Des vêtements ! [pv]

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C’est vrai que Keiko se sentait un peu idiote… c’était gênant. L’ange devait la trouver vraiment simplette, et la jeune humaine n’aimait pas vraiment qu’on la prenne pour une fille chétive. Finalement, Tsukasa retira sa main du menton de l’humaine. Mais c’est pour qu’une douce main vienne lui caresser le visage. Keiko avait l’impression d’être gâtée par les gestes de l’ange, son ancien maître ne lui avait jamais fait ce genre de caresse. Ces yeux rouges vif, tel le sang et ce sourire si tendre, rassuraient Keiko… d’un côté. Le regard de l’ange la gênerait un bon moment, ça c’est sur, elle ne pourrait pas le regarder dans les yeux très souvent ou très longtemps. Elle se promettait de faire des efforts tout de même ! Et puis, l’ange lui demanda si elle ne voyait aucun inconvénient a ce qu’il aille remplir les papiers de son… « Achat ».

Keiko leva la tête vers lui, à moitié surprise mais en même temps très heureuse d’avoir un ange pour maître. Elle aurait faillit en sauter de joie si elle n’était pas si timide. Enfin elle allait quitter cet endroit, bien qu’il soit mieux que la rue, c’était déprimant d’être resté en cage depuis des mois ! Ah ça oui, ça ferait du bien de se dégourdir les jambes, de pouvoir profiter du soleil et de la fraîcheur du vent. Hum ça fait un bon moment qu’elle n’était pas sortit, considérons cela comme une hibernation. Tsukasa se tourna vers l’ange qui travaillait ici, mais il continuait à caresser le visage de Keiko, la regarder, lui sourire, la jeune fille était vraiment gênée. Est-ce qu’il le faisait exprès ou l’ange était niais ? Bon de toute façon, il était bien obliger d’arrêter pour demander les papiers à Darwen. L’ange aux cheveux d’argent leur fit signe de la suivre dans une salle que Keiko n’avait vu qu’une seule fois, la fois où elle a été vendue par son maître.

Keiko suivit alors les anges dans cette pièce. Darwen sortit des papiers qu’elle remplit rapidement, Keiko se demandait bien ce qu’on pouvait y écrire. La jeune humaine savait bien mieux lire et écrire que beaucoup d’autres humains, mais ça ne l’empêchait pas de ne pas trop comprendre ce genre de chose. Finalement, elle entendit le prix qu’elle coûtait… 10000 ? Elle ne pensait pas du tout à un tel prix… Tsukasa paya donc la somme, il semblait plutôt aisé d’ailleurs. Enfin plus raffiné que bon nombre d’anges et de démons qui étaient venus ici. L’ange paya en liquide, Keiko fut impressionnée par autant d’argent liquide… eh bah… qu’est-ce qu’il faisait pour être si riche ? Bon quoi qu’il en soit, Keiko avait un nouveau maître et elle allait devoir se réhabituer à vivre avec quelqu’un. Cela faisait longtemps et maintenant elle était un peu stressée… comment était cet ange en privé ? Est-ce qu’il était méchant si une chose était mal faîte ? Est-ce qu’il était strict ? Comment les choses marchaient chez lui ? Un tas de question se posaient… mais pour l’heure, il réservait autre chose à Keiko, le Color’s Shop !

La jeune humaine ne l’avais que vu et en avait entendu parler. Son ancienne maîtresse l’habillait avec ses propres vêtements alors Keiko n’en avait pas pour elle à vrai dire. Mais l’ange l’avait conduit là pour lui en acheter. Keiko avait un choix énorme et elle n’aimait pas trop faire des choix, jusque là on avait toujours choisis des vêtements pour elle… alors décider… c’était difficile. Il y avait tellement de style, tellement de matière, tellement de vêtements, tellement de couleur différentes… pantalons, robes, t-shirt, jean taille basse, bottes, petites chaussures, ceintures, tunique, chemises… Il y avait tellement de choses que ça donnait presque le tournis, certains mannequin était habillé, ça donnait des idées mais… Keiko ne connaissait rien à tout cela. Bon tout de même, elle devait se décider, mais les prix étaient si différent d’un produit à l’autre, elle se demandait si l’ange pouvait se permettre certaines choses, c’est pourquoi Keiko n’avançait pas sans l’ange… au cas où celui-ci aurait une préférence tiens ou peut-être une remarque.

Cette journée marquait le début d’un nouveau départ en tant que « esclave » mais également une nouvelle « vie ». Après des mois où elle avait stagné, elle devait se booster pour ne pas décevoir l’ange qui l’avait acheté. Bon pour un premier objectif ce n’était pas trop mal, il ne restait qu’à voir si elle pouvait le tenir. En attendant tout ses vêtements l’effrayait, qu’est-ce qu’elle devait choisir ?

J’étais enfin sorti du local à humain avec à mes côté une très charmante compagnie, la douce Keiko avait accepté de me suivre et cela me fait vraiment très plaisir. Mais qui n’aurait pas accepté la possibilité de sortir des cages pour voir la lumière de dehors ? Personne à moins qu’ils ne sachent déjà à quoi s’attendre de leurs futur maitre, il est vrai que certain ce retrouve chez des maitres et doivent subir un bon nombre de souffrance charnel. Bon pour le moment j’en suis pas là et je me fiche complètement de ce qui peu arriver aux autres, tant que rien de grave n’arrivent à mes proches c’est le plus important pour moi. Maintenant que nous somme tout les deux sorti du local, il me faut trouver un lieu où l’ont pourraient se rendre, je n’ai pas très envie d’aller directement à la maison et j’ai encore moins envie de voir la tête de Yui lorsqu’elle verra Keiko -_-…. J’entends déjà le son de sa voix me crier dessus, et un sermon de plus, j’arrive même plus à compter le nombre de leçon de moral qu’elle ma donné pour la moindre chose insignifiante.

