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| La Dame Blanche? [PV Tsukasa-sama][Finiii! <3] | |
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Auteur | Message |
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Tsukasa Hishima Oyaka Mafieux
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| Sujet: Re: La Dame Blanche? [PV Tsukasa-sama][Finiii! <3] Jeu 12 Fév - 0:21 | |
| Sous ce ciel matinal deux être se retrouvent seul devant une fontaine de pierre, représentation d’un être de lumière qui se donne corps et âme à une âme de force opposé, à un vampire plus précisément. Qu’est-ce que cette fontaine représente réellement ? Elle domine le jardin et ce n’est pas pour faire simplement jolie, elle à une signification bien particulière qui lui correspond bien, encore faut-il la comprendre. Ce n’est pas dans les livres que la réponse se trouve, la clé de la vérité se trouve là, au plus profond de notre âme, encré dans la source de nos vies. Il ne faut pas chercher loin, la réponse est toujours plus proche qu’ont ne le pense, mais pour la connaître il faut s’avoir la comprendre, savoir lire au travers la pierre. La solution à tout cela viendra plus tard, il faut laisser le destin agir afin que celui-ci nous ouvre certaine porte même si ce n’est pas vraiment vers celles là que l’ont souhaite allez. L’ange ! Ce qui veut dire moi, je lui avais parlé de son instrument à corde mais ont dirait bien qu’elle s’en fiche un peu et qu’elle n’a pas vraiment envie d’en discuter, renvoyant d’ailleurs la conversation sur la mélodie que je jouais il y a peu. Quel était donc ma façon de jouer, pourquoi cette mélodie était-elle si triste. Ce n’est rien d’autre que des souvenirs qui ressurgissent, des moments que j’ai écu par le passé et qui pour la plus part d’entre eux était merveilleux parce que ceux-ci se rapporté au violon. Mais cette tristesse ressentit prouve bien que le passé n’a pas était toujours dans la joie malheureusement, chaque être à au minimum vécu un instant douloureux aussi petit soit-il. Mais je ne peux comparé mes souffrance passé avec celles des autres, cela serait impolie de ma part vis à vis de ces personnes qui mérite largement mieux que d’être comparé à ma personne. Je gardais toujours sa main dans la mienne alors que deux lueurs rouge se posaient sur elle et ne la quittaient pas une seule seconde, l’observant alors tout en cherchant son véritable sourire intérieur.
Je me le demande moi-même Firiel-chan, je me suis tout simplement laisser emporter par la joie d’avoir retrouvé mon ancien compagnon d’autre fois.
Cela suffit pour réponde à ça question, je ne vois pas ce que je pourrais lui dire d’avantage de toute manière pour éclairé sa lanterne. Je gardais toujours sa main dans la mienne mais cela n’avait pas l’air de trop la gêné pour bouger un peu, plaçant donc son bras libre sur mes cuisses et reposant sa tête par dessus. J’avais en face de moi un merveilleux visage radieux qui me regarde avec deux yeux de la couleur de la neige. Bien qu’elle ne puisse pas me voir et de ce fait elle ne peut savoir à quoi je ressemble exactement, il me faut avouer que j’en oublie ce manque visuel. Elle c’est toujours montrée forte et c’est donc pour cela que j’ai des fois l’impression qu’elle à toujours la capacité visuelle, mais hélas ce n’est pas le cas malheureusement et je ne sais pas ce qu’il lui est arrivé pour que celle-ci disparaisse. Mais néanmoins la perte de sa vue ne me dérange pas tant que cela et au contraire sa me donne encore plus envie de la protéger et de préserver l’enveloppe charnel de son âme un maximum de temps possible. Elle est douce dans ces paroles, elle cherche à me réconforter et à me soutenir dans mes difficultés. Je ne sais comment la remercier, elle qui jusqu'à maintenant à déjà fait de bien nombreuse chose pour moi en prennent comme exemple le petit moment seul que nous avions eu tous les deux assez tôt dans la journée. De ma main libre je venais délicatement lui caresser le visage du bout des doigts pour lui montré mon affection envers elle et que j’apprécie l’attention qu’elle me porte et ce qu’elle fait actuellement, ce qui veut dire, être à mon écoute.
En effet ça fait beaucoup de bien au gens de déverser les quelques tourment de leurs âmes. Tu es vraiment très gentille Firiel-chan, mais tu n’a pas à t’en faire, je n’ai pas de réelle souci pour le moment…
Enfin en ce moment oui je n’en ai pas puisque ce sont des soucis du passé et non du présent, mais je ne pouvais me permettre de lui en parler, du moins pas pour le moment. Je ne veux pas que mes peines du passé lui retombe dessus et qu’elle aussi ce mette un peu à en souffrir. Perdu dans mes songes je l’étais, mais j’en ressortie rapidement lorsque je là vis se relevé pour ensuite se pencher vers moi. Cela me trouble un peu, je ressentais en moi un moteur qui commençait à s’affolé pour une raison que j’ignore totalement. Le visage de Firiel se retrouve alors au niveau de mon cou, dans le creux de mon épaule. Elle cherche peut-être à troué refuge quelque part pour pouvoir laisser déferlé quelque sentiments qu’elle aimerait faire ressortir ou du moins faire comprendre. Je ne peux vous dire exactement ce qu’il en est puisque je ne suis pas dans ces pensé, mais mon corps fut parcourut de frisson lorsque les lèvres de la belle effleurèrent mon oreille. Son souffle était proche, chaud et doux à la fois, me berçant dans un voile de douceur protectrice. Mon cœur ne peut pas ralentir, il ne peut pas et surtout il ne veut pas je pense, mon visage lui restait normal mais mon sourire par contre avait disparut pour laisser place à un ton assez neutre. Pourquoi me parle-t-elle d’un Roi et d’une paysanne ? Je me le demande, de plus que la façon dont sa phrase est tournait et dites me laisse un peu perplexe sur le véritable sens de la question. Je voyais bien que ces deux mains étaient posé sur mes épaules et qu’elle me bloque bien sur la pierre de la fontaine, ne voulant surement pas que je m’en aille mais aussi que je reste entre ces main et non celle de quelqu’un d’autre.
Je pense que la paysanne éprouve des sentiments vraiment très honorables pour son roi et qu’il faut qu’elle garde espoir parce que c’est ainsi qu’il la remarquera vraiment et qu’il l’écoutera. Un objet dis-tu ? Non, c’est vrai que pour certain s’en est un, mais pour le Roi elle est importante. Les sujets du Roi son comme sa famille, il faut tout pour que sa famille soit heureuse et qu’elle souffre le moins possible…Le Roi les protégeras et les fera toujours passer avant sa propre vie. Moi par exemple si je me compare à lui alors tu peux être sûr que je ferais tout pour toi….
Quand je dis pour elle, cela compte aussi pour les autres demoiselles de la demeure. Mais c’est en rapport avec ce qu’elle me demandait, l’histoire de la paysanne et du Roi à l’air de se rapporté à nous par je ne sais quel moyen. Je restais donc ainsi dans cette position qu’elle m’impose et dont moi je me laisse totalement faire, je n’oppose même pas un peu de résistance, relâchant même mes épaules. J’étais détendu ainsi et je la regardais avec mon plus beau sourire qu’elle peut parfaitement ressentir même si elle ne le voit pas. Firiel est telle une fleur des neiges, une fleur rare qui ne pousse seulement en hiver et sous une épaisse couche blanche glacial…Elle est rare et magnifique. Mon visage se tournait un peu dans sa direction, lors de ce mouvement ma joue caressa la sienne sans trop que je m’en rende vraiment compte.
Pourquoi me demandes-tu cela ? | |
| | | Firiel Hanabashi Humaine
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| Sujet: Re: La Dame Blanche? [PV Tsukasa-sama][Finiii! <3] Jeu 19 Fév - 16:46 | |
| Le creux de ce cou chaud, presque brûlant, où Firiel avait niché son visage, battait à un rythme irrégulier. Comme la peau d'un tambour, lorsqu'on sacrifiait les victimes aux dieux, et que les hommes en transe frappaient, sur la surface plane et tendue, dont l'écho résonnait aux oreilles des offrandes vivantes, aux gorges tranchées par une lame dentée. Le sang de Tsukasa-sama avait cette même notion de folie, il allait jusqu'à rendre folle d'amour. Folle, ou ivre, ivre du plus pur des alcools, jusqu'à en perdre chaque minute son self-contrôle, jusqu'à n'obéir qu'à ses plus bas instincts. Il était là, entre ses mains, à l'instant. Il lui appartenait, tout entier, tout n'était qu'à elle, et personne n'était là pour le lui voler, il était un jouet formidable et plein de surprise. Elle avait tant convoité ce précieux bien, son corps et son âme, tout ce qu'il représentait, son charme, sa personne, et là, maintenant, sous ses doigts, elle le tenait, vigoureux et doux, presque apprivoisé. Mais elle devait prendre le temps de savourer le prémice du goût de ce fuit défendu, elle devait en ressentir chacune des pulsations, analyser chacune de ses réactions pour parer un retournement de situation. Elle l'aimait, jusqu'à vouloir le posséder, jusqu'à vouloir n'en faire que son propre ange, jusqu'à vouloir éclipser les autres. Elle savait que ce ne serait pas possible. Mais à l'instant, toutes les portes lui semblaient ouvertes. Il ne se défendait pas. Soit. Aujourd'hui, elle voulait être la chasseuse, le bourreau qui maltraiterait sa victime, et il serait cette dernière. Elle le noyerait d'amour, jusqu'à ce qu'il réclame une bouffée d'air, elle la lui accorderait. Elle se révélerait plus audacieuse et insolente que jamais, grisée par cette sensation éphémère de domination, d'emprise sur lui. Le feu brûlait en elle, et il ne demandait qu'à s'étendre à tout ce qui l'entourait. Si elle tombait dans les ténèbres de la folie amoureuse, Tsukasa-sama serait son exutoire, la meilleure manière de se débarrasser temporairement de ce sentiment qui, bien que pur, commençait à devenir trop pressant pour être ignoré plus longtemps. Les lèvres de Firiel s'avançèrent un peu plus vers l'oreille du maître, tandis qu'il lui répondait, et lui posait une question. Elle sourit, se rapprochant chaque fois un peu plus de lui.
Merci... Mais ce n'était qu'une question anodine...
