Une colombe en cage [Pv Hana no Kitsueki]

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Eriol avait été placé en cage peut de temps après son arriver dans la grande citée de Meridell. Il était assis au fond de la cage une main sur ces yeux fatigués et une autre au sol, il ne savait trop s'il devait pleurer ou encore rire de cette situation. Il resta assis, toujours et toujours dans cette position, il ne fesait que penser à ce qu'il lui arrivait en ce moment.

*Papa, Maman... C'est étrange non ? Ou peut-être pas tant que sa finalement... Une colombe blanche, ne méritant pas ces ailes, n'aillant aucun bonheur, elle devrait tout simplement être enfermé, non ? À quoi sers qu'elle soit libre, si elle ne peut même pas vivre une vie calme, paisible avec les gens qu'elles aiment, une vie remplie de bonheur et de joie... Une vie que tout le monde voudrait, ce n'est pas de ma faute si je suis une erreur rejeté, un humain avec des ailes aussi blanches... mérite-t-il d'exister ?*

Sur ces dernières pensées pénibles quelque larmes se mit à couler de ces yeux tellement fatigués...

-"Papa, Maman pourquoi êtes-vous parti ?"

Il se leva et s'approcha doucement des barreaux gris et froid de sa cage. Il regardait aux alentours, il ne vit que d'autre hybride, il ne vit que des monstres... Ce qu'il était, une erreur pure et simple, quelqu'un qui n'aurait jamais dû exister, quelqu'un que tout le monde hait, quelqu'un qui vivra éternellement en cage. Ceci était sa vie, même s'il ne saurait pas en cage, il serait soumit à son maître, une autre cage, en quelque sorte. Il se sentait vraiment fatiguer alors il alla dormir, mais il retourna dans le même coin qu'il était plutôt à la place de se coucher sur le lit qu'il y avait dans sa cage. Il replia ces ailes vers luis et s'endormit lentement dans un profond sommeil...

Invité

Kerges était devenu plus une ombre travaillant à l’antre que le vaillant chef de l’endroit qu’il avait été pendant l’absence de Nisis. Il se déplaçait plus par obligation que pas envie, pour le moment. Il passait énormément de temps dans le bureau à pleurer Nisis. Il n’avait d’ailleurs pas changé les lieux. Mais les arrivages étaient tous sous sa tutelle. Il faisait donc sa tournée. Les hybrides, qui ne se vendaient pas, étaient inquiet pour lui et aussi pour eux. Si Kerges venait à les abandonnés, que deviendrait-il avec le nouveau propriétaire? Il arrive finalement devant une cage. Il en prit la fiche, et d’une voix aussi éteinte que la couleur de sa toison, il s’adressa à l’hybride de la cage.

- Bonjour, je suis Kerges Mach’tel, propriétaire de l’antre, j’ai besoin de tes noms et âge.

Kerges avait raccourci son discourt au minimum. Ses yeux gardaient pourtant une forme de vivacité, contrairement au reste de sa personne… C’était la que l’on pouvait remarquer que Nintaï veillait sur ce qui se passait…Il remarqua alors qu’il s’agissait d’un hybride oiseau et qu’il n’avait rien à faire dans ce genre de cage. Il rugit à l’adresse du personnel, son rugissement était à son image, sans vie et sans force, mais le personnel connaissait ce signal.

- Il ne doit pas être ici, déplacer le dans la zone avec les perchoirs. La prochaine fois que ce genre d’erreur arrive, tu es renvoyé, humain qui s’occupe de la zone…

Kerges attendait une réaction, aussi bien de l’hybride que de l’humain…

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Eriol endormis dans le fond de sa cage, se fit dérangé par un nouveau venu. Lentement, il se réveilla... Son corps était complètement engourdis, il se leva et commença lentement à battre ces ailes pour les dégourdirs un peu. Il regarda le nouveau venu... Lui aussi un hybride, était-il là parce qu'il serais mis en cage comme lui ? Mais sa question s'éclaircit quand qu'il entendit <<le monstre>> prononcé d'une voix éteinte, d'une voix morte, d'une voix sans aucune émotion, un peu comme lui:

- Bonjour, je suis Kerges Mach’tel, propriétaire de l’antre, j’ai besoin de tes noms et âge.