C’est donc avec un peu de temps que je pris conscience d’une chose, les vêtements ! C’est une chose vraiment très importante surtout lorsque l’ont ramène à la maison une nouvelle personne. Si Yui apprend que Keiko n’a pas d’autre vêtement elle comprendra tout de suite que je lui prêterais les mien et donc de ce fait il y a aurai une guerre dans le domaine. Donc je n’ai pas vraiment le choix pour ma survie d’emmener Keiko dans une boutique de vêtement, c’est l’avenir de la maison qui est en jeu là. Je la pris donc par la main tout en lui adressant un joli sourire pour par la suite commencer à me diriger vers le Color’s Shop.

Nous voila enfin arriver en terre inconnu, enfin pas si inconnu que ça puisque je suis déjà venu ici à plusieurs reprise. Ici il y a tellement de chose qu’elle y trouvera surement son bonheur mais trouvé est une chose bien difficile parce qu’il faut d’abord savoir où chercher et quoi prendre. Le bonheur se trouve ici mais bien caché, il faut gravir plusieurs étapes pour l’atteindre et ces obstacles ne sont pas vraiment les prix mais surtout les divers rayons. J’arpentais alors chaque parcelle des rayons avec Keiko entrain de me suivre, je pouvais la voir hésité sur bon nombre de vêtement et surtout sur leurs prix, des prix qui me sont totalement insignifiant. Mais la voir ainsi hésité me dérange, si elle aime elle doit alors prendre ou au moins essayer, je n’ai pas envie qu’elle regrette ces choix et qu’elle ne choisit que des vêtements de petit prix, donc je me retournai vers elle et je mis mes mains sur ces épaules en la fixant bien droit dans les yeux.

-Keiko….hum que pense tu de cette robe ? ^^’

Arf c’est difficile de resté tout naturel devant elle, elle est trop adorable que je n’ai pas vraiment réussi à lui dire ce que je voulais. La robe que je venais de lui montré est vraiment très belle et même magnifique, dedans elle serait plus que rayonnante même si elle l’est déjà assez comme ça, de plus le prix de cette robe et bien élevé, ainsi en la lui montrant il essaye de lui dire indirectement qu’elle peu prendre ce qu’elle veut et qu’elle doit ignorer le prix. Je restais comme à mon habitude avec un sourire neutre mais un petit regard déposé sur la belle, plus je la regarde et plus je me dis que je vais être massacré par Yui ^^’…J’attendais de voir sa réaction, voir si elle va s’intéresser plus à la robe qu’a son prix, oui, cela me gêne beaucoup qu’elle ne choisit pas ce qu’elle aime, mais je ne sais pas trop quoi faire d’autre à part lui montré divers article à prix exorbitant.

Je pense que ce petit chemisier t’iras à ravir tu ne pense pas ? J’aimerais si possible te voir avec des vêtements qui te plait, des vêtements dont tu auras envie de porté lorsque tu le voudras…

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Enfin, enfin elle était sortie de cet endroit ! La voilà à l’air libre ! Elle était vraiment heureuse de sortir en compagnie d’un ange surtout. Bon, là, Keiko était vêtue d’une simple tunique grisâtre qui lui arrivait au dessus des genoux. Pour l’instant ça lui importait peu, mais sentir le vent sur ses jambes et ses cheveux lui plaisait énormément. Mais il valait mieux acheter des vêtements pour la jeune fille, quoi que ça ne la dérangerait pas de porter les vêtements de l’ange aux yeux rouge.

Bon quoi qu’il en soit, Keiko était perdue au milieu de tous ses vêtements. Que prendre ? Qu’est-ce qui lui irait le mieux ? Elle ne connaissait pas la mode et était un peu mal a l’aise actuellement. Elle restait près de Tsukasa, en regardant les vêtements avec lui, il y en avait bien certains qui lui plaisait mais bon. Finalement, l’ange se retourna vers elle et posa ses mains sur les épaules de la jeune humaine en la fixant. Bizarrement, Keiko avait l’impression qu’il allait dire quelque chose d’important, mais il lui demanda son avis sur une robe.

Keiko cligna plusieurs fois des yeux et regarda la dite robe. Elle était belle, ça c’est sûr, mais Keiko n’était pas sûre de la porter, et puis elle avait un prix excessif ! Mais elle était belle, une robe noir qui arrive au dessus du genou. De courtes manches volantes, elle semblait près du corps et au toucher elle avait une matière fluide, un col en u et des motifs rose dessus. L’ange restait avec son sourire neutre, Keiko avait l’impression qu’il voulait dire quelque chose… peut-être par rapport au prix ?

Il lui montra d’autres vêtements aussi chers, Keiko commençait à comprendre ce que voulait dire l’ange. La voir avec des vêtements qui lui plaisaient à elle, qu’elle aurait envie de porter. La jeune humaine fit un petit sourire, contente d’avoir le choix au final. Mais ce qu’elle n’aimait pas trop, c’était d’essayer les vêtements dans le magasin… Bon toute façon, elle n’avait pas le choix et si elle y mettait du sien, elle y prendrait surement goût.

Keiko partit alors à la recherche de vêtements qu’elle aimerait porter. Elle tomba sur plusieurs choses intéressantes, mais s’efforçait de faire un choix. Elle avait vu un joli pull blanc rayé argent, il était fin et très beau. Comme la jeune fille était plutôt frileuse, elle prenait souvent des vêtements à manche longue, comme un second pull plus long qui semblait plus chaud ! Elle avait aussi vu un t-shirt à manches longues rose et blanc avec des écritures sur le devant. Il avait une capuche et une poche kangourou.

Ah puis une tunique à manche longue avec une jupe en jean… des très longues chaussettes… enfin un tas de choses. Keiko redoutait le moment de l’essayage, elle n’était pas très propre, même si ils pouvaient se laver dans le local. Bon, fallait quand même le faire pour éviter à Tsukasa de retourner ici pour changer la taille, si c’était trop petit… quoi que Keiko avait plutôt un corps bien fait, elle devrait rentrer dans pratiquement toute les tailles.

