Devotion [Maîtres/Soumis]
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 L'écrivain Mystère.

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MessageSujet: L'écrivain Mystère.   L'écrivain Mystère. EmptyJeu 6 Nov - 11:45

L’écrivain Mystère…

Chapitre1 : Nouvelle légende, naissance d’un mystère.



Gabriel Sratck était en train de pianoter sur son ordinateur portable, allongé sur le ventre sur son lit. Il discutait avec ses amis de msn. Il avait de nombreux amis sur Internet, qu’il avait pour la plupart, rencontrés sur des forums de jeux de rôles Boys Love. Pourquoi ce genre de forums ? Mais parce qu’il était homosexuel. D’ailleurs il n’avait toujours pas fait son comming out, et il avait 20 ans. Ses parents ne savaient rien. Il poussa u profond soupire et continua à pianoter sur son ordinateur. Il racontait sa vie à ses amis, tout en gardant un grand secret. Ce grand Secret ? Il était le célèbre écrivain Mystère. Plusieurs raisons faisaient de lui une célébrité. La première cause était justement son anonymat. La seconde raison de sa célébrité était le contenu de ses romans. Des histoires d’amour homosexuelles plus ou moins violents, avec des intrigues derrière bien sûr. En fait, il racontait sa vie en romancée, embellissant pas mal de choses, en en dénigrant d’autres. Pendant qu’il répondait sur ses forums et sur msn, il écrivait également son nouveau roman. Il passa sa main dans ses longs cheveux blonds. Il était très beau, ses yeux étaient d’un vert d’eau magnifique. Il était, sans être narcissique, très beau, beaucoup de filles craquaient pour son corps androgyne. D’ailleurs, son petit ami n’appréciait pas trop que tant de filles s’intéressent à lui. Kurt était très jaloux et très possessif. Il pianotait toujours sur son ordinateur quand on tambourina à la porte de sa chambre.



-Gabriel, tu fais trop de bruit, arrête de jouer avec ton ordinateur ou je te le confisque.



-Oui maman…



Il soupira et dit au revoir à ses contacts msn, puis après avoir sauvegardé son roman, éteignit son ordinateur. Dire qu’il était ici pour être tranquille. Kurt ne pensait qu’à lui faire l’amour. Il n’avait plus le temps d’écrire. Il éteignit la lumière, se déshabilla, puis il se glissa sous les draps. Il dormait toujours nu, une habitude qu’il avait prise au contact de Kurt, et posa une main sur son torse. Kurt lui avait demandé de se faire percer les tétons. Il ne savait même pas encore s’il allait le faire. Il ferma les yeux et s’endormit rapidement.

Quand il se réveilla, il se mit en caleçon et se dirigea vers la salle de bain. Il avait encore fait un rêve bizarre. C’était une bonne idée pour son prochain roman. Son père et sa mère étaient debout, il alla leur dire bonjour, mais ils lui dirent de faire le ménage, car autrement il passerait son temps à s’amuser sur l’ordinateur. Il avait des choses plus importantes à faire… Il en avait assez de ses parents.



-Très bien, je vais partir, et vous ne me reverrez pas..



-Ah ? Gabriel, tu vas faire quoi ? T’es incapable de te gérer tout seul…



-Ne cherchez pas à me retrouver, c’est tout ce que je demande…



Il alla s’enfermer dans sa chambre et prépara ses affaires pendant que ses parents partaient à leur travail respectif. Il appela Kurt pour qu’il vienne le chercher, il laisserait ses petits frères s’occuper pour une fois de la maison. Il bloqua aussi le numéro de ses parents pour les appels, il serait ainsi certain qu’ils ne le joindraient pas. Gabriel était riche grâce à ses livres, tous des best-sellers. Il avait donc une petite maison de plein pied qu’il partageait avec Kurt. Quand ce dernier arriva enfin, Gabriel lui sauta dans les bras, puis il colla ses lèvres contre celles de son petit ami, fermant les yeux d’aide. Il aimait tant Kurt. Ils prirent les bagages du séduisant écrivain Mystère et montèrent dans la voiture. Quand ils arrivèrent à la maison, ils y entrèrent en trombe, et Kurt ferma la porte à clef, regardant Gabriel avec envie. Il le poussa sur le canapé pour monter sur lui ensuite.



-Kurt, s’il te plait, je…



-Chut mon ange, je serais doux et après on discutera, comme tu aimes le faire, et je te laisserais écrire…



-Merci !



Kurt était l’une des deux autres personnes qui savaient qu’il était l’écrivain Mystère, il ne pouvait pas le cacher à l’homme avec qui il vivait, et qu’il aimait. Kurt se pencha sur son petit ami si mignon et l’embrassa doucement, avec passion. Gabriel lui rendit son baiser, mettant ses mains autour de la nuque de Kurt, l’attirant plus près de lui encore. Il écarta les jambes, faisant de petits mouvements de bassin. Kurt et lui-même étaient les héros de ses romans, à travers eux, il exprimait combien son bonheur était immense aux côtés de son petit ami. Il sentit la main de Kurt passer sous son T-shirt. Il sourit et gémit quand il lui pinça un téton.



-K… Kurt…



-Chut mon ange !



Kurt enleva le T-shirt de son amant et lui fit des baisers dans le cou. Il y avait trop longtemps qu’il n’avait pas pu faire sien le corps de son ange blond aux yeux verts d’eau. Puis, il lui embrassa le torse, un torse fin et légèrement musclé. Il lui suçota les tétons pendant qu’il enlevait le bas de Gabriel qui se retrouva rapidement nu, gémissant et tremblant. Kurt sourit et prit sa verge en main. Pressant doucement, il fit des vas et viens tout en continuant ses doux baisers. Gabriel était passif et soumis, il laissait à Kurt le soin de faire de lui ce qu’il voulait. Tout à coup, Gabriel sentit Kurt venir en lui, il poussa un grand cri de douleur et de plaisir. Kurt était si doué, si bon… Son bassin bougeait malgré lui, pour donner un mouvement à Kurt, qu’il suivit tout d’abord avant de prendre un autre rythme plus soutenu, plus violent. Fermant tous deux les yeux, ils s’abandonnèrent au plaisir de la chaire. Un orgasme synchronisé les submergea alors. Gabriel et Kurt se laissèrent tomber de tout leur long sur le canapé, en sueur, respirant difficilement. Kurt se retira et se mit assit près de Gabriel, lui caressant les cheveux. Gabriel n’avait pas la force de se lever et sourit, il aimait que son petit ami lui caresse les cheveux.



-Gaby… Tu te souviens de notre première rencontre ?



-Oui…



Oui, il se souvenait. Ce soir là, il se rendait dans la boite où il allait habituellement. Une boite gratuite pour homosexuels. Il n’avait écrit qu’un livre à cette époque, un best seller. Tout à coup, quatre garçons l’ont encerclé.



-Eh… T’es le beau gosse qui va souvent en boite, c’est ça ?



-Que puis-je pour vous ?



Demanda t’il, essayant tant bien que mal à cacher sa peur.



-Nos copains nous ont largués pour te draguer. Et tu les a rejetés. Nous sommes seuls à cause de toi…



-ça ressemble à un mélodrame, vous devriez écrire les gars.



Un bel homme qui devait avoir tout au plus 5 ans d’écart avec Gabriel venait d’arriver sur les lieux. Il était grand, musclé, ses cheveux n’étaient pas très longs et ondulaient autour de sa tête pleine d’un charme sensuel tel un casque auburn.



-Vous feriez mieux de laisser ce jeune, c’est un conseil.



Trois d’entre eux se rétractèrent, mais le dernier empoigna le bel écrivain. Gabriel cria de douleur car l’autre lui enfonçaient les ongles dans la peau. Alors l’inconnu fonça sur lui tel un félin sur sa proie. Il donna un violent coup de poing à l’homme qui tenait Gabriel puis il s’écroula. Gabriel regarda l’homme qui l’avait sauvé, ce dernier se présenta alors à lui.



-Je m’appèle Kurt, et toi ? Tu vas bien ? Tu veux qu’on aille voir la police ?



Gabriel dit que ça allait maintenant, et qu’il n’avait pas besoin d’aller à la police. Peu à peu, il apprit à connaître Kurt, un étudiant de 6 ans son aîné. Il était étudiant pour être un futur professeur. Et ils commencèrent à sortir ensemble. Gabriel tombait peu à peu sous le charme de Kurt. Gabriel regarda Kurt et répéta.



-Oui, je m’en souviens très bien Kurt…



Ce flash back était un de ses souvenir les plus important, le jour où il avait rencontré l’amour de sa vie. Mais ce n’était pas la raison qui l’avait poussé à écrire. Non, ce qui l’avait poussé à écrire son roman, son tout premier best seller, c’était qu’il avait peur de faire son coming out auprès de ses parents, et il l’avait donc fait à travers des lignes. Même si ses parents ne savaient pas que ce livre parlait de lui, même si ses parents n’avaient jamais lu ce livre. En fait, environ une semaine après la parution de son premier roman, Il entendait des filles qui parlaient d’un nouveau livre, dont l’auteur était inconnu. Et le livre était une véritable merveille. Gabriel en était si heureux.

Kurt se mit en caleçon et embrassa Gabriel qui ne bougeait toujours pas.



-Je vais travailler un peu mon examen… J’espère que tu vas bien écrire d’ici peu… J’ai hâte de voir ce qui arrive aux deux héros.