Ouh! Mensonge! Son sourire s'élargit davantage, amusée par ses propos sournois, et s'approchant encore et toujours, elle fit descendre ses mains, effleurant la peau à disposition près du col entrouvert, elle frôla son torse, ses côtes, du bout des doigts, presque comme une brise ordinaire, mais pourtant, ses mains étaient embrasées. Elle arborait une expression de malice et de jouissance quant au fait de n'avoir Tsukasa-sama que pour elle, à ce moment. Elle sentait son hésitation, et sa confusion, il ne savait sûrement plus où il en était, et c'était singulièrement drôle, pour elle, de le sentir comme pris au piège d'une étreinte agréable mais dont il ne pouvait s'extirper au risque de blesser l'orgueil de femme de son esclave, comme s'il venait de se prendre dans la toile d'une veuve noire, ces araignées femelles qui dévoraient le mâle après qu'il les eût fécondées. Non, elle ne dévorerait pas Tsukasa-sama, même si elle en était tentée. Elle voulait autre chose, elle voulait qu'il ne pense qu'à elle, qu'il soit épris d'elle comme elle l'était de lui. Qu'ils soient fous, ivres morts d'amour. Lentement, Firiel guida ses lèvres vers l'espace qui représentait tant la beauté masculine, cet espace compris entre le lobe d'oreille et celui de la nuque, à la naissance des cheveux. Ardent. Le bout de sa langue vint lécher, avec sensualité, la peau savoureuse et douce du maître, comme celle d'un serpent. Elle produit un bruit semblable à celui d'un vampire s'apprêtant à mordre l'une de ses proies, celui du frottement du membre rose et mou contre l'enveloppe charnelle qui permettait d'accèder au sang pur de l'homme tant désiré. Et l'humaine, affublée d'un sourire qui ne laissait rien présager de bon quant à la suite des évènements, se laissa lentement retomber sur les genoux, devant l'ange, mais ses mains étaient toujours posées sur sa taille, la serrant fermement, à travers la chemise douce. Son visage, subitement arraché au creux du cou, se retrouva devant la gorge nue de Tsukasa-sama, ce qui ne changeait pas grand-chose, au final. Elle était pressée contre lui, le tenant ontre elle, mais s'était finalement retrouvée plus bas que lui, lui laissant le contrôle total sur elle. Ce qui ne voulait pas dire qu'elle s'arrêterait en si bon chemin pour autant. Elle hésita à prodiguer le même soin qu'aupravant à cet endroit, mais au lieu de cela, elle entreprit de déposer une kyrielle de baisers imprimés au fer rouge de ses lèvres sur la gorge, jusqu'au menton. C'était tellement agréable, de le sentir comme ça, contre elle, entièrement à elle, la laissant lui montrer tout l'amour qu'elle éprouvait... Aucune teinte rosée n'habitait ses joues, preuve qu'elle était parfaitement consciente et aucunement gênée par ce qu'elle faisait. Son drapé s'humidifiait toujours, mais elle l'avait oublié. D'autres questions se posaient pour elle, à l'instant: Tsukasa-sama allait-il se laisser faire, comme l'aurait fait un soumis? Ou essayerait-il de l'arrêter? Mieux, voudrait-il prendre part à l'orgie de baisers qui avait lieu, silencieusement, mais à la présence si vive... ? Ou bien, voudrait-il jouer? Ce qui ne ferait que pimenter ce qu'ils avaient commençé. Peut-être, encore, voudrait-il prendre le dessus, comme il savait si bien le faire. Firiel n'y dirait pas non. Non, elle adorait quand Tsukasa-sama était entreprenant, même si parfois, elle ne répondait pas comme elle l'aurait voulu. Un instant, l'aveugle releva le visage, dans l'angle des lèvres du maître, mais assez éloignée pour qu'elles ne se touchent pas. Non, pas encore... Ceci, elle ne le ferait pas d'elle-même. Mais comme pour son maître, un moteur bruyant s'était réveillé en elle, et ne semblait plus vouloir se taire. Elle ne répondait plus de rien. Elle écouterait l'ange, mais il n'avait pas de souci... Soit. Et il était heureux d'avoir retrouvé son instrument. À vrai dire, elle s'était peut-être prise à lui au bon moment. L'attaque sournoise et perfide, féminine pour résumer, avait été lancée à l'instant où ils seraient sûrs de ne pas être dérangés, peu de monde était levé. Le bruit de la fontaine, en arrière-plan, fournissait un parfait fond sonore. | |
| | | Tsukasa Hishima Oyaka Mafieux
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| Sujet: Re: La Dame Blanche? [PV Tsukasa-sama][Finiii! <3] Sam 21 Fév - 4:17 | |
| Le mystère restera alors ignoré, ma question ou ma soif de découverte ne trouvera pas de réelle réponse venant de sa part et je l’ai bien compris à l’instant même ou je l’ai demandé. J’aimerais tant connaitre ce qui reste secret à mes yeux, à mon cœur et a mon âme. Tant de chose que je dois découvrir, tant de chose que mes yeux veulent voir afin d’imprégner la vision qui me sera offerte en mémoire. Cela est-il possible ? Je me le demande bien et comme j’ai si l’habitude de le dire, « seule le destin nous en dira d’avantage »…Il ne faut pas trop croire le destin parce que celui-ci change à tout moment sans qu’ont ne le voit malheureusement. Tant de chose passe en simplement quelque fraction de seconde, je me demande même si je ne suis pas entrain de dormir au plus profond des gouffres que mon cœur à réussi à se creuser. Est-ce vraiment Firiel que j’ai en face de moi actuellement ? J’aimerais tant le savoir parce que là je dois avouer que j’ai du mal à la reconnaitre. Jamais je ne l’ai vue ainsi envers moi, jamais elle n’a était aussi proche pour pouvoir m’attraper et me forcer à rester à ma place. Une question parmi tant d’autre dit-elle, j’aimerais en être aussi sûr qu’elle, je ne pense pas que ces paroles soit bien réel…Me ment-elle ? C’en est une certitude mais je peux tout aussi bien me tromper. Je ne pouvais rien dire, mes lèvres reste closent et elles ne veulent plus s’ouvrir, c’est une sensation qui me prend au cœur, me le tire pour pouvoir l’arracher de cette armure de chair. Là mon regard qui pourtant était posé sur elle se retrouve maintenant perdu dans le néant, là ou le rien est tout et que le tout n’est rien à la fois. C’est une vision des choses assez troublante parce que je ne la reconnais pas du tout, c’est à croire qu’elle ne dégage pas la même aura que les autres fois. Son souffle tous prés de moi me fais frissonner je ne sais trop pour quel raison, tant de chose se passe dans mon esprit, bien trop de chose que me perturbe mais d’une force phénoménal. C’est comme si les dieux avaient décidé de me frapper avec leurs puissant marteau du jugement pour me condamné à une ignorance sans fin.
Je me pose bien trop de question et pourtant je ne devrais pas. Malgré tout je la laisse faire sans rien dire, c’est ainsi que je suis. Un ange faible qui ne dis jamais rien et qui laisse le plaisir des autres passer avant lui. Qui suis-je pour me juger ? Qui suis-je pour me dresser devant qui que ce soit pour lui barrer la route. Mon cœur et chaud et il ronronne à toute vitesse. Le sang en moi se réchauffe bien plus vite que l’a normal, ce qui est toute fois assez particulier parce que c’est une sensation que j’ai ressenti très peu en trois-cent quarante-deux ans. Tout au prés de moi je ressentais la chaleur de ces lèvres, effleurant ma peau pour se nicher dans mon cou afin d’y laisser une marque chatouilleuse. Sa langue se montre pour l’une des premières fois en dehors de ces lèvres, ce qui est surprenant mais aussi un peu intriguant, surtout lorsque celle-ci vient vous caresser le cou de son extrémité en émettant un sifflement de serpent ou d’une créature qui ne veut qu’une chose, vous dévorez tout simplement. J’avais fermé les yeux pour oublié ce qui se passe, je ne comprends pas tout et je ne veux pas comprendre ce qu’il se passe réellement ici en ce moment même. Elle n’est pas là même personne que j’ai connu jusqu’à maintenant, aujourd’hui l’humaine que j’ai sorti de sa cage n’est plus la faible humaine aveugle mais une démone qui reprend peu à peu conscience de ces instinct de naissance. C’est alors de soulagement que je la sentais s’éloigner de mon cou qui peut se montré désirable ont dirait bien, à l’avenir je penserais à mettre une écharpe si c’est ainsi. Ces mains qui avant étaient sur mes épaules se retrouvent maintenant autour de ma taille, c’est d’abord à ce niveau là que j’ai pu sentir une pression s’exercer pour me maintenir certainement en place encore une fois et aussi me montré qu’elle est toujours là non loin de moi. Mon visage étant toujours braqué sur le ciel c’est dans ce moment là qu’elle s’attaqua cette fois-ci à ma gorge pour y déposer de nombreuses marques invisibles et chaudes de ces lèvres, il me faut l’avouer mais j’avais à la fois peur mais je ressentais aussi plein d’envie qu’elle poursuive ce châtiment. Remontant de plus en plus vers mon menton pour par la suite se retrouver au niveau de mes pétales de fleurs, si du moins j’ai la permission de comparé mes lèvres à ma nature, je la regardais avec un soupçon d’hésitation, c’est un peu normal parce que je ne suis pas du tout habituer à ce genre de marque d’affection. Même ma sœur ne ma jamais montré autant d’affection…
…
J’aurais voulu dire quelque chose mais le son de ma voix ne veut pas sortir, mes lèvres ne s’ouvrent plus et mon corps frissonne de partout. La chaleur de son corps est tellement proche que je me sens envahir, suis-je entrain de me faire prendre au piège, mourant à petit feu dans une toile qu’une araignée aurait tendu il y à peu !? C’est une possibilité en effet mais je ne savais pas Firiel aussi sournoise et surtout je ne savais pas qu’elle ressentait ce genre de sentiment à mon égard. Mais est-ce de l’amour ou bien un simple désir charnel qu’elle éprouve en ce moment ? Je ne sais pas parce que je ne suis pas à sa place, mais en tous cas j’avais pu lire sur l’expression de son visage qu’elle n’a pas peur et qu’elle n’hésite pas une seule seconde à me montré ce qu’elle ressent. Que faire, mais que faire ! Que suis-je vraiment pour elle ? Un maitre ou bien autre chose ? Que représente-t-elle pour moi ? Je suis certain d’une chose c’est qu’elle n’est pas mon esclave et non pas une soumise. Mais elle n’est pas comme une amie aussi et c’est ce qui me trouble. De part en d’autre je restais dans cette position à la fixais, sa robe s’humidifie d’avantage à cause de l’herbe et cela me tracasse mais pas elle on dirait bien. J’en oubliais alors l’état de son vêtement pou me penché sur l’état de son cœur et de son esprit qui tout deux m’inquiète. Moi qui d’habitude me montre plus attentif par le passé j’ai maintenant faillit à ma tâche, je n’ai pas remarqué que à force de me côtoyer que des sentiments prenez forme dans son âme, je suis un mauvais maitre j’en suis sûr mais lui posé la question ne servirais à rien parce qu’elle me répondrait tout le contraire. Sans en prendre réellement conscience l’une de mes mains glissa le long de son bras pour l’escalader afin de parvenir à atteindre son cou si tendre et doux. Mais ce n’est pas ici que je restais parce que par la suite je vins lui caresser le visage, replaçant par la même occasion une mèche de cheveux derrière son oreille. J’essayais maintenant de lui parler mais cela été encore bien trop difficile, j’hésite et je ne suis sûr de rien, j’ai peur de ce que me réserve l’avenir, j’ai peur de tout maintenant alors que j’ai appris a surmonté certaine peur.
Plus j’y repense maintenant et plus j’ai l’impression que par ma faute elle est devenu folle au point d’en avoir des envie particulièrement « perverse ». Mais je dois le dire ouvertement, mon cœur ne cesse de battre et ce n’est pas pour la musique mais tout bonnement pour elle et personne d’autre. Mon sang bouillonne pour me dire de me laisser allez et de lui montré moi aussi ce que je ressens pour elle alors que mon esprit n’a plus aucune conscience. Du bout des doigts je glisser sur ces lèvres que je caressai un très long moment, le temps de ne plus être dans cet état de questionnement et de solitude profonde, perdu dans un gouffre d’où l’ont ne peut sortir sauf en ayant trouvé les réponses à nos perturbation. La fleur cessa d’être sceller et un petit souffle se faisait ressentir, s’entrouvrant alors pour venir dans un mouvement d’élan ce coller contre les deux jumelles un peu trop gourmande de tout à l’heure. Qu’est-ce que je fais ? Suis-je moi aussi fou ! Oui je suis fou, je suis un ange avant tout, un ange qui laisse son cœur s’ouvrir et son âme s’évader vers d’autre horizon. C’est donc de se baiser que notre relation ou du moins notre regard risque de prendre une toute autre tournure par la suite des événements qui risque de venir se dresser devant nous. Là en tous cas je la garder contre moi et je le prouvais lorsque son dos fut parcourut de frisson au contact de ma deuxième main. Ce essence d’amour qui se fait par le contact chaleureux et doux de nos lèvres se rompu pour nous laisser le temps de voir où on en est réellement. D’ailleurs je détournais maintenant le visage et je fixais la verdure froide et humide qui c’est attaqué à ces vêtements il y a peu et qui continue toujours.
Je…Je suis désolé de t’avoir embrassé… | |
| | | Firiel Hanabashi Humaine
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| Sujet: Re: La Dame Blanche? [PV Tsukasa-sama][Finiii! <3] Sam 21 Fév - 17:30 | |
| Plus elle le sentait confus, plus elle sentait sa volonté s'estomper au profit de nombreuses questions, plus elle avait envie d'en profiter. Il hésitait, et à chaque seconde, il s'enfonçait un peu plus dans la folie de Firiel, sans s'en rendre compte. Elle sentait le feu se propager et dévorer ses artères, son sang devenait de la lave en fusion, elle se transformait en une créature de feu, de mal, une démone qui ne savait pas résister à ses pulsions de sadisme amoureux. Et Tsukasa-sama ne se débattait pas, ce qui faisait grandir son désir de le posséder entièrement. Il ne lui échapperait pas, plus maintenant qu'elle l'avait entre ses mains. Il était un instrument dont ne s'échappait aucun son, maltraité par la joueuse aveugle sombrant dans ce qui ressemblait à de la schyzophrènie. Elle aurait tant voulu oublier tout ce qu'elle avait vu et ressenti chez Léonard, oublier les mains masculines et féminines qui effleuraient parfois son corps à demi-nu, la vision du sang qui coulait à flot lorsque le fouet s'abattait avec violence, dans un bruit net et jouissif pour le maître démoniaque, sur sa peau, dans son dos où demeuraient plusieurs cicatrices roses. Elle pensait s'être débarrassé de tout ce mal, tout ce qu'il lui avait fait subir. Mais son comportement, à cet instant, démontrait tout le contraire. Elle gardait tous ces gestes malsains en elle, tous ces regards aux lueurs viciées. Tsukasa-sama, ou plutôt l'amour qu'elle avait pour Tsukasa-sama, était la clé qui avait permis l'ouverture de cette boîte de Pandore. La cause de ce mal, à présent éveillé, était si pure... Mais pour le moment, ces réfléxions restaient loin de l'esprit de Firiel. Son visage toujours relevé vers celui du maître, étonnamment sérieux, profitait de l'instant de calme, une trève dans toute cette démence. Une main, quelques doigts cheminèrent sur son bras nu, et elle se sentit parcourue de petits frissons. Tsukasa-sama replaça une mèche de cheveux grisâtres derrière la petite oreille de l'humaine. Puis du bout de l'index, du pouce, il caressa ses lèvres. C'est à ce moment qu'elle se sentit se tendre, petit à petit, mais entièrement. Ses muscles se crispèrent, et elle serra la chemise du maître qu'elle maintenait à la taille. Ses ongles s'appuyèrent dans la chair ferme, sans la blesser, l'érafler ou y pénétrer. Ils s'enfonçèrent sans transpercer la peau au niveau des hanches, là où le pantalon ne couvrait pas la peau de l'ange. Tendue à l'extrême, comme la corde d'un arc prêt à décocher une flèche mortelle, tremblotant sous la main de l'archer nerveux, Firiel restait muette. Dans l'attente cruelle, elle avait ouvert les yeux, bien qu'elle ne puisse pas voir le visage du maître, ce n'était pas grave. Il caressait ses lèvres... Il se faisait désirer, involontairement, elle attendait l'issue de ce geste sans oser imaginer qu'elle puisse être aussi agréable. Il se rapprocha, et leurs lèvres furent scellées. Alors, l'aveugle se sentit frémir avec tant de puissance, irradiée de bonheur, qu'elle relâcha temporairement l'étreinte de ses ongles sur les hanches du maître. Elle l'entoura de ses bras, au niveau de son torse, et ses frissons redoublèrent quand il passa sa main dans son dos, qu'elle cambra très légèrement par réflexe, bien que ce contact soit plaisant. Le temps s'était arrêté. Il n'avançait plus, les grains de sable s'étaient bloqués, laissant le loisir au maître et à sa soumise de savourer les caresses mutuelles que leurs lèvres s'accordaient entre elles. Car loin de se laisser simplement faire, l'humaine avait décidé de répondre au baiser, avec toute la tendresse dont elle était capable. Peu à peu, l'ardeur névrosée se calma, et retomba lentement, bien qu'encore présente, mais plus sourde. Peu à peu, la jeune femme revint à son état habituel, et elle dissimula sa déception lorsque leur baiser fut rompu. Ses joues prirent de très vives couleurs. La démone était repartie. Avec stupeur, elle se souvenait de ce qu'elle avait fait. Elle avait sombré dans cet état second, et sans que cela ne soit de la perversité, elle s'était laissée aller à son amour passionné. Tsukasa-sama s'excusa, mais elle ne défit pas l'étau de ses bras autour de l'ange, bien au contraire, elle le serra encore davantage contre elle. À genoux, contre lui, entre ses cuisses, elle posa sa tête contre sa clavicule en soupirant. Beaucoup d'émotions d'un coup...