« Dîtes, Tsukasa, si je prends ça, c’est bon ? »

Elle lui présenta les vêtements qu’elle avait vu un peu plus tôt. D'un côté ça la gênait, mais bon s'il lui fallait des vêtements, il lui fallait des vêtements et puis voilà.

Je lui avais donc montré la robe pour voir son avis, j’en étais ravi de voir qu’elle l’apprécie même si elle ne la pas prit avec elle, je pouvais maintenant voir au fur et à mesure qu’elle avait bien compris le sens caché de tout ça. Je la suivais donc au travers tout les rayons à la recherche de vêtement qui lui irait bien, de temps en temps je regardais moi aussi dans les rayons de vêtement tandis que elle elle cherchait de son côté. Il m’arrivait des fois de tourner la tête vers elle pour la regarder, mais lorsque sont regard se posé sur moi, j’en étais gêné et je faisais style de regarder ailleurs et même j’en avais les joues qui devenez rouge. Et oui je suis timide face à elle mais qu’est-ce que j’y peu ? Ce n’est pas de ma faute si elle est si adorable, pendant ce temps j’admiré la texture des tissus et la beauté de certain.

Au bout d’un petit moment elle vint vers moi avec tout ce qu’elle avait trouvé pour me les montré, je lui adressai un petit sourire et je me mis à observer tout ça. Il y a vraiment plein de joli chose, j’i pu m’apercevoir que parmi se tas de vêtement, la plus part était avec des manches longue, j’en conclu donc qu’elle préfère avoir les bras couvert que les avoir nue….ce n’est qu’une conclusion bien entendu. En tous cas je suis sûr d’une chose, elle doit vraiment être très belle avec ces vêtements là même si elle n’en à pas vraiment besoin pour être belle…

C'est parfait ^^, tu à vraiment de très bon gout, je suis sûr que tu sera ravissante avec tout ça

Je relevais la tête vers elle pur la regardé droit dans les yeux et encore une fois lui sourire, avant d’acheter tout ça il nous faut tout d’abord les essayer parce qu’il serait dommage de partir avec des vêtements qui ne lui vont pas du tout. Il commença donc à ce diriger avec elle en direction de cabine prévu pour les essayages mais pendant cette petite marche il s’arrêta, il sentait qu’ils avaient oublié quelque chose d’important, de très important même. C’est une chose qui met leurs vie en jeu en plus, pourquoi en jeu ?Et bien parce que de un, il va ramener Keiko à la maison et donc il va mourir par Yui et de deux parce que si Yui apprend qu’il à osé oublie ce genre de chose il va encore se faire tuer… Mais qu’est-ce qui est si important pour que leurs vie soit en danger ? Ce n’est pas très difficile, ce qu’ils allaient oublier c’est … Des sous-vêtements bien sûr.

Bon voila le problème, comment lui dire qu’elle à oublier de prendre des sous-vêtements ? Il y a deux solution qui me vient en tête, la première c’est de le lui dire et la deuxième c’est d’aller faire une promenade dans les rayons prévus pour la jante féminine…Mais dans la solution deux je peux passer pour un pervers ce que je ne suis pas…enfin peut-être pas. Bon dans tout les cas je devrais tout de même allez vers se genre de rayons donc, je me retournais donc vers elle avec un petit sourire gêné.

Heu..Keiko…je crois que tu à oublié quelque chose…c’est un peu gênant de te dire ça mais tu à oublié de prendre des sous-vêtements…

Et bah voila, il à osé lui dire ce qu’elle avait oublié. Le pauvre c’est dur pour lui, il a beau être un ange, face à elle il reste un homme comme tout les autres et en plus il est un peu timide même s’il ne le montre pas tout le temps. Il était maintenant complètement embarrassé de la situation dans laquelle il se trouve mais il n’avait pas le choix de le lui dire sinon qui sait la puissance que Yui aurait eu sur lui, il s’inquiété surtout pour Keiko c’est pour ça qu’il lui à fait cette remarque. Il commença donc à se diriger vers les rayons de sous-vêtement toujours avec le visage rouge malheureusement, rouge de timidité et de peur que Keiko le prenne pour un pervers.

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L’ange l’avait suivit dans les rayons, Keiko avait rapidement pris goût à ce genre d’achat tiens. Les rares fois où elle posait son regard sur Tsukasa, Il tournait la tête. Peut-être que cela le gênait ? Keiko reportait son attention sur les vêtements qu’elle avait face à elle. Finalement elle avait présenté ces vêtements à l’ange, c’est vrai que Keiko aimait couvrir ses bras. Enfin, Tsukasa lui disait qu’elle avait de bon goût et qu’elle serait ravissante dedans. La jeune fille rougit tout de suite en agitant négativement la tête :

« N… non… je… »

Bon il valait mieux qu’elle se taise avant de dire quelque chose de stupide. Elle suivit donc Tsukasa vers les cabines d’essayage, lorsque l’ange s’arrêta. Keiko l’imita en se demandant pourquoi il s’était arrêté ainsi. L’ange se retourna donc avec un sourire gêné, la jeune humaine se demandait bien ce qu’il allait lui dire. Est-ce qu’elle avait fait une bêtise qu’elle n’avait pas vue ? Est-ce qu’il y avait quelque chose de gênant sur elle ? Keiko se posait un tas de question ça fait si longtemps qu’elle n’est pas sortie de sa cage… Cependant, elle eu la surprise de voir que ce n’était rien de tout cela, c’était bien plus… « intime » dira-t-on. C’est vrai, Keiko n’avait pas pensé à des sous-vêtements… est-ce que l’ange vivait avec une femme qui leur accordait une grande importance ?

C’était très gênant… mais surtout de devoir les montrer à l’ange lorsqu’il paiera. Keiko n’osait rien dire sur le coup, elle avait trop honte. L’ange la mena tout de même aux rayons pour sous-vêtements féminin. Keiko était gênée, mais elle ne devait pas le laisser paraître, sinon les gens le prendrais pour un pervers et elle une pauvre fille. La jeune humaine secoua la tête légèrement, pour se reprendre, puis se mit en quête de… sous-vêtements. Qui aurait crût qu’une chose aussi banale pouvait autant vous mettre dans l’embarras ? Keiko regardait donc, les soutiens-gorges, de toutes couleurs, tailles et matières, pareille pour les petites culottes, boxers… enfin bon… comme elle ne connaissait pas sa taille, vu que c’est sa maîtresse qui l’habillait, Keiko regarda discrètement l’étiquette à l’intérieur de la petite culotte qu’elle portait.

