Réflexion (Pv Tsukasa Hishima)

Invité

Chaque jour ne peut être rose pour tout le monde, d’ailleurs pour certaine personne cette couleur n’est au grand jamais prononcé pour invoquer une journée. Lorsque la vie n’est que peines et que réussir à survivre est notre unique priorité, ont a même plus envie de se battre sachant que sa nous mènera nul par dans un monde pareil. Mais dans le fond, c’est la seule solution, et sa Amaya l’avait bien compris qu’elle ne doit pas baissé les bras si elle veut un jour réussir sa vie. Cette nuit s’annonçait magnifique, la température c’était arrêté dans les 18 degré, de plus la plage si calme à une heure pareille avait un pouvoir de laissé se libéré es rêves les plus extraordinaire tout au fond de nous. Assise sur le sable doux, une demoiselle fixait l’horizon, dans ses yeux intenses la lueur de la Lune était venu s’installé tout comme ses rayons avaient pris place dans l’océan. La chevelure dansant au rythme du vent, Amaya prenait le temps de faire une courte pause par apport à cette vie active. Étrange est la mécanique du cœur, mais plus compliqué est le mécanisme du bonheur. Personne n’est satisfait de ce qu’il a, généralement le poids des énormes valises de douleurs, de chagrins, de peurs et d’autres obstacles au bien être pèses des tonnes comparés aux raisons de sourire. La demoiselle qui c’était retiré du monde dans cet endroit pour le moment désert ne pouvait arrêté de se questionner sur les gens qui l’entouraient. Dans les rues du monde les êtres sourit, se cache derrière un masque ne voulant point montrer une seule faiblesse. Il y a-t-il vraiment une honte d’être pauvre ? De se rendre compte qu’on aime une personne qui elle n’est pas acceptée par la société ? Ou encore est ce réellement si gênant de versé une larme devant un autre individu ? Et pourtant… Aussi méchante, aussi douce, aussi active soit elle, n’importe qu’elle personne a un jour le besoin de vidé son sac et le faire dans la solitude n’est pas toujours le meilleur des moyen. En ce qui concerne notre jeune femme c’est une chose qu’elle n’a pas encore acquit, certainement le faite d’avoir vécu seule toutes ces années, mais de temps en temps, lorsque son esprit s’égard pour laissé venir la réflexion, elle se demande si ce n’est pas une excuse et qu’en faite c’est juste qu’elle a peur du jugement des autres, et puis est ce vraiment si étonnant de ne pas avoir les tripes de parler quant ont connais comment est devenu le monde actuel ? C’est dans des moments comme ceux-ci, que la jeune fille prend le temps de pensée, même si elle n’a jamais versé de larme… Non elle sait jurer de ne jamais être vulnérable pour personne. Amaya se leva lentement, et dans le même élan s’approcha de l’océan. L’eau tiède vint touché délicatement ses pieds nus, provoquant ainsi une vague de frisson sur tout le corps de la demoiselle. Les yeux à présent fermés, elle savourait ce plaisir de liberté. Elles qui n’est qu’une ange dans le fond, pour qui les journées sont assez compliqué, les instants de délivrance sa fait toujours un grand bien. Dommage que la réalité rattrape toujours très vite le rêve. En douceur, Amaya retira son t-shirt teint mandarine et sa jupe noire plissé qui donnaient une impression au regard de voir virevolté du velours. Ensuite laissa tombé ses sous-vêtements blancs qui petit à petit viraient au gris. C’est alors que la jeune fille entra dans l’eau avec tendresse et charme. Une fois habituée à la froideur de l’océan, Aliriel lâcha ses muscles pour se laissé allé et se détendre parfaitement. En ouvrant les yeux, elle était face à un champ d’étoile tel une forêt de Lys Blancs dans lequel ont se coucherait volontiers… De sa bouche elle laissa échappé.