Kerges MAch'tel, un monstre au yeux montrant le peu de vivacité qu'il restait encore en lui, le reste de son corps ne semblait pas réagir à se peu qu'il ressentait encore... Eriol s'avança lentement vers les barreaux de sa cage, il s'en alla pour s'exprimer mais, l'hybride poussa soudainement un rugissement sans vie, sans force, un rugissement de <<désespoir>>, sans aucune émotion y émanant d'une grande tristesse... Après se cris, il l'entendit reparler de sa voix monotone:

- Il ne doit pas être ici, déplacer le dans la zone avec les perchoirs. La prochaine fois que ce genre d’erreur arrive, tu es renvoyé, humain qui s’occupe de la zone…

Après que l'humain est regardé Kerges, les choses semblait alors s'être calmer, alors Eriol prit la parole de sa voix qu'il avait toujours eu... de sa voix sans vie... comme la voix de Kerges, lui aussi fit cour dans sa réponse:

- Eriol Phitos, 36 ans.

*Une zone à perchoir... Moi qui ne sait même pas de ce servir de mes ailes correctement. Je n'a jamais su, je vole, mais quatre ou cinq seconde à même pas dix centimètres du sol...*

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Kerges nota, mais son écriture était tremblotante. Il avait entendu la réponse de l’hybride oiseau. Il parlait aussi d’une voix morne, peut-être avait-il aussi eu un malheur comme celui qui avait touché Kerges, mais rien ne le laissait penser.

- Merci pour les informations…

Kerges ne parlait pas plus vivement. Sa phrase s’arrêta comme si sa voix mourrait en sortant. Il vit revenir l’huain qui lui dit qu’il pouvait déplacer l’hybride au plumage blanc. Kerges ouvrit donc la cage et entra. Il fit sortir Eriol et le guida, calmement jusqu’à la zone des hybrides oiseaux.

- Voilà, tu seras mieux ici. Je te laisse prendre place.

Kerges s’installa aussi, comme une carpette sur le sol. Il était si fatigué de tout cela. Le travail lui pesait de plus en plus…

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Eriol regarda fixement Kerges, il écrivait sur son bloc note, d'une main tremblante, les informations qu'il venait juste de recevoir. Toujours en continuant de regarder l'être <<sans vie>>, Kerges commença à parler, ce fût court mais on ressentait bien le malheur de cet homme, autant dans sa voix qu'avec le reste de son corps et de son âme...

- Merci pour les informations...

Cette voix mourante, triste, c'est exactement comme la sienne. Une voix, un âme, un corps sans aucune volonté de continuer... Quelqu'un était comme lui... Une personne sans bonheur, une personne qui avait perdu, l'amour, la joie, la volonté... L'être humain qu'avait menacé Kerges tantôt pour cette trompée dans le classement des monstres par cage, l'humain revenait vers la cage. Il dit à Kerges:

- Vous pouvez déplacé l'hybride au plumage blanc.

Après ce que l'humain dit ce qu'il avait à dire, Kerges ouvra la cage d'Eriol et y entra. Il fit sortir Eriol et le guida, à travers l'antre, un endroit rempli de monstre comme lui, jusqu'à la zone réservée au hybride oiseau, au hybride ayant des ailes. Rendu à la cage, Kerges dit à Eriol de sa voix toujours aussi morte:

- Voilà, tu seras mieux ici. Je te laisse prendre place.

Eriol y rentra et regarda sa nouvelle cage, il regarda tout autour de lui, se fit une drôle de sensation... Ça lui fesait plus étrange que quand qu'il était dans sa cage <<normal.>> Il regarda Kerges, s'étendre comme une carpette sur le sol de cette immense cage, la cage pour oiseau. Avoir les ailes blanches d'une colombe, des ailes ressemblant au celles des anges mais n'y en étant pas... Ne pas savoir s'en servir, c'était comme s'il avait les ailes coupés... Il se rapprocha de Kerges, voir quelqu'un comme lui, l'intriguait, enfin peut-être, il ne savait pas trop. Il s'exclama d'une voix plus douce mais toujours sans émotion:

- Que vous arrive-t-il ?