Elle n’allait pas demander à Tsukasa de regarder, sinon elle tomberait dans les pommes avant même qu’il a pu poser les mains sur elle. Bien, donc Keiko se mit à fouiner joyeusement dans le rayon, en essayant d’oublier certains regards posés sur elle. Après tout, toutes les filles passaient dans ce rayon non ? Elle choisit alors deux ensembles, puis trois lots de plusieurs couleurs. Ca faisait gourmand, mais elle n’avait absolument rien à moins de se balader avec un caleçon toute la journée…. La jeune humaine avait caché les sous-vêtements sous les habits normaux. Elle revint vers Tsukasa pour lui dire en baissant légèrement la tête :

« C... C'est bon… j’ai pris ce qu’il faut. »

Autant le dire comme ça, sinon elle ne s’en sortirait pas ! Bon elle espérait qu’ils n’avaient rien oubliés d’autre… Keiko se dirigea donc vers les cabines d’essayage. Là au moins elle pourrait souffler sans que personne ne la vois.

Et oui, il a fallut que je me souvienne d’une chose vraiment très gênante, il a fallut que je me souvienne de Yui. C’est vrai que si elle aurait vue Keiko à la maison et sans sous-vêtement de rechange, la pauvre petite aurait passé un sale quart-d’heure et moi aussi d’ ailleurs…Quand on pense au pauvre ours empaillé qui se trouve dans le salon. Tout cela n’est pas trop grave puisqu’il à fait remarquer à Keiko qu’elle à oublié le plus important, oui le plus important pour sa survie. C’est ainsi que les deux petits « anges » commencèrent leurs périple dans le royaume des sous-vêtements, des sous-vêtements féminins qui plus est.

Un étrange endroit encore inconnu pour moi, un endroit qui me gêne terriblement en plus de ça, je n’ai pas pour habitude de venir dans ce genre de rayons mais la je n’ai pas trop le choix il faut bien l’avouer. Ma gêne et ma timidité se fait bien voir et ressentir, la couleur de mes joues avait tourner au rouge, c’est vraiment bizarre à voir, ou plutôt adorable d’après ce que certaine personne dise après leurs passage à côté du petit duo. J’essayais de reprendre mon calme afin de ne pas trop montré mon état actuel à Keiko, heureusement pour moi qu’elle à l’air concentré dans sa recherche de sous-vêtements, sinon je me demande ce qu’elle aurait pensé de moi si elle me voyait ainsi. C’est après de bon nombre petites minutes, de recherche intimidante et gênante que la belle et charmante humaine revint vers moi pour me dire qu’elle avait prit ce qu’il lui fallait, je me sent soudainement soulagé, oui soulagé parce que cette terrifiante bataille est terminer. La voyant avec la tête baisser et sa petite voix légère, je ne pu m’empêcher d’avoir un sourire au coin des lèvres, c’est fou comment elle est mignonne cette petite. Mais bon moi et ma grande timidité cacher je ne le lui dirait jamais, du moins c’est ce que je pense.

C’est… parfait dans se cas….

Arf ma grande timidité censé être cacher et toujours là, vilaine timidité, mais bon ce n’est pas trop grave, au moins j’ai réussi à aligner une phrase sans en mourir c’est déjà pas mal non ? Mon calme légendaire était revenu lorsque mes pieds franchirent la ligne de démarcation du champ de bataille « allias les sous-vêtements ». Lorsque j’ aperçut les cabines d’essayages, j’ eu alors à ce moment-là encore un nouveau sourire, j’allais donc laissé Keiko seul pendant un petit moment mais je pourrais la voir dans d’autre vêtement . Comme je le lui ai dit plus tôt, je suis sur qu’elle sera vraiment très adorable dedans, elle est vraiment très belle de nature alors avec des vêtements qui lui vont bien elle sera encore plus parfaite même si sans vêtements c’est bien aussi…Je choisi donc une cabine un peu à l’écart des autres et j’ouvris le rideau pour inviter Keiko à entré à l’intérieur.

Ne t’en fait pas, je ne vais pas tout te faire essayer ^^ tu fait ce que tu veux d’accord ! Moi en attendant je vais rester à l’extérieur et surveiller pour que personne n’entre, si tu à le moindre soucis appelle moi…

Enfin le « appelle moi » est un peu gênant aussi mais bon, c’est encore une des conneries innocente de Tsukasa Hishima et ont y peu strictement rien malheureusement. Quelque personne qui passe par-ci par-là mais qui quitte vite le champ de vision rouge de l’angelot, un regard un peu effrayant pour ceux qui ont la fâcheuse habitude de regarder en direction des cabines d’essayages et aussi dans sa direction. Le pauvre, il rougis déjà rien que de pensé Keiko dans les tenues qu’elle a elle-même choisi, est-ce qu’il va s’en remettre ? Et surtout est-ce qu’ils n’ont rien oublié d’autre ?

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Keiko avait eu un peu de mal à se retrouver dans le monde des sous-vêtements. La jeune humaine avait tout de même réussie à vite se repérer. Elle se souvenait de la façon, dont son ancienne maîtresse « mesurait » sa taille. La première fois pour elle, qu’elle choisissait ce qu’elle porterait. Enfin, quoi qu’il en soit, elle avait trouvé ce dont elle avait besoin et était revenue vers Tsukasa pour lui dire que c’était bon. Il disait que c’était parfait. Keiko fit un petit sourire, comme une enfant ayant fait une bonne action. Keiko suivit l’ange pour se diriger vers les cabines d’essayage, d’ailleurs celui-ci avait choisis une cabine un peu à l’écart des autres. Tsukasa ouvrit le rideau pour inviter l’humaine à entrer. C’est ce qu’elle fit, sans se faire prier, entrant dans la cabine en écoutant l’ange lui dire qu’elle pouvait faire ce qu’elle voulait. Lui resterait à l’extérieur pour veiller à ce que personne n’entre. Si elle à le moindre problème elle pouvait l’appeler.

