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| Sujet: Etrange humaine [Reflexion d'un maitre] Ven 5 Déc - 17:05 | |
| Capture
J'étais entrain de boire près du lac pour m’abreuver un peu après une longue chasse pour me nourrir étant une humaine qui vivait dans la nature sans avoir de maître, j’en avais pas, car jamais j’en avais pas connu, dès ma naissance, je vivais déjà dans cette forêt mais depuis quelques mois, j’avais perdu la trace de mes parents, ainsi, je parcourais les lieux afin de les retrouver. Mais pour cela, il fallait que je sois en forme, que je mange et que je boive souvent sinon, jamais je ne pourrais les retrouver. C’était ma quête désormais, personne ne m’en empêcherait. Au moment où je bois, l’esprit d’un chat pris possession de mon corps ce qui arrivait très souvent. Je ne comprenais pas pourquoi j’étais toujours posséder par des chats dans ce lieu, était ce finalement le lieu préférait des chats ? Sûrement vu comme je ne contrôlais pas souvent mon corps ici. Enfin soit, le plus important était que je buvais tranquillement quand soudain, des chasseurs s’approchèrent de moi, en entendant leur pas, je me retournai et je m’approchai d’eux pour leur faire câlin à leur jambe. Les chasseurs étaient morts de rire en voyant ça et attacha alors un collier autour de mon cou avec une laisse. Puis dans le camion, l’esprit félin quitta mon corps et je repris ainsi possession de mon corps puis je regardais les chauffeurs me demandant ce qu’il se passait puis je me décidai à leur poser directement la question.
« Que se passe t’il ? Qui êtes vous ? Ou m’emmener vous ? »
« On t’emmène à l’antre, et notre identité, nous sommes des chasseurs tout simplement »
« A l’antre ? C’est quoi une antre ? »
« C’est la que se trouve les monstres qui ont un pouvoir »
« Mais je suis humaine, je n’ai pas de pouvoir, ma réaction de toute à l’heure était de la possession, je peux me faire posséder par des esprits animaux »
« Mais bien sur, on va te croire »
Voila le dialogue qu’on s’étaient échangé et bien entendu, les chauffeurs me guidèrent vers l’antre sans croire a ce que je leur avait dit mais bon, cela se retournerais contre eux, tant pis, ils avaient qu’a m’écouter. Arrivé à l’antre, j’étais enfermé dans le camion pendant que la gérante discutait avec les chauffeurs. Puis celle-ci vient à ma rencontre m’étudia et approuva que j’étais bien humaine et non hybride. Voila, retour à la case départ, les chauffeurs me conduirent alors finalement au local à humains.
« Je vous avais bien dis que j’étais humaine et qu’on me refuserait »
« La ferme, l’humaine »
« Oh la la, aucun humour »
La voiture continuais sa route tranquillement tandis que moi, je restais dans mon petit coin dans la voiture a penser à mes parents, mon ancienne liberté, je ne savais pas du tout ce qui m’attendais bientôt dans cette nouvelle vie étant donné que je n’avais connu que la liberté avant d’être prise au piège dans cette voiture en plus de ça, on m’avait pris mon arme et on refusait de me la rendre. Finalement après une quinzaine de minutes, la voiture s’arrêta devant une boutique nommée locale à humains, voila, le lieu où j’allais être vendu d’après ce que j’avais compris. L’arrêt de la voiture, ne m’enchanta guère. Je n’y pouvais rien si je n’aimais pas cela, de me faire attaché comme si j’étais dangereuse, il manquerais plus qu’on me mette une muselière après. Après tout, qui disait que je n’attaqué pas ? Personne ne pouvait le savoir, et surtout pas les chasseurs.