Gabriel sourit et laissa son petit ami aller dans le bureau pour travailler. Lui, il attendit un peu et alla se promener en slip dans la maison. Il avait faim, et grignota quelque chose avant de commencer à écrire son roman. C’était étrange de se retrouver de nouveau dans sa maison, et aucun coup de téléphone de ses parents. Ils ne s’inquiétaient donc pas ? C’était pas son problème, ses parents l’exploitaient, et ses petits frères aussi, parce qu’il était le plus faible physiquement. Mais ses capacités intellectuelles étaient au-dessus de la moyenne. Il commença alors son roman, c’était bien, il se sentait libéré des contraintes de sa famille, et Kurt, bien qu’un peu bordelic, faisait quand même en sorte que la maison ne ressemble pas à un champ de ruine. C’était mieux que ses parents qui ne comptaient que sur lui pour faire le ménage. Gabriel écrivait rapidement, ses idées, et son talent s’affichant sur des pages blanches qui devenaient rapidement noires de lettres. Il travailla pendant trois heures, Kurt était toujours enfermé dans le bureau quand il arrêta d’écrire. Il savait que le travail de son copain était très important pour lui, donc il sortit, laissant un petit mot sur la table du salon, et alla acheter un repas chinois pour le soir. Quand il revint, il vit Kurt dans le canapé, et il se retourna en entendant son amant arriver. Gabriel posa le repas sur la table et alla enlacer son copain. Ce dernier l’enlaça à son tour et l’embrassa, l’attirant contre lui. Kurt avait de nouveau envie de lui faire l’amour, et cette fois ci, il reprendrait les vieilles habitudes. Il aimait prendre Gabriel violemment, il était un peu sadique. Ça ne déplaisait pas vraiment à Gabriel, mais il préférait quand même la douceur. Gabriel laissa faire son petit ami, il était doué pour lui donner un maximum de plaisir. Kurt était doué de ses mains, tout en déshabillant Gabriel, il lui mordillait les tétons, et lui caressait le corps. Gabriel avait les yeux fermés de plaisir. Il était aux anges, et quand il fut totalement nu, et complètement excité, Kurt serra fermement sa verge, le retourna et le pénétra avec une certaine violence. Gabriel cria de plaisir et de douleur, il ne pouvait pas éjaculer, et Kurt prenait du plaisir à aller et venir en lui. Kurt lâcha alors sa verge et Gabriel pu éjaculer à son aise, sentant Kurt venir en lui également. Gabriel ne pouvait plus bouger, il avait mal, et il était fatiguer. Kurt le porta et l’allongea sur le lit, légèrement en position assise et alla chercher le repas. Puis il donna le repas à Gabriel, comme à quelqu’un de malade. Il avait honte d’être si faible après que Kurt lui faisait l’amour. Il mangea quand même ce repas que lui donnait Kurt si gentiment.
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MessageSujet: Re: L'écrivain Mystère.   L'écrivain Mystère. EmptyDim 11 Jan - 18:28

Nouveau surveillant, nouveau roman, nouveaux problèmes.





La rentrée avait eut lieu, et avec un nouveau livre de Gabriel qui était sortit. Encore un best seller. Tout le monde parlait autour de lui de ce nouveau livre qui faisait sensation. Il y avait des rumeurs qui disaient que l’écrivain mystère était une femme assez jeune pour pouvoir écrire sur ce genre de sujet, mais assez vieille quand même pour avoir un style si exceptionnel. Mine de circonstance, Gabriel n’affichait rien. Jusqu’à ce qu’il entende qu’un nouveau surveillant était là cette année, un gars super mignon. Gabriel voulait voir de quoi il retournait, très curieux de nature. Tout à coup, il sentit des mains sur sa taille, remonter et se poser sur ses yeux. Ces mains, il les connaissait.

-Kurt ? Que fais tu ici ?

-Tu entends parler d’un super beau gars et tu fonces voir à quoi il ressemble ? Encore une chance que ce gars, c’est moi, autrement, j’aurais été jaloux.

-Toi ? Alors ton boulot, c’est…

Kurt sourit et lui fit un câlin affectif, il ne devait pas être trop démonstratif, mais tout le monde les regardait quand même. Gabriel rougit et soupira. Avec Kurt qui ne savait pas retenir ses instincts, il ne serait pas tranquille, tout le monde saurait qu’il était homosexuel, ET avec le nouveau surveillant. Il regarda Kurt.

-Si on nous pose la question, nous sommes cousins, d’accord ?

Gabriel n’était pas beaucoup aimé ici, il était trop beau pour être un mec, et tout le monde l’appelait " mademoiselle " . Il était habitué, mais Kurt voudrait le " venger " si on lui parlait mal, et il connaissait le caractère violent de son copain.

-Si tu veux, mais le soir, à la maison, on s’amusera tous les deux…

Tout à coup, il sentit son portable vibrer. Il regarda qui l’appelait, c’était son éditrice. Il décrocha et s’excusa auprès de son copain.

-Oui Hélène ? Pourquoi m’appèles tu ?

-On m’a demandé si tu voulais faire une interview, mais j’ai dis qu’il faudrait que tu gardes ton anonymat, même pour eux…

-Où est-ce que ce sera ? Et quand ?

-Vendredi, à 18h30…

-Je sortirais de sport… Il y a une douche la bas que je ne pue pas trop ?

-Tu prends trop soin de toi Gabriel… Oui, il y en a une… mais comment va t-on faire pour ton anonymat ?

-Je m’en occupe, ne t’inquiète pas…

Il raccrocha et regarda son copain. Il soupira et sortit le dernier livre qu’il avait écrit. Il aimait bien se relire, et bien sûr, c’était à chaque fois une édition limitée qu’il avait, avec une dédicace. Des filles l’interpellèrent et lui demandèrent comment il trouvait ce livre, qu’elles avaient adoré. Il était content d’apprendre que son livre plaisir, et fit un petit sourire, répondant qu’il aimait beaucoup le style. Gabriel alla chercher sa classe et se rendit compte qu’il se retrouvait dans la même classe que son premier amour, qui ne voulait en aucun cas parler de lui. Il soupira et se mit assit, son livre ouvert devant lui, attendant que tout le monde soit là. Il aperçut du coin de l’œil son petit ami et soupira. Jaloux et possessif, c’était la raison de sa présence ici, plus que dans un autre établissement. Les présentations commencèrent, les nouveaux professeurs, le nouveau surveillant, les nouvelles règles. Il avait son livre posé devant lui quand la professeur de français s’approcha de lui et regarda son livre, avec un sourire.

-Tu lis déjà ce livre ? C’est bien, nous allions l’étudier cette année…

Gabriel tressaillit, puis sourit, il avait hâte de voir la théorie qu’elle avait mit en place sur la raison qui l’avait poussé à écrire telle ou telle phrase. Ça risquait d’être vraiment intéressant. La fin de la journée, Kurt n’était pas encore là, il devait finir sa journée. Gabriel était donc assit sur un banc, l’attendant quand il vit les trois hommes qui avaient voulu le violer. Il se mit à trembler et chercha à se cacher, ce qui attira l’attention des trois hommes qui s’approchèrent de lui et l’encerclèrent.

-Tu es seul cette fois, nous allons te faire comprendre ta douleur…

-Mais je n’ai rien fais…

Pour le faire taire, ils lui mirent un coup de poing dans le ventre. Pourquoi persistaient-ils à s’en prendre à lui ? Ils l’emmenèrent dans une petite allée sombre entre les établissements, et le déshabillèrent. Il pleurait, de honte, de peur, de douleur… Il entendit alors qu’un des garçons parlait. Il disait que ça ne plairait pas au " chef " s’ils s’en prenaient à son " chouchou " sans son autorisation. De quoi parlaient-ils ? En pleurs, Gabriel se fit violemment prendre par trois garçons, et il resta allongé par terre, recroquevillé sur lui-même, attendant qu’on le voie, qu’on l’entende. Kurt qui ne l’avait pas trouvé vint le voir après un moment et le vit allongé par terre, dans un piteux état. Il prit son long manteau et le posa sur lui, puis le déposa dans sa voiture, allongé à l’arrière. Kurt l’emmena à la maison et le déposa sur le canapé pendant qu’il faisait couler un bain. Puis il le lava dans l’eau chaude, et Kurt coucha ensuite son petit ami dans le lit. Gabriel avait autant de réaction qu’un ramollos dans Pokémon. Kurt s’inquiétait, son petit ami ne parlait pas du tout. Alors, il le regarda droit dans les yeux et lui dit.

-Ce n’est pas en restant dans le mutisme que ça va s’arranger, parle moi en, au moins à moi, ou alors à Hélène…

Gabriel ne bougeait plus, le fait même de respirer était très dur pour lui. Kurt le prit de nouveau dans ses bras et le déshabilla puis le mi dans l’eau chaude. Gabriel sembla alors se réveiller de sa torpeur, mais il était prit de tremblements convulsifs. Kurt le maintenait pour qu’il ne se fasse pas mal. Puis Gabriel se mit à pleurer dans les bras de Kurt, disant des mots que le surveillant ne comprit pas tout de suite.