L’appeler ? Keiko n’était pas sûre de le faire, même si elle avait un problème. La jeune fille se retrouva donc seule dans la cabine. Un simple rideau, c’était gênant, elle était assise sur le petit pouf carré, dans l’angle de la cabine. La jeune fille commença alors à retirer sa tunique usée, la pliant délicatement pour essayer cette jupe en jean. Bon la taille était bonne, Keiko s’amusait à se regarder dans la glace. Mais elle devait mettre quelque chose au dessus tout de même ! Elle prit un des soutiens-gorge qu’elle avait choisit plus tôt et se demanda un instant… comment on le mettait. Elle l’enfila, mais c’était difficile d’attacher l’agrafe derrière. Non, comment faisait sa maîtresse déjà… Keiko réfléchit un instant, puis se souvint enfin ! Elle attacha l’agrafe devant pour la faire tourner dans le dos et enfiler les bretelles. Keiko se regarda à nouveau, avant de mettre le pull et les jambières unies. Elle fit un petit sourire, elle adorait la façon dont elle était habillée à ce moment.

Elle se demandait comment ça se passait à l’extérieur. Elle poussa légèrement le rideau du bout des doigts, de façon à voir l’extérieur. Des gens passaient plus loin regardant des vêtements, se dirigeant vers les cabines, en sortant… Keiko regarda discrètement sur le côté, pour voir que Tsukasa était toujours là, devant le rideau. Elle aurait pensé qu’il ferait un tour dans d’autres rayons. La jeune humaine lâcha le rideau pour se regarder, elle retira alors les vêtements, prenant soin de les raccrocher le mieux possible. Ah mais… elle ne lui avait pas montré ces vêtements ! Heureusement elle n’avait pas retiré tout ceux qu’elle venait de mettre. Elle remit alors la jupe et écarta lentement le rideau, rougissant un peu :

« Euh… Tsukasa-sama… »

Keiko sortit enfin de la cabine pour se montrer à l’ange, les mains dans le dos, se tortillant l’index.

J’étais dans le petit fauteuil juste en face de la cabine d’essayage dans laquelle Keiko est rentré l y a peu pour essayer les quelques vêtement qu’elle c’est choisi. Pendant ce temps là, moi je regardais les quelques personne de passage, un petit regard aux alentours mais bon, rien d’intéressant à faire à part peut-être imaginer la belle humaine dans ces futures habits. Un instant et je fermer les yeux, perdu dans mes songes, quelques événement de mon passé qui me revinrent à la tête, cette fameuse soirée à laquelle ont ma pour la première fois remarquer en tant qu’être vivant et non en tant qu’ange pur appartenant à la famille des Hishima. Combien de temps c’est écoulé pendant que j’étais perdu dans ma rêverie ? Pas très longtemps en tous cas puisque Keiko est encore dans la cabine entrain de tester ces vêtements. Ce n’est que peu de temps après que le rideau s’ouvrit et que j’entendis la voix de la belle Keiko. WOUAH ! Pauvre petit angelot, il n’en revient pas, c’est la première fois qu’il là voit ainsi et il la trouve vraiment magnifique, si Yui était là elle lui aurait surement fait la tête et envoyer vite Keiko se changer. La petite jupe avec le pull c’est vraiment adorable, mais il manque encore une petite chose, une chose qui pourrez la rendre encore plus mignonne.

L’angelot sorti donc de son fauteuil pour venir vers Keiko tout en la fixant droit dans les yeux pendant sa petite marche. Une fois assez proche d’elle, je sortis un petit ruban rouge que je vins fixer dans ces cheveux en faisant un petit nœud. M’éloignant par la suite, je la regardai une dernière fois et je lui fis mon plus beau petit sourire, une de ces mèches de cheveux dans ma main, les laissant glisser entre mes doigts pour les laisser se reposé contre la belle.

Tu es vraiment très mignonne comme ça ^^…tu vois, je te l’avais dit que tu serais ravissante avec ça

Ceci étant dit, elle peu maintenant allez essayer le reste, si elle veut m’en montré d’autre c’est à elle de voir. Moi je ne suis là qu’en tant que spectateur, maitre, et assistant peut-être ? Hum non, ça m’étonnerais qu’elle accepte un petit coup de main venant de ma part. Petit regard écarlate dans l’océan bleu de ces yeux, je lui laissais mon petit sourire encore quelque instant pour ensuite lui caresser tendrement le visage et la laisser poursuivre ce qu’elle a à faire. Néanmoins je vins déposer un petit baiser sur son front comme signe de récompense pour l’acte de courage qu’elle à eu. Petit sourire habituel, regard menaçant sur les personnes qui ose poser un regard sur elle, il se mit derrière elle et il la poussa jusqu'à la cabine d’essayage. Ayaya, les voila tout deux dans la cabine, un peu encombrant et restreins comme lieu…Pas de sa faute s’il voulait évitez une personne…Une personne qu’il c’est amuser à manipuler. Une personne de la gant féminine qui ne peu s’empêcher de venir le voir lorsqu’elle le voit, une dirigeante de grande entreprise.

Enfin bref, tout cela pour en revenir à la cabine d’essayage dans laquelle Tsu se retrouve avec Keiko, un endroit petit…

-Heu…désolé mais il y avez une personne que je voulais à tout prix évitez ^^.

