Le portrait [PV Monsieur ange (Tsu)]

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C’était par un dimanche pluvieux. Notre Albane regardait les gros nuages gris par la fenêtre. Le temps était morose et la contaminait un peu. Elle poussa un long soupir. Cela faisait deux bonnes heures qu’elle était levée mais traînait encore en nuisette. Fichue journée ! Elle maudissait intérieurement celui qui avait eu la bonne idée de faire pleuvoir. A quoi pourrait elle bien s’occuper ? Elle poussa un long soupir en voyant toute cette terre gorgée d’eau, il pleuvait des cordes. Puis elle eut une illumination. Il y avait sans doute quelque chose à faire en ville cinéma, musée… Oui voilà, elle allait visiter la galerie d’art. Sa tante lui avait parlé d’un jeune artiste qui y exposait des portraits, magnifiques selon elle. Elle était sensible à toutes les formes d’art.

C’est donc le cœur un peu plus léger qu’elle alla se doucher avant d’enfiler une petite jupe noire et une chemise blanche. On n’allait pas dans un tel endroit comme on allait faire son marché. Elle enfila ses petits souliers et alla affronter la pluie. Elle battit des ailes et s’éleva à la hauteur propice. Elle vola aussi vite qu’elle pouvait ce qui n’empêcha pas qu’elle arriva toute ruisselante à la galerie. Elle s’y engouffra rapidement, contente de ne plus être sous ce déluge. Elle ébroua ses ailes pour débarrasser ses plumes de l’eau avant de descendre le regard vers sa tenue. Là elle se mit à rougir. Avait on idée de mettre un vêtement blanc lorsqu’il pleut ! Son corsage était devenu transparent, laissant ainsi deviner la dentelle de ses dessous. Mal à l’aise, elle décida de visiter l’endroit comme prévu mais ses mains gantées posées sur sa poitrine pour masquer la cause de sa gêne. Heureusement l’endroit était quasi désert. Elle alla donc de tableau en tableau, les yeux écarquillés devant ce qu’elle voyait. Elle tomba en admiration devant le portrait d’un ange. Elle s’arrêta pour le contempler. Il s’agissait d’une femme dont les traits étaient si bien dessinés qu’on aurait cru l’avoir face à soi. Elle souriait radieuse, comme si elle faisait face à un homme dont elle était amoureuse. L’ange détailla chaque détail, les pommettes, le petit nez, les lèvres… C’était un chef d’œuvre selon elle. Accaparée par la contemplation, elle ne perçut pas que quelqu’un d’autre regardait le tableau.

La pluie, une triste chose qui rend l’ange vraiment nostalgique, c’est lors d’un jour comme celui-ci qu’il avait du livré combat contre plusieurs démon. Cette plus lui rappel le sang qui couler sur ses mains, se sang si impur qu’il n’arrivait pas à se débarrasser, même encore aujourd’hui il peu voir se sang invisible pour les autres. Il était posé sur le rebord de sa fenêtre, une jambe replié et l’autre qui se balancé le long du mur, la tête contre la parti vitré et froide, ce genre de journée lui donne un regard assez triste. La porte s’ouvrit et une silhouette féminine se tenait à l’entré, c’était Yui qui était venu le voir parce qu’elle s’inquiète pour lui, elle le connaît depuis pas mal de temps et elle sait très bien que la pluie n’est pas ce qu’il faut pour l’ange.

Parmi l’obscurité de la pièce le regard rouge de l’ange vint se posé sur Yui, ce qui lui donné quelque frisson parce que sont regard est vraiment triste ou même un peu effrayant. Il se levé et se dirigea vers la porte de sa chambre, frôlant légèrement la démone il lui adressa un simple petit sourire et il descendu les escaliers pour venir prendre son café matinal. Il la remercia de lui avoir préparé son petit déjeuner puis il alla prendre une douche bien chaude histoire de lui changé un peu les idées. Il en sorti peu de temps avec une serviette sur les épaules, aujourd’hui il va porter une chemise blanche et un pantalon noir, son pendentif toujours au cou il s’empara d’une veste noir qu’il se mit sur le dos avant de venir attraper la poignée de la porte qui le mènera à l’extérieur.