L’échange
La voiture arrêtée, les chauffeurs descendirent de leur voiture mais ils me laissèrent seules dans la voiture pour le moment. Je me collais alors contre la voiture attendant qu’il revienne, les deux chauffeurs étaient en conversation avec le gérant du local à humains. Finalement, les trois personnes reviennent et un des chauffeurs ouvra la porte, laissant le gérant pouvoir m’admirer. Lorsque le gérant me voyait, je portais un petit haut de couleur verte ainsi qu’une jupe longue mais ouverte laissant voir alors que je portais un string de couleur blanche et en dentelle. Je portais aussi beaucoup de bijoux dorés qui pourrait faire croire que j’étais une personne importante mais cela était simplement des bijoux de familles qui se donnaient de mère en fille. Accroché au collier et au niveau du ventre, un ruban rouge pour finir la beauté de l’habit. Et pour finir, je portais un ruban blanc derrière moi qui était aussi la pour tenir l’épée dans mon dos mais malheureusement mon épée n’était plus sur moi, les chauffeurs me les avaient pris. J’avais alors plongé mon regard rubis dans celui du vendeur, espérant qu’il dirait de me laissais partir, que je serais invendable ou autre chose mais c’était raté, il était presque ravie de m’avoir, ce qui me m’informa que je pouvais dire adieu à ma liberté d’avant. Le gérant ne disait aucun mot mais fais un signe positif en direction des chauffeurs. L’un d’eux s’approcha de moi, et tira sur mes chaînes pour me faire sortir pendant que l’autre chauffeur retournais au local et discuté sur le prix avec le gérant. De ce fait, je du suivre le chauffeur qui me guide alors vers la porte du local, avant d’y rentré, je regarda le dehors, l’air triste de ne peut être jamais le revoir ce magnifique paysage. Me voila entré dans le magasin, poussé par le chauffeur qui me tenait en laisse. Le gérant me regarda dans les yeux, à ce moment la, il me demanda mon nom et mon age. Je fermis les yeux afin de réfléchir à mes paroles que j’allais prononcer en sa direction puis finalement, je les rouvrit pour le regarder droit dans les yeux et voir ses réactions et qu’il voit mon regard rubis.
« Yuurei Ikimono, 15 ans, je peux récupéré mon épée ? »
« Ton épée ? »
« Oui, mon arme, c’est une arme de famille, je veux la récupérer, elle m’appartient, vous n’avez pas le droit de me l’enlever »
« Je la garde et si ton maître est d’accord, je te la rendrait a ce moment la. »
« Un maître ? Je suis une esclave ? »
« Tu as tout compris »
Le choc était violent, je n’arrivais pas à croire ce qu’il se passait devant moi, je savais ce qu’était un maître mais je ne pensais pas qu’un jour cela m’arriverais, je ne voulais pas obéir aux ordres de quelqu’un et surtout pas a tous ses caprices mais je n’avais pas le choix d’après ce que je voyais pour le moment. Voir ce collier et cette laisse me faisait bien voir la vérité, je ne rêver pas malheureusement, c’était bien la réalité. Le gérant et un des chauffeurs étaient entrain de signer les papiers de ventes. Je ne bougeais pas d’un poil, a pars ma tête qui se tournait vers les autres humains qui étaient autour de moi. Je me sentais des plus mal en voyant tous ça. L’attente était longue, je voulais m’enfuir mais je ne voyais pas de sortis, le chauffeur me tenait bien prisonnière de ses muscles. Après de longues minutes, gérant et chauffeur reviennent vers nous. Le gérant me regarda dans les yeux et pris la laisse entre ses mains pour m’amener à ma cage. Je du me résoudre de le suivre et d’y entrer pour éviter qu’il tire sur la laisse et qu’ainsi, il me fasse mal ou qu’il ne m’étrangle, je ne tenais quand même pas a mourir si jeune et pour une chose si stupide non plus. Je regardais les chauffeurs partir content de leur vente se fichant ce que je pouvais penser d’eux. Ils avaient gagner de l’argent en me vendant en plus de ça, je m’étais même pas rebeller un petit peu. Voila, je me retrouvais maintenant seule dans ma cage dans ce local à humains.