Ne vous excusez pas, Tsukasa-sama. C'est moi qui n'aie pas pu retenir mes gestes, pardonnez-moi.
Ce qui n'était pas faux. Elle avait peur qu'il n'ait fait ça pour ne pas la décevoir, qu'il n'ait pas eu envie de vraiment l'embrasser. Mais elle n'obtiendrait pas de réponse à cette question, puisqu'elle ne la posera pas. Effrayée, elle était effrayée par ce qu'elle pouvait faire si elle retombait dans cet état de transe, ce qu'elle pourrait faire à Tsukasa-sama et Yui. Pourtant... Cela avait été délicieux. Elle aurait voulu en redemander, encore et encore, mais finalement, elle retira ses bras et tenta maladroitement de se relever.
Nous devrions peut-être oublier. | |
| | | Tsukasa Hishima Oyaka Mafieux
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| Sujet: Re: La Dame Blanche? [PV Tsukasa-sama][Finiii! <3] Sam 21 Fév - 20:04 | |
| Nos lèvres n’étaient plus ensemble mais nos corps quant à eux restaient l’un contre l’autre, mon torse contre ces courbes plus que désireuse mais qui me reste interdite même si elle à bien envie de retiré cette barrière ont dirait bien. Je la sentais se retiré de mon enveloppe charnel pour tenter de se relevé de toute ces forces, je ne pouvais que la regarder à ce moment précis. Est-elle aussi désolée que moi ? Je me le demande bien parce que j’avais pu ressentir qu’elle avait vraiment envie de poursuivre le contact encore bien plus longtemps, mais elle tente de me faire croire autre chose et cela me gêne. Serait-elle comme moi, une personne qui cache ce qu’elle ressent et qui repoussera toujours au lendemain ce qu’elle peut dire le jour même ? L’ignorance à surement besoin d’être présente pour l’instant, vaut mieux ne pas trop chercher dans les recoins sombres de l’esprit des autres personnes. Oublier ! C’est malheureusement impossible, même cent ans ou deux-cent ans après jamais je ne pourrais oublier ce contact si…Comment veut-elle que j’oublie ce qui viens de se passer entre elle est moi, ce qui viens d’arriver est vraiment perturbant c’est vrai même si je ne me rends pas compte de ma situation actuelle et que je ne comprends pas vraiment ce qui se passe chez elle. Mon regard qui était toujours posé sur cette herbe froide et humide commençait à se redresser pour lui faire face, faire face à l’humaine qui ne peux me voir et qui peut-être ne me verra jamais. Elle n’était donc plus entre mes cuisses mais en face de moi avec son expression qui veux tout dire mais qui aussi se perd dans les sentiments et les pensé qui ne font certainement que s’opposer. Deux fines lueur rouge tel des lucioles qui naturellement sont verte, vole au dessus de l’eau humide du lac qui là en ce moment se trouve être la fontaine.
Firiel….
Mon visage ne quitter pas l’eau, je voulais rester piège par cette univers pour quelque instant, le temps de me remettre de tout ce qu’il c’est passé et ce qui risque de venir par la suite. La tournure des événements est assez délicate au risque de froisser l’une de nos deux âmes. Je ne dois pas rester aussi isolé que cela parce qu’elle risque de s’inquiété je pense, cela n’est pas mon but et s’en est même très loin. C’est alors pour cela que la surface transparente fut délaissée pour voir apparaitre une silhouette bien trop belle pour de simples yeux normaux. La vision qui s’offre à moi est la plus belle que j’ai pu voir dans cette journée. Je la regardais alors encore une fois, elle là personne que j’ai sorti de sa cage, elle à qui j’ai offert un pendentif en gage de notre amitié. Mais peut-être que pour elle se pendentif est une marque d’appartenance et de soumission de sa part, elle m’appartient c’est vrai mais elle sait très bien que je ne la considère pas du tout comme une simple soumise parmi tant d’autre. Sans trop savoir pourquoi, ma main se tendit vers elle pour enlacer son poignet de mes doigts fin et fort, un voile de douce chaleur qui enveloppe toute sa main, je l’amenais à moi pour plaqué le dos de celle-ci contre ma joue. Mes yeux maintenant fermé, je me reposais sur sa main qui se trouve entre la mienne et mon visage attendrit et perdu. Je restais ainsi un pendant un lapse de temps particulièrement court mais qui pourtant avait l’air de duré une éternité. Mon regard perdu dans l’obscurité la fixait maintenant encore et encore, gardant toujours la chaleur de sa main contre moi et en déposant la marque invisible de mes lèvres dans sa paume.
Je ne peux oublier ce qui vient de se passé excuse moi.
J’en suis réellement désolé mais c’est vrai, elle me comprendra je l’espère. Mais pour que cela ce fasse il faut que je lui fasse comprendre et je ne vois pas trop comment faire si ce n’est que la tiré contre moi cette fois-ci pour la faire s’assoir sur mes genoux. C’est dans un mouvement rapide mais tendre que cela a était fait, les formes de son dos sont maintenant contre mon torse, touchant une parcelle de ma peau dénudé à cause de quelques boutons de chemise détaché. Malgré sa position sa main restait dans la mienne et contre ma joue dont elle pouvait caresser d’ailleurs, je lui montre que je suis là et que ce qui viens d’arriver ne peut pas être ignoré parce que cela ferais de moi une mauvaise personne. Ma tête se posa dans le creux de son épaule et mon souffle chaud se répandait sur elle, je me reposais un peu sur elle pour me calmer et reprendre mes esprits. Il me faut prendre conscience de tout ce qui se passe maintenant pour ne plus blesser personne, si quelqu’un doit souffrir ça doit être moi et personne d’autre. Je veux que chaque personne autour de moi puisse vivre avec le sourire et non dans la souffrance, est-ce trop demander ? Ce souhait, peut-être ne ce réalisera-t-il jamais mais ça vaux le coup d’avoir tout de même essayé.
Tu veux vraiment oublier ?
C’est à croire que je suis vraiment sensible à ce genre d’événement parce que je peux sentir les larmes monté alors que pourtant elle devrait être scellée au plus profond de moi depuis la disparition de cet être chaire. | |
| | | Firiel Hanabashi Humaine
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| Sujet: Re: La Dame Blanche? [PV Tsukasa-sama][Finiii! <3] Sam 21 Fév - 23:52 | |
| Elle ne remarqua rien, ni le trouble du maître, ni sa propre confusion. Elle ne faisait que ressasser, encore et encore, les gestes qu'elle avait eu à l'égard de l'ange. Osés, voluptueux, ils lui semblaient étrangers. Non, elle n'avait pas pu faire ça. C'était l'oeuvre de cette chose, en elle, cette chose que Léonard avait planté, et qui avait poussé jusqu'à s'épanouir en une fleur sombre, aux reflets irisés, mais maléfique. La fleur du vice grandissait en elle, et libérait sa senteur lorsque le maître lui en donnait l'occasion. Tout avait été très vite, tout avait été très rapide, et pourtant, elle se souvenait parfaitement bien des détails. Sa langue près de l'oreille du maître, ses mains sur sa taille, ce genre de petites choses qui ne trompaient pas. Le beau jeune homme attrapa son poignet, avec la fermeté qui lui était habituelle, et il attira la main de Firiel contre sa joue. Cette dernière était douce, et tendre. L'humaine ne cilla pas, se laissant faire, se faisant volontiers objet entre les mains de l'ange. Il embrassa sa paume, arrachant un frisson qui parcourut les veinules bleues et offertes de son poignet au moindre coup de dent qui permettrait de les ouvrir. Elle ne bougeait toujours pas. Seuls ses doigts s'imprimaient d'un léger tremblement nerveux. Elle ne comprenait pas... Pourquoi faisait-il cela? Pourquoi, alors qu'elle avait été, un court instant, submergée par l'audace, qu'elle avait posé ses lèvres à des endroits si intimes, que personne ne devrait normalement toucher? Elle aimait Tsukasa-sama, du plus profond de son être, elle l'aimait jusqu'à n'être qu'à lui. S'il voulait l'embrasser, encore et encore, elle ne se débattrait pas, elle savourerait chaque instant où leur bouche seront scellées, où leur corps seront proches l'un de l'autre. L'ange attira l'humaine contre lui, et surprise, elle se laissa entraîner sans comprendre où il voulait en venir. Mais au final, elle se retrouva assise sur ses genoux. Le torse du beau jeune homme se soulevait au ryhme de sa respiration régulière, qu'elle sentait dans son dos. Son drapé offrait aussi sa peau contre celle du maître, de la nuque jusqu'au milieu de l'échine pâle, bien qu'à certains endroits, certaines marques plus sombres soient visibles. L'héritage, sans nul doute, de Léonard. Des marques planes, aux formes bien caractéristiques de cravaches et de piques de fer, mais elles n'étaient pas très nombreuses. Leur nombre s'élevait à une demi-douzaine, tout au plus, réparties sur toutes la longueur et la largeur, des omoplates jusqu'aux creux des reins. Sa main était toujours entre celle du maître et sa joue, qu'elle aurait parfois tant voulu voir s'enflammer. Il posa son visage près de la cavité formée par son épaule et son cou fin, arrachant de nouveaux frissons à la peau d'albâtre qui reprit des couleurs sous les yeux de quartz inutiles. Le souffle chaud courait sur elle, l'imprégnait, et elle trouvait ça... Terriblement agréable... Elle tourna la tête vers celle du maître, le menton effleurant la tempe, la voix angélique temblotait. Émotion, colère? Elle n'aurait pas su le dire, mais elle pouvait comprendre qu'il se passait quelque chose.
Non, bien sûr que non.
Ses doigts se libérèrent de leur gêolier, la main de l'ange en l'occurence, pour caresser d'eux-mêmes la naissance des cheveux et l'ossature de la joue jusqu'à celle formée par l'angle de sa mâchoire. Non, elle ne voulait pas oublier, et Tsukasa-sama ne semblait pas vouloir le faire non plus. Ses traits étaient bien tracés, indiquant une rigueur, de l'autorité, elle sentait tout cela sous sa peau, sous son toucher exacerbé par plusieurs années de cécité.
J'aimerais pouvoir m'en souvenir encore longtemps, Tsukasa-sama, jusqu'à la fin de mon existence...
Existence qui, comparée à celle du maître, était bien dérisoire. Cent ans, ce n'était rien à côté des mille que l'on donnait aux anges, la race de Tsukasa-sama. Il avait le temps d'avoir d'autres soumises, d'autes personnes qu'il embrasserait. Mais pour l'humaine qu'il tenait à ce moment sur ses genoux, il était bien plus qu'une passe de son existence. Il était l'existence même.
Le bas de ma robe...
