

Cela fait longtemps que vous tenez cette boutique?

Pour ne rien troubler dans cette petite bulle de relaxation, la question n'avait été qu'un chuchotement, à peine audible pour Kidô, et sur un ton amical, doux. Elle s'en voulait un peu d'avoir parlé de ses parents, et essayait de tout faire pour éloigner au maximum ce sujet.

Kidô haussa les sourcils en l'écoutant parler. Il ne comprit pas trop ce qu'elle voulait dire.
-Euh, je ne veux pas paraitre désagréable, mais que voulez vous dire par "l'accord du maitre"? D'une ce n'est pas un mot que je tolère chez moi, pour moi, tout être vivant est égale, et de deux, je ne comprend vraiment pas du tout ce que vous voulez dire.
En effet Kidô ètait un de ses anges ou démons qui pensaient que tout les êtres ètaient égaux. Maleureusement la plupart des anges et démons se pensaient bien au dessus des humains/hybrides/nekos. L'ange avait même vu cela chez certains de ses proches, décédés ou non. Il condamnait tout actes violents et n'usaient de cette dernière que si c'ètait vraiment nécessaire, donc quasiment jamais. Kidô ètait assez étonné d'entendre les propos de l'hybride, mais trouvait sa des "plus amusants". Il éclata de rire quand elle s'escusa. Pourquoi s'escuser? Il n'en savait rien, mais il n'avait pu se retenir.
-Voyons Voyons pourquoi vous escusez-vous? Cela est inutile ma chère!,ajouta-t-il en la regardant avec une certaine attirance. Il ne pouvait l'expliquer mais il ressentait comme une petite chaleur réparant un peu son coeur meurtri. Il l'observa se détendre, la trouvant belle et marante quand elle se relaxait. Cela ne devait pas être habituel car au vu de ses mouvements mal assurés Kidô se douta que Meigetsu avait l'habitude de se tenir droite et ferme.
Pendant 2/3 minutes il joua a souffler sur sa propre mèche qui lui tombait sur le milieu du front. Le silence un peu gênant avait été remplacé par "No woman No cry" de Bob Marley et par une ambiance relaxée, apaisante. Même un tout jeune neko tout fou aurait trouvé le sommeil dans cette ambiance. Il étendit le murmure de la jolie princesse.
-Et bien cela va faire ...quoi...allez 3/4mois peut être, même pas. Elle est toute récente. Disons que moi et mon frère avons eu quelques...problèmes avec nos autres...,à cet instant précis il s'arréta, pouvait-il encore les classer comme frères, eux qu'il détestait tant,Disons que l'on a eu des empéchements avec certaines personnes, et ce serait bien long à expliqué.
Sur ceux il se leva et alluma un baton d'encens tout en chantonnant le refrain de la chanson qui tournait. Il revint s'allonger sur les poufs, ouvrant doucement ses ailles, les laissants s'agitées pour qu'elles ne soient pas trop engourdies. Il aimait bien, voir adorait même, la présence chouette de la chouette. Il l'a trouvait appaisante et différente de ce qu'il avait pu connaitre. Il avait envie de se lever et de se lover contre elle, mais il se retint, bien qu'elle soit gentille et qu'il y est une ambiance loveuse, il ne la connaissait pas assez. Même si ils avaient échangées un ou deux baisers, il valait meiux éviter de lui sauter dessus. Malgrés ses efforts pour ne pas avoir un contact physique avec l'hybride, Kidô fit ce que l'on appel communément: Une belle connerie. Il décida de débarrasser les verres, et le verre de soda lui glissa des mains et s'explosa sur le sol. 1fois sur 2 cela lui arrivait, et c'ètait toujours dans les moments où il valait mieux éviter ce genre de bourdes. Kidô alla a la cuisine pour choper quelque chose pour tout essuyer et se prit une porte de placard dasn la tête. Après avoir poussé 2/3jolis jurons, il revint, serviette et petite pelle en plastique dans les mains, bosse sur le crane. Il se baissa devant Mei te nettoya et ramassa les bouts de verre. Il leva la tête et se trouva a quoi, 10centimètres du visage de la jeune princesse. Il se stoppa net, tout rouge, ne sachant comment réagir. Il pouvait sentir sous doux souffle, calme et chaud glisser le long de son visage, totalement bloqué, Kidô resta la sans réaliser ce qu'il se passait.