-Chef… pas dire… Chouchou… pas dire… autorisation…

-Chut… mon amour, je suis là…

Gabriel se rendit alors enfin compte de la présence de Kurt près de lui. Il se colla à lui, le mouillant au passage. Kurt lui caressait le dos doucement pour le calmer, mais ce qu’avait dit son petit ami commençait à avoir un sens pour lui. Ils n’avaient pas osé… Si c’était eux qui avaient violé Gabriel, il leur ferait regretter. Il sortit l’écrivain de l’eau et le mit au lit, le couvrant pour qu’il n’attrape pas froid. Puis il lui murmura qu’il devait sortir. Gabriel remua, il ne voulait pas que son petit ami parte, il ne voulait pas être séparé de lui. Mais Kurt partit tout de même. Gabriel se leva difficilement et suivit son petit ami sans que celui-ci s’en doute. Kurt alla dans une ruelle qu’il connaissait bien, et toqua à une porte. On lui demanda un mot de passe.

-Crétin, c’est moi, Kurt…

-Ah pardon chef, je vous avais pas reconnu. Entrez…

La porte s’ouvrit sur Kurt, et Gabriel reconnu l’un de ses violeurs… Non, c’était impossible, pas Kurt, pas son Kurt… Il s’approcha et vit une lumière vers le sol. Une fenêtre ouverte, où il pouvait entendre la voix de Kurt. Il écouta alors la conversation.

-Je vous avais demandé de ne pas toucher Gabriel il me semble…

-Mais chef, il est si tentant…

-Pas de mais… Je vous avais demandé de faire semblant de l’agresser pour que je puisse m’approcher de lui… Vous serez punis tous les trois.

Gabriel ne tint plus et cria par la fenêtre.

-Tu m’as menti, tu as osé me mentir… Je te hais Kurt, ne t’approches plus jamais de moi, tu m’entends ?

Puis il partit en courant jusque chez lui et ferma tout à clé, même le verrou. Il ne voulait pas que Kurt rentre, ce qu’il essaya de faire d’ailleurs. Il téléphona alors à Hélène.

-Aides moi Hélène… Kurt veut me faire du mal…

-Je viens te chercher… Tu viendras chez moi cette nuit, et demain, nous irons ensemble pour l’interview… Tu as trouvé un moyen pour pas qu’on sache que c’est toi l’écrivain Mystère ?

-Oui… dépêche-toi Hélène.

Au bout de dix minutes, Hélène arriva en compagnie de la police. Kurt partit, jurant que Gabriel lui reviendrait. Hélène prit son protégé dans ses bras et le réconforta doucement. Elle l’emmena chez elle et il dormit sur le canapé, ne voulant pas la déranger plus qu’il ne l’avait fait.
Le lendemain, Gabriel et Hélène allèrent au studio pour l’interview. Ils se dirigèrent vers l’endroit de l’interview et se rendirent compte qu’il s’agissait d’un studio télé. Quelle plaie, Gabriel n’aimait pas parler à la télé. Mais bon, il devrait faire avec. Ils entrèrent dans le studio, et une journaliste se précipita sur eux, et leur serra la main. S’adressant à Hélène, elle sourit et demanda.

-Alors c’est vous l’écrivain Mystère ?

-Non, l’écrivain Mystère n’a pas pu venir, elle a donc envoyé son sujet d’inspiration à la place, qui vous parlera aussi bien qu’elle de ses livres.

-Bonjour, je m’appèle Gabriel…

Gabriel passa sa main dans ses cheveux en soupirant. Il espérait que cette histoire se passerait bien.

-Très bien… Allons nous asseoir, l’émission va commencer…

-Je vous suis…

La journaliste alla s’asseoir dans un fauteuil confortable. Devant elle se trouvait une petite table avec les romans de Gabriel, et un autre fauteuil. Gabriel s’assit dans le second et attendit que l’émission commence. Dés qu’elle débuta, la journaliste commença alors à parler.

-Bonjour nous sommes rassemblés ici pour parler de l’écrivain Mystère ainsi que de ses livres. Elle s’excuse, elle est très occupée, mais son sujet d’écriture a bien voulu venir à sa place. Gabriel… Bonjour…

-Bonjour…

-Bien, Gabriel, dites-nous tout, qui est l’écrivain Mystère, comment la connaissez-vous ?

-Nous sommes amis d’enfance… Mais je ne vous dirais rien d’autre sur elle, si elle voulu gardé son anonymat, c’est pour une bonne raison.

-A t-elle un surnom, plus court que l’écrivain Mystère ?

-Oui… je l’appèle… Ange…

Ce nom lui était venu comme ça, pourquoi Ange, il ne savait pas, mais bon, ce n’était pas un problème. L’interview continua une heure sur son nouveau roman. Il annonça que les deux héros allaient se séparer dans le prochain roman, car lui et son petit ami étaient séparés désormais.
Il rentra enfin chez lui et fit changer les serrures pour être tranquille. Il ne savait pas encore s’il devrait retourner en cours ou pas, il ne voulait pas y voir Kurt.
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MessageSujet: Re: L'écrivain Mystère.   L'écrivain Mystère. EmptyMer 8 Juil - 11:33

Chapitre 3 : nouveau petit ami, nouvelle célébrité


Kurt l’avait trahi, il avait provoqué leur rencontre, Gabriel souffrait, son cœur s’était brisé. Kurt était seulement intéressé par son argent et des parties de jambe en l’air. Il était en cours et soupirait sans arrêt. Son ex était toujours surveillant, et cherchait à s’excuser, disant qu’il l’aimait. Mais Kurt l’avait tellement blessé qu’il ne voulait plus en entendre parler. Il quitta rapidement, regardant autour de lui, il n’avait plus confiance, il voulait déménager, partir loin de Kurt, loin de ses violeurs. Il décida d’aller en ville, au milieu de beaucoup de monde il ne serait pas en danger. Il lisait un de ses livres en marchant, il aimait faire ça. Tout à coup, il sentit une main sur son épaule, et une voix masculine avec un accent anglais l’interpellait.

-Bonjour… Tu connais Ange ?

Gabriel ferma son livre et regarda qui lui parlait. Il ouvrit la bouche en découvrant devant lui un homme connu, un acteur, s’appelant Bruno Lacroix. Il déglutit difficilement et rougit légèrement. Il trouvait cet homme tellement sexy avec sa chemise ouverte, montrant son poitrail puissant. Il lui répondit alors.

-Je… Je la connais oui… mais…

-Peux tu me la présenter ? S’il te plait, c’est important !

-Je… Allons dans un endroit plus discret si vous voulez bien, autrement on va nous suivre.

-Je te suis… Gabriel, c’est bien ça ?

Gabriel ne demanda pas comment il le connaissait. Tout le monde savait qu’il était le model de l’écrivain Mystère, Ange. Gabriel l’emmena dans une petite rue éclairée, il n’aimait pas les ruelles sombres, après avoir vérifier qu’il n’y avait personne.

-Que lui voulez vous ?

-La rencontrer… lui parler, lui poser des questions…

-Ange tient beaucoup à son anonymat…

-Je ne dirais rien, je comprends qu’Ange y tienne, vivre dans l’anonymat est un luxe que beaucoup de célébrités ne peuvent s’offrir…

-C’est pour cette raison que J’AI choisi cet anonymat.

-Quoi ??? Tu es Ange ? Moi qui croyais que Ange était une femme…

-Comme beaucoup de monde… Quelles sont vos questions ?

-Je… Ange… Gabriel… Pourquoi ? Pourquoi depuis que j’ai lu tes livres, les femmes ne me font plus aucun effet ?

-C’est que vous êtes un homosexuel refoulé…

-Ah oui ? Alors, et toi tu es…

-Bien sûr, tout le monde autour de moi sait que je suis gay, sauf mes parents… peut-être…

-Et tu…

Bruno ne finit pas sa phrase et embrassa Gabriel. Ne s’y attendant pas du tout, ce dernier ne réagit pas tout de suite, puis repoussa l’acteur. Bruno regarda l’écrivain et se confondit en excuses, disant que Gabriel était si beau qu’on ne pouvait pas résister à l’envie de l’embrasser et de le faire sien. Gabriel le regarda un instant, puis baissa la tête en rougissant. Un homme faisant partie du top ten des hommes les plus sexy de la planète lui disait qu’il était beau. Il leva alors son regard pétillant vers Bruno et l’embrassa à son tour, l’acteur répondant à ce baiser et le serrant dans ses bras, lui caressait le dos doucement. Quand le baiser cessa, Gabriel avait retrouvé la joie de vivre, et il avait un large sourire aux lèvres. Au moins, s’il sortait avec Bruno, ce dernier n’en aurait pas après son argent. Il lui demanda de le suivre chez lui. Bruno sourit et suivit Gabriel qui l’invita à entrer. Peu après, ils parlèrent d’eux autour d’une bonne bière. Il était content de savoir tant de choses sur cet acteur reconnu. Puis, ils se retrouvèrent bouche à bouche, s’embrassant avec passion. Gabriel se disait que ce n’était qu’une histoire d’une nuit, après tout, Bruno était une star qui n’était pas certain de sa sexualité. Gabriel guida Bruno pendant leur rapport, car ce dernier n’avait apprit que dans les livres comment faire l’amour à un homme. Mais il était extrêmement doué, et Gabriel prenait son pied. Puis Gabriel s’endormit dans les bras de l’acteur. Le lendemain, alors que son réveil sonnait, il vit que Bruno était toujours là, et il préparait le petit déjeuné. Gabriel rougit, se leva, prit une douche et s’habilla, puis enfin, alla dire bonjour à Bruno qui le prit dans ses bras et l’embrassa sur la bouche à la plus grande surprise et au plus grand bonheur de l’écrivain.