C'était à cet instant qu'elle remarquait que le tissu était imprégné de la rosée et de la pluie. Et craignant que l'humidité se communique aux vêtements du maître, elle hésita. Il l'avait de lui-même amenée sur ses genoux, elle ne pouvait pas se relever, ou plutôt, elle n'en avait pas envie. Elle expira, et lentement, bascula la tête en arrière, légèrement cambrée, pour mieux sentir la brise qui fuyait à ce moment. Tentant de reprendre un peu d'air pur, les joues crevette, et la gorge, le corps offert sans en prendre conscience. Sa tête près de celle du maître, posée sur son épaule et celle de l'ange nichée au creux de la sienne, l'une de ses mains déviant de la joue jusqu'à sa nuque. Elle chercha les autres doigts du maître, pour les enlacer dans les siens. | |
| | | Tsukasa Hishima Oyaka Mafieux
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| Sujet: Re: La Dame Blanche? [PV Tsukasa-sama][Finiii! <3] Dim 22 Fév - 23:08 | |
| Sa main toujours dans la mienne, douce comme une fleur elle est contre ma joue et j’en rougissais sans trop le montré. J’avais trouvé une réponse à ma question, une réponse plus que satisfaisante je dois bien le dire. Si elle avait vraiment envie de l’oublier alors j’aurais tenté d’oublier moi aussi pour ne pas lui faire de peine et la vexé. Après ces belles paroles je ressentais la chaleur de sa main s’évadé pour se séparé de la mienne et donc de ma joue par la même occasion. Mais en réalité sa main n’allait pas bien loin, elle restait même très proche de moi au point même de venir me caresser une partie qui constitue mon visage du bout de ces doigts. Elle est adorable et ces paroles sont touchante, le simple fait qu’elle me dise qu’elle veut garder cela en mémoire pour le restant de ces jours me fait parcourir le corps de millier de frissons. Rien que cela me suffit pour comprendre tant de chose et je suis ravi de l’avoir auprès de moi, tout ce temps passé à la maison a servit à éveiller une partie de ma vie quotidienne. La voir sourire presque chaque matin, sentir sa présence dans la demeure, plein de petit détail auxquels j’ai fais attention sans que qui compte s’en aperçoive. Elle est importante ici dans ma vie mais elle à l’air de ne pas le savoir, de plus elle se mit à ouvrir la bouche pour que le son de sa voix se mette à me parler de sa robe, qu’est-ce qu’elle a sa robe ? Là j’étais un peu confus parce que je me demandais bien ce que venait faire sa robe dans la conversation. Peu importe en faite et vaux mieux ne pas très chercher d’avantage, de toute manière la réponse est proche de moi et je m’en apercevrais seulement que plus tard. Là pour le moment mon visage est toujours réfugier dans le creux de son épaule, je me reposais sur elle en cherchant une sortie dans se labyrinthe bien trop sombre pour moi. Non pas besoin de la regarder pour voir qu’elle bascule la tête en arrière et que son regard grisâtre se plonger dans l’infinie qui se trouve être le ciel. Douce chaleur pénétrante qui vient du bout de ses doigts me caresser la nuque et de ce fait quelques pointes de cheveux, non pas seul, cette chaleur était à la recherche de la mienne, je le sens. Mais ce qui est le plus étrange c’est que je ne me retirais pas, loin de là en faite parce que l’une de mes mains vins à la rencontre de la sienne pour entremêler nos doigts et ainsi unir ce lien. C’est alors main dans la main que nous sommes en cet instant précis, je ne me retiré pas de son odeur qui peu à peu m’enveloppe même si plus bas je ressentais le tissu de mon vêtement s’humidifié lui aussi à force de l’avoir contre moi. Peut-être est-ce pour cela que le mot « robe » fut prononcer, pour me rappeler que son drapé avec subit les états naturel que l’herbe offrait. Peu importe cela ne me dérange pas tant que cela, que mon vêtement soit mouiller ou pas ce n’est pas très grave, tout ce qui me préoccupe pour le moment c’est le moment présent, cet instant magique qui se passe entre nous deux de si bon matin. Son cou ainsi tendu se montre vraiment désirable, c’est comme si elle m’envoutait sans le vouloir, à moins que c’est ce qu’elle veut en faite. Bref de toute manière je me laisse guider par mon instinct même si là c’est par mon envie de l’avoir contre moi, de la sentir en moi ! Cela laisse une sensation de vampire on dirait mais c’est loin de là, tout ce que je veux dire c’est que indirectement mes lèvres ont envie de la gouter. Mais maintenant ce n’est plus une simple envie, elles désirent totalement que sa peau soit entre elles et elle le montre en s’avançant petit à petit en direction de sa proie, mes doigts resserrant les siens lors de l’assaut. Un gout sucré ou aigre c’est à voir se faisait maintenant ressentir sur mes lèvres, coulant sur ma langue pour arriver à mon subconscient qui gardera se gout en mémoire à jamais. Mes yeux étaient braquer sur elle, la fusillant ou la dévisageant mais la détailler bien, c’est un regard attendri qui peu se montré menaçant. Mes lèvres restèrent sceller à la peau que son cou offre, mais voila que mon instinct me dicte de faire autre chose et c’est donc pour cela que mes lèvres s’ouvrirent afin de faire sortir le dragon rose. Tâtant alors de son extrémité cette peau si tendre et chaude, je me mettais à lui lécher le cou, emporter par un instinct de vampire qui pourtant ne devrais pas être présent. Tourment du passé qui vous devez me faire oublier, péripétie et élément perturbateur qui ont fait de ma vie un bien beau mystère. Je n’étais plus sceller à elle parce que mes lèvres remontaient sous son oreille, hésitant même et réfléchissant au pourquoi j’agis ainsi.
Que suis-je pour toi ? …
Pourquoi lui demandais-je cela ? Est-ce que j’attends vraiment une réponse de sa part. Je ne sais pas, je suis perdu, peut-être que ça réponse m’aidera à trouvé un chemin au travers de cette dimension pleine de porte. Je veux sortir, je veux être libéré de tout tourment pour pouvoir vivre….Mais cela est une requête bien trop importante pour être entendu et exaucer. | |
| | | Firiel Hanabashi Humaine
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| Sujet: Re: La Dame Blanche? [PV Tsukasa-sama][Finiii! <3] Mar 24 Fév - 2:49 | |
| Les yeux couleur de brume étaient levés vers le ciel, les papupières à demi-closes comme à l'habitude. Firiel n'avait pas besoin de voir pour imaginer la grande étendue bleue qui couvrait le monde et veillait sur son corps et celui du maître, l'un contre l'autre dans une atmosphère d'affection et d'amour persistant. Le simple fait d'être assise sur ses genoux lui procurait d'insatiables pulsions de bien-être qui envahissaient son corps à grande vitesse, nourrissaient chaque parcelle de sa peau et de son esprit, pour l'étourdir comme un trop-plein d'oxygène. Elle sentit la démone revenir en force, mais la fit taire en caressant davantage la nuque de l'ange du bout des doigts, délicatement, passant les ongles sous les cheveux pour en caresser la peau chaude à cet endroit. Les doigts de son autre main furent pris en otage par ceux de Tsukasa-sama, et loin de s'en défaire, l'aveugle resserra sa prise pour amener leurs mains jointes contre elle, contre son ventre. Elle était entièrement à cet homme, et elle voulait le lui montrer, qu'il soit libre de la garder contre lui, d'en faire ce qu'il voulait, à sa guise. Il posa ses lèvres contre son cou, et les muscles de son dos se contractèrent, parcourus d'une onde de plaisir. Elle aimait quand il faisait ça, c'était indéniable, et lentement, elle réunit les deux rangées de cils pour fermer les yeux et profiter de ce qu'il lui prodiguait. Elle savait qu'il était beau, très beau, et cette beauté était sienne, à l'instant, il n'était qu'à elle, et elle n'était qu'à lui, d'un accord tacite. Si elle avait pu, elle se serait arrachée de ses bras pour le couvrir de baisers tendres, pour obtenir un semblant d'ascendant affectif sur lui, lui donner tout ce dont il semblait tant avoir besoin. Elle voulait être la lueur qui le ferait sortir de ce labyrinthe, ce dédale sombre, pour le mener au grand jour. Mais elle craignait d'être aussi le monstre qui l'enfonçerait encore plus dans les ténèbres. Elle souillerait son dieu, son idole, si elle faisait quoi que ce soit pour le tirer de cette pénombre, elle l'attirerait au contraire avec elle dans les méandres de son existence malsaine. Elle était rongée par la culpabilité, par l'image de son ancien maître, mais Tsukasa-sama éclipsait à lui seul tout ce qu'elle avait vécu. Comme si, lorsqu'il était là, le passé de l'humaine se couvrait soudainement d'un voile sombre et opaque. Il anéantissait Léonard, effaçait les stigmates sur la peau de marbre, un court instant, celui où elle sentit sa langue sur sa peau. Elle tressaillit, sans savoir d'où provenait ce sentiment. Le plaisir, sans doute, de sentir qu'elle était au goût de l'ange, qu'elle lui plaisait au point qu'il veuille connaître la saveur de son enveloppe charnelle. À plusieurs reprises, il répéta ce geste, comme une marque d'appartenance. Leur fait était similaire, chacun ayant "dégusté" l'autre comme un met rare et apprécié. Mais ça ne se limitait pas à ça. C'était leur amour qu'ils consommaient, par ces preuves muettes d'affection. Puis, Tsukasa-sama posa une question. Firiel sentait son regard, braqué sur elle, mais elle n'aurait pas su l'interprèter. En une fraction de seconde, il pouvait passer du méprisant au doux, du haineux au tendre. Il avait cette manière de faire tout passer par son aura, par ce qu'il dégageait. C'était une impression étrange, difficile à expliquer, mais tout le monde la connaît, même vous. Cette impression d'un imposant respect, que peu de personnes savaient faire passer, vous met mal à l'aise sans que vous sachiez pourquoi. Fermez les yeux lorsque votre chat vous observe, c'est exactement la même sensation. Oui, l'ange avait un regard de félin, il restait parfois distant, mais pour une âme aguérrie comme celle de sa soumise, il devenait "lisible". Au fur et à mesure, elle savait reconnaître les instants où il était en colère, ou lorsqu'il s'ennuyait, par un contact qui était physique sans l'être totalement. Qu'était-il pour elle? Ah, quelle question! L'aveugle avait déjà la réponse à cette interrogation. Tout. Le maître était tout, pour elle, son univers entier. Mais la réponse paraîtrait sans doute un peu bancale, aussi prit-elle le temps de réfléchir afin de lui en fournir une qui serait plus précise. Mais elle ne savait pas comment tourner sa phrase sans avoir à prononcer le mot fatidique: aimer.
Vous êtes mon roi.
Lentement, elle porta la main du maître à ses lèvres, et déposa un unique baiser sur le dos de celle-ci, comme un valet à son seigneur. Elle était satisfaite d'avoir pu lui fournir une réponse claire, et elle continua à caresser sa nuque, pour finalement glisser ses doigts dans les cheveux bruns aux longueurs si particulières et caractéristiques. Elle savait qu'il n'était pas stupide, et qu'il comprendrait.
Tsukasa-sama... Vos lèvres...
Encore. Elle voulait encore ses lèvres contre les siennes, un autre baiser, elle voulait sentir à nouveau ce contact contre ses pétales. Elle redressa lentement la tête, et tourna son visage vers celui de l'ange, le souffle plus court qu'auparavant. Le rythme de son coeur s'accélèrait, et si elle avait pu le faire en étant sûre de ne pas blesser le maître, elle se serait retirée de son étreinte pour le couvrir de baisers. Ils avaient atteint un point de non-retour, chacun admettant qu'ils n'oublieraient pas et que cela leur plaisait. Mais ils s'engageaient sur une voie inconnue et dont ils n'avaient sûrement pas idée. Enfin, ces préoccupations étaient encore loin de leur esprit, pour l'instant, ils ne pensaient qu'à l'autre, et à l'amour qui croîssait en eux. Ele aimait le maître, et elle aurait tant aimé le lui montrer. Alors, tout doucement, ses jambes s'insinuèrent entre les siennes, pour les écarter lentement, mais avec force, l'humaine ne voulant pas qu'il oppose de résistance. Elle glissa par à-coups entre les cuisses de son aimé, pour atterrir sur le large rebord de pierre de la fontaine qui s'était remise en marche depuis quelques minutes. Elle restait néanmoins contre l'ange, mais sans appuyer son poids sur lui. Son visage, encore tourné vers le sien, attendait le baiser tant espéré. | |
| | | Tsukasa Hishima Oyaka Mafieux
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| Sujet: Re: La Dame Blanche? [PV Tsukasa-sama][Finiii! <3] Sam 28 Fév - 15:14 | |
| Quel est cette sensation, quel est cette vague de chaleur qui s’empare de chacune goute de mon sang qui coule à une telle vitesse dans mes veines. Tant de chose se passe en à peine quelques secondes, je ne sais plus où donner de la tête avec tout ce qu’il m’arrive. En moi il y a tellement d’émotion et de sentiment, mais aussi tant de pensé qui me brouille l’esprit et qui fait levé une sorte de brume. Mais dans cette brume je pouvais toujours ressentir la chaleur de se main qui enveloppe la mienne, l’amenant prés de son ventre pour surement avoir un nouveau contact. Que représente tout cela, j’aimerais bien le savoir moi qui suis une âme maintenant égaré. Ce qui ce passe en ce moment me perturbe presque, je ne sais pas ce que je dois réellement faire. Je suis vraiment perdu dans cet univers totalement inconnu, ma mais qui contre la chaleur de son corps se fait par la suite embrasser ce qui déferle sur moi un torrent de sensation toutes différentes les unes que les autres. Elle avait répondue à ma question, une réponse plus que satisfaisante mais aussi troublante pour moi qui ne suis rien d’autre qu’un simple ange dans cette ville. Son Roi, rien que se met me fait frissonner de partout parce qu’il veut dire tellement de chose à la fois, d’un certain côté j’avais envie de pleuré mais je ne pouvais me le permettre, pleurer ne servira à rien à part peut-être montré que je suis vraiment faible et que je ne peux me dire être son « maitre ». Ce mot me touche profondément, bien plus que l’ont ne peut croire c’est une évidence, mais il représente pour moi une lumière qui peu à peu m’attire au delà des ténèbres du labyrinthe dans lequel je suis cacher. Douce brise qui se fait ressentir dans nos cheveux, mes lèvres proches de son cou mais non loin de ces lèvres aussi, des lèvres que j’ai embrassé un peu plus tôt…Ce contact avait était si doux, je ressens encore cette douceur ainsi que ce merveilleux gout sur mes lèvres, un gout qui dépasse largement la divinité, le mets le plus délicieux n’arrive pas à égaler le gout des pétales de la douce et charmante aveugle. Douce fleur de cerisier qui s’écoule dans un ruisseau, c’est ainsi que j’interprète sa façon de glisser ces doigts dans mes cheveux lors de cet échange de chaleur par le simple regard ou bien même l’aura qui émane de nous deux. Ce qui produit cet effet là me fait frissonner de mille éclat, l’amour qu’elle me porte est bien trop grand pour moi qui ne suit rien, qu’ai-je fais d’ailleurs pour mérité son attention ? Je me le demande profondément, moi qui ne suis jamais là quand il le faut, moi qui n’ai jamais pris le temps de m’occuper d’elle. Je n’ai rien fais de particulier à part de l’avoir sorti de sa cage ! Est-ce rien que ça qui fait de moi son Roi ? Je cherche vraiment les réponses un peu trop loin alors qu’elles sont bien plus proches que cela. Perdu dans certaine pensé à ignoré sa douce voix résonna dans un coin de mon esprit, éclaircissant encore plus le chemin que je dois emprunter pour retrouver la réalité et non l’illusion que je me créais. Sa voix est donc la clé d’une porte rester jusqu’à maintenant fermer, saura-t-elle la déverrouillé ? Peut-être le saurez-vous plus tard, laissez le destin vous révélez ce qui arrivera par la suite, ne soyez pas trop pressé, la patience est parfois nécessaire. C’est avec le temps que l’ont savoure chaque parcelle de la vie. Mes lèvres, c’est ce qu’elle me réclame, elle désire mes lèvres qui ont parcourut sa peau tout à l’heure. L’ange devant moi disparut en quelque instant, le temps que mes paupières se referme pour ne plus la voir et m’isoler simplement sur la sensation de son corps entrain de glisse le long du miens. Agréable frottement qui me fais presque m’évadé, hélas cela n’est pas réel même si j’aimerais tellement que ça le soit. Ma main toujours dans la sienne, je rêvais d’un endroit dans lequel elle serait heureuse, mais est-ce que ce genre de monde puisse exister ? Est-ce qu’en restant à mes côté elle pourra le découvrir….Il faut vraiment que je cesse de me posé de question sinon jamais je trouverais une clé pour chaque porte cacher dans mon esprit, pire que le labyrinthe noir dont je fais si souvent référence. J’ouvrais les yeux par la suite pour pouvoir regarder celle qui pour le moment fait vibrer mon cœur à une vitesse vraiment effrayante, ses joues chaudes coloré d’un semblant de rougeur, le sang lui est don monter à la tête.