Alors qu’il s’apprêtait à sortir, il fut stoppé par Yui qui lui tendit un parapluie avec la tête baissé pour ne pas le regardé droit dans les yeux toujours gêné de le voir triste. Il prit alors le parapluie et releva le visage de Yui par le menton pour venir l’embrasser sur le front et lui faire un petit sourire avant de partir, mais où va-t-il allez ? Cela est une question bien intéressante parce que lui-même il en sait strictement rien du tout.

Vagabondant dans la ville avec son parapluie ouvert, il s’arrêta devant ce qui pourrait être une galerie d’art, pourquoi ne pas allez y jeté un petit coup d’œil. Il entra donc à l’intérieur et déposa son parapluie à l’accueil pour ne pas sans encombré, des ailes ? Et non l’ange n’a pas d’aile dans le dos parce qu’il trouve que cela est un poids inutile donc il les rentre en lui. Il regarda chaque tableau avec attention en acquiesçant quelque sourire parce que certain était vraiment magnifique, mais il y en à un qui est bien plus magnifique que les autres. Le portrait d’une charmante jeune femme, belle est élégante ainsi qu’une histoire vraiment très intéressante, alors que sont regard était captivé par le portrait, il aperçut à côté de lui une ange, une très joli personne qui avait l’air quelque peu gêné de quelque chose.

Ah en effet ce n’est pas malin de sortir vêtu de blanc lors d’une journée de pluie, le blanc ce n’est pas le plus utile une fois mouillé, inconsciemment il retira sa veste pour venir la posé sur le dos de la jeune femme et lui faire un petit sourire.

-Il sera dommage que vous attrapiez froid devant une aussi belle œuvre d’art, de plus si je me souvient bien cette personne se nommé Kaoru Otonoshi, une charmante personne qui est hélas morte emporté par le chagrin d’amour….

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Albane était absorbée par le regard si profond que le peintre avait réussi à rendre. On pouvait vraiment y lire de l’amour. Elle était impressionnée par un tel talent, elle qui n’arrivait même pas à dessiner un bonhomme qui ne ressemble pas à un cochon d’inde… Elle sentit soudain quelqu’un dans son dos mais le temps qu’elle ne réalise, l’inconnu lui avait déposé une veste noire sur les épaules. Elle se retourna d’un geste un peu brusque et maladroit, se retrouvant nez à nez avec un ange. Il était plutôt bel homme bien qu’un peu culotté tout de même de se comporter ainsi alors qu’ils n’avaient pas même été présenté ! Quoi vieille école ? Bon, si on allait par là le geste était chevaleresque mais tout de même. Au moins ils ne l’avaient pas égorgé sauvagement sans raison.

Notre ange ne savait pas trop comment elle devait se comporter. Elle oscillait entre l’envie de l’envoyer paître nonchalamment ou de lui répondre poliment. Finalement elle opta pour la seconde d’autant qu’il avait éveillé son intérêt en parlant de cette histoire de chagrin d’amour. Albane n’était jamais tombée amoureuse de qui que ce soit alors elle avait bien du mal à s’imaginer ce qu’on pouvait éprouver. Par contre avoir envie de mourir par amour, une autre forme d’amour j’entends, ça elle connaissait. Quoique finalement la culpabilité et le dégoût de vivre lui avaient aussi en partie inspiré ses pulsions suicidaires. Bref, revenons à nos anges… C’est avec le visage fermé et froid que l’on lui connaît qu’elle répondit sur un ton se voulant juste poli.

« Votre attention est aimable mais je ne vous connais ni d’Eve ni d’Adam. Toutefois merci. Quelle est cette histoire que vous évoquez ? »

En disant cela elle ôta la veste de sur elle et la lui tendit, oubliant sa chemise mouillée et transparente. Elle s’en rendit vite compte et rougissante, ramena ses mains vers elle et par la même occasion le vêtement. Voilà qu’elle était embarrassée devant cet ange et ne savait trop par quel biais s’en sortie.