-Bonjour Gabriel, bien dormi ? Tu as cours aujourd’hui, c’est bien ça ?

-Oui ! Et mon ex est surveillant là bas, et il veut se remettre avec moi.

-Tu veux que je t’accompagne ?

-Non ça ira ! Mais… que vas-tu faire pendant ce temps ?

-Je vais faire semblant de chercher encore Ange… Et je viens te chercher à ton établissement, je suis inquiet après ce que tu m’as raconté…

Gabriel rougit, une star internationale qui s’inquiétait pour lui, un simple gay androgyne. Il sourit et mangea le petit déjeuné anglais de Bruno. C’était très bon, il regarda l’heure et s’affola, il allait arriver en retard. Il prit ses affaires, donna un double des clefs à Bruno en l’embrassant, et partit au pas de course de chez lui. Il ne voulait pas être obligé d’aller au bureau des surveillants et de voir Kurt. A la fin de la journée, il entendit les filles glousser et crier leur joie de rencontrer Bruno Lacroix. Il se fraya un chemin dans la foule. Bruno le vit et lui prit la main pour ensuite le prendre dans ses bras, cherchant des yeux Kurt. Les filles furent déçues, il n’y en avait que pour Gabriel. Bruno mit l’écrivain dans sa voiture et ils partirent. Ils entrèrent enfin dans la maison et Gabriel vit qu’elle était mieux rangée que s’il ne l’avait fait. Bruno était remarquable. Ce dernier l’enlaça, posant ses mains sur son ventre et lui embrassa la nuque, ce qui fit frissonner Gabriel. L’écrivain se retourna dans ses bras et plaça ses mains sur sa nuque pour l’embrasser doucement. Quand le baiser prit fin, Bruno regardait l’écrivain avec amour. Gabriel en fut ébranlé et lui dit :

-Tu es… vraiment amoureux de moi ?

-Bien sûr… Tu ne me crois pas ?

-Mais on se connaît seulement d’hier…

-Je suis tombé amoureux de toi dés que je t’ai vu à la télé… C’était aussi pour te voir que je suis venu.

Gabriel sentit son cœur s’emballer, et il embrassa l’acteur qui répondit avec passion, passant ses mains sous le pull de Gabriel. L’écrivain frissonna de froid et de plaisir car Bruno lui pinçait doucement les tétons. Puis Bruno utilisa sa bouche et là, Gabriel gémit. C’était si bon, et il ne lui touchait que le haut du corps. Gabriel enleva le haut de son nouveau petit ami, aidé par lui. Puis il lui caressa à son tour le torse. L’acteur était musclé, avait un peu de poils en dessous du nombril et avait la peau mâte. Et ce corps magnifique se donnait à lui. Son excitation se fit voir, et Bruno posa sa main sur la verge de son petit ami et caressa avant d’ouvrir son pantalon, de le baisser et de faire suivre le même chemin à son slip pour libérer l’érection de Gabriel. Puis il la prit en main en la faisant grossir encore plus, sous les gémissements de plus en plus puissants de l’écrivain. Bruno allait se déshabiller quand on tambourina à la porte.

-Gabriel ouvre-moi, ne me laisse pas seul… je t’aime…

Bruno soupira, embrassa Gabriel lui disant de rester là, et il alla ouvrir la porte. Il se plaça devant Kurt qui essayait d’entrer. Quand Kurt vit Gabriel allongé sur le canapé, nu comme un ver, il comprit qu’il l’avait perdu, mais il se jura qu’il le récupèrerait un jour. Il regarda son ex, puis l’acteur et leur dit qu’un jour ou l’autre, Gabriel reviendra à lui. Bruno lui claqua la porte au nez et retourna vers Gabriel qui tremblait. Ce dernier savait de quoi était capable son ex. Bruno lui caressa doucement le dos pour le calmer. Gabriel se blottit contre Bruno, murmurant qu’il était désolé. Gabriel n’étant plus excité, ils s’arrêtèrent là et Gabriel montra à Bruno son prochain roman. Bruno lu ainsi le chapitre un pendant que Gabriel écrivait le chapitre suivant. Quand Bruno finit, il dit à Gabriel qu’il aimait beaucoup et qu’il voulait savoir ce qu’il allait se passer. Gabriel s’arrêta à la fin de son paragraphe et il se leva. Il entraîna Bruno pour sortir un peu en ville. Au grand malheur de Gabriel, toutes les filles qu’ils croisaient se précipitaient sur Bruno pour le prendre en photo, lui demander des autographes et autres. Bruno le vit, le prit dans ses bras et l’embrassa passionnément, sous le regard effaré de ses fans, et sous les flashs des paparazzi. Gabriel rougit et se cacha le visage pour qu’on ne l’identifie pas, enfin, il était quand même trop tard. Le pauvre écrivain avait toujours fuit la presse, et maintenant, il allait se faire poursuivre car il sortait avec une star de cinéma. Bruno amena Gabriel à un café pour qu’ils soient seuls, en couple. Enfin, seul à seul avec une star était impossible. Bruno avait la main de Gabriel dans la sienne et la lui caressait avec son pouce. Il buvait un café liégeois tandis que son jeune compagnon buvait un simple chocolat chaud. Etre le centre d’intérêt de bien des regards gênait énormément le jeune écrivain qui était rouge pivoine. Il regarda Bruno et lui implora de partir, de rentrer à la maison. Bruno accepta et entraîna Gabriel dans un lieu plus privé, une petite ruelle, et l’embrassa. Gabriel trembla, les petites ruelles lui faisaient peur après ce qu’il s’était passé. Il regarda Bruno qui comprit et le ramena à la maison.

-Je suis désolé mon amour, j’avais oublié qu’on t’en avait fait baver dans des ruelles.

-Ce n’est rien Bruno, je t’excuse…

Gabriel se déshabilla et alla prendre une douche. Bruno le suivit du regard avant de l’y rejoindre. L’écrivain rougit en le voyant, puis se blottit contre lui. L’acteur l’embrassa et lui caressa le dos doucement, faisant frissonner son petit ami. Puis peu à peu, il descendit sa main pour la poser sur ses fesses. Gabriel sursauta puis commença à caresser le torse de Bruno. Quand Gabriel sentit un doigt puis deux s’introduire en lui, il poussa un léger gémissement de plaisir, se blottissant et haletant contre son amant. Peu après, Bruno lui leva la jambe pour mieux pénétrer Gabriel qui griffa le dos de l’acteur pendant leurs ébats frénétiques sous la douche. Bruno lui laissa, quant à lui, des marques dans le cou. Quand ce fut fini, Gabriel et Bruno s’installèrent sur le canapé, l’écrivain sur les genoux de l’acteur, et Gabriel continua son roman, il parlait dedans du futur petit ami de son héros, vu qu’il s’était séparé de son copain qui était en fait le fils d’un chef de la mafia. Gabriel aimait bien être ainsi, il ne lui manquait plus qu’une famille…

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MessageSujet: Re: L'écrivain Mystère.   L'écrivain Mystère. EmptyMer 8 Juil - 11:34

Chapitre 4 : nouvel arrivant, nouveaux désirs




Voilà un an que Gabriel et Bruno étaient ensemble et ils étaient toujours aussi amoureux l’un de l’autre. Seul petit ennui, à cause de son travail, Bruno n’était pas souvent aux côtés de son amant. Mais Gabriel avait ses cours et son travail. Kurt ne s’était toujours pas manifesté, et Gabriel s’attendait toujours à le voir à chaque coin de rue. Depuis peu, Gabriel avait une envie… Une envie d’enfant… Et il avait fait des démarches pour adopter une petite fille. Il savait que ce n’était pas pour l’immédiat, mais il avait un autre désir également. Bien qu’il ait du mal à se faire à cette idée, les ébats violents avec Kurt lui manquaient. Bruno était toujours gentil, peut-être même trop. Donc dans l’après-midi, il allait prendre rendez-vous pour augmenter les ébats de Bruno, il allait se faire percer les tétons. Il savait que ça ferait mal, mais par la suite, ça servirait pour une vie sexuelle encore plus exaltante. Il rangea ses affaires de cours d’un geste las et sortit son nouveau roman. Son professeur de français lui fit signe de le suivre. Même pas le temps de lire. Gabriel poussa un soupire et suivit son professeur.

-Gabriel, j’aimerais rencontrer Ange… je…

-Je suis désolé, mais elle ne peut vraiment pas.

-C’est son nouveau livre que tu as en main, non ? J’ai voulu l’acheter, mais tous les magasins où je suis allé étaient en rupture de stock.

-Elle m’en donne toujours un, quand j’aurais fini de le lire, je… je vous le prêterais…

-Merci Gabriel.

De bonheur, son professeur posa ses lèvres contre les siennes, et Gabriel le repoussa et essuya ses lèvres… Puis il partit en courant. Il avait de retourner en cours de français désormais. Il marcha rapidement, ne se rendant pas compte qu’on le suivait. Il trouva un magasin qui avait l’air plutôt pas mal et alla prendre rendez-vous. Quand il sortit pour aller voir le nouveau film de son amant, la personne qui le suivait entra dans le magasin. Il s’agissait de Kurt qui voulait avoir Gabriel, de gré ou de force. Et là, ce sera de force.

-Excusez-moi… Pouvez-vous ajouter un petit quelque chose à ce que vient de demander ce jeune homme qui vient de partir ?