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Quand Keiko sortit de la cabine d’essayage, l’ange était assis sur un des canapés en face. Elle n’osait pas le regarder et donc ne vit pas la tête qu’il fit à ce moment là. Bon pour elle, il ne devait pas faire autre chose que la fixer avec ses yeux rouges. D’ailleurs, l’ange se leva et plaça quelque chose dans les cheveux de la jeune fille. Qu’est-ce qu’il faisait ? Keiko n’osa pas bouger, puis finalement, c’est Tsukasa qui recula comme pour observer une chose qu’il venait de faire de loin. Il jouait avec une des mèches de cheveux entre ses doigts avant de la laisser se reposer contre son épaule. Il disait qu’elle était mignonne comme ça, il lui avait dit qu’elle serait ravissante… Keiko sentit donc quelque chose dans ses cheveux, elle se retourna vers la glace. Effectivement, elle avait un nœud rouge dans les cheveux a présent. Elle fit un petit sourire, c’était le premier cadeau qu’on lui faisait depuis longtemps ! Elle le touchait pour voir s’il était bien mit, puis elle se tourna vers l’ange et lui dit :

« Ah ! Merci beaucoup, Tsukasa-sama ! ^^ »

Keiko adorait ce petit nœud. L’ange aux yeux rouge, vint déposer un petit baiser sur son front. Elle rougit en se demandant pourquoi elle avait le droit à ça… enfin ça ne l’empêchait pas d’être contente pour sa nouvelle coiffure. Elle allait retourner dans la cabine, quand Tsukasa se mit derrière elle pour l’attirer dans la cabine. M-mais pourquoi ? Keiko n’eut le temps de rien dire, la voila déjà dans la cabine contre l’ange. Euh c’était un peu gênant non ? Tsukasa expliqua a la jeune humaine que s’ils étaient comme ça, c’est qu’il y avait une personne que l’ange voulait à tout prix éviter. Keiko parut légèrement soulagée, elle se demandait bien pourquoi Tsukasa voulait éviter quelqu’un.

« Ah… euh… oui je comprend…m-mais que direz vous si on vous a vu ? »

C’est vrai peut-être que certaines personnes l’avaient vu entrer dans la cabine avec Keiko. Il faisait si chaud dans une cabine d’essayage ? Bizarre tout à l’heure elle n’en avait pas l’impression… elle regarda discrètement par le rideau pour voir les personnes qui défilaient dans le magasin. En faisant ça, elle s’était penché en avant, les fesses légèrement collées à l’ange. Elle se mettait sur la pointe des pieds pour voir plus loin, se penchait sur la gauche, sur la droite, elle n’arrêtait pas de bouger :

« Je ne vois personne qui regarde par ici, ça devrait être bon »

La jeune fille tourna la tête vers l’ange :

« Euh vous voulez peut-être regarder ? »

Qu’il sorte de la le plus vite possible, elle n’allait pas se changer devant lui quand même.

Nous voilà maintenant tout les deux dans la cabine d’essayage, j’espère une chose, que la personne que je cherche temps à évité ne soit plus là. Que c’est dur le travail de chef de la Mafia, c’est surtout embêtant lorsque l’ont sort en ville, ont peu se faire repéré par les personne à qui ont à déjà eu affaire comme ça a faillit être le cas actuellement. Elle fait bien de m’y faire penser, elle à parfaitement raison dis donc, et si quelqu’un m’avais vu emmener Keiko dans la cabine. Ont pourrait surement me prendre pour un vicieux ou un pervers, ce que je ne suis pas (normalement). Tout ce que je pouvais faire pour le moment c’était simplement lui faire un petit sourire, un sourire quelque peu gêné malgré la rougeur de mes joues par rapport à la situation dans laquelle je me trouve. Non pas de savoir ce qu’ont peu pensait de moi, mais tout simplement le fait d’avoir le corps de Keiko tout contre le mieux, son odeur et surtout sa chaleur.

…

Alors que j’allais dire quelque chose, la belle et charmante Keiko essaya de m’aider afin de surement me retiré cette stupide gêne qui m’habite. Mais en voulant m’aider, je pense qu’en faite elle est entrain d’empiré la situation maintenant…Se penché ainsi et se mouvoir de droite à gauche ainsi ne peu me faire disparaître ma gêne mais au contraire l’intensifier. Pauvre de moi, je ne sais plus où donner de la tête maintenant, mon esprit est un peu trop perturbé par temps d’agitation.
Heureusement que sa voix se fit entendre et réussi à me faire revenir à la « raison ».

-Bon dans un certain sens…

Ceci étant dis pas trop fort, lorsque son regard se posa sur moi, je me suis à nouveau mis à rougir face à son petit visage pur. Cette demoiselle est vraiment adorable lorsqu’elle s’y met, le pire c’est lorsqu’elle ne le fait pas trop exprès je pense. Son innocence est troublante il me faut l’avouer. Si je veux y jeté un œil aussi ? Bah pourquoi pas, c’est toujours mieux de vérifier par soi-même et en plus de ça elle ne sait pas qui est là personne que j’évite, donc autant regarder rapidement, histoire de prendre un peu l’ai r au passage pour m’aéré l’esprit. Je lui fis juste un petit signe de la tête et j’écartai alors un peu le rideau pour ensuite me penché sans trop m’en rendre compte, passant la tête de l’autre côté. Rien à l’horizon, même plus la demoiselle à évité ? Ouf me voilà donc sauvé. Enfin sauvé est vite dis…Parce que j’ai beau être libre d’un côté du rideau, de l’autre je suis un peu dans un piège que je me suis en quelque sorte moi-même tendu ont va dire…J’étais maintenant plus rouge qu’une tomate, dur en effet mais pas impossible.

Lorsque je me redressai, tout ce que j’espéré c’est qu’elle ne sente pas trop mon corps se frotter à elle et même glisser, de plus que déjà ces deux petites fesses n’avaient cessé de me taquiner la partie « sous-ceinture ». J’avais un peu de mal à respiré, ou du moins ma respiration ce faisait un peu rapide et allaitante…Quel chaleur ici, je pense qu’il nous faudra vite sortir mais je ne sais pourquoi, j’hésite un peu.

Ont dirait que la voie est libre ^^".