Mais quel imbécile celui-là, il en avait oublié les politesses et l’éducation que sa mère lui à fourni tout le long de sa jeunesse et qui continue inconsciemment de le harceler avec. Certes le geste qu’il à eu envers cette demoiselle était loin d’être malsain au contraire, il avait fait cela dans le seul but de lui venir en aide à caché quelque partie presque voyante de son anatomie. Mais bon c’est vrai qu’il n’avait pas vraiment à faire ça aussi, surtout sans même connaitre cette personne. Qui sait, elle aurait très bien put être une voleuse et avoir fait exprès de se retrouvé dans se genre de situation pour incité les gens à agir comme lui pour ensuite partir en courant…..Méfiance du mafieux en éveil c’est pas vraiment bon, toujours à avoir un mauvais opinion des autres ><.

Il glissa ses doigts dans ses cheveux brun et fin, ses yeux rouges braqué sur la demoiselle tel un tigre sur sa proie, et ses lèvres qui forment un léger petit sourire pas vraiment très expressif. Il allait reprendre sa veste qu’elle était entrain de lui tendre, mais au moment ou ses doigts efflorèrent le tissu, elle tira le vêtement contre elle…Surement venait-elle de s’apercevoir qu’en faisant ainsi il pourrait voir ces « dessous ».

Certes il est bien vrai que vous ne me connaissez pas et il en va de même pour moi. Laissez moi donc me présenté dans se cas, je me nomme Tsukasa Hishima.

Elle ne le connait peut-être pas personnellement mais elle à surement du avoir déjà entendu son nom, les Hishima font tout de même partie d’un des rangs social les plus élevé chez les anges. 9a famille est dite « ange pur », c’est l’une des plus puissantes familles d’ange donc elle doit surement connaitre son nom de famille.

Pour ce qui est de l’histoire dont j’était entrain de parlé il y a peu, c’est l’histoire de cette charmante personne que vous voyez sur cette toile.

Il existe plusieurs version de son histoire mais elles reviennent tous à la même chose, c’est l’histoire d’une femme qui à formé des liens d’amour avec un jeune peintre. Ils ne se sont pas marié mais il ont vécu ensemble pendant bien des années, cette toile à était peinte par l’homme en question. J’ai dis qu’elle est morte d’un chagrin d’amour non ? Et bien c’est malheureusement la triste vérité, parce que malgré leurs petit bonheur il y a eu la guerre entre les anges et les démons ce qui causa la mort du jeune peintre.

Kaoru est donc morte dans son chagrin d’amour, comment ? Certain dise que c’est en perdant espoir et en se laissant mourir de fin, tandis que d’autre disent qu’elle c’est empoisonné pour rejoindre son amour perdu.

Qui aurait cru que derrière cette carapace d’air supérieur se trouve un peu de sentiment ? Et oui l’ange avait une larme qui coulé mais il l’a vite retiré pour laissé place à un sourire et voir la réaction de la demoiselle vis-à-vis de son histoire.

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Tenant toujours la veste serrée devant elle, Albane ne savait quelle attitude adoptée face à cet homme. Il finit par se présenter à elle comme étant Tsukasa Hishima. Ce nom lui disait quelque chose… Hishima, Hishima… Mais bien sûr, une famille très élevée dans la société angélique. Enfin cela ne changeait rien au fait qu’elle ignorait tout de cet homme et qu’elle s’en méfiait. Toutefois il aurait été très impoli de ne pas se présenter à son tour. Aussi gardant toujours le même ton froid et distant elle lui répondit.