-Je ne sais pas…

Kurt sortit une liasse de billets et le vendeur accepta.

-Bon, voilà ce que vous allez faire…

Et Kurt lui expliqua ce qu’il attendait de lui.
Alors que Gabriel regardait le film au cinéma bien seul, il vit qu’on l’appelait. C’était l’agence d’adoption. Il sortit de la salle et répondit.

-Oui, Gabriel Sratck à l’appareil.

-Bonjour, nous avons une enfant qui correspond à vos critères, quand voulez vous venir ?

-Samedi après-midi, cela vous convient-il ?

-Parfait…

Gabriel, heureux, entra dans la salle de cinéma sans se douter de ce qui se tramait dans son dos. Il rentra heureux chez lui à la fin du film. Son téléphone sonna un peu plus tard, c’était Bruno. Il décrocha, un large sourire aux lèvres.

-Bonjour mon amour…

-Bonsoir Bruno… Quand rentres-tu ?

-Euh… Le film va durer plus longtemps que prévu, tu peux venir lundi ici ?

-Si tu veux… Mais… j’aurais des surprises pour toi mon amour…

-Des surprises ? J’ai hâte à lundi alors… Je te laisse mon ange, dors bien. Je t’aime.

-Bonne journée, je t’aime aussi. Au revoir.

Et il raccrocha, le cœur léger. Le lendemain, après les cours, il se dirigea vers le magasin de la veille, s’étant préparé à la douleur à venir. Arrivé, L’homme lui dit de se mettre à son aise et de se mettre torse nu. Gabriel se mit assit sur un fauteuil confortable, et enleva le haut. L’homme lui dit qu’il devait faire pointer ses tétons, car ce serait mieux. Gabriel se toucha donc pour qu’ils pointent, et quand ce fut fait, il détourna le regard pendant que l’homme lui perçait les tétons. Il gémit de douleur, se mordillant les lèvres, les yeux fermés. Il soupira, c’était fini, il avait choisit des boucles avec une petite clochette au bout. Bruno l’entendrait quand il lui ferait l’amour. L’homme lui dit qu’il devrait faire tourner les pierçings pendant un temps, le temps de la cicatrisation, et qu’après, il pourrait s’en servir pour de bon, tirer dessus s’il voulait. Gabriel sourit et paya l’homme puis sortit après s’être rhabillé. C’était étrange de sentir ces anneaux sur lui. Il passa sa main dessus, à travers sa chemise. Il gémit doucement, et plaqua ses mains sur sa bouche. Tout le monde le regardait. Il rentra vite chez lui, et se déshabilla pour prendre un bain. Il se regarda dans le miroir, et s’admira. Il fit tinter une clochette pendant que l’eau coulait. Tout à coup, il entendit la porte d’entrée s’ouvrir, il regarda vers la porte qui s’ouvrit sur Kurt. Il avait un boîtier à la main, et les yeux baladeurs sur le corps nu et si excitant de son ex petit ami.

-Kurt, sors d’ici tout de suite, je ne veux pas que tu viennes… Ne me regarde pas.

Gabriel tenta de cacher son corps, mais il vit que Kurt tournait un bouton sur son boîtier. Alors il vit les clochettes à ses tétons se lever peu à peu, comme attiré par l’inox, et pour ne pas qu’ils soient arrachés, il les suivit. Il tenta de se décrocher, mais il n’y arrivait pas. Il était à genoux, le torse collé au mur, les fesses en l’air. Il sentit la main de Kurt parcourir son échine, et il frissonna. La voix de Kurt se fit entendre doucement à son oreille.

-Tu oses te faire percer pour un autre, alors que je te l’ai si souvent demandé ?

-Laisses-moi Kurt, laisse-moi tranquille… Sors d’ici…

IL sentit alors un doigt le pénétrer, et il tenta de donner un coup de poing, mais Kurt le bloqua, et mit son bras dans son dos.

-Ne me forces pas à te faire mal mon amour… Je te veux pour moi… Ne me laisse pas pour cet acteur lubrique…

Il enfila un second, puis un troisième doigt en Gabriel, qui gémit, bien malgré lui, de plaisir. Kurt avait toujours été si doué avec lui, pour lui faire l’amour. Mais il ne voulait pas que Kurt le touche. Il tenta les coups de pieds, il tenta de se débattre comme il le pouvait, mais rien ne marchait. Kurt enleva enfin ses doigts, qu’il remplaça par sa verge, jouant en même temps avec celle de son ex. Gabriel gémit de plaisir et de douleur, les mouvements de Kurt en lui étaient puissants et brusques.

-Kurt, s’il te plait, ne… ne fais pas ça…

Mais Kurt continua de plus belle, jusqu’à ce qu’il jouisse, mais il ne se retira pas tant que Gabriel n’avait pas jouis à son tour. Il lui laissa un suçon sur la nuque et se retira enfin, il retourna vers son boîtier et libéra Gabriel, qui tomba à genoux dans l’eau, haletant.

-Kurt… pourquoi ? Comment ?

-Pourquoi ? Parce que je t’aime, et que je te veux pour moi, et comment ? C’est simple, il y a un aimant dans tes pierçings et ils sont contrôlés par ce boîtier. Je te le laisse si tu veux t’amuser, j’en ai un autre à la maison, plus puissant que celui-ci. A bientôt mon amour, je reviendrais jouer un peu avec toi…

-Pas question, ne t’approche plus de moi…

Kurt sourit et partit de la maison, en fermant bien derrière lui. Gabriel était effondré, et pleurait, les genoux repliés contre sa poitrine douloureuse. Il ne put rien faire de la journée, ni manger, ni dormir.
Le lendemain après midi, il dut prendre sur lui pour aller voir celle qui allait devenir sa fille. La demande expresse qu’il avait faite était qu’elle ne devait pas avoir d’aversion pour les hommes, et particulièrement pour les hommes en couple, et c’était à peu près tout. Il arriva à l’orphelinat et entra. Le directeur l’accueillit en personne. Il lui parla d’une petite fille 6 ans, nommée Victoria, pas très sociable, mais qui aimait beaucoup lire les livres de Ange. Il eut un petit sourire et demanda à la voir. Le directeur l’amena à la bibliothèque. Il vit alors une jeune fille rousse, assise à même le sol, qui lisait un livre. Elle était entourée de nombreux livres. Il s’approcha doucement de la jeune fille en souriant.

-Bonjour Victoria, je m’appèle Gabriel

L’enfant leva les yeux vers lui, un petit sourire aux lèvres, et retourna à sa lecture. Gabriel sourit à cette réaction, il avait exactement la même. Il sortit de son sac son nouveau roman et le tendit à la jeune fille.

-Voici le dernier livre de Ange… Il sort demain… Tu veux lire ?

-Où l’avez vous eut ?

-Je t’expliquerais quand on sera chez moi ma belle, tu veux bien habiter chez moi ?

-Vous êtes qui ?

-Gabriel Sratck. Je suis le modèle d’Ange…

L’enfant ouvrit la bouche, puis la referma, se leva et prit la main de Gabriel.

-Je vais rencontrer Ange dis ?

-Bien sûr… Va prendre tes affaires, on va chez moi…

L’enfant courut chercher ses affaires, constitués de quelques vêtements, une peluche et des livres. Il décida qu’il aimait bien l’enfant, et qu’il en ferait quelqu’un de bien. IL prit ses bagages, et marcha avec elle qui tenait sa peluche et quelques livres.

-C’est encore loin ?

-Non, nous sommes presque arrivés, je…

Gabriel s’arrêta net, des personnes qu’il avait voulu oublier se trouvaient face à lui.

-Papa ? Maman ? Guillaume ? Maxence ? Que faites-vous là ?

-Gabriel, que vas-tu faire avec cette petite fille ?

-Ce ne sont pas tes oignons ! Suis-moi Victoria.

-Oui…

La mère de Gabriel n’en revenait pas, pas lui, pas son fils… Il ne pouvait pas. Elle appela la police, un gros poids sur le cœur.

-Allô, la police ? Mon fils aime les petites filles, je ne veux pas qu’il leur nuise, pouvez vous venir ?

Gabriel arriva chez lui, et dit alors à sa charmante fille adoptive.

-Va prendre un bain, et lundi, nous partons en Amérique.

Il sourit et laissa la petite fille aller dans la salle de bain. Il soupira, et alla poser les affaires de Victoria dans la chambre qu’il lui avait préparée. IL entendit alors la police à travers un haut-parleur. Dehors, des voitures de police encerclaient sa maison, une policière, toute jeune, était assise dans une voiture et regardait un magasine people tout en mâchant un chewing-gum. Elle remarqua alors à une page la maison encerclée et alla voir la mère de Gabriel et le chef de l’intervention.

-Dites, ce serait pas cette maison là ? Si oui, le gars qui habite là n’aime pas les petites filles, c’est un gay qui s’affiche ouvertement avec des hommes. C’est le petit ami de Bruno Lacroix.

-Ne dites pas de bêtises, si mon fils était gay, je l’aurais su. Je suis sa mère…

Gabriel sortit, ayant entendu la conversation et amena une photo de lui, dans les bras de Bruno, l’embrassant.

-Merci de cette visite et ne revenez pas, merci… Je viens d’adopter Victoria, je vais pas en faire un jouet… Si vous voulez bien m’excuser, je dois aller préparer mes bagages, je vais bientôt partir en voyage…

Il rentra chez lui en reprenant la photo, et vit la petite fille sortir de la salle de bain, enveloppée dans une serviette, qui regardait Gabriel. Il s’accroupit près d’elle et lui caressa doucement le visage.