Fi-riel….
Mes lèvres s’entrouvrirent, en étant ainsi proche je pouvais ressentir tout l’amour qu’il y a dans son souffle, envoutant et protecteur, un voile de tendresse qui me prend pour me réchauffer. Ses lèvres, dois-je une nouvelle fois entré avec elles ? Ai-je le droit de m’emparé de ce gout une nouvelle fois, ce gout si délicieux que même les cieux en rêve, ce gout que je ne laisserais à personne d’autre. Je pense que j’en ai le droit puisqu’elle me le réclame, mes yeux se fermèrent et je sentais son souffle de plus en plus proche. Une douceur qui caresse mes lèvres dans toutes leurs superficies, une douceur qui se transforme en un désir, un désir qui tente même de se faire un chemin entre les deux petites portes rose qui forme mes lèvres. Ceci est surement la chaleur de l’amour qu’elle me porte, un amour raiment puissant je pense et qui me donne encore plus envie de m’approcher pour m’en emparé. Ne cessant alors de parcourir du terrain pour m’emparé de ce territoire, mes lèvres vinrent enfin en contact avec les siennes. Ce contact si chaud, se battement si fort, mon sang bouillonne tel que je ne peux vous décrire comment. Je ne cache rien, une vague de couleur inconnu se produit en moi, celle-ci émanant de mon cœur pour venir au travers de mes lèvres passé de l’autre côté afin de rejoindre l’amour de ma tendre Aimé. Mon Aimé ? Oui c’est bien ce que j’ai dis, Firiel est l’une des personnes pour qui mon coeur bat sans freiné sa course. Mon petit dragon rose vint faire son entré dans la grotte d’amour de la belle, recherchant sa compagne pour débuter la danse de la séduction même si cela n’est certainement pas nécessaire.
Dernière édition par Tsukasa Hishima le Dim 8 Mar - 16:30, édité 1 fois | |
| | | Firiel Hanabashi Humaine
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| Sujet: Re: La Dame Blanche? [PV Tsukasa-sama][Finiii! <3] Dim 8 Mar - 15:33 | |
| Était-il encore temps de tout arrêter? Seraient-ils capables, l'un et l'autre, d'oublier ce qui venait de se passer? Après ce qu'elle lui avait dit, ce serait mentir. Elle ne pouvait pas toujours faire ce dont elle avait envie. Elle regrettait presque d'avoir confié son désir de se souvenir de ça. Elle savait que Tsukasa-sama était doux, tendre avec elles, parfois même un peu trop, au point où elles décidaient pour lui. C'était ce qu'il venait de se passer, avant de se soucier de sa propre volonté, il lui avait demandé ce qu'elle comptait faire, et Firiel craignait qu'il ne lui donne ces baisers uniquement pour la satisfaire. Elle ne voulait pas que ça se passe comme ça. C'était ce à quoi elle songeait lorsqu'il vint poser ses lèvres exquises contre les siennes, pour une caresse délicate. Et cette fois-ci, l'aveugle sut répondre avec tout l'amour qu'elle éprouvait, elle n'hésita pas une seconde à prolonger le contact établi entre eux. C'était agréable, divin de sentir que cet homme, qu'elle avait toujours pensé inaccessible, n'était qu'à elle, sur l'instant. Elle ne pensait qu'à lui... Il était tout, et il lui accordait une chose tant espérée, parfois même rêvée. Tout cela, était-ce réel? Ou n'était-ce qu'une hallucination de son âme parfois malsaine, rendue folle par les visions d'horreur du manoir de Léonard? Un frisson la secoua lorsqu'elle sentit quelque chose de chaud et doux qui voulait se frayer un chemin jusqu'entre ses lèvres. Surprise, elle tenta d'abord d'ignorer cette donnée, avant de comprendre enfin de quoi il s'agissait, et d'entrouvrir la voie avec appréhension. Elle n'avait, dans les premières secondes, pas compris que c'était la langue de Tsukasa-sama, et la sensation était si étrange qu'elle ne savait pas vraiment si elle appréciait ou si, au contraire, elle n'aimait pas. Mais Tsukasa-sama lui donnait son premier véritable baiser, et l'euphorie s'emparait un peu plus d'elle, à chaque seconde. Elle ne fit plus attention au temps qui défilait, la valse qui se déroulait entre leurs pétales scellés accaparant toute son attention. Elle s'habitua peu à peu aux caresses de leur langues, prenant son temps pour savourer et explorer ce lieu inconnu, comme une nouvelle curiosité. Hélas, une contraction à la nuque la rappela à la douloureuse réalité. Elle rouvrit les yeux, et fut la première à se retirer, séparant les deux cavaliers pour ensuite happer la lèvre inférieure de l'ange entre les siennes, un court instant. Un soupir s'échappa de sa gorge, et elle tourna la tête devant elle pour que le maître ne voit pas le maquillage qui couvrait sa peau et dissimulait la fatigue, caressant la main du beau jeune homme. Elle ne savait plus quoi dire, et le silence était sans doute la chose la plus appropriée à ce moment. L'esprit vide, elle ressassait le goût des pétales du maître entre les siens. Elle sentait que quelque chose ne tournait pas vraiment rond, que le maître ne savait plus vraiment où il en était. Elle aurait pu en profiter, mais elle savait que par la suite, elle regretterait ses actes si elle allait trop loin. Elle se contenta donc de le sentir contre elle, dans son dos, elle sentait son souffle près d'elle qui l'enveloppait, comme un voile de douceur. Elle aurait voulu rester ainsi pour l'éternité. Figée, avec lui, comme deux statues traversant le temps, elle serait heureuse. D'un autre côté, elle savait bien qu'ils n'étaient pas seuls, et surtout, elle ne voulait pas que Tsukasa-sama n'agisse que par compassion, voire par pitié. Elle avait parfois du mal à distinguer les moments où il était sincère des autres. L'aveugle relâcha la main du maître.
Tsukasa-sama, puis-je toucher le violon?
Elle sourit, bien qu'il ne puisse pas la voir, et attendit sagement sa réponse. Elle avait besoin de parler d'autre chose, car l'atmosphère, bien que plaisante, finirait par l'étouffer. Elle attendrait que l'ange sache enfin où il en est, avant d'oser quoi que ce soit d'autre. Elle avait peur que tout aille trop vite, aussi bien pour lui que pour elle. En attendant, elle feignerait d'avoir oublié, comme à l'instant où elle se tenait droite, contre lui, tentant de se maîtriser au mieux. L'instrument, posé sur le rebord de pierre, était un élément familier dans le contexte, et elle savait qu'elle reprendrait vite ses repères en l'ayant entre les mains. Elle serait focalisée sur lui, et ne penserait plus au reste. Mais elle n'en jouerait pas, puisqu'il s'agissait du violon du maître, il était le seul qui avait le droit d'en jouer, le seul qui était apte à en tirer les plus magnifiques sons. Elle ne voulait même pas le placer sur son épaule, elle ne pourrait pas. Le maître était une personne raffinée, et elle s'entendait bien avec lui, sans même dire un mot. Elle attendit qu'il place l'instrument entre ses mains, ou sur ses genoux, pour enfin faire glisser ses doigts sur le bois et les cordes. Oui, c'était une personne raffinée, aussi bien à travers son attitude qu'à travers les choses qu'il possèdait, qui montraient toute l'élégance dont il pouvait faire preuve. Les courbes du violon étaient harmonieuses, c'était un bon travail, le travail d'un artisan doué... | |
| | | Tsukasa Hishima Oyaka Mafieux
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| Sujet: Re: La Dame Blanche? [PV Tsukasa-sama][Finiii! <3] Dim 8 Mar - 20:02 | |
| Étrange sensation qui se produit dans cet univers si merveilleux que je n’en reviens pas moi-même, j’aimerais rester dans ce monde dans lequel je peux m’éloigner de tous problème, m’éloigner de ce cœur qui me fait tellement souffrir. Ai-je le droit de la mérité à mes côtés, cette chaleur qui me fait tant frissonner, cet amour qui est bien trop fort pour moi au point de m’enveloppé dans un voile d’émotion si pur. Un cœur perdu et un esprit tourmenté, voila l’ange que la belle humaine a en face d’elle même si elle ne le voit pas physiquement mais intérieurement. Perdu dans des pensé qui ne devrait pas paraitre en tête une sensation affluer dans tout mon corps, traversant chacune de mes veines pour mettre en ébullition chacune de mes cellules. J’avais chaud c’est vrai, son souffle est si prés qu’il parvint même à atteindre mon cœur sous cette épaisse couche de neige, surement un chemin frayer par des ronces de fleurs noir qui peu à peu viennes se matérialiser autour de cette source d’énergie vital. Le membre le plus puissant et le plus fragile de mon corps parvint à entré dans un paysage vraiment trop parfait, accompagné par sa semblable au bout d’un certain moment avec une hésitation de sa part. Mais je n’étais pas mécontent de cette rencontre ainsi que de ce contact, les caresses que les deux comparses sont entrain de s’échanger sont vraiment douce que je fondais pratiquement devant elle, cherchant même à me dérober pour ne pas faire face à un tel amour. Je restais ainsi encore longtemps sans trop m’en rendre réellement compte, ce contact, je ne veux pas m’en séparé pour le moment, je veux le savourer le plus longtemps possible mais hélas cette faveur ne fut pas exaucer parce que la douce humaine mit fin au contact qu’il y avait entre nos deux zone rose sensible. Étrangement elle restait tout de même contre moi, ne cherchant même pas à se retiré de contre mon corps ce qui me fis frissonner encore plus par le simple fait que j’étais heureux de l’avoir à mes cotés. Deux silhouette qui se trouve l’une contre l’autre, un doux tableau qui en ferait rêver plus d’un surtout moi qui voudrais le gardé à tout jamais gravé dans ma mémoire. Le simple tissus qui recouvre la peau de son corps n’est pas un grand rempart parce qu’au travers de celui-ci je ressens toute la chaleur qui se dégage de son dos. Une douce chaleur dont je ne veux pas me retiré pour le moment parce que j’en ai besoin, mais est-ce de l’égoïsme de ma part ? C’est une possibilité en effet mais c’est ainsi que je suis, un ange devenu presque égoïste. La vie passer avec mon oncle a beaucoup ma façon d’agir, mon comportement ainsi que ma façons de pensé sont devenu bien différente de ce que mes parents avaient espéré pour moi, mais peu importe, je me demande pourquoi je parle de cela alors que ça n’a strictement rien à voir avec la situation…Du moins je le pense. Ma main est bien au chaud dans un berceau de pur tendresse mais aussi de confusion, réfugier entre ses mains qui sont si chaude, je désirais que se contact durent une éternité. Mais cela ne m’est pas parmi alors je ne faisais rien d’autre que de laisser le silence s’installé entre nous, le son de l’eau de la fontaine était entrain de se faire entendre ainsi que la douce brise matinal qui se fait ressentir sur chaque parcelle de notre peau. Elle se mit à me parler de mon violon, si elle avait le droit de le toucher ? Bien entendu qu’elle en a le droit, mais elle a surement trop de respect pour moi pour le faire sans tout d’abord m’en demander la permission. La fixant alors du mieux que mes yeux le peuvent, je lui caressais le visage de ma main libre pour ensuite me penchais un peu et m’emparer de mon instrument afin de le lui posé sur les genoux, la regardant toucher du bout de ses doigts la matière. Je ne lui avais pas répondu avec le son de ma voix parce que je pense que cela n’aurais servi à rien, je le lui ai déposé sur les genoux, les gestes remplace donc les paroles.