« Je me nomme Albane Doussonge. »

La phrase était des plus succinctes, elle ne voulait pas qu’il croie qu’elle avait l’intention de s’éterniser à discuter avec lui. Cependant elle l’écouta narrer l’histoire de la jeune femme du portrait avec une oreille des plus attentives. Elle était touchée par ces mots, bien qu’elle soit étrangère à tout sentiment amoureux. Même si son visage restait fermé, comme impassible, ses yeux eux parlaient pour elle. Ils brillaient d’une étrange lueur et la douceur qui la caractérisait était encore plus flagrante. Ce contraste entre ce qu’elle voulait montrer aux autres et ce qu’elle était réellement ne se remarquait que par qui savait regarder réellement. Les autres ce seraient contentés de la juger glaciale et insensible, antipathique même sans doute. Mais pour quiconque parviendrait à abattre cette forteresse qu’elle dressait autour d’elle pour se protéger, Albane était capable du plus grand dévouement. D’ailleurs, elle portait à sa tante, la seule personne qui lui restait en ce bas monde, une affection sans bornes. Voyant que Tsukasa semblait attendre une réaction, elle chercha ce qu’elle pourrait bien lui dire. L’histoire lui avait plu et elle voulait tout de même qu’il le sache.

« Merci c’est une jolie histoire. »

Elle reporta son regard sur le tableau, essayant de deviner dans la posture et les détails du portrait ce qui pouvait refléter ce qu’elle venait d’apprendre. Dès le premier moment où elle avait posé ses yeux sur le tableau elle avait deviné les sentiments qui animaient aussi bien le modèle que l’artiste qui l’avait peint. La jeune femme du portrait était en quelque sorte une muse pour son auteur. C’était là un très joli gage d’amour.

En effet cette histoire est vraiment très jolie, mais elle est bien plus que cela, hélas le mot qui la détermine ne se trouve surement pas dans leurs vocabulaire…Existe-t-il réellement pour la déterminer ? La voyant captivé par la toile, il plongea alors lui aussi sont attention sur ce quel regarde, le coude droit dans sa main et le menton appuyer sur la main droite.

Il est vrai que cette histoire est vraiment belle, mais ici elle n’est pas la seule à avoir une histoire tout aussi passionnante.

Son regard se posé sur l’ange, elle avait toujours sa veste contre elle pour caché une partie de son anatomie, elle pourrait au moins la mettre sur son dos, ça passerait plus inaperçu ainsi. Il ne compte pas resté ici plus longtemps, ça ne sers à rien de s’éterniser dessus alors qu’il y a dans ces lieux un tas d’autre toile avec chacune une histoire intéressante, mais hélas il ne les connait pas toute et heureusement, c’est un coup à se perdre entre toute et à les mélangés. C’est dans un pas léger et un petit soupir qu’il passa juste à côté de l’ange avec un sourire peu expressifs et un regard toujours rouge, normal c’est ça couleur naturel donc ça changera pas sauf s’il devient aveugle….Si elle veut lui rendre sa veste elle à plusieurs possibilité pour le faire, le suivre, l’attendre à l’accueil, ou plus simple le donné à l’accueil pour qu’il se charge de la lui rendre.

Marchant dans la galerie, de toile en toile, d’œuvre en œuvre et d’histoire en histoire, le jeune ange ne savait pas trop où donné de la tête. Qu’est-ce qu’il se serait passé s’il avait emmené Yui avec lui ? Peut-être lui aurait t’elle fait la tête parce qu’il aura adressé la parole à une autre femme….La jalousie n’est pas très bon et cela ne l’arrange pas dans ses affaires de mafieux, enfin bref il en est pas là et elle n’est pas avec lui donc à quoi bon en parlé.

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Alors qu’il venait de lui conter une histoire sympathique l’ange s’en alla comme il était venu, sans même la saluer ni la prévenir. Curieuses manières ! Il n’était pas très à cheval sur la politesse visiblement. En plus elle avait toujours sa veste. Du moins n’allait elle pas s’en plaindre. Profitant que cette salle ci était déserte, elle la passa rapidement sur elle et en serra les pans pour masquer sa gêne. Le vêtement était imprégné d’un parfum d’homme plutôt subtil, elle aima cette odeur et pencha un peu la tête pour mieux la respirer. Pour la première fois de sa vie elle ressentait un manque. Ce devait être stupide mais porter cette veste sur elle lui donnait envie de découvrir ce qu’on ressentait dans les bras de quelqu’un, d’éprouver l’amour que l’on peut ressentir. Comment quelque chose qu’elle ne connaissait pas pouvait bien lui manquer ? C’était très étrange. Elle regarda de nouveau le portrait, enviant la jeune femme qu’il représentait. Elle avait l’air si heureuse, un bonheur serein qu’elle-même ne connaîtrait sans doute jamais.