-Vicky… Je suis Ange… C’est moi qui aie écrit tous ces livres, mais tu gardes ça secret, d’accord ?

-D’accord… Mais… Dis… Je peux t’appeler « papa » ?

-Non, je suis plus féminin que masculin, même si mon corps est indéniablement celui d’un homme. Non, appèles moi plutôt « maman » !

-D’accord maman…

L’enfant se mit à rire de bon cœur, et alla se sécher et s’habiller pour mieux lire le roman de celui qui était désormais sa maman.

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MessageSujet: Re: L'écrivain Mystère.   L'écrivain Mystère. EmptyMer 8 Juil - 11:35

Chapitre 5 : Nouveau pays, nouveaux soupirants



Aujourd’hui, lundi matin, Gabriel et Victoria sa fille prennent l’avion. La petite fille est très excitée, elle saute partout, court partout. L’écrivain a du mal à la tenir. Mais il comprend son excitation. Ils allaient tous les deux faire leur baptême de l’air. Ils sont tous deux en première classe. Pour calmer l’enfant, Gabriel lui prête son ordinateur pour qu’elle s’amuse avec. Mais Victoria lit le nouveau roman de l’écrivain. Gabriel ferme les yeux et s’endort. Il est alors réveillé par une main qui le secoue.

-Maman ! Ton ordinateur s’est éteint, il veut plus s’allumer.

-Il n’y a plus de batterie. Dors un peu, on a encore un long voyage.

-« Maman » ?

Un homme d’âge mûr, sûrement la quarantaine, se retourna vers lui, amusé, alors que Victoria s’endormait sur les genoux de Gabriel.

-Pourquoi cette enfant vous appèle maman ?

-Ce ne sont pas vos affaires.

L’homme vint se placé aux côtés de Gabriel et lui sourit, ne se gênant pas pour le regarder, le déshabillant du regard. L’écrivain était rouge pivoine.

-Il est indéniable que vous êtes un jeune homme, très attirant de plus.

-J’ai quelqu’un dans ma vie.

-Ce qui est bien dommage.

-Révisez votre plan drague, vous n’attraperez personne comme ça.

Déçu, l’homme laissa l’écrivain tranquille pour le reste du voyage. Quand l’avion atterrit, le jeune homme et la fillette se précipitèrent dehors et Gabriel aperçu son petit ami. Il se précipita sur lui pour lui sauter au cou et l’embrasser à pleine bouche. Victoria vit ça et croisa les bras en colère. Elle s’approcha du couple et tira la langue à Bruno. L’acteur se demanda qui pouvait bien être cette enfant qui le regardait avait insistance. Gabriel quitta les bras musclés de son petit ami et prit la fillette dans ses bras.
-Bruno, je te présente notre fille. Vicky, je te présente ton papa !

-Quoi ? ? ?

Demandèrent-ils tous les deux en même temps.

-Je veux pas que lui, ça soit mon papa.

-Une fille, mais, il y a tellement de choses encore à régler, à faire. C’est beaucoup trop tôt. Je n’étais pas prêt. Maintenant que c’est fait…

La fillette lui tira de nouveau la langue et Bruno soupira. Quand ils montèrent dans la voiture, le couple devant et l’enfant derrière, Bruno se pencha à l’oreille de Gabriel.

-Moi qui voulait te faire l’amour, on va faire comment avec elle dans nos pattes ?

-Quand elle dormira…

Il l’embrassa doucement en lui caressant le visage et ils partirent juste après. Gabriel et Victoria regardaient le paysage, ils aimaient beaucoup cet endroit, c’était si différent de chez eux. Gabriel sourit, il savait déjà en quoi constituerait son prochain roman ? Après un voyage assez long, ils arrivèrent chez Bruno, à Hollywood. Bruno montra aux jeunes français où ils allaient dormir. Victoria se trouva dans la chambre à l’extrême opposé de la chambre du couple. L’enfant rentra dans sa chambre, et dés que ce fut fait, Gabriel annonça qu’il voulait prendre une douche, faisant un regard plein de sous entendus à son petit ami. Ce dernier sourit et l’accompagna sous la douche. Il y avait si longtemps qu’ils b’avaient pas pu voir le corps de l’autre. Bruno ouvrit la bouche, stupéfait, en voyant le torse dénudé de l’écrivain. Il toucha les pierçings de son copain. Ce dernier gémit et se blottit contre le torse musclé de l’acteur.

-Tu… Tu t’es fait percé les tétons ?

-Oui, pour toi.

-Mais je ne t’ai jamais demandé ça.

-Je sais, c’est juste que je voulais mettre un peu de piment dans notre vie sexuelle.

-D’accord, alors je vais en profiter.

Bruno tira légèrement sur les pierçings qui fit gémir de plaisir son amant.

-Je ne te savais pas comme ça. Je croyais que tu n’aimais que la douceur, tu es si délicat, mais si tu aimes autre chose, ça ne me gène pas… Et si tu me faisais plaisir ?

Gabriel sourit, entra sous la douche et régla l’eau pour qu’elle soit assez chaude. Bruno l’y rejoint et l’écrivain se mit à genoux, puis il caressa un peu la verge de son amant avant de la prendre en bouche, ce qui provoqua un irrémédiable gémissement de bonheur de ses lèvres. Au bout d’un certain nombre de vas et viens, Bruno se retira de la bouche de son partenaire et le leva doucement , le retourna les jambes écartées, le torse contre le mur. Appuyant son torse contre le dos de l’écrivain, il s’enfonça en lui dans un râle de bonheur, les chaires de Gabriel se contractant contre sa virilité. Gabriel gémit, sans préparation, c’était à la fois si douloureux et si bon. Quand Bruno atteint enfin sa prostate, il commença de doux vas et viens, lui embrassant a nuque. Les clochettes aux tétons tintaient au rythme des assauts de l’acteur, quelle douce mélodie. L’acteur jouit et se retira de l’écrivain, haletant, puis le retourna doucement à jouir à son tour, prenant sa verge en main, et embrassant ses lèvres et son cou avec passion. Gabriel se sentait si bien. Il s laissa aller à ces douces caresses jusqu’à jouir. Bruno et lui se lavèrent enfin, repus de leur festin de chaire.
Pendant que Bruno préparait le repas, Gabriel alla rejoindre sa fille qu’il trouva endormie sur le lit. Il sourit, attendrit par la scène, et il la couvrit avant d’aller rejoindre son aimé. Il ne savait pas s’il devait lui parler de Kurt et du magnétisme de ses boucles. Puis, il se dit que ça pourrait lui nuire, donc il se tut. Bruno regarda son aimé qui commençait à travailler. Il se posait des questions, des questions sur leur couple. Gabriel était plus jeune que lui, il était plus immature parfois, mais tellement adultes dans d’autres moments. Mais il était tellement amoureux de ce jeune homme blond plein de vie. Il ne voulait pas être séparé de lui. Il fit un sourire, il voulait que son amant devienne son mari, et qu’officiellement, Victoria soit sa fille à lui aussi. Il éteignit les casseroles, et s’approcha de son petit ami qui avait commencé à travaillé sur son roman.

-Mon ange ?

-Mmmh ?

-Demain, toi et la petite, vous venez me voir sur le tournage ?

-Oui, bien sûr, on viendra.

Bruno se mit assit derrière Gabriel et commença à lui masser les épaules. Gabriel se détendit, sauvegarda son roman, éteignit son ordinateur et tourna sa tête vers Bruno pour l’embrasser. Le cœur de Bruno cessa de battre un instant, puis il reprit. Bruno allongea son ange sur le canapé et monta sur lui à califourchon. Il ouvrit sa chemise et s’amusa avec les pierçings. Gabriel gémit et s’amusa de voir que Bruno jouait avec les pierçings comme un enfant qui a reçu le cadeau qu’il attendait depuis longtemps. C’est alors que Victoria arriva, un boîtier en main, baillant, et s’essuyant les yeux.

-Maman ? j’ai trouvé ça dans mon sac, c’est quoi ?

Bruno prit le boîtier en main, interrogeant du regard un Gabriel rouge pivoine. Il actionna le bouton de la boite et les clochettes furent attirées par la table basse en fer. Gabriel s’y accrocha et Bruno demanda à la fillette d’aller prendre sa douche. Quand elle partit, Bruno regarda Gabriel qui n’avait pas bougé.

-Tu m’avais caché ça petit coquin. Tu es un vrai pervers.

-Je… S’il te plait, enlève-ça…

-D’accord, on s’amusera demain avec ça.

-Si tu veux.

Bruno lui embrassa la nuque et le libéra. Puis il appelèrent Victoria pour manger.
Le lendemain, Bruno réveilla son amant qui alla réveiller à son tour la fillette. Puis, après un copieux repas, le couple et leur fille se rendit au plateau de tournage du film. C’était un film d’action où Bruno était le héros. Gabriel admirait son petit ami assit sur une chaise, même s’il était jaloux lorsque Bruno devait embrasser une femme. Il se répétait sans cesse « c’est juste du cinéma ». La fillette quant à elle, s’amusait à regarder comment on faisait les effets spéciaux. C’est alors qu’on homme assez mignon vint discuter avec l’écrivain.

-Vous êtes fan ?

-Oui, en effet, je suis son meilleur fan.