Encore une fois je laissais le silence s’installé entre nous, je lui laissais le calme pour quel puisse se familiarisé avec mon instrument. La Harpe et le violon ne sont pas si différent, se sont tous les deux des instruments à corde mais il est vrai que la façon d’en jouer ne fait pas parti du même domaine. Elle avait décidé d’éviter d’en allez plus loin et je respect son choix, je n’ai pas le droit de la forcé même si je sais que certain ne s’en serait pas gêné. Je la laissais toujours toucher mon violon pour ensuite le prendre moi-même ainsi que mon archet afin de laisser échapper quelque note pour changer un peu d’atmosphère. Fermant les yeux alors pour laisser les notes s’envoler et ne plus la regarder, je ne suis plus là pour quelques instant, pas assez longtemps on dirait bien mais c’est ainsi et même vous n’y pouvez rien. Des notes légère et bien rythmé, de quoi redonné le sourire à quelques âmes égaré comme la mienne en ce moment même. Une question me vint à l’esprit, une question que je ne lui ai jamais posé jusqu’à maintenant. Cessant alors de jouer après sa petite interprétation d’une cinquantaine de secondes, l’instrument longeant alors le long de mon corps ainsi que son archet, mon regard lui était maintenant posé sur elle.
Dis moi Firiel…J’aimerais savoir comment tu vivais avant de me rencontré. | |
| | | Firiel Hanabashi Humaine
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| Sujet: Re: La Dame Blanche? [PV Tsukasa-sama][Finiii! <3] Mer 11 Mar - 2:27 | |
| Firiel détailla encore longtemps l'instrument qu'elle avait entre les mains, ou plutôt sur les genoux. Elle s'était autorisé à le manipuler, avec délicatesse, entre ses longs doigts fins et habiles afin d'en découvrir chaque secret, chaque ornement qui n'apparaîtrait qu'en effectuant une étude aussi poussée du bois poli, puis verni, comme l'avait entreprit l'aveugle. Une sensation connue, quelques gestes machinaux lui revinrent en mémoire tandis qu'elle pinçait simultanément deux des cordes du violon appartenant au maître. Elle avait appris à jouer de cet instrument, mais Tsukasa-sama ne le savait sans doute pas. Au fond, il ne connaissait d'elle que ce qu'elle avait voulu lui montrer, et c'était comme lui mentir, puisqu'il ne savait ps tout. Comment pouvait-il l'apprécier au point d'échanger avec elle un langoureux baiser, alors que jusqu'ici, il n'avait pas fait grand-chose pour essayer de la connaître davantage? Peut-être aurait-il fallût qu'elle aborde le sujet elle-même, mais elle s'en sentirait mal, à la fois assaillie par une impression de vantardise, et par une vague de vieux souvenirs désagréables. Mais quand elle y songeait, elle n'avait pas cherché à en savoir plus sur lui, non plus. L'un comme l'autre, ils étaient fautifs, ayant eux-mêmes décidé de laisser le silence s'installer. Par peur de froisser l'autre, de plomber leur relation? Un peu des deux, sans doute. Lorsqu'elle sentit qu'il voulait s'emparer de l'instrument qu'elle continuait à caresser, elle le lui tendit, évitant soigneusement le contact de sa peau, le contact de sa main contre la sienne, évitant le moindre frôlement. Il se saisit de l'archet, qu'elle sentit fouetter l'air près de son épaule lorsqu'il positionna, dans le creux tant désiré de son épaule et de son cou, le violon si bien ouvragé. Par réflexe, pour ne gêner aucun de ses mouvements, elle se pencha vers l'avant, inclinant le buste jusqu'à avoir les coudes posés sur les genoux, menton dans les paumes de ses mains. Elle offrait de cette façon, et sans en être consciente, le dénudé mince de son dos qui laissait apparaître plusieurs cicatrices. Puisqu'elle avait donné son voile à Tsukasa-sama, elle n'avait plus rien pour dissimuler cette partie de son corps. Sauf ses cheveux. Aussitôt, se rappelant des stigmates de Léonard sur sa peau laiteuse, elle secoua légèrement la tête pour faire ondoyer sa crinière, jusqu'à ce qu'elle serve enfin de barrage visuel aux marques non pas nombreuses, mais à l'apparence hideuse, pour certaines. Quelques notes vibrèrent, et parcoururent l'air environnant, en ondes puissantes de légèreté, comme Tsukasa-sama semblait s'être appliqué à vouloir la faire passer. Firiel ferma les yeux et ne les rouvrit que lorsque le son faiblit, jusqu'à ne devenir qu'un faible et bas murmure de cordes. Un sourire plein de tendresse naquit au coin de ses lèvres, sans pour autant monter jusqu'à la rangée des cils inférieurs. Le maître avait un don, que ce soit pour ce genre d'interprètation ou pour d'autres. Elle demeura penchée en avant, sans être crispée, mais ses cuisses et le bas de son dos continuaient à flatter les mêmes zones, sur l'ange. Ce dernier posa une question qui fit perdre son sourire à la soumise. À une vitesse hallucinante, un noeud se forma dans sa gorge, grossissant à chaque seconde, tandis que la nervosité s'immisçait en elle. Comment avait-elle vécu jusqu'ici, jusqu'à sa rencontre avec le maître? À vrai dire, elle n'avait jamais envisagé le fait que Tsukasa-sama puisse lui demander cela. Elle pensait que ça ne l'intéresserait sans doute pas, et de fait, elle n'avait jamais pensé à dissimuler quoi que ce soit. Puisqu'elle ne serait pas confrontée à cela... Ah! Elle s'y était bien prise! Elle regretta de n'avoir, dans la minute, pas pu répondre au maître. Il allait se douter de quelque chose, ça y est, même si elle espérait le contraire. Et même si elle lui servait le plus beau et convaincant mensonge du monde, il n'y croirait pas, ce serait trop facile. Avec difficulté, l'humaine déglutit. Soit, elle tournerait les choses à sa sauce, n'en déplaise au maître!
Tsukasa-sama, vous êtes bien curieux, aujourd'hui.
D'abord, préparer le terrain, et chercher une quelconque issue! C'était bien l'une des rares fois où, sans répondre ouvertement à sa question, elle sous-entendait qu'il avait tort de demander ça. C'était bien l'une des rares fois où elle osait contester... Craignant de devoir se justifier quant à cet élan d'audace, elle se ressaisit. Elle pouvait toujours gagner du temps, en passant par quatre chemins, mais elle ne voulait pas exaspérer l'ange, ni le mettre en colère, déjà que sa réaction suite à sa remarque l'effrayait... Qu'importe, il ne lui avait demandé aucun détail! Elle ne serait pas obligée de raconter ce qu'elle avait été obligée de faire, ces humiliations, toute cette débauche dans laquelle elle avait baigné jusqu'à ce que l'ange aux yeux rouges daigne venir l'en tirer. Elle ne suivrait que les grandes lignes, pour le reste... On improvisera. Et généralement, ça lui réussissait plutôt bien. Quant à savoir si ça fonctionnerait avec le maître, c'était une autre histoire...
Je n'ai eu qu'un maître jusqu'ici, Léonard... Et j'ai vécu avec mes parents, puis...
Ah! Voilà le problème! Que pouvait-elle donc dire? Son existence s'était résumée à l'aprentissage de l'art du corps, du son, puis à de régulières expositions en cage, comme un fauve au centre d'une piste de cirque luxurieux. Elle ne pouvait pas confier qu'elle avait été parfois presque nue, offerte aux regards de certaines personnes. C'était rabaissant, humiliant, et le maître la prendrait pour l'une de ces catins qui couraient les rues. Voilà l'échappatoire, changer de sujet, ou le focaliser sur Tsukasa-sama.
Je ne sais rien sur vous, non plus, si je peux me permettre.
Mordrait-il à l'hameçon? Après tout, il était parfois plus soumis aux désirs et dominé par la volonté de celles qu'il possédait... | |
| | | Tsukasa Hishima Oyaka Mafieux
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| Sujet: Re: La Dame Blanche? [PV Tsukasa-sama][Finiii! <3] Mer 11 Mar - 4:48 | |
| De fil en aiguille la vie se créer en se permettant d’enfilé les perles de nos jours passé. Qu’ai-je fais si ce n’est que chercher à découvrir ce qui se cache derrière se visage si agréable à regarder ?! Ange de bas-fond ou bien de société, je n’en fais pas partie pour le simple fait que je ne suis rien d’autre que moi-même. Lors des secondes d’envolement je me suis laissé emporter sur le chemin de la curiosité, un regard hasardeux qui se prit d’attirance pour la peau de la douce fleur descendu des cieux. Milles délices de la voir ainsi dans une bulle si paisible, flamme de la passion ou de la force, flamme de la découverte et de la victoire, allez donc savoir ce que j’ai bien pu voir. Non pas si absorber par la sonorité de l’instrument qui transcende les cœurs, je parcourais de ce qui me sers d’yeux le dos fléchit de la douce humaine qui se trouve à mes côtés. Ce que je pouvais voir pour le peu de temps que je la visualisé me traversa l’esprit pour en avoir un point de vue non pas très banal. Un vase qui se brise, u vase qui n’a pas échapper à la température au fil du temps et qui maintenant laisse paraitre des marques de séparation. Heureusement que le vase est maintenant cacher par un rideau blanc sinon je me serais posé d’avantage de question tout en me demandant si moi aussi je m’en sortirais dans se labyrinthe pas si compliqué. Le fond musical n’a pas eu d’autre moyen que d’annoncer ça fin et c’est donc pour cela que les derniers pétales du cerisier se mirent à tomber bien avant la saison, c’est du moins la comparaison que j’ai avec mon violon. Une remarque non pas blessante mais repoussante parvint à ce matérialiser pour venir percuter ma sensibilité au travers de l’un de mes sens le plus important qui se trouve alors être mon ouïe. Elle n’apprécie guère ma curiosité, sûrement est-ce le fait que celle-ci cherche à atteindre non pas cette fois-ci son cœur mais plutôt son âme pour découvrir à titre d’information ce qu’elle avait bien pu vivre avant de me rencontré, moi, simple ange qui ai accepté de la libérer. Nul de ma faute si je veux connaître les personnes qui daignent vivre sous ma «responsabilité » pendant encore un long moment je l’espère. Non pas répondre dans la foulé à cette remarque parce que ceci serrez enfantin, je ne faisais alors que dans un mouvement musculaire déposer l’archet de mon instrument sur la pierre de la douce fontaine qui règne sur la totalité du jardin. Rejoint alors rapidement par son compagnon de bois teinté de vernis pour pouvoir se reposé et refroidir les ardeurs des liens sonores encore brûlant d’extasie. Je ne voyais pas l’utilité de me déplacer après avoir ranger mon instrument et c’est donc pour cela que je me mis à repenser à sa remarque quelque peu ennuyante. Non pas la laisser impunis je ne resterais pas sans voix face à ces paroles qui auraient pût être un affront pour ma personnalité intérieur, encore heureux que mon oncle ainsi que ma cousine ne sont pas là pour voir cela sinon il ne se serait pas gêné pour me taper sur les doigts.
C’est pourtant cette curiosité qui m’a permit d’en arriver jusque là. Si je ne l’avais pas je me demande bien si tu serais à mes côtés en ce moment.