" Quel pied ! "

Où suis-je ? Qui est cette personne qui me regarde ? Pourquoi y à t’il autant de flamme ? Mais…Mais pourquoi ai-je du sang sur les mains ? Trop de question pour une seule nuit, trop de question pour un rêve, un cauchemar, un fragment de mémoire. Sortant de cette endroit obscur qui est le sommeil, j’ouvris les yeux pour ensuite scruter la sale dans laquelle je me trouve, peu à peu mes yeux s’habituèrent à l’obscurité qui règne dans ce lieu, je suis actuellement dans ma chambre et…Et Yui dors profondément à côté de moi. Son visage endormit est tellement adorable, je ne peu m’empêché de la regarder, je n’arrive pas à détourné mon regard écarlate. Mais voila, maintenant que je suis réveiller il me sera difficile de me rendormir, et puis il faut que j’arrive à me calmé mes esprits, que je trouve la clé de ce que j’ai pu voir avant de me réveiller. Une petite promenade à l’extérieur me fera le plus grand bien, quittant alors mon lit pour changer de vêtement, j’enfilai un pantalon noir très léger, une chemise rouge comme le sang et bien entendu une petite veste de laine pour ne pas attraper trop froid. Bon, il ne me reste plus qu’à allez faire un petit tour dehors…La nuit est fraiche ce soir, et je vais donc laisser Yui toute seule pour cette nuit. C’est avec un doux petit sourire que je vint plaqué une tendre chaleur sur le front de Yui, je venais de déposé mes lèvres sur sont front comme j’ai l’habitude de faire pour lui donné courage, la couverture maintenant bien remise en place sur ces épaules, je peu donc partir tranquille.

C’est donc avec l’esprit libre et tranquille que je sorti de la maison, un caresse rapide sur la tête d’Avian, un petit sourire laisser derrière moi, quelque pas de plus et hop me voila parti. Où est-ce que je vais ? Hum bonne question, je vais seulement là où mes pas me guident. Ce n’est qu’au bout d’un certain moment que je m’apercevais peu à peu que j’allais en direction de l’océan, je me souvenais de cette agréable sensation, le vent doux et frai, le son des vagues se faisaient de plus en plus proches. Enfin me voila arriver, sur une petit botte de terre en hauteur, je regardais l’horizon, ce ciel étoilé, ce voile de lueur merveilleuse et enchanteresse. Vraiment, c’est magnifique, cela me rappel certain souvenir d’ont celui de cette fameuse soirée, de ma première soirée d’ailleurs. Oh oui cette douce et agréable soirée que j’ai passé en compagnie d’une charmante ange, une chanteuse si j’ai bon souvenir, elle dansait merveilleusement bien et elle était emplie d’élégance et de charme. Rien que de pensé à cette soirée me redonne le sourire, c’était la première personne à m’avoir accepté en tant qu’ange et non en tant que fils des Hishima.

Sortant de mon passé, je continuais de regarder ce magnifique voile de douceur, les vagues venaient s’écraser à mes pieds et le vent lui soufflé encore dans mes cheveux. Mon regard rouge écarlate se fixa sur une silhouette un peu plus loin, une silhouette qui se trouve dans l’eau. De là où je suis actuellement, je ne peu voir à quoi ressemble cette ombre, je n’ai donc nul d’autre moyen que de m’en approcher. Me refugiant dans ma petite veste, je commençais donc à m’avancer vers cette personne, à chacun de mes pas je pouvais ressentir peu à peu son aura, quelque chose me dit que c’est une personne de la même race que moi, un ange. Pourquoi ? Lorsque j’étais assez proche de cette personne, mon regard ne se posa pas dessus, il c’était fixé sur la lune qui me paraissait un peu plus proche que d’habitude, mais qui parait aussi bien plus envoutante. Il m’avait bien semblé entendre le son de la voix de cette personne, d’après ce que j’ai pu entendre, j’en conclu que c’est une personne de la gent féminine. Ah mais, si c’est bel est bien une demoiselle, si elle me voit elle va surement me prendre pour ce que je ne suis pas, un voyeur….Halala ça sent vraiment mauvais pour moi tout ça…Même si je suis assez connu chez les anges parce que j’appartiens à l’une des riches et rares familles que l’ont dit « Pur », je n’ai tout de même pas envie d’être prit pour cela.

-La lune est belle se soir…

A voix basse, regard rouge écarlate à la vue de la belle, mes yeux fixé vers le ciel et ma veste de laine ouverte ainsi que le haut de ma chemise. Les cheveux au vent, le son des vagues qui nous accompagnes.

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