-Je suis son petit ami…

Gabriel faillit s’étrangler et regarda l’inconnu avec l’intention de le sanctifier sur place. L’homme se mit à rire et s’approcha de Gabriel pour lui dire à l’oreille.

-Je sais qui tu es… Si tu ne veux pas qu’on le sache, suis-moi.

-Et qui suis-je ?

-L’écrivain Mystère Ange, Gabriel Sratck.

-Je… je vous suis…

Qui était ce mec ? Il suivit l’homme dans une loge et se fit plaqué contre le mur. Gabriel regarda, effrayé, l’homme s’avancer vers lui dangereusement pour l’embrasser. Mais l’inconnu se fit happé vers l’arrière par Bruno qui avait vu la scène. Jaloux, il avait suivit son petit ami. Il avait bien fait.

-Gabriel, ça va ?

Tremblant comme une feuille, le jeune écrivain se blottit contre l’acteur qui le serra contre lui, dans l’espace protecteur de ses bras.

-Je… Où que j’ailles, on me… Ne me quittes pas, je veux toujours être avec toi, toujours.

-Je ne te laisserais pas mon amour, je te le promets, calme-toi. Je t’aime.

Il l’embrassa doucement sur le front pour le calmer. Quand le flot de ses larmes fut tarit, Bruno le ramena à la maison, il ne lui avait pas poser de question, il lui tenait juste la main. Ce contact semblait rassurer le jeune français. Quand ils arrivèrent enfin à la maison, Victoria se mit devant la télévision pour essayer de voir quels effets spéciaux étaient utilisés. La laissant là, le couple monta dans sa chambre, et Bruno étendit Gabriel sur le lit, puis se mit assit à ses côtés, lui caressant ses longs cheveux blonds. Gabriel se blottit contre lui, et alors, l’acteur se décida à parler.

-Gabriel, qui a abusé de toi ? Qui a tenter ?

-S’il te plait, ne me force pas à le dire…

-Je suis inquiet, je veux pas qu’on touche à toi, je t’aile, tu m’appartiens.

Gabriel eut un petit sourire, s’accrocha à Bruno pour qu’il se penche, et l’embrassa doucement. Il lui caressa le visage.

-Ne me force pas à le dire, je ne suis pas encore prêt. Je veux sentir que je n’appartient qu’à toi. Fais moi l’amour comme tu ne l’as jamais fais… Je veux te sentir en moi, profondément en moi, n’appartenir qu’à toi…

-Ne dis pas ce genre de chose mon ange, ce n’est pas le moment, tu es si…

-Habitué… Et je veux que tu me laves de ces mains sales qui m’ont touché.

Bruno soupira, il comprit le message, Gabriel ne voulait être touché par personne d’autre que lui, et si quelqu’un d’autre le touchait, il se renfermait sur lui. Pauvre petit ange. Il lui caressa le visage et l’embrassa doucement. Puis, il lui enleva le haut et vit les pierçings. Oui, c’était vrai. Il joua avec un moment, puis il montra d’un coup de tête le boîtier. Gabriel rougit et fit un signe affirmatif, oui, il voulait bien que son petit ami fasse de son corps son jouet, car il lui appartenait, corps, cœur et âme. Le lit en baldaquin de Bruno était fait de fer blanc, donc Bruno attendit que son cher et tendre soit totalement nu, et proche de la barre supérieure du lit pour actionner le boîtier. Gabriel poussa un léger gémissement, et tourna la tête pour voir ce qu’allait faire Bruno. Contre toutes attentes, alors que l’acteur pouvait laisser parler ses instincts les plus vils, il se montrait doux et attentionné avec Gabriel.

-Pourquoi Bruno, pourquoi ne t’amuses tu pas plus ?

-Tu es trop habitué à la violence, et tu es si frêle, je ne veux pas que tu souffres. Ce sera une douce caresse que tu ressentiras, et après, je veux qu’on jette ce boîtier, ça ne te ressemble pas. Tu es fait pour être dorloté, chouchouté, et non maltraité.

Bruno caressa doucement le dos de son amant, le parcourant de doux baisers. Il lui caressait également le torse et la verge. Puis, il s’allongea sous lui et prit sa verge en bouche. Gabriel gémit de plaisir, c’était si bon. Il se mordit la lèvre inférieure, et regarda faire son petit ami qui lui tendait sa main. Il ferma les yeux et lécha les doigts de son amant avec passion, puis les doigts quittèrent sa bouche pour aller se réfugier dans sa partie intime, l’écartant peu à peu. Gabriel gémit de plus belle, s’accrochant à la barre du lit, puis, sans avoir jouit, Bruno se retira, retira ses doigts et se plaça au dessus de lui pour le prendre doucement, délicatement, avec la plus grande douceur qu’il avait montré jusqu’ici. Pendant ses lents et frustrants vas et viens, il embrassait le dos ou la nuque du jeune français qui en demandait plus, plus vite. Mais Bruno en avait décidé autrement, et c’est tout en douceur que les deux amants jouirent en poussant un râle de plaisir. Bruno se retira, déconnecta le boîtier avant de le fracasser contre le mur et de prendre son amant dans ses bras. Ce dernier, les larmes aux yeux, s’endormit, heureux de se contact. Bruno comptait demander le jeune homme en mariage, mais il lui fallait l’accord de Victoria, et des parents de l’écrivain. Il devrait donc retourner en France pour cela.
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MessageSujet: Re: L'écrivain Mystère.   L'écrivain Mystère. EmptyMer 8 Juil - 11:36

Chapitre 6 : Nouvelle donne.


Voilà un mois que qu’ils étaient de retour en France, et Gabriel ne voulait jamais être seul. Bruno ne pouvait donc pas demander à Victoria si elle voulait bien de lui comme père. Il ne pouvait même pas aller voir les parents de son petit ami. En fait, il ne savait même pas qui étaient ses parents. Gabriel ne lui en avait jamais parlé. Il attendit que la fillette aille dans sa chambre et Bruno posa la question à Gabriel, cette question qui lui brûlait tant les lèvres.

-Mon ange ?

-Oui mon amour ?

-Tu peux me parler de tes parents ?

Gabriel le regarda, déglutit et détourna le regard. Il ne voulait pas parler de ces gens là, il n’en avait pas la force, ni le courage. Mais Bruno l’obligea, et c’est avec honte qu’il lui répondit.

-Mon père et ma mère ne m’aiment pas, il se servaient de moi. Chez moi, je faisais le ménage pour tout le monde, je faisais à manger, je ne trouvais même pas le temps pour écrire. Depuis que je ne vis plus chez eux, je me sens mieux, et j’ai bien plus de temps pour mon travail.

-D’accord, ça me suffit. Je t’aime mon amour.

Gabriel sourit, soulagé que ce soit fini, et reçut un doux baiser de son amant, avant d’annoncer qu’il allait prendre sa douche. Bruno en profita pour aller demander quelque chose discrètement à Victoria, la ramenant dans la chambre qu’il partageait avec Gabriel au cas où il lui demanderait de s’il était bien là.

-Veux tu de moi comme père ?

-Euh…

-Veux tu bien que j’épouse Gabriel ?

Le visage de la fillette rayonna et elle sauta au cou de Bruno pour lui faire un gros bisou sur la joue. Bruno était aux anges et prit la fillette dans ses bras. C’est ce moment que choisit Gabriel pour sortir de la douche, nu. Il avait oublié sa serviette de bain. Il les vit, attendrit par cette scène, mais le fait qu’il le regarde ainsi le fit se poser plein de questions et il se regarda. Rouge pivoine, il courut se cacher pour enfin mettre une serviette autour de sa taille. Victoria retourna jouer dans sa chambre et Bruno alla prendre son petit ami dans ses bras. Celui-ci se sentait si bien ainsi.

-Bruno ?

-Oui ? Qu’y a t-il mon ange ?

-J’ai envie que tu me fasses l’amour !

-Toujours aussi pervers.

-Que veux tu ? On ne change pas les bonnes habitudes.

Bruno éclata de rire et monta à califourchon sur son aimé, allongé sur le lit. Il se pencha pour l’embrasser avec passion. Gabriel répondit à son baiser et lui mit ses bras autour de sa nuque. C’est alors qu’on cri affreux à en faire dresser les cheveux sur la tête retentit. Bruno et Gabriel se levèrent et se précipitèrent dans la chambre de Victoria. Ils ne la trouvèrent pas, elle avait disparut. Le téléphone sonna alors. Gabriel le prit, tremblant et décrocha. Il entendit la voix de Victoria en pleurs.

-Maman, aides-moi.

-Victoria ! ! !

-Faudra qu’on m’explique pourquoi cette sale gosse appèle un mec « maman ». Enfin, j’ai contacté les médias, et voici mes exigences pour revoir la gosse vivante.

-Ne faites pas de mal à ma fille.

-Tututut. Je veux un million d’euros et que l’écrivain Mystère se dénonce devant tous les médias. Je veut que tout le monde sache qui est Ange.

-Tout ce que vous voulez, mais laissez ma fille tranquille.

-Vous avez 24h.

Et le contact fut coupé. Bruno prit son petit ami dans ses bras pour le consoler. Les journalistes étaient peu à peu en train de s’agglutiner autour de la maison, ainsi que la police. Gabriel ne voulait pas les voir chez lui. Personne.

AU MEME MOMENT, AU CENTRE VILLE

Un groupe de jeunes hommes étaient en train de faire du shopping quand l’un d’eux dit au plus excité.