Je ne voyais pas l’utilité d’en rajouter un peu d’avantage sous peine de la vexé et peut-être même lui donner l’envie de fuir. Je ne la connais pas vraiment c’est vrai, depuis que les portes de sa cage ont était ouvertes je n’ai jamais pris le temps de discuté en sa compagnie de ce qui lui était arrivé par le passé. Je ne sais rien d’elle et c’est réciproque je pense, elle ne connaît rien de moi à part peut-être ma façon de me comporté. Revenant alors à la conversation ma fois pas très constructive et non pleine d’enrichissement de connaissance, j’apprenais tout de même un peu d’elle même si ce n’est que de simple détail. C’est tout comme une grosse tache de peinture au beau milieu d’une toile que l’on chercherait à dissimuler en essayant de créer un décor, un nouvel univers qui transforme l’erreur en un art abstrait. Apprenant de ses lèvres qu’elle avait vécues avec ses parents, le nom de son maître vint laisser sa marque dans mon esprit, une marque comme celles qu’elle a dans son dos. Léonard ! Une identité qui me met en éveil vaguement des souvenirs qui pourtant ne sont pas si lointain que cela. Recherchant alors dans les coins sombre de esprit, je ressentais au plus profond de mon être qu’elle me cache encore bien des parties de son passé dont elle doit peut-être avoir peur ou bien honte, à moins qu’elle ne tienne pas à ce que j’en sache plus sur elle. Mais maintenant c’est trop tard, elle venait d’attiser la flamme de ma curiosité, de plus que le nom de son ancien maître me revins que maintenant en tête. Démon de peu de foi, celui-ci était un démon de la haute noblesse mais au physique non pas très enviable. Je me souviens encore de la fête organisé chez lui il y a à peu prés deux ans, c’est sûr que c’était loin d’être dans le domaine des bals, loin de là même puisque c’était particulièrement dans la débauche et l’exposition des partisantes de son humble demeure. Il était même connu pour sa perversité et sa violence envers ses soumises, c’est d’ailleurs pour cela qu’il a du quitter cet univers pour pouvoir payer de ses crimes et de sa cruauté envers d’innocente personne. Quand j’y pense, Firiel à donc elle aussi vécu chez lui du temps de son vivant…Les marques dans son dos ont sûrement était causé par lui si ça se trouve…Et le fait qu’elle ne m’en dit pas plus confirme d’avantage mes suppositions. Devrais-je mettre se sujet là sur le tapis ? Je le ferais un peu plus tard, d’autant plus qu’elle a décidé de retourner le sujet de la conversation sur moi. C’est encore une remarque ou bien essaye t’elle de me retourner la question pour en apprendre plus à mon sujet, allez donc savoir ce qu’elle a en tête. D’après moi c’est simplement parce qu’elle veut se protéger de mes réactions si j’en apprends un peu trop sur elle, même si maintenant je connais dans quel mode de vie à elle a vécu. La fixant alors droit dans les yeux même si cela est inutile parce que ça ne l’intimidera pas, je savais néanmoins qu’elle pouvait ressentir mon aura sûr de moi.
Il est vrai que tu ne sais rien me concernant si ce n’est que je ne suis rien d’autre qu’un ange qui a de l’argent et qui travail dans un certain domaine. Si tu veux en savoir un peu plus, alors c’est avec plaisir que je vais t’en apprendre un peu sur moi. Non Pas fils unique, j’ai une sœur à l’étranger qui est romancière, un père qui exerce son travail dans les finances et une mère pianiste. J’ai aussi un oncle du nom D’Alexander et une cousine vraiment adorable, j’ai d’ailleurs vécu chez mon oncle pendant plusieurs années, mais cela est une tout autre histoire.
Mes bras s’étaient croisés mais ils ne le restèrent pas bien longtemps, une main venant alors toucher la pierre froide du bout de ses doigts tendis que l’autre coule le long de son dos telle une rivière qui vient se déverser dans l’océan. Arrivant alors dans une zone sensible qui se trouve être la zone au marque du passé, les cicatrices de son corps.
Si tu veux en savoir plus alors tu va toi aussi devoir m’en dire un peu plus d’accord. Ne cherche pas à te défilé parce que j’ai bien envie d’en apprendre sur toi outre le fait que tu sais jouer de la harpe. Que sais-tu faire d’autre ? Cela m’intéresse beaucoup de le savoir.
Dernière édition par Tsukasa Hishima le Ven 13 Mar - 16:19, édité 1 fois | |
| | | Firiel Hanabashi Humaine
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| Sujet: Re: La Dame Blanche? [PV Tsukasa-sama][Finiii! <3] Jeu 12 Mar - 22:53 | |
| Bloquée! Firiel ne savait maintenant plus où donner de la tête. Elle était prise dans le filet de la force de persuasion, trop intense à son goût, du maître. Outre la blessure qu'infligeaient ses paroles, elle sentait une colère gronder au fond d'elle. Est-ce qu'elle avait été aussi mauvaise que lui l'était maintenant, lorsqu'elle lui avait fait comprendre que sa curiosité ne lui plaisait pas? Le sang de son père bouillonait à travers ses veines. Jary n'avait jamais pu admettre le fait qu'il soit soumis à Léonard, même si sa mère montrait, elle, une docilité exemplaire et une faiblesse frappante. L'aveugle avait hérité d'elle, de ce côté. Mais son géniteur avait aussi su inculquer à sa fille quelques principes simples. La dignité, la fierté, et il lui avait même appris à reconnaître les moments où elle devait se taire, ou contester. Le moment était venu pour elle d'appliquer ces idéaux, afin que leur hémoglobine, qu'elle sentait pulser en elle, puisse enfin trouver la paix dans l'amour infini qu'ils se portaient. Tsukasa-sama l'avait attrapée, et il ne semblait pas vouloir la lâcher tant qu'il n'aurait pas de réponses à ses questions. Il le lui avait fait clairement comprendre.
*Dans ce cas -là, disait son père, essaie de l'amadouer avec ce visage enfantin, que tu sais si bien faire... Ou de feinter la tristesse.*
Ah, la belle affaire, comment faire semblant d'être malheureuse alors qu'elle était à ses côtés? À coup sûr, il s'imaginerait des choses. Elle ne pouvait pas prendre le risque de l'inquièter inutilement, par un mensonge... Elle avait l'impression que son attitude était puérile, à vouloir tout fuir avant de trouver la solution à son problème. C'était pathétique. Lentement... Un doigt s'insinua sur son dos, et elle étouffa un couinement de surprise qui mourrut dans sa gorge. Où allait-il encore traîner ses mains...
Non!
Pour la première fois. Un refus catégorique, net. Bien qu'il ressemble davantage à un grognement sourd qu'à un mot prononcé de vive voix, elle était sûre que cela ne lui avait pas échappé. Elle se fléchit encore plus vers l'avant, courbant l'échine face au maître qu'elle vénérait tant, à la fois pour fuir son épiderme contre la sienne et pour implorer son pardon. La contestation avait franchi ses lèvres sans qu'elle le veuille, mais il transmettait son réel désir, celui qui criait, au fond d'elle-même. Il ne devait pas savoir. Pas savoir à quel point la vie qu'elle avait mené jusqu'ici avait pu être... Dégoûtante... Repoussante, même, comme si elle avait l'impression que tous ces éléments malsains s'étendaient à son corps svelte et taillé par des années de danse. Elle avait l'impression que sa peau sèchait, pour ne devenir qu'une mince feuille de papier craquelé. Elle était un jouet brisé, un jouet trop usé mais qui semblait plaire à l'ange. Ce dernier était comme les enfants dont on ne sait pas très bien s'ils sont fous, aliénés de nature, ou bien simplement différents du reste lorsqu'ils brisent la nuque de leur poupée. Il s'éprenait d'un jouet usé, voulait-il l'abîmer jusqu'à la corde? Il semblait bien parti, en tout cas. Mais le jouet en question n'était pas d'accord. Avait-elle seulement le choix... ? La réponse était claire, elle sautait aux yeux. Non, elle devait se laisser faire. Et la douce Quiesh, sa mère, qui dormait au fond d'elle, murmura à sa fille quelques mots en s'extirpant de son lourd sommeil de plomb. Depuis quand n'avait-elle plus écouté ce qui lui disaient ses parents... Depuis cet incident, sans doute, où elle avait perdu la vue... Elle n'avait alors écouté que Léonard, depuis. La femme chétive rappela à sa fille qu'elle n'était rien. Rien comparée à cet ange splendide qui avait daigné poser les yeux sur elle, qui l'avait choisie, elle, et pas une autre, au moment où il l'avait sortie de sa cage. Elle lui devait tout, maintenant, elle ne devait rien lui refuser. S'ensuivit un long combat de conscience, entre son père et sa mère. Avec un sourire tendre, Firiel se souvint de leur point de vue, si différent l'un de l'autre. Mais ils avaient su trouver l'union parfaite.
Pardon, je ne voulais pas... C'est que...
L'humaine coula ses mains sur les genoux encore humides du maître. Elle releva lentement le buste, mais garda la tête baissée, et la chancela juste assez pour écarter le rideau blanc qui dissimulait son dos au regard rougeoyant d'indiscrétion. D'autres marques apparurent. Elle inspira profondément.
Du piano... Chanter, distraire... Danser...
Au final, son rôle se rapprochait de celui d'une geisha, enfin, il n'en était pas loin. Mais elle n'osait en dire plus, craignant déjà sa réaction face à son refus cinglant d'il y a quelques minutes.
Votre oncle... Alexander, comment était-il?
Essayer de dévier le sujet sur celui qui avait sans doute façonné la personnalité de Tsukasa-sama... Qu'elle sache au moins quel bougre avait eu l'idée de développer de telles choses chez son maître, qu'elle sache enfin à qui s'en prendre parce qu'elle ne parvenait pas à lui résister. À lui, et à son aura qu'elle redoutait tant lorsqu'elle s'enflammait come c'était maintenat le cas, d'un feu gelé de mépris, voire de menace. C'était étrange, mais plutôt agréable de savoir qu'il pouvait pafois asseoir son autorité, comme c'était le casmaintenant. Ce qui, au final, lui donnait bien une envie ou deux de tenter l'insolence... | |
| | | Tsukasa Hishima Oyaka Mafieux
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Maîtres/Soumis Orientation sexuelle: Hétéro Maître de: Firiel, Keiko Soumis par: un coeur appartenant à une humaine
| Sujet: Re: La Dame Blanche? [PV Tsukasa-sama][Finiii! <3] Ven 13 Mar - 21:24 | |
| A peine un effleurement et voilà déjà que la belle se met à gesticuler dans tous les sens. Enfin, cela est dit ainsi mais elle ne bouge pas tant que ça, elle a simplement fait entendre bien fortement le son de sa voix d’humaine. Elle qui pourtant et si douce aux oreilles se trouve sur le coup presque menaçante et mordante, si c’est le cas de le dire. Un « Non » catégorique qui veut bien dire qu’elle ne veut pas que je continue de la touché à cet endroit là, mais pourtant ce n’est pas un simple mot qui va m’en empêcher ça s’en est une évidence. Mais néanmoins je suis restais figé pendant environ une dizaine de secondes, ce qui est déjà pas mal non ? Mais c’est assez amusant de la voir se rebeller un peu ou du moins imposer un non face à moi. Vraiment c’est ce qui m’a le plus surprit entre ça et le mouvement qu’elle a fait. Mais au faite, est-ce vraiment un Non ou simplement le couinement d’une bête telle que j’ai pu l’entendre ? Certainement celui d’une louve ou bien d’une renarde qui reste profondément enfermé en elle. Quand à son mouvement du dos, elle s’est tout simplement penché en avant, peut-être pour ne pas à avoir à faire face à mon corps qui reste derrière elle et qui était même en contact avec le tissus de son drapé ainsi qu’un peu de son épiderme. Que c’est beau à voir, la voir me fuir ainsi sans même s’éloigner, voir son dos se courbé face à moi et donc d’apercevoir sa tête basculer en avant comme si elle me demandait quelque chose. Vraiment j’aime beaucoup ce genre de comportement, mais pas au point que cela me donne un large sourire tout de même, je ne suis pas un fan des coups de tête et des rebellions. Intérieurement je me faisais une petite fête d’excitation et de pur amusement, mais d’extérieur je ne disais rien face à ce mot si négatif, un mot qui marque l’interdiction du touché sur son dos. Pourtant ma main resta non loin de ce dos si chaud qui cache j’en suis sûr encore bien d’autre secret qu’il me faut alors découvrir. AH ! Elle s’excuse, alors que pourtant elle ne m’a pas froissé et encore moins blessé bien au contraire, elle m’a apporté une distraction dans mon esprit. J’ai eu à ce moment là un léger mouvement en avant, amenant juste mes lèvres proche de son oreille droite pour alors laisser mon souffle se rependre sur la douce peau de son cou.
C’est que ?
Une question qui se montre un peu méchante dans le moment, elle est dite dans le but de la taquiné d’avantage afin de voir comment elle peut réagir. Suite à cela deux sources de chaleur vinrent caresser l’humidité du voile protecteur qui recouvre mes genoux, elle avait alors posé ses mains pour ensuite faire bouger sa douce chevelure qui dévoila alors devant mes yeux une multitude de marque. Maintenant j’en suis sûr, elle était bien avec le démon auquel je pensais, les marques qui se trouvent dans son dos me le confirme. Ce démon avait donc eut l’audace de posé sa main sur le magnifique corps de perle de la belle humaine, ses mains impur on osées toucher sa peau si douce qui me fait tant frémir. Une colère qui part d’une simple étincelle se mit doucement à prendre de la densité pour alors se transformer en une flamme terrifiante qui ne demande qu’une chose, dévoilée toute la haine qui me ronge de l’intérieur. Mais malheureusement je ne peux calmer cette nouvelle haine parce que la personne sur qui elle doit s’attaquer n’est hélas plus de ce monde. La suite, oui la suite quand à elle est encore bien plus intéressante que le reste, ainsi donc elle sait faire encore plein d’autre chose mis à part jouer de la harpe. Elle sait faire usage de son corps de manière particulière on dirait bien, de sa voix elle sait chanter, de ses doigts elle sait jouet sur la voie musical et du reste elle sait danser mais aussi distraire. Maintenant encore d’autre question me vienne en tête, quel genre de distraction. C’est particulier de penser à ça mais bon, j’aimerais bien connaitre sa façon de distraire les gens, surtout que connaissant son ancien Maître ça ne peut être que plus amusant pour moi. Le fait qu’elle sache danser me plait beaucoup, la voir m’interprété une petite danse ne me déplait pas le moindre du monde et je ne vais pas me gêné pour la lui réclamer. Là encore une fois ma main vint en contact avec son dos, non pas le bout de mes doigts mais directement la paume qui vient prendre appuie sur certaine marque. Ce n’est pas pour l’embêter cette fois-là mais c’est comme ci je cherchais à la soigné de ces blessures qui resteront éternellement gravé sur sa peau.