Invité

Mei afficha une mine étonnée lorsque Kidô lui démontra qu'il n'était pas l'un de ses anges qui s'épanouissaient d'abord dans leur rôle de maître avant celui d'être vivant. Et l'éclat tonique de sa voix, de son rire, ne sonnait pas faux, il semblait tout à fait sincère, et c'était une chose que la chouette appréciait. Elle espérait aussi n'avoir pas fait d'erreur en lui posant une question relative au commerce qu'il tenait, à l'étage inférieur, car il hésita quelques secondes avant de terminer sa phrase. Que s'était-il passé, et qui étaient ces personnes? La question paraîtrait sans doute un peu indiscrète, c'est pourquoi l'hybride se retint de demander ces informations, pour ne pas gêner davantage son sympathique interlocuteur. À travers les rangées de ses cils fournis et presque jointes, elle ne quitta pas Kidô du regard, l'observant allumer un bâtonnet d'encens puis se rasseoir et sortir une paire d'ailes qu'elle scruta minutieusement, intriguée. Elle aimait voler, et les membres de plumes l'attiraient toujours, qu'ils soient angéliques ou hybrides. Un instant, elle fut tentée de les remuer à son tour, mais... La flemme... Elle était trop bien installée pour se mouvoir, là... Le bruit du verre se brisant au sol la fit tressaillir, et elle rouvrit ses deux grands yeux dorés, qu'elle avait fermés quelques secondes plus tôt. Au taquet, pour enfin apercevoir la cause de la casse. L'ange avait renversé, ou bien laisser tomber, le verre de soda maintenant vide, heureusement, bien que quelques gouttes solitaires jonchent le sol. Mei s'apprêtait à se lever, pour l'aider, mais elle se ravisa en le voyant se diriger vers la cuisine sans un mot. Elle ne voulait pas l'embarrasser davantage en se proposant s'il n'avait pas besoin d'elle. Néanmoins, elle le guettait toujours, attentive. Boum, une porte de placard, une! Elle étouffa un rire discret, sans s'inquièter, puisqu'après tout, ce ne serait pas le meuble d'un bois qui allait le tuer... Quoique, dans son état... Immobile et muette, elle l'observa nettoyer le bazar, tandis qu'en fond sonore, Bob Marley dispensait toujours le refrain de cette chanson qui lui plaisait tant.

Vous allez vous blesser.

Ce fut les seuls mots qu'elle parvint à articuler en sentant et voyant Kidô aussi proche d'elle. Étaient-ils maudits, pour toujours se retrouver ainsi l'un près de l'autre? Feignant une indifférence largement trahie par le rouge aux joues qui rivalisait avec la couleur tomate de Kidô, Mei coula ses mains jusqu'aux siennes, pour lui retirer pelle et serviette. Elle avait baissé les yeux, n'osant pas soutenir le regard de son petit protégé des derniers heures. Elle bloqua quelques secondes dans cette posture, bras tendus ves le sol en tenant les objets que Kidô avait amenés. Puis, lentement, elle glissa sa tête près de la sienne, posant son menton sur son épaule, avant de laisser retomber au sol les vestiges de verre. Ses mains, à présent libres, passèrent dans le dos de l'ange pour joindre un flanc, chacune du côté opposé au leur, initialement. L'hybride soupira, et resserra suffisamment l'étreinte pour sentir le torse du bel homme contre son buste. Elle se sentait petite, ridicule même face à lui, bien qu'il n'ait pas une carrure imposante, il restait plus grand qu'elle. C'était rassurant et doux, comme une peluche géante qu'on aurait envie de câliner à l'infini parce qu'elle donne envie de sourire, même lorsqu'elle aussi est en mauvais état. Oui, voilà, Mei était une petite poupée de porcelaine, et Kidô était un gros nounours adorable! Une drôle de comparaison, certes, mais en peu de temps, ils avaient échangé bien plus que de simples baisers, ils avaient donné quelque chose à l'autre, reçevant en échange ce qu'ils n'avaient pas. Il lui donnait de la chaleur humaine, elle la lui rendait par de petites attentions et un soin particulier. À se demander lequel des deux s'occupait de l'autre...

Restons comme ça encore... Quelques minutes...

La chanson en arrière-plan contiuait de se répéter inlassablement tandis que la chouette glaciale attirait Kidô sur son pouf, pour ensuite se lover contre lui comme un petit chat. Elle passa son bras autour de lui, au niveau de son ventre, se servant de lui comme d'un vrai doudou, et toujours aussi rose, elle ferma les yeux pour ensuite appuyer le côté de son visage, tempe et ossature de la mâchoire, contre son pectoral.

Le verre attendra.

Si Kidô le voulait bien... Mais jusqu'ici, il ne s'était pas opposé à un quelconque contact physique. L'hybride ramena ses jambes contre ses fesses, le corps tourné vers l'ange qu'elle avait soigné. Le bout de ses doigts commençèrent à tapoter, en rythme, la peau qu'elle sentait sous le tissu de son haut, s'accordant au tempo de la musique.

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