-Kurt ? C’est pas sa maison qu’on voit à la télé ?

-Ah oui, tu as raison… Que se passe t-il ?

-D’après ce que j’ai vu, la gosse de ton ex a été enlevée, et ses exigences sont d’un million et la divulgation de l’identité de l’écrivain Mystère.

-Quoi ? Je dois y aller.

-Mais, et…

-Payez pour moi, je vous rembourserais quand on se verra.

Kurt se mit à courir vers la maison qu’il avait occupée prés d’un an en compagnie de l’homme qu’il avait toujours aimé. Il vit un monde fou, journalistes, flics, des curieux, il se fraya un chemin parmi eux et alla toquer à la porte, en disant que c’était lui. Bruno vint ouvrir la porte et fusilla Kurt du regard.

-Qu’est-ce que tu viens foutre ici.

-Je viens aider Gabriel.

-Kurt, tu…

Gabriel tremblait, plein de sanglots, et les deux hommes se précipitèrent vers lui pour le prendre dans leurs bras. Se détestant mutuellement, ils se donnaient des coups.

-ça suffit, arrêtez… Kurt, tu… Tu peux vraiment nus aider ?

-Oui, je peux trouver où est ta fille si elle est toujours en ville. J’ai plein de contacts. Mais il me faut un peu de temps.

-On a moins de 24h maintenant.

-Alors j’y vais tout de suite.

Alors que Kurt se met à courir vers la sortie, Bruno le retient par le bras, le regardant droit dans les yeux.

-Fais ce que tu veux, il ne t’aimera plus, Gabriel est à moi. Si tu veux gagner des points pour reconquérir son cœur, tu te fourres le doigt dans l’œil, et jusqu’au coude. Je viens avec toi.

-Pas question, tu as vu comment il est, il a besoin de soutient, restes avec lui.

-Tu vas me faire croire ça ?

-Bruno… me laisse pas…

Vaincu au plus grand plaisir de Kurt qui partit en courant, Bruno retourna auprès de son amant, le prenant dans ses bras. Kurt, pendant qu’il courait, téléphonait à ses contacts. Il se dirigeait maintenant vers le lieu probable de la séquestration de la fille de l’homme de sa vie. Gabriel, pendant ce temps, soupirait, il devait bien dire qui il était maintenant, il devait le dévoiler, il devait dire qui était l’écrivain Mystère, qui était Ange. Il prit une grande inspiration et sortit de chez lui pour aller voir les journalistes. Il déglutit, tête basse, les flashs l’aveuglaient.

-Je dois satisfaire aux exigences du kidnappeur de ma fille, je vais donc vous dire qui est l’écrivain Mystère.

-Dites-nous, elle se trouve dans la maison ?

-Non non, elle… l’écrivain Mystère, Ange, c’est…

-C’est moi !

-Hélène ? Mais…

-Ne le cache pas plus longtemps mon chéri.

-Tu as raison Hélène, c’est gentil, mais Ange, c’est moi.

-Quoi ? Vous êtes Ange ?

-Oui, c’est bien moi.

-Alors, vous êtes…

-S’il vous plait, laissez Gabriel tranquille, il n’est pas bien, l’enlèvement de Victoria l’a chamboulé.

Coupa Bruno en passant ses mains doucement sur les épaules de son amant. Gabriel tremblait entre ses mains. Ça faisait si mal à Bruno. Ils rentrèrent dans la maison, et les jambes de Gabriel le lâchèrent. Bruno le porta et le mit sur le canapé. Il était désolé de le dire, mais il avait bien fait d’écouter Kurt, quelqu’un de fort devait rester auprès de Gabriel. Tout à coup, un nouveau coup de téléphone arriva. Ce fut Bruno qui répondit.

-Gabriel ne se sent pas bien, dites moi ce que vous voulez…

-Bruno Lacroix, mmmh, j’attendais plus de spectacle de la révélation de son identité. C’est bien dommage, mais je ne suis pas déçu, Gabriel est tout à fait à mon goût, vous avez de la chance de l’avoir. Mais peut-être sera-t-il anéanti si je tue sa fille adorée. Il me faut encore un million.

-Oui, on va vous donner ça. Je m’en occupe personnellement.

-ça ne vous fout pas la chair de poule que votre amant gagne plus que vous ?

-Je m’en moque. Je vais payer, alors, ne faites pas de mal à Vicky, est-ce qu’elle va bien ?

-Dis bonjour à Bruno.

-Papa, je… cet homme est fou, et… Qui est-ce ? Papa…

Le téléphone coupa. Bruno se demandait ce qu’il se passait. En fait, il s’agissait de Kurt qui venait de faire une entrée fracassante dans l’entrepôt où se trouvait Victoria et le kidnappeur. Kurt avait foncé sur lui, et l’avait assommé, puis attaché.

-Victoria, tu dois avoir entendu parlé de moi, je suis Kurt, l’ancien copain de Gabriel.

-Ah oui, je sais… Le méchant fils d’un parrain de la mafia. T’es pas si méchant que je croyais…

-D’accord, t’as accro à ses livres à ce que je vois…

Il prit l’enfant dans ses bras qui ne se fit pas prier, et il lui tendit son portable pour qu’elle téléphone à ce crétin de Bruno. S’il n’avait pas prit soin de Gabriel, il allait l’entendre. Il la ramenait doucement, il était épuisé d’avoir courut tout du long, et il vit les mecs de sa bande. L’un d’eux lui tendit une petite boite. Il sourit et lui tendit l’argent qu’il lui devait. Victoria regardait la poche où était la boite avec un grand intérêt. C’est alors qu’elle comprit. Quand ils arrivèrent enfin, Victoria se précipita dans les bras de Gabriel qui la serra fort contre son cœur. Kurt avait un sourire heureux et se laissa tomber sur le canapé, épuisé. Bruno le toisa, puis, il dit à l’enfant d’aller manger, car elle devait être affamée. L’enfant sourit et alla manger. Elle savait ce qu’il allait se passer et se cacha derrière la porte pour regarder et écouter la suite. Kurt se mit debout devant Gabriel, Bruno en fit de même. Dans un mouvement synchronisé, les deux hommes posèrent un genou à terre, sortant une boite de leur pantalon, l’ouvrant devant Gabriel. La bague qu’offrait Kurt était simple, en argent. Il avait de faibles revenus avec son boulot. Celle qu’offrait Bruno était en or. Victoria se retenait de pouffer de rire, Gabriel regardait les deux hommes l’air abasourdit. Et toujours aussi synchrones, les deux hommes demandèrent.

-Gabriel, veux-tu m’épouser ?

Gabriel était encore plus abasourdi, les regardant tour à tour. Qui allait-il choisir ? Kurt venait de prouver qu’il l’aimait, Bruno aussi, et chacun à sa manière, soit dans la douceur, soit dans la force. Tous les deux l’aimaient, et lui, lequel aimait-il ? Il regarda les deux hommes. Il ferma les yeux, puis sourit. Oui, c’est ce qu’il allait faire.

-Oui…

-Super, mais… tu le dis à qui ?

-A vous deux… Je vous aime tous les deux.

Il se pencha puis embrassa les deux hommes tour à tour et Victoria sortit de sa cachette pour aller embrasser sa maman et ses deux futurs papas. Un seul problème persistait par contre. La polygamie était interdite en France. Bruno leur proposa de vivre en Amérique où c’était accepté. Ainsi, quand Bruno serait sur un tournage, Kurt serait toujours présent avec Gabriel. Ils acceptèrent et partirent tous vivre en Amérique.
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MessageSujet: Re: L'écrivain Mystère.   L'écrivain Mystère. EmptyMer 8 Juil - 11:37

Epilogue :



-Nan, j’en peux plus, je suis désolé Victoria, je te quitte.

-Mais, nan, ils s’amusaient, je te jure…

Mais le garçon partit, laissant l’adolescente de 17 ans, triste, mais surtout en colère. Elle rentra, claqua la porte et toisa les trois hommes qui étaient assit sur le canapé.

-Pourquoi à chaque fois que je ramène un petit copain, vous le faites fuir ?

-Vicky, ma chérie, s’il nous fuit, c’est qu’il n’est pas fait pour toi.

-Maman, je suis capable de choisir mes petits copains sans que vous cherchiez à les décourager. Je suis assez grande, j’ai 17 ans maintenant.

C’est alors que des pleurs se firent entendre à l’étage.

-Tu as tout gagné, tu as réveillé tes frères. Je monte.

-Non, laisses mon ange, Kurt et moi, on y va.

-Ouais, on y va. Ces deux petits gars ont besoin de voir leurs pères.

Gabriel sourit et regarda sa fille, puis se leva et la prit dans ses bras. Victoria le laissa faire en soupirant.

-On va essayer de se freiner, mais tu comprends que je sois inquièt pour ma fille.

-Oui maman, je comprends, mais tous mes copains se disent « je vais passer le test de la belle-mère » et ils tombent sur trois hommes, ça déroute. Quand j’étais petite, je trouvais ça amusant, mais là, ça nuit à mes relations sociales.

-On va s’améliorer, Mais promets-moi d’en trouver un qui n’aura pas l’air d’un crétin, tu sais que je déteste ce genre de mecs.

-Oui maman, si toi, tu me promets de dire à papas et toi aussi, que vous ne draguiez pas mon copain.

-Promis.

Gabriel sourit et alla préparer à manger pour sa petite famille qu’il avait constitué avec tant d’amour.
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