La révolution neko -Acte 3: le retour du jedi et de son gros sabre-

Invité

Comprenant que la démone mignonnette n'avait pas appréhendé les subtilités du jeu, la neko sur vitaminée, limite épileptique avec le mélange détonnant, laissa passer quelques léchouilles et tours de passe-passe sur fond de ronrons dissonants et trébuchants. Karina junior n'échapperait pas au trébuchet, elle tomberait dans le doux piège des caresses, collet-collées, pour finir livrée sur le bucher des plaisirs.

Tam, devenue princesse chaotique bonne (XD), s'aida de son poids pour à force de frottements, allonger sur le dos sa maîtresse. Vive comme une anguille sa langue s'insinua dans le sombre corridor cul-de-sac de l'illumination pour déboucher, après quelques centièmes de livre de lèvres, sur la bibliothèque du savoir concupiscent. En bonne élève étudiant la linguistique pratique, quitte à être dans un puits de sciences - ne disait-on pas d'Ayu qu'elle avait une connaissance APPROFONDIE des choses-, la neko prit le plus gros volume et en humecta les pages de sa soif d'instruction et de partage. Quand elle sentit l'essence magique des lieux la submerger de sa quintessence écumante, Tamaris suçota un coin de reliure en guise de marque page puis partit à reculons, sur la pointe des pieds. Quand ses deux oreilles se dressèrent, elle fit un clin d'œil à Ayu, profita de son état cotonneux pour quitter le lit et partir en quête du saint-graal qu'elle savait présent dans un coffre de la chambre. Quand elle revint, la neko brandit une longue baguette à fourche et dit d'une voix amusée et débordante d'excitation:

°o°

-Abracadabra!

Le gode spécial de bonne taille avec ceinture fut introduit dans le pot de chocolat. Tam fit de même avec sa bouche pour prélever l'excédant puis l'engouffra dans celle d'Ayu.

°o°

-Mya. Tu ne voudrais pas utiliser tes jouets?

°o°

Les deux lunes dorées étaient pleines et pailletées et la petite moue en dessous en disait long sur son envie d'essayer une multitudes de choses. Bouche de démone libérée et vite scellée par un tendre baiser pour laisser un temps de réflexion.