En voilà des choses que j’ignorais, je pense qu’il y en a encore plein d’autre.
Il est vrai que j’ai dis une chose un peu plus tôt qui me concerne également. Si elle veut en savoir sur moi elle doit alors m’en apprendre un peu sur elle et c’est bien ce qu’elle vient justement de faire. Elle m’a répondu et c’est surement donc pour cela qu’elle me posa une question, mais celle-ci ne concerne pas moi mais mon oncle, la personne qui à fait de moi ce que je suis aujourd’hui. Une drôle de question que j’entends là, comment était mon oncle…Que dire sur lui, que dire sur la personne qui m’a apprit une autre vision de la vie. Néanmoins il me fallait lui répondre, de ce fait une de mes mains vint longer son bras pour venir se tenir à niveau de son menton.
Mon oncle ? Tu veux savoir comment il était ? C’est bien amusant tout ça mais bon, je me demande bien pourquoi c’est lui que tu veux connaitre et non moi…Mais peu importe, je vais te le dire. Alexander est une personne qui montre bien qu’il à raison, il n’a pas peur du regard des autres et il vie même dans la luxure… Il a un regard froid mais aussi plein de mystère, des yeux possédant la même couleur que les miens d’ailleurs. Un sourire sournois et même sadique mais il y à une chose chez lui qui m’a marqué, bien qu’il est volage et méchant, jamais il n’a fait de mal au personne avec qui il jouait.
Relevant alors un peu les yeux vers se ciel si merveilleux, je me sentais un peu nostalgique en y repensant, je me demande même ce qu’il devient maintenant, peut-être continue –t-il de participer à certaine soirée. Je revenais sur la belle pour alors du bout de mon index lui caressé la joue avec douceur.
Cela te suffit ou tu veux en savoir encore un peu plus sur lui ? Et puis, tu m’a dis que tu sais distraire, j’aimerais bien savoir comment. | |
| | | Firiel Hanabashi Humaine
Nombre de messages : 163 Age : 31 Date d'inscription : 04/12/2008
Maîtres/Soumis Orientation sexuelle: Bisexuelle Maître de: Son talent Soumis par: Tsukasa-sama ♥
| Sujet: Re: La Dame Blanche? [PV Tsukasa-sama][Finiii! <3] Sam 21 Mar - 19:12 | |
| Un frisson courut sur la peau nue du cou, pour se répandre comme un filet invisible et fin jusqu'au bas de l'échine humaine. Firiel regrettait presque d'avoir trop parlé. Maintenant, c'était sûr, ils s'étaient engagés sur une voie dont nul n'avait idée. Elle sentait que Tsukasa-sama en voulait davantage, elle se doutait bien qu'il n'arrêterait pas tant qu'elle n'aurait pas satisfaite la curiosité maintenant attisée de l'ange. Mais il ne devait pas trop en savoir, parce que la simple pensée d'une réaction négative effrayait déjà la soumise aveugle qui courbait toujours le dos devant les yeux de mercure brûlants. Il s'amusait de voir sa paysanne si tendue et craintive, c'était un roi tyran qui règnait sur le coeur de Firiel comme un enfant sadique aurait démembré, un à un, ses poupées et ses jouets parce qu'ils l'énervaient ou qu'ils ne se pliaient pas à sa volonté. Il voulait de l'obéissance, de la docilité, mais puisque c'était ainsi, l'aveugle décida qu'il en serait autrement. Suivre les ordres du maître ferait trop plaisir à ce dernier, et elle voulait éviter ça, parce qu'il avait abordé un sujet trop sensible à son goût. Elle se vengerait de sa gentillesse feinte à cet instant, de ces mains posées en conque sur les blessures encore visibles, alors qu'il était frappant que ça l'amusait. Tout en lui le disait, il continuait son petit jeu cruel. Cette main, glissée au menton de Firiel, puis cette description et ce doigt glissant lentement sur sa joue étaient-ils destinés à jouer le rôle d'avertissement? Ça ressemblait à une mise en garde, ou un avant-goût de ce qui pourrait l'attendre si elle cessait de parler. Elle n'avait jamais raconté ce qu'il s'était passé jusqu'ici chez son maître, et quelque chose l'empêchait de le faire. C'était comme un gros noeud, dans sa gorge, qui obstruait le passage oral des faits. De toute façon, l'aveugle n'avait pas envie de confier ses souffrances passées à Tsukasa-sama. Il fallait qu'elle trouve une issue, quelque chose qui détournerait l'attention angélique pendant quelques instants, le temps de fuir, cette fois-ci. Lentement, elle arqua ses doigts fins et appuya avec force, des ongles, sur les genoux du maître. Il n'était plus question de se laisser faire, pas après tout ce qui était arrivé d'un seul coup, après ces baisers et ces caresses, elle ne le laisserait pas en profiter davantage ni approfondir.
J'ai dit non, Tsukasa-sama...
Sa voix subit une inflexion désagréable, presque ironique et acide, lorsqu'elle parvint à la particule qui suivait le prénom de son maître. Il voulait chasser? Très bien! La souris était déterminée à lui échapper, aujourd'hui, ce serait une parfaite occasion de tester les limites de la patience du chat. Advienne que pourra, mais elle s'en sortirait. Prenant son courage et les genoux du maître à deux mains pour se lever, elle ondula juste assez les hanches devant son nez pour capter son attention et être sûre qu'il ne posera pas ses mains sur sa peau d'albâtre pour la retenir. Vivement, elle se retourna, vola un contact entre leurs lèvres pendant une fraction de secondes, et rapide, elle donna une puissante impulsion sur le torse masculin.
PLOUF!
Un sourire satisfait se grava sur le visage de la jeune femme en sentant quelques gouttes de l'eau de la fontaine venir couler sur ses bras. Elle avait jeté Tsukasa-sama dans le bassin, oui, et? La situation ne la rendait plus aussi nerveuse, et elle ne retint pas un rire bas, presque un chuchotement sournois. S'il la pensait toujours aussi innocente qu'auparavant, alors il se mettait le doigt dans l'oeil. Avant qu'il n'aie le temps de se relever, elle recula du vestige d'eau et d'ange trempé, ses épaules se secouant toujours au rythme des ricanements qu'elle tentait malgré tout d'étouffer. D'un pied sur l'autre, elle sautilla jusqu'au perron, et en monta les marches, subitement plus lumineuse et joyeuse. Elle espérait que ça avait suffit à calmer les ardeurs sadiques et mauvaises de Tsukasa-sama. Et puis, ça lui faisait indéniablement plaisir de l'avoir mis à l'eau, sans être allée le rejoindre, Dieu merci. Sans se soucier davantage de savoir s'il était déjà sorti ou non, veillant néanmoins à capter si une présence vengeresse et mouillée viendrait à se manifester à moins de deux mètres, elle attrapa la feuille sur laquelle elle avait écrit, quelques minutes plus tôt.
Bonne journée, maître.
Elle hissa sa harpe sur son dos, et fila par la porte entrouverte qui donnait sur le couloir de la maison, puis sprinta jusqu'à sa chambre. La souris avait échappé au chat, cette fois-ci du moins. Le félin craignait l'eau, à juste titre, puisque sa proie avait filé entre ses doigts sans demander son reste et le narguant presque. Elle avait fui, et comptait continuer à le faire s'il montrait d'autres envies carnassières, elle prendrait ses pattes à son cou, et ne tomberait pas entre ses griffes. Elle était libre de sa pression et de sa poigne de fer. Mais pour combien de temps encore? | |
| | | Tsukasa Hishima Oyaka Mafieux
Nombre de messages : 145 Age : 36 Date d'inscription : 01/09/2008
Maîtres/Soumis Orientation sexuelle: Hétéro Maître de: Firiel, Keiko Soumis par: un coeur appartenant à une humaine
| Sujet: Re: La Dame Blanche? [PV Tsukasa-sama][Finiii! <3] Dim 22 Mar - 5:17 | |
| Mais qui suis-je réellement pour me montré aussi cruel avec elle, je suis certainement pire que les êtres à qui j’ai retiré la lumière de la vie pour la vengeance de leurs soumis maltraités. Là je ne suis rien d’autre qu’un être qui peut à peut se laisse engloutir par une ombre qui se rapproche un peu trop, sortant de nulle part pour certainement venir s’emparé de mon âme ou du moins ce qui me reste de conscience et de lumière. Une lumière qui je ne sais comment arrive parfois à me faire faire des sourires, mais je suis sûr que ce genre de sourire là sont ici seulement grâce aux personnes qui m’entourent. Si cette lumière existe encore c’est parce qu’il y a autour de moi des personnes qui font attention à moi, qui sans trop le savoir parviennent à contenir cette lumière pour même lui donner une lueur encore plus scintillante et blanche. Cette lumière est là grâce à elles et je les remercie du fond du cœur, même si pour le moment elle est enfermer dans une boite au rebord d’or, non pas la boite de pandore parce que se serait mal de la comparaitre à une telle beauté mais ça y ressemble presque. Et c’est donc à cause des parois de cette boite que la petite lumière se retrouve trop faible pour pourchasser les ténèbres qui se sont emparés de moi, enfin, je n’ai pas le droit de rejeter toute la faute dessus parce que je ne peux que m’en prendre à moi-même d’être aussi faible. Je dois bien avouer que mon oncle a réussi à faire de moi une autre personne de ce que j’aurais dû être au départ, mes parents avaient en tête un autre avenir pour moi et Alexender a trouvé le moyen de tout mettre en ruine. C’est de là que j’ai commencé à être une personne un peu particulière, un être de la nuit qui pourtant n’est pas comparable aux vampires, un ange qui rien de plus se promène dans les soirées pour trouver des proies ou tout simplement pour se faire encore plus connaitre et craint ou apprécié. Revenant alors dans le moment présent par une impulsion sur mes genoux, les ongles de la belle se faisaient ressentir sur ma peau, entaillant alors un peu mon épiderme pour même en laisser une marque qui je sais ne resterais pas très longtemps. C’est douloureux non pas physiquement parlant mais intérieurement, c’est douloureux lorsque l’ont sait que c’est de notre faute et que l’ont agit mal envers une personne qui est importante pour nous. Sa voix encore me rappel à l’ordre, affirmant bien fortement ce qu’elle m’avait déjà dit, m’interdisant même de la touché d’avantage du bout de mes doigts qui se montre un peu trop sadique et vicieux envers elle.
Mon regard qui pourtant était proche de son visage ne pût la voir plus longtemps, enfin ce que je veux dire c’est que ce n’est plus son visage que j’ai pu voir mais son dos qui se redressa complètement pour que par la suite la belle se retrouve sur ses deux jambes par une impulsion sur mes genoux. Je regardais alors la forme de son dos, les quelques brin de cicatrice qui rapidement furent cacher par un voile gris. Dans la surprise totale son visage me fit à nouveau face pour alors se rapprocher un peu rapidement et même trop près que ses lèvres frôlèrent les miennes pour qu’ensuite la gravité me tire en arrière afin de me faire tomber à l’eau. Ce qui d’ailleurs arriva rapidement, un bruit sourd c’était fait entendre et la pierre se retrouvait alors elle aussi trempée d’eau. Des fines gouttes perle à chacune de mes pointes de cheveux, se détachant de celles-ci pour venir s’écraser sur la surface et de se fait rejoindre sa source. Firiel avait donc eu l’audace de me poussait à l’eau et en plus de cela elle se fiche de moi en ricanant presque, je ne sais pas pourquoi mais je n’arrive pas à trouver un semblant de colère monter en moi. Face à cette surface aqueuse, je relevais le menton pour alors laisser mes yeux écarlate se posé sur elle pour la voir s’éloigner, je ne bougeais pas d’un poil même lorsqu’elle fut arrivée sur le perron pour prendre sa feuille avant de partir en me laissant quelque mots qui montre bien sa joie de m’avoir battu et de s’être rebeller.
Une fois hors de ma vue c’est à ce moment-là que j’amenais ma main à mon front pour alors me remettre en question, mes esprit maintenant bien en place je sortais vite de cette fontaine afin de ne pas infecté d’avantage son eau. Je suis complètement mouillé c’est vrai, mais cheveux tout aussi bien que mes vêtements. Elle avait bien réussi ce qu’elle voulait, elle m’a bien eut sur ce coup là je dois bien l’avouer, mais pourtant je me dis qu’au fond elle a bien fait de le faire. Ainsi je découvre une nouvelle facette de sa personnalité mais aussi un petit sourire un peu trop « sadique », mais là n’est pas tout parce que je me rends compte que c’est en faisant ainsi que j’ai pu reprendre mes esprits. Involontairement ou pas elle m’a en quelque sorte empêché de faire d’autre bêtise et empêché d’en allez trop loin dans ce jeu qui je suis sûr aurait pu nous blesser tout les deux intérieurement. Je passais rapidement ma main dans mes cheveux pour alors relever la tête au ciel et me dire que dorénavant je devrais faire attention à ne pas me laisser encore une fois envahit par les ténèbres. | |
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