C’est le cœur un peu pincé u’elle continua sa visite, s’émerveillant sur un paysage, contemplant les détails d’une scène reproduite. Mais le portrait ne quittait pas ses pensées. Une fois qu’elle eut terminée de parcourir toutes les salles de la galerie, elle revint se poser devant. Elle regarda une nouvelle fois les traits peints avec tant de talents, la technique incroyable que possédait ce grand maître. Elle regarda sa montre, le temps était passé vite, trop vite. Elle décida de rentrer. Mais avant il fallait qu’elle rende cette veste à son destinataire. Heureusement grâce à sa chaleur et à celle de la pièce sa chemise était sèche et donc plus du tout transparente. En plus dehors la pluie avait cessé. Elle le chercha des yeux autour d’elle mais ne le vit nulle part. Elle allait se diriger à l’accueil pour demander s’il était ressorti quand elle vit qu’il s’apprêtait à passer la porte. Elle le héla pour attirer son attention.

« Messire Hishima ! Votre veste ! »

Elle courut à grandes foulées vers lui et ôta la veste pour la lui rendre. Elle la lui tendit délicatement.

« Je … vous remercie de votre attention. »

Il venait de laisser la charmante ange seule devant la toile, pourquoi resté trop longtemps devant celle-ci alors qu’il y a aussi encore un tas de merveilles à allez voir. Arpentant la galerie, le regard posé sur chaque œuvre, sur chaque toile, il s’émerveiller, visualisez et analysez chacune d’entre elle. La texture, la pigmentation et la technique utilisé pour chacune d’elle est vraiment incroyable, il ne peu s’empêché d’admiré l’art de leurs créateur, tant de beauté, tant de sentiment y sont encré à l’intérieur. Leurs histoires sont pleines de mystère, de joie et de tristesse, tout cela demande beaucoup de respect et c’est ce que Tsukasa leurs réserve, un peu de respect, non beaucoup de respect. Certain artiste de grand talent ont offert toute leurs vie dans ces toiles, certain en son mort et achevant leurs dernière merveilles, c’est vraiment magnifique à regardé, surtout lorsque l’ont ressent les sentiments profond qui se cache.

Malheureusement toute bonne chose à une fin et celle de la petite promenade arriva aussi, il revint donc en direction de la sorti en prenant tout son temps. Il ne voyait plus l’ange de tout à l’heure, surement est-elle déjà parti, ou peut-être qu’elle est encore entrain de regarder les œuvres de cette galerie et surement même entrain d’écouter leurs histoires… Certes il se répète mais il à vraiment apprécié les histoires de cette galerie, il faudra qu’il revienne mais cette fois-ci en compagnie de Keiko et peut-être d’Azilyss, ça va être dur de la tenir en laisse… Il continua don c de s’avancé vers la sortir pour ensuite venir attraper la poignée afin de l’ouvrir, mais au moment même ou il allait franchir la porte, une douce voix féminine l’interpella. Lorsqu’il se retourna il put apercevoir que cette douce voix provenait de la demoiselle de tout à l’heure, elle était venu vers lui pour lui rendre la veste qu’il lui avait prêté… Il lui adressa donc un petit sourire et il passa ses mains sous la veste pour le prendre et l’amené jusqu'à lui, une vague odeur se trouvé dessus, surement celle de cette jeune femme.

C’est vraiment très gentil de votre part d’avoir pensé de me la rendre, j’espère que vos vêtements ai prit le temps de bien sécher, il serait dommage de sortir avec des vêtements mouillé à l’extérieur surtout que maintenant plein de monde vont sortir pour profité du soleil…

Les quelques politesse maintenant échanger, que peut-il bien faire ? S’il rentre de suite il ne reverra surement pas cette demoiselle, d’autant plus qu’il ne sait pas si elle travail quelque part…Oui oui, pour son projet c’est assez important tout ça mais pas seulement pour ça, il a vraiment envie de connaitre un peu plus cette ange, qui peut-elle bien être réellement ?