Encore une autre ânerie de l’angelot, et oui je ne cesse jamais mes bêtise moi. Que voulez-vous, je suis Tsu, ce n’est pas pour rien. Alors que je m’apprêter un peu à sortir, ma main dérapa maladroitement sur l’un des bords de la cabine et je basculais alors en arrière, le dos contre la cabine…Peut-être que Keiko avait était emporté dans la chut, étant donné que l’endroit est assez restreint.

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Tout les deux dans une petite cabine… Voilà un scénario bien connu ! Apparemment, Tsukasa évitait une vieille connaissance, mais Keiko ignorait son visage alors n’importe quelle femme était suspecte. Cependant, personne de sexe féminin ne regardait dans cette direction exacte, Keiko en fit la remarque à l’ange. La jeune fille remarqua la gêne de son « maître », il semblait rougir, elle ne savait pas si c’était de sa faute, ou s’il était gêné de se retrouver ici dans un endroit étroit, ou alors peut-être se souvenait-il de ce qu’il avait fait… après tout, l’ancien maître de Keiko était un peu comme ça, alors ça lui paraissait tout a fait normal.

Tsukasa accepta de jeter son petit coup d’œil, Keiko se poussa légèrement… après tout l’ange seul pouvait savoir si elle avait raison... La jeune fille sentait la respiration de l’ange plutôt rapide, pourquoi est-ce qu’il haletait d’un coup ? Keiko était du genre naïve, il faut dire que son ancien maître faisait toujours en sorte de lui cacher ce genre de chose. Après tout, ils avaient toujours fait en sorte de lui cacher le moindre petit signe du genre, afin qu’elle reste naive en toute circonstances. Seulement, Keiko n’était pas si idiote, même si elle le laisse croire, elle est en fait plutôt curieuse et savait très bien changé s’il le fallait.

Après tout, Tsukasa semblait être du genre à laisser ses soumis faire ce qu’ils souhaitaient. Bon d’après l’ange, la voie était libre, Keiko s’apprêtait à dire que c’était tant mieux et que l’ange pouvait sortir, mais celui-ci glissa en arrière, Keiko se sentit emporté vers l’arrière, mais sans pour autant tomber aussi. Elle plaqua ses mains sur les parois de la cabine se retrouvant à genoux devant l’ange, une main a côté de sa tête et l’autre sur le côté. Elle rougit instantanément :

« Tsukasa-sama, comment avez-vous fait pour glisser ? »

Malgré la situation plus que génante, Keiko fit un petit sourire, puis se mit à rire doucement, un rire cristallin… La nervosité la faisait rire, cependant elle se calma rapidement et se releva :

« Excusez-moi, je ne sais pas pourquoi j’ai rit comme ça… »

La jeune humaine aida l’ange à se relever en lui tendant la main. L’ange serait sûrement gêné de sortir après que certaines personnes l’ait vue entrer dans la cabine ou entendu tomber.

Halala, c’est vrai que je suis vraiment maladroit qu’en je mis met, aujourd’hui ce n’est pas mon jour de chance ont dirait bien. J’avais trouvé le moyen de glisser au moment-même ou j’allais enfin laisser Keiko seule pour qu’elle puisse ce changer, mais c’est à croire que les étoiles en ont décidé autrement. Malheureusement, j’avais malencontreusement entrainé la belle dans ma chute, elle était à genoux à côté de moi, une de ces mains non loin de ma tête et l’autre vers mes cotes. Je l’a regardé avec mon petit sourire habituel malgré la situation, il ne faut pas en pleuré alors faire la tête ne servira à rien à part donné une mauvaise ambiance. Elle me posait une question et elle me souriait pour ensuite commencer à se mettre à rire, étrange mais amusant en effet. C’est vrai que cette situation est comique si l’ont met à l’écart le pensé perverse que les autres peuvent avoir vis-à-vis de nous, du moins si ont nous a vu.

Heu….ont va dire que j’ai eu une mauvaise prise d’appuie et que maintenant je me retrouve par terre ^^’.

En la voyant rire ainsi, je ne peu m’empêcher d’en faire de même, je riais à plein poumons, ce qui est rare. Une bonne rigolade ne fait jamais de mal en tous cas, et je m’en aperçois que maintenant. La voyant se relever, j’en fis de même afin de me mettre à la même hauteur qu’elle. De quelque coup de main par-ci par-là je me dépoussiéré un peu tout en remettant mes vêtements convenablement, relevant ensuite la tête vers elle et laissant alors trainer mon regard dans le sien.

Ne t’excuse pas ^_T, t’entendre rire me fais déjà plaisir et te voir avec le sourire, encore plus.

Vi, j’avais une petite larme au visage, le fait de rire de bon cœur m’a fais du bien et m’a même calmé de certaine chose, cette larme fut vite essuyer, il ne faut pas s’en inquiété. Ma main vint lui caresser le visage pour lui remettre une mèche de cheveux derrière l’oreille, petit sourire charmeur au rendez-vous, un sourire que je n’ai pas vraiment fais exprès d’afficher. Je la regardais un moment puis je m’appuyais contre l’un des murs de la cabine pour réfléchir un peu. Avec tout le bordel que j’ai réussi à faire, il y a surement des personnes qui nous ont entendu, j’espère que cela n’a pas attiré trop de monde et donc trop de regard indiscret. Que faire ? Il faudra bien que l’ont sorte d’ici un jour ou l’autre, alors qu’est-ce que je pourrais bien faire ? Bof enfaite pas grand chose, juste sortir en premier puisque c’est elle qui essaye les vêtements, pas moi.

Bon, ma petite Keiko, je vais devoir te laisser, si ont reste plus longtemps là ont risque d’avoir des ennuie et une réputation étrange.

Néanmoins, malgré ce que je dis, je reste encore dans la cabine, pourquoi ? Surement pour évitez de tomber sur du monde à l’extérieur. J’attendais de ressentir moins de présence autour de nous, malgré tout, ça m’inquiète un peu et me stresse…Je n’aime pas trop ça je dois bien l’avouer.

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Le destin faisait vraiment de drôle de chose, l’ange avait eu un mauvais point de prise et sa main avait glissé pour emporter tout son poids par terre. C’était bête, mais comme quoi les choses les plus simples étaient les plus plausibles. L’ange la rejoint dans son rire, il riait de bon cœur, c’était un bon point ! La jeune humaine commençait à sentir ses côtes la tirailler tellement elle riait. Qui aurait crût qu’une telle situation provoquerait chez elle un fou rire ? He bien, c’est ainsi que s’exprime sa nervosité, certaines personnes vont rester perplexe, d’autre pleuré et bien elle riait. Parfois c’était très gênant, imaginez que vous assistez à une bagarre entre deux connaissance et vous vous mettez à rire alors qu’ils sont très sérieux. Non vraiment c’était gênant… Une fois debout, l’ange se dépoussiéra, demandant à Keiko de ne pas s’excuser, ça lui avait fait plaisir de l’entendre rire, la preuve, il avait même les larmes aux yeux.

L’ange lui caressa le visage, ce qui la fit légèrement rougir avec son sourire charmeur… Tsukasa la regardait un moment, sûrement qu’il était gêné de sortir dehors. Pas étonnant, ils n’avaient pas du passer inaperçu, surtout avec leur fou-rire. L’ange se décida a la laisser, si ils restaient ainsi plus longtemps ils risquaient d’avoir des ennuis en plus d’une étrange réputation. La jeune fille déglutit avec un sourire gêné, Tsukasa hésitant quand même beaucoup à sortir. C’est sûr que dehors tout les regards seraient rivés sur lui, c’était facile pour Keiko de se cacher derrière les rideaux quelques minutes encore. Comment faire pour retourner la situation à leur avantage ? Keiko ne voyait pas trop comment faire… la plupart des gens présent avaient vu l’ange entrer dans la cabine.

Soudainement, un bruit sourd se fit entendre au fond du magasin, suivit d’un léger cri. Apparemment, quelque chose était tombée et avait effrayé quelqu’un. Keiko sortit la tête de la cabine et remarqua toute les têtes rivées vers le fond du magasin. Elle prit la main de l’ange pour le mettre devant elle et le poussa doucement dehors :

« Aller Tsukasa-sama, je pense que c’est une bonne opportunité ! »

Comme ça personne ne remarquerais rien, ou alors très peu… La jeune humaine souffla un instant et finit de se changer, pour une fois qu’elle visitait ce genre de magasin, c’était plutôt mouvementé comme sortie du local ! Une fois qu’elle eu finit de se changer, elle ouvrit le rideau en grand, montrant qu’il n’y avait personne !

J’étais encore dans la cabine malgré ce que je lui avais dis. Je veux sortir mais je ne peux le faire à cause des regards injurieux et malsain qui pèsent surement à l’extérieur. Ma présence doit surement la dérangé elle aussi et je m’en vois vraiment désolé, mais malheureusement je ne peux vraiment faire autrement. J’ai beau retourné la situation dans tout les sens, je ne sais comment faire pour pouvoir nous sortirent de là, de plus je n’ai pas envie de faire usage de mes dons angélique pour pouvoir prendre la fuite. L’éducation que j’ai reçu de toute manière ne me permet pas de fuir, je dois me montré digne de mes parents. Perdu alors dans mes pensé à la recherche d’un quelconque moyen de nous en tiré, un bruit sourd se fit entendre. Qu’est-ce que cela pouvait bien être ? Je me le demandais bien, mais je ne suis pas le seul ont dirait bien. Le temps de me rendre compte de la situation, je sentais déjà une douce chaleur m’attrapé la main pour ensuite se glisser dans mon dos et me poussait vers la sorti avec douceur.

Sa voix se fit douce à mon oreille, elle m’offre la possibilité de quitter la cabine sans que je me fasse remarquer. Elle à trouvé le moyen de profité de la situation en agissant ainsi et c’est ce que je commence à apprécié chez elle. Je tournais simplement mon visage pour pouvoir l’apercevoir quelque petite seconde avant que le rideau se referme derrière moi en me laissant ainsi au milieu de tout ce monde troublé. Je soupirais déjà de soulagement, me sentant maintenant un peu plus à l’aise que tout à l’heure bien que j’ai rit à cœur joie un peu plus tôt en sa compagnie.

Je ne restais pas bien seul longtemps, le rideau s’ouvrit et elle sorti alors de la cabine avec ces vêtements en main et les autres sur son corps bien entendu. Je lui souriais comme à mon habitude même si cette fois c’est un peu de gêne. Le petit monde est concentré sur ce qui c’est produit un peu plus loin mais ils ne resteront pas ainsi indéfiniment, je m’emparais alors de l’une de ces mains avec tendresse pour qu’elle me suive. L’emmenant alors à la réception pour pouvoir payer toute nos trouvailles. Déposant alors chaque article choisi pour les afficher à leurs machine de ferraille, le tous fut par la suite placer dans des petits sacs afin de nous facilité le transport. L’argent étant déverser ont pouvaient alors sortir de cet endroit, ainsi ont se sentira largement mieux je pense surtout lorsque l’ont sera sur le chemin du retour à la maison, un retour pour moi mais une découverte pour elle.

Nous voila donc alors tout les deux à l’extérieur du monde des vêtements, juste à l’entré précisément. J’avais en main deux petits sacs et la jeune humaine qui se trouve à côté de moi en avait aussi. Discrètement je me penchais vers elle pour venir apposer le contact de mes lèvres sur l’une de ces joues, proche de son oreille à laquelle je glissais un simple petit mot

Merci…

Cela voulait tout dire, je la remercie pour m’avoir sorti de cette galère pas possible, même si elle n’y est pas vraiment pour rien, mais elle à réussit à me faire sortir en profitant des événements passé. Je lui en suis donc en quelque sorte reconnaissant sans que je le lui dise parce qu’elle sera surement gêné que son « maitre » lui doit quelque chose. Je me redressais par la suite en lui offrant mon plus beau sourire parfaitement sincère puis sans ouvrir la bouche je me mettais déjà à marcher en direction de ma demeure.