Une crainte [Pv shion Oyada ]

Shion travaillait à la maison, et ce, depuis que les jumeaux étaient nés. Vicky se reposait et s’occupait des enfants. Il faisait toujours diligence et énormément de choses. Avec les occupants de la maison pour certaines activités, le fait de dicter les souvenirs de l’archange Azraël à Gabriel. Pour travailler de cette façon, Chizu faisait les allées et venues entre le domaine et le siège communal, et cela, sous la protection des gardiens voir, sous celle de Shion, incognito. Les dossiers étaient parfois sensibles et la pègre de la cité ne devait pas les lire… Shion avait le nez dans un dossier lorsqu’on frappa à la porte. Il dit à Chizu qui faisait du classement dans son bureau de ne pas se déranger, qu’il allait aller ouvrir lui-même. Ce qu’il fit. Il se retrouva face à un des politiciens de la ville. Il était le non-élu de plus haut rang de la cité. Et il prenait bien des décisions en absence des autres tenant du pouvoir…

- Monsieur Blades, c’est un plaisir de vous voir ici. Je vous en prie, donnez-vous la peine d’entrer.

Shion avait ses six paires ailes à demi déployées. Il portait un costume de ville. Il ne faisait pas touriste, mais pas tout a fait notable… Il fit passer Wesker au salon. Celui-ci semblait vouloir parler de choses importantes, le dossier sous son bras ne laissait pas de doute. Shion lui fit signe de s’installer.

- Et bien, je suppose que vous êtes ici pour quelque chose de précis. Mais, avant toute chose, permettez moi de vous proposer quelque chose à boire ?

Shion se montrait un bon maître de maison, mais la politique allait surgir d’un moment à l’autre, il le savait. Depuis qu’il travaillait à domicile, la politique ne le lâchait plus… Il regarda la faux qui se trouvait au mur. Il avait fait faire une reproduction de la trancheuse des âmes, la faux de l’archange Azraël… Il l’utilisait parfois…

Après quelques instants à attendre face à la porte de l’immense demeure des Oyadas , Wesker entendit la poignet de la porte pivoté et s’ouvrit pour laissé apparaître l’homme de la situation celui que Wesker attendait impatiemment depuis son départ du manoir .
A la vu de Wesker on voyait déjà la class et la politesse d’un homme politique dans le comportement de Shion lui proposa d’entré chose que Wesker fit sans bronché en serrant la main du maître de maison pleines de bonnes attentions .

Monsieur shion oyada c’est un honneur et un privilège de pouvoir parler avec vous

Très vite Wesker suivit du vestibule Shion et arriva dans un salon tout à fait charmant digne d’homme de grande influence et d’illustre famille .
Wesker s’assis dans un fauteuil tenant toujours son dossier en main , il voulait faire plus ample connaissance serte mais aussi avoir l’avis de son collègue.
L’ange aux ailes immaculés que Wesker n’arrêtait pas de contemplé pour leur couleur éclatante entendit celui-ci demandé si il voulait boire quelque chose avant de parlé de ce pour quoi il était venu voir celui-ci.

Ho avec grand plaisir Mr Ada il est vrai que cela serait plus agréable de parler autour d’un bon café ou du thé c’est comme vous le souhaitez après tout vous êtes chez vous.

Wesker posa son dossier sur la table basse en face lui

Shion fit donc venir du thé. Le café ne servait que le matin et c’était Roméo qui le préparait. Shion se rappela que Wesker n’était pas un vieux politicien de la ville. Il était récent dans le décor politique de la cité. Shion vit passer Chizu avec Kelek. Elle devait aller chercher d’autres dossiers au bureau et remettre des décisions concernant la taxation et la sécurité de la cité. Kelek était un wolfen, un hybride de grande taille et massif, tout en muscle et en crocs… Shion les salua en restant avec son invité.

- Et bien, le thé est servi. J’ai en tête que vous n’êtes pas dans la politique de la cité depuis fort longtemps. Est-ce que cette vie vous plait?

Shion se montrait agréable, tout en observant son invité. Il se demandait s’il serait capable de violence si ses opinions politiques étaient contrariées… Mais Shion laissa là ses pensées. Rien ne pouvait laisser penser cela de toute façon. Shion servit le thé et proposa du sucre.

- Mais vous n’êtes pas sans savoir que j’ai pas mal de travail. Alors, que puis-je pour vous, car je suppose que ce n’est ni une visite d’agrément, ni de complaisance. D’ailleurs, quel est ce dossier que vous avez pris avec vous ? Rien de trop important, j’espère. Il n’est pas conseillé d’égarer les papiers de l’administration…

Shion était sérieux, mais c’était aussi un moyen d’amener le sujet principal de la visite. Shion voulait liquider le travail et parler plus librement avec son convive en suite. Cela lui ferait une pause entre les travaux administratifs qu’il avait encore à faire…