Hum…excusez-moi, mais est-ce que vous avez prévue quelque chose d’autre aujourd’hui ? Si je vous demande ça c’est parce que j’aimerais apprendre à vous connaitre si vous me le permettez bien entendu ^^’

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L’ange reprit sa veste et la remercia de la lui avoir rapporter. C’était pourtant bien naturel. Puis il lui demanda si elle avait quelque chose de prévu. Il expliqua qu’il voulait faire sa connaissance. L’ange en fut toute surprise. Que pouvait il bien lui vouloir à elle ? Il y avait des centaines de démones en ville et tout autant d’anges. Elle était sûre que plus de la moitié d’entre elles auraient été ravie de pouvoir se pâmer aux bras d’un Hishima. Malheureusement pour lui elle n’en faisait pas partie. Mais cela l’aurait sans doute vexé si elle avait refusé. Peut être pouvait elle prétexté avoir quelque chose de très important à faire. Un dimanche ? Mauvaise idée. Et puis peut être après tout que ce ne serait pas déplaisant. Il semblait aimer l’art, et être plutôt gentil. En plus, sa tante passait son temps à lui seriner qu’elle devait arrêter de se montrer si sauvage. Bref notre ange passa de longues secondes à se dire « non mais si quand même bien que pourtant… » . Et enfin elle trouva le courage et la volonté de dire oui.

« C’est aimable à vous. Nous pourrions prendre un café quelque part. »

Bon, elle avait accepté mais choisirait un endroit où il y aurait beaucoup de passage. Elle n’avait pas l’intention de le suivre dans une ruelle déserte pour risquer de se faire égorger ou pire. Quoi parano ? Par les temps qui courent mieux valait se montrer prudente. Elle se contenterait de prendre une consommation, de discuter un peu mais sans plus puis rentrerait chez elle. Cela paraissait bien peu mais pour Albane cela demandait des trésors d’énergie et de volonté. Parler avec un homme doublé d’un démon ! Elle ! Vous n’imaginez pas…

« Connaissez vous un endroit dans le centre ville où nous pourrions aller ? »

Un lieu dans lequel ils pourraient prendre un café plus tard ? Bien entendu que cela rentre dans ses connaissance, s’il se souvient bien il y a le Meridell Drink’s mais aussi le Pearl of greed….Mais il y a aussi les différent lieux qui se trouve dans les quartiers un peu plus privé nous allons dire. Ce n’est pas du tout son genre de fréquenter se genre d’endroit et si c’est simplement pour prendre un petit café et discuté avec elle alors le Meridell Drink’s semble être un bon endroit.

Et bien je n’ai qu’un seul lieu à vous proposé, le Meridell Drink’s me semble être un bon endroit pour y prendre le café. Je pense qu’il y a une terrasse, ont pourra donc prendre un café à l’extérieur et observer les architectures alentour.

Il continua de lui sourire et il remit sa veste sur ses épaules afin d’évitez de la trimbaler avec lui dans ses bras. Il passa sa main dans ses cheveux brin tout en laissant son regard plonger encore et toujours sur cette charmante ange, il est bien rare c’est vrai pour lui de voir des anges de la jante féminine autre que lors des soirées. Il se dirigea donc vers la porte pour à nouveau l’ouvrir cette fois-ci en espérant la passer pour allez à l’extérieur.

Si vous voulez bien….

Il lui tenait la porte pour qu’elle puisse sortir en première, c’est sa manière à lui pour faire un peu bonne impression de sa famille alors qu’il s’en fiche complètement. Il prit rapidement son parapluie qu’il avait laissé à l’accueil et il rejoint vite la demoiselle à l’extérieur et lui adressant toujours son petit sourire habituel. Peu importe à quel heure elle veut y allez, il s’en fiche complètement tant qu’il peu au moins discuter avec elle et prendre le café. Mais peut-être que se promener en ville avec lui la dérange et qu’elle préfère y allez séparément.

Je vous propose de nous y rendre maintenant à moins que vous préférez y allez un peu plus tard.

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