Il s'accroupit devant Kerges et le regarda fixement, sans cligner des yeux.

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Kerges avait fait son travail et il s’était mis là autant pour se laisser un peu aller que pour attendre que le nouvel occupant trouve ses marques. Il était dans ses pensées tristes lorsqu’une question vint lui tirer des larmes silencieuses. Il commença a répondre, une tristesse infinie dans la voix…

- Elle est morte… Je suis seul et elle est morte… Ma Nisis adorée est décédée en donnant la vie à nos enfants. Nous… Nous devions les voir grandir ensemble, mais elle nous a quittés. Et je n’ai rien pu faire pour la sauver… J’avais juré de toujours la protéger…

Kerges sembla animé d’un souffle de vie lugubre pendant qu’il parlait. Mais rien ne semblait le tirer de sa léthargie. Il retomba dans celle-ci une fois son monologue fini… Les larmes mouillaient la toison du wemic. Ce dernier était pourtant là pour son travail et il devait encore parler.

- Je… Si tu te trouves bien ici, je vais te laisser. Ou as-tu d’autres questions ? Je suis là pour ca, après tout…

Kerges avait retrouvé sa voix éteinte. Il avait levé ses yeux sans vie pour regarder le portrait de Nisis qui se trouvait derrière le comptoir d’accueil, ce dernier étant visible depuis là où ils étaient…

Invité

Toujours en le regardant, il écouta son monologue d'une grande tristesse, qui ne peut s'effacer avec le temps, une tristesse éprouvante et malsaine, qui vous torture:

- Elle est morte… Je suis seul et elle est morte… Ma Nisis adorée est décédée en donnant la vie à nos enfants. Nous… Nous devions les voir grandir ensemble, mais elle nous a quittés. Et je n’ai rien pu faire pour la sauver… J’avais juré de toujours la protéger…

La bête, enfin Kerges, sembla lentement retomber dans sa léthargie, les larmes qui avait couler mouillaient sa toison, malgré les larmes qui avait couler, il recommença à parler:

- Je… Si tu te trouves bien ici, je vais te laisser. Ou as-tu d’autres questions ? Je suis là pour ca, après tout…

Toujours de cette voix sans vie, une voix éteinte... comme sa vie. Il leva les yeux pour regarder le portrait de son être bien aimé, Nisis...

Eriol se retourna doucement après s'être lever pour regarder le visage de la femme qu'aimait Kerges de toute son âme... D'une voix rempli de larmes, colères et haine, il répondit d'amertume.

- Cette vie, je la hais ! Elle n'apporte jamais rien de bon... Tout ce que j'ai enduré, ce que mes parents ont enduré, ce n'est que de la haine, du mépris et du dégout. Les gens de où je viens ne sont que des ordures ! Déjà qu'il ne supportait mal l'union entre mes parents... Il sont complètement attardé ! Il y en a qui sont complètement fou ! Et quand je suis née, sa n'a pas amélioré les chose ! Tout se qu'il fesait était au nom de dieux disait-il... Ce n'était que des fous, je le répète des fous ! Ils ne supporait pas que nous vivions mais quand... mon corps... sa il le voulait...

Il s'étouffa, sa colère, sa peine et sa rage le consumait, il ne pu finir ces derniers mots. Ce long dialogue incompréhensible n'était sortit sur le coup d'un impulsion... Il se laissa tomber à genoux et s'agrippa à un barreaux de sa cage... Il le serrait tellement fort que sa main commença à saigner.

Invité

Une journée nuageuse s'offrait a elle et a tout ceux qui vivait dans ce bas monde. Un léger manteau sur les épaules et un parapluie sous la main était tout ce qu'elle avait sur elle. une marche sous la petite bruine ne lui faisait que du bien. L'air frais de la pluie arrivante la faisait sourire. une odeur rafraichissante et a la fois agréable a gouter de son odorat. (( a continuer)

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