Solitude
Il était une fois, un jour, c’est stupide de commencer de vous décrire ma nouvelle vie par cette phrase. Je me trouve en ce moment, dans une cage dans le magasin nommé local à humains, j’étais assis collé aux barreaux de la cage a regarder les autres cages, me sentant comme un phénomène de foire, déjà que je le ressentais a cause de ma malédiction, la c’était de pire en pire. J’aurais voulu avoir des pouvoirs pour détruire ses barreaux et retourner dans ma forêt, ma maison et surtout mes parents. Je me sens prise au piège mais surtout seule. C’est vrai que j’avais l’habitude d’être seul car je voyageais toujours seul mais j’avais quand même des animaux qui venaient me voir et aussi la nature, les fleurs, il ne fallait pas les oublier. Ici, il n’y avait rien de tous ça, la seule chose était qu’il y avait d’autres humains comme moi, qui attendait l’arrivé d’un maître. Certains d’entre eux, faisait du bruit et gueuler toute la journée pour se plaindre et emmerder le gérant alors que d’autres avait le visage triste et se mettait presque a pleurer de ne pas trouver un maître. C’était désagréable tous ses bruits, ses cris. Je voulais en finir, je voulais quitter cet endroit le plus vite possible, je ne pouvais plus entendre ses cris de désespoirs qui me ramenaient constamment à me rappeler ma situation actuelle. Essayait de ne pas être touché par tous ça, était beaucoup trop difficile actuellement, ce qui était agaçant. Il fallait que je sois forte et que j’accepte cette situation et cette solitude qui m’habitait désormais constamment.
Toujours dans la même position, je fermis les yeux essayant d’oublier cette situation, ses bruits et ses cris mais rien à faire, je continuais de les entendre et de m’énerver. Finalement, je me mis au milieu de la pièce, dans la position de Bouddha, respirant et expirant des plus calmement, concentrant mon esprit sur ma vie d’avant, sur le chant des oiseaux, sur la senteur de la nature pour m’y emporter et être au paradis dans mon esprit alors que ce n’était pas le cas au niveau du corps. Décrire le local serait une punition horrible mais je vais faire un effort. Les cages sont collés entre elle, il y a en a sur les cotés, et au milieu, mais aussi devant. Qui était alors vu en vitrine. Simplement car j’étais belle, on m’avait mis dans une cage vitrine, et ainsi, tous les passants pouvaient me voir faire la bouddha et se moquait de moi, me trouver jolie et tout ce qu’il voulait. On pouvait vraiment dire que j’étais considéré comme un animal de foire en ce moment même. Des clients entraient dans la boutique mais je ne me préoccupais aucun d’eux, j’étais concentré sur mes pensées de la nature pour oublier leur présence. Je ne tenais pas à devoir obéir à un maître donc je me désintéressai d’eux, et ainsi, on ne me prenait jamais. J’avoue que certain ont essayer de faire la communication avec moi mais je faisais comme si je n’entendais rien et ils finissent par lâcher prise et a s’intéresser à un autre ce qui me faisait toujours ravir au plus haut point à ces moments la. J’étais l’humaine la plus ravie lors de ses moments la. Malgré qu’on n’y voie aucun sourire sur mes lèvres, il était dans ma tête, dans mon univers. Cette vie avait quand même une bonne chose, c’est qu’il n’y avait pas d’animaux mort par ici, et ainsi, aucun esprit pour prendre possession de moi, ça faisait du bien de se sentir libre et de pouvoir contrôler son corps comme je le désirais. Mais d’un coté, ça m’attristait car c’était un bon moyen de ne pas penser à tous ça en réagissant comme un chat ou un chien, ou autre chose encore.
L’heure du repas approchais, le gérant commençais a préparé les menus pour chaque cage mais malgré tous ça, je ne l’aimais pas, je lui en voulait de m’enfermer ainsi, comme si j’étais une animale féroce qui fallait enfermer, alors que j’étais plutôt gentille et douce, juste que je ne voulais pas obéir a tous les ordres, ce qui était un peu normal, si l’acte ne me plaisait pas, je n’allais tout de même pas me forcer à le faire. Lors des visites du gérant ou des vendeurs devant les cages, les humains étaient tous fous de joie de manger et attendait patiemment qu’ils arrivent devant leur cage alors que moi, je ne bougeais toujours pas de ma position, comme si je ne les voyais pas ou entendait pas. Cela se trouve être le vendeur qui se trouva sur mon chemin, devant ma cage. Mon visage était tourné en direction de la rue et donc je ne voyais pas le gérant, il ouvrit la porte de la cage pour y déposer la nourriture, mais cela ne me fit bouger pas d’un poil. Je restais à ma place sagement, sans rien dire. Il déposa alors le repas sur la paille et s’éloigna. Je continuais de faire ce que je voulais faire ne prêtant aucune attention à la nourriture juste à coté de moi. Alors que le temps passé, les clients et clientes devenaient de plus en plus nombreux, un peu normaux quand il s’agit d’un samedi après midi, c’était toujours la foule ce jour là surtout accompagné de leur